Sujet: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mar 15 Oct - 16:11
FEAT. Dylan O'Brien
Jayden Carlson
22 ans → Né(e) à la Nouvelle-Orléans le 2/11/1990 → Suit des études de droit/Bénévole dans un centre pour hommes et femmes battus célibataire → hétérosexuel(le) → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques?
- Jayden a plusieurs cicatrices sur le corps. - Il est très nerveux en présence féminine, dit n'importe quoi - Il est fils unique - Il sourit tout le temps - Fait du bénévolat - Passe sa main dernière la tête lorsqu'il ment - Il joue souvent avec son stylos quand il est stressé - Pour passer le temps en cour il s'amuse à compter les blondes en amphi (un peu comme compter les moutons avant de dormir). - Il fait 1,80m - Il a les sens très développés - Il a horreur des craquements de doigts - Il est allergique au pollen - Il réfléchi beaucoup - Il peut débiter un nombre de mots assez impressionnant par minutes - Il déteste le fromage - Possède son permis de conduire - Aime faire du skate
★Quel est le caractère de ton personnage? → Jayden est un bon gars. Vous pouvez être le dernier des crétins il sera toujours là pour vous. Cette loyauté il l’a acquise au fil des années, à cause ou plutôt grâce à son passé. Sa persévérance inspire le respect. Jayden est la preuve vivante qu’avec de la volonté on peut s’en sortir, il suffit juste d’avoir cette envie de vivre plus forte que tout. On dit souvent de lui qu’il est têtu comme une mule, son entêtement en a fait faillir plus d’un. Il est également doux et courageux. Courageux de s’être sorti tout seul de sa misérable situation et doux car il a une haine indescriptible envers la moindre violence. Dans la vie de tous les jours Jayden est très sarcastique, ce qui peut énerver certaines personnes mais son sourire apaise ses propos. Oui car notre jeune homme est très souriant, mais nous savons que c’est une façade qu’il donne aux autres et qui l’aide à rester optimiste. En conclusion Jayden est apprécié par les gens qui l’entourent car il essaye de donner le meilleur de lui même et enfouir le pire. Cependant ça n’a pas toujours été le cas. Autrefois c’était un garçon introverti et sensible qui vivait dans la crainte.
Well... It's my story...
Je vois que vous insistez alors ok je vais vous l’a raconter ma fichue histoire, mais sachez juste que ce que vous me demandez de faire là c’est pas cool. C’est assez pesant d’avoir un passé pareil, alors replonger dans mes souvenirs c’est comme les revivre une deuxième fois. D’ailleurs je maudis celui qui a eu cette idée. Il se rendra rapidement compte qu’il aurait mieux fait de rien dire. C’est la deuxième fois que je raconte tout du début à la fin, la première étant à ma meilleure amie. Tenez vous prêt, je commence.
Chapitre 1 : La naissance d’un héros.
Je suis né un soir pluvieux à l’automne 1990. La Nouvelle-Orléans venait d’accueillir un nouveau né parmi tant d’autres. Malgré la journée horrible que venait d’avoir mon père il était heureux (chose qui lui arrive une fois tous les 10 ans). J’étais l’enfant qu’ils avaient tant attendu. Les années passèrent, mes parents s’occupaient de moi sans grand enthousiasme. Je voyais bien qu’ils ne m’aimaient pas mais pour moi ça n’avait rien d’anormal. Après tout, les parents c’est fait pour nous éduquer avant de nous lâcher dans l’arène à notre majorité. Du moins c’est ce que je croyais. Tout ça pour dire que la maison c’était pas la joie. En revanche l’école c’était génial ! J’avais plein de copains, j’apprenais des choses et surtout les gens m’aimaient. Un jour lors d’un carnaval organisé par l’école à mes 6 ans je me suis déguisé en Batman. C’était mon super héros préféré ! J’étais tranquillement en train de jouer avec mon super copain qui lui été en Joker lorsque j’ai entendu les cris d’une petite fille. Intrigué je me suis mis à sa recherche. J’ai alors aperçut deux garçons qui devaient avoir 8 ans en train de tirer les cheveux de la belle en détresse. Prenant mon courage à deux mains j’ai surgit devant eux et les ais menacé « Eh vous deux là, laissez la tranquille ! Vous avez pas honte de vous attaquer à une jolie fille ? » Les deux gaillards m’ont regardé interloqués puis l’un deux a répondu « De quoi tu te mêle petit ? tu nous fait pas peur… » Il n’avait pas terminé sa phrase que j’ai ajouté « JE SUIS BATMAN, je ferais pas le malin à ta place si tu veux pas que je vous dégomme tous les deux ! ». Les deux gosses étaient tellement surpris qu’ils ont explosé de rire et sont partis. C’est à partir de ce jour que je suis devenu un super héros pour toute l’école.
Chapitre 2 : Comment Batman se transforma en Looserman.
J’étais un garçon très curieux toujours en train de poser des questions et ce soir là ce fut la question de trop. Mon père commençait à bouillir de l’intérieur puis explosa. Il commença par me dire de la fermer, d’arrêter de poser des questions idiotes à longueur de journée, me traita de crétin et me lança deux trois insultes très violentes pour un enfant de 8 ans. Il a alors dit mot pour mot « Qu’est-ce qui m’a prit de faire un gosse à ta trainée de mère ? Tu me pourris la vie Jayden, tu nous pourris tous la vie. T’es un moins que rien qui ne réussiras jamais dans la vie, parce que t’es trop con ! » Chaque mots qu’il prononçait me faisait un peu plus de mal. J’avais une boule dans le ventre et l’envie de vomir. C’est à ce moment là que m’a mère supplia mon père d’arrêter mais ce dernier la poussa violemment. Je ne supportais pas voir ma mère dans cet état là. J’eus le malheur de dire à mon père que j’étais Batman alors biensûr que si j’allais réussir ma vie et rendre pleins de gens heureux. Il me regarda dans les yeux, je le fixais sans relâche pour lui prouver que malgré mon jeune âge j’étais assez fort mentalement pour l’affronter. Il était à l’apogée de sa colère, il prit mon bras droit, me tira me forçant à le suivre jusqu’à la cave. Il prit un bâton, me demanda de me retourner et me frappa. Pendant 10 minutes j’étais son punching ball. Quand il me relâcha enfin je couru m’enfermer dans ma chambre. J’étais terrorisé et avait mal partout. Mais c’est seulement quand j’eus enlevé mon t-shirt que j’ai réalisé la gravité de son action. J’étais en sang et pleins de bleus. Le lendemain je fis comme si de rien n’était à l’école. Mais tous les soirs mon père recommençait. De temps en temps il frappait ma mère aussi. A l’école mes copains trouvaient mon comportement bizarre et au fur et à mesure de l’année plus personne ne me parlait. J’étais devenu la risée de l’école après celle de mon père. Un an, deux ans, cinq ans, sept ans passèrent. Mon père nous frappait toujours assez régulièrement et ma mère s’y mettait aussi. Je pense qu’elle été frustrée par rapport à mon père et passait ces nerfs sur moi. Elle disait que c’était pour que je devienne quelqu’un de bien.
Chapitre 3 : Le fugitif
J’étais devenu le garçon le plus introverti de la Nouvelle-Orléans. Je me demandais combien de temps encore tout cela allait durer. Je finis par croire les paroles de mon père et j’en été à me demander pourquoi j’existais si c’était pour être détesté par tout le monde. Le matin de mes 16 ans une idée folle me vint : fuguer. Mais pas fuguer dans le patelin d’à côté non ça c’était nul, ce que je voulais c’était aller à New York. La ville où tout devient possible. Il me fallait juste un plan et le plan je l’avais juste sous les yeux : la carte bleu de mon père. Pour je ne sais quelle raison je connaissais son code il me fallait juste la dérober. Je montais en précipitation rapatrier le minimum syndical pour survivre dans un sac à dos puis attendu. J’attendais que mon père change de pièce. Après deux heures d’attente mon père alla aux toilettes, c’était ma chance. Aussitôt parti, la carte fut aussitôt prise. Je lançais un bref « salut » mon père répondît « va te pendre crétin ». J’étais désormais dehors, seul face au monde. Mon billet pour New York dans la poche j’étais enfin prêt à prendre l’avion. « Goodbye New Orleans, New York here I am ! ». J’étais fou de joie. Quel soulagement de partir loin de ma famille et de tout ces gens qui m’ont dénigrés pendant toutes ces années. J’allais enfin pouvoir vivre autrement que dans la crainte.
Chapitre 4 : La renaissance de Batman
New York, New York, si tu savais comme je t’aime. Grâce à toi ma vie a un sens maintenant. Les premières nuits sur places j’étais dans des auberges de jeunesses. J’ai rapidement trouvé du boulot dans un restaurant pour faire la plonge. Bon d’accord c’est pas glorieux mais au moins avec ça j’avais de quoi vivre et me payer une chambre d’hôtel. Mes collègues me faisaient visiter la ville et me firent oublier que ma vie sociale été au point mort depuis toutes ces années. C’était agréable de pouvoir discuter et surtout le fait qu’on puisse s’intéresser à moi me touchait au plus haut point. Il y avait une vieille dame qui trainait souvent dans l’hôtel, je la voyais presque tous les jours. Un soir elle m’attendait devant ma porte : « Ah mon garçon viens voir. J’ai bien compris que tu n’étais pas en voyage, tu habite ici pas vrai ? Et si je te disais que je pouvais t’héberger tu accepterais ? Enfin non tu n’a pas le choix, allez prend tes misérables affaires et viens avec moi ! ». Ne pouvant pas refuser une offre pareil je pris mes affaires et suivit la vieille femme. En arrivant chez elle j’ai rapidement compris que c’était la patronne de l’hôtel. Sa maison été immense. Elle m’emmena dans une chambre où il y avait tout ce qu’il fallait : des vêtements, des livres, un ordinateur… « Tu peux rester ici autant de temps que tu veux, des jours comme des années. Je veux que tu te sentes chez toi ici. Le diner sera prêt dans une heure. Au fait je m’appelle Allison mais appel moi Allie. » Cela fait maintenant 8 ans que je vis chez Allie. C’est la grand-mère que je n’ai jamais eue, la figure maternelle qui me manquait et la tendresse inespérée. Elle m’a beaucoup aidé à grandir et à passer au dessus de mon enfance. Si je suis si optimiste aujourd’hui c’est en parti grâce à elle. Maintenant j’étudie le droit à l’université de Columbia et je vais régulière dans un centre d’accueil pour hommes et femmes battus où je suis bénévole. Je suis très sensible sur ce sujet mais c’est ce qui fait aujourd’hui ma force. C’est dans ce centre que j’ai rencontré Sage, la femme la plus merveilleuse au monde. En plus d’être brillante elle a un courage inégalable et c’est cette force qui me plait chez elle. C’est lors d’une des séances de discussion que je suis allé la voir. Elle est devenue ma filleule. Puis au fur et à mesure du temps elle est devenu ma confidente puis ma meilleure amie. Des nanas comme ça je n’en ai jamais vu, elle est unique. C’est dingue d’être aussi proche d’une personne, de pouvoir se comprendre en un regard. Je crois que je pourrais donner ma vie pour elle. C’est excessif mais c’est pour vous dire à quel point elle est importante pour moi. J’ai eu la chance de rencontrer une femme formidable, Allie, qui m’a aidé à m’en sortir mais ce n’est pas le cas de tout le monde, c’est pour ça que je suis là aujourd’hui. Mon but est de montrer à quel point la vie peut être belle si on arrive à remonter la pente. Ce devrait être la motivation de chacun. Et je pense que c’est un bel exemple pour les personnes qui se plaignent pour un rien. Si elles prennent conscience que la violence dans les foyers, les maladies, les accidents arrivent, elles arriveraient à profiter de chaque instants.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Lola, 18 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Google ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non ★Présence sur le forum → Dépend vraiment des semaines mais minimum 2/7 et max 7/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario ★Crédit images → bazzart
Mon exemple de RolePlay:
→ Si j’entends cette fille se plaindre encore une fois je vais l’emplâtrer, là au moins elle aura une raison de le faire. J’adore l’histoire des relations internationales c’est pas ça le problème mais les cours de ce prof sont soporifiques à tel point que je suis obligé d’écouter cette pétasse se morfondre sur le choix du cadeau que son copain lui a fait. Je jette un coup d’œil sur ma montre, encore 20 misérables petites minutes à tenir. J’entends toujours la blondasse. C’est fou à quel point certaines personnes peuvent nous irriter. C’est vrai au fond elle m’a rien fait cette nana, c’est juste sa manière de parler et puis son air débile qui font que aaaaah et puis merde. Je me tourne vers elle.
« …franchement tu crois que c’est possible ….. » dit-elle avant que je la coupe.
« Franchement tu crois que c’est possible que tu l’a ferme ? Ca fait une heure que je t’entends te plaindre c’est juste plus possible. Franchement qu’est ce qu’on s’en fou qu’il t’ai offert une robe alors que tu voulais un collier ? Déjà estime toi heureuse qu’il t’ai offert quelque chose ! Tu sais très bien que pleins de gens voudraient être à ta place. Arrête d’être égoïste, y’a pas que toi dans le monde. Oui parce que tu parles que de toi depuis tout à l’heure. Penses à tous ces pauvres gens seuls qui n’ont pas de famille, à tous les enfants malades qui ne pourront jamais guérir et qui n’attendent qu’une seule chose pour ne plus souffrir : que leur vie s’arrête. Alors s’il te plait ferme là, oui ferme là. »
Ouf c’est sorti. J’avoue que parler des enfants malades était un peu inapproprié mais au moins ça la fera réfléchir sur quelque chose. Même avec ces conneries le temps n’avance pas. 18 minutes. Il peut s’en passer des choses en 18 minutes. On pourrait vivre un tremblement de terre, un psychopathe échappé de prison pourrait nous prendre en otage, Barack Obama pourrait être assassiné, Allie pourrait mourir… Oh mon dieu Allie ! Je dois absolument aller chercher son manteau au pressing. Ca fait 3 jours qu’elle me le demande et j’oublie à chaque fois, bonjour le boulet. 16 minutes. Qu’est-ce que je pourrais faire s’il me restait 16 minutes à vivre ? Je dirais à tout le monde ce que je pense. Ouais les 4 vérités de chacun. Ils tomberaient de haut ah ça oui. Et je crois que ces 16 minutes j’aimerais les passer avec Sage. C’est la seule qui me comprend. Qu’elle se blottisse dans mes bras et lui dire à quel point je la trouve merveilleuse. Pouvoir la rassurer encore et encore puis mourir à ses côtés. Waw faut que j’arrête de penser à ça je commence à avoir un air de crétin…
Dernière édition par Jayden Carlson le Jeu 17 Oct - 18:02, édité 26 fois
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mar 15 Oct - 16:14
Bienvenue ! Et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mar 15 Oct - 16:22
Bienvenue par ici, et bon courage pour ta fichette
Sebastian E. Black
Empire State of Mind
a lion still has claws.
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mar 15 Oct - 17:24
Bienvenue
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mar 15 Oct - 17:56
Merci beaucoup vous êtes adorables
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mar 15 Oct - 20:30
Dylan !!! (Ôh mon Dylan) .
Welcome et bon courage pour ta fiche .
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mar 15 Oct - 21:11
Bienvenue
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mar 15 Oct - 22:40
Dylan !!!!!!! Excellent choix d'avatar reserve moi un lien Sinon bienvenue
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mer 16 Oct - 1:54
Dylan ♥ Welcome
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mer 16 Oct - 2:33
Ton gif de SIP hdjkfhahfkjahfjHFJhjkHSFkjhjhfjsdhfjdhjhdfhsdkjfhjksdhjsdh
Bienvenue officiellement parmi nous Et encore merci de tenter le scénario
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mer 16 Oct - 3:24
Dylan ! Ce mec est juste trooooop parfait ! Tu me réserves un lien, dis ? Bref, bienvenue & bonne chance pour ta fiche !
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mer 16 Oct - 5:13
Merci à tous !!
Sage : Mais de rien
Asher et Kiara : Je vous garde un lien bien au chaud avec plaisir
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mer 16 Oct - 9:38
Je vais faire super original : bienvenue sur le forum.
Oui, je sors.
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mer 16 Oct - 11:19
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mer 16 Oct - 19:32
Dylan bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mer 16 Oct - 20:25
Bienvenue sur NYCL Bon courage pour ta fichounette
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Mer 16 Oct - 23:46
DYLAN. Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Jeu 17 Oct - 4:29
Merci, merci, merci !!!!
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Jeu 17 Oct - 14:33
Quand je vois cette tête, j'ai tout de suite envie de l'embêter x) Bref, bienvenue parmis nous ! :laura: (et très bon choix d'avatar !)
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Jeu 17 Oct - 15:55
ahaha non il est trop mignon ! Merci en tout cas
Voilà j'ai terminé maintenant je pense
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate Jeu 17 Oct - 16:00
Coucou J'ai lu ta fiche et elle me plait Cependant, avant de pouvoir te valider, il va falloir étoffer un peu les caractéristiques de ton personnage s'il te plait. Aussi, l'exemple de rp est assez court. Il ne fait pas les vingt lignes demandées.
Et une dernière chose. Pourrais-tu intégrer notre lien dans ton histoire s'il te plait? Merci en avance Lorsque tu auras fait les changements, tu pourras me mpotter, ce sera plus simple Bon courage
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Sujet: Re: Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate
Jayden Carlson - C'est l'histoire d'un mec qui en avait gros sur la patate