21 ans → Née à Washington le 27/01/1992 → Sans emploi célibataire → homosexuelle → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Johanne est un personnage qui possède de nombreux tics et de nombreuses superstitions. Elle doit prendre un traitement lourd à heure fixe pour l’éviter d’entendre des hallucinations auditives. Même si elle prétend le contraire, les voix la rassurent et depuis qu’elle a son traitement, certaines voix lui manquent.
Mademoiselle Baker-Simons ne supporte pas être avec du monde. Au-delà de ça, les grandes foules la terrorisent. Les conversations à plusieurs sont sa hantise, et elle s’arrange pour disparaitre quand il y a plus de quatre interlocuteurs. D’ailleurs, quand ils sont nombreux dans son esprit, Johanne disparait et est dans le mimétisme des personnes qui l’entoure.
Johanne n’aime pas les hommes. Au-delà du fait qu’ils ne l’attirent pas, elle a peur d’eux et accepte avec beaucoup de difficultés d’être en leur présence. Elle a refoulé les événements de son passé à l’égard des hommes, mais garde cette crainte permanente.
Elle n’a pas eu beaucoup de relation sentimentale étant beaucoup trop compliquée à vivre. Ses petites amies l’ont toujours trouvé trop étrange pour garder une relation avec elle. De ce fait, son record doit être de deux misérables semaines. Elle ne se plaint pas de cela, elle sait qu’en cachant sa maladie à certaines personnes, elles ne peuvent pas comprendre ce par quoi elle passe tous les jours.
Quand Johanne est extrêmement stressée, elle passe son index droit sur son nez et le caresse frénétiquement. Ce toc est fréquent. Pour lutter contre celui-ci et quelques autres, moins visibles, Johanne se rend chez un psychothérapeute. Elle n’évolue pas et reste dans le déni de beaucoup de choses.
Les tatouages sont une véritable obsession pour elle. Même si Johanne n’en a pas, elle pourrait passer des heures à observer une peau tatouée. Si elle n’avait pas à aller voir un tatoueur, cela fait surement quelques années qu’elle en aurait eu.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Schizophrène : Sa maladie a été diagnostiquée à son entrée au lycée. Elle s’excluait volontairement des autres et avait été vue par certains de ses camarades de classe en train de parler avec une autre personne. Elle a suivi un traitement. Ses parents lui ont caché sa réelle maladie pensant qu’elle aurait du mal à l’accepter. Suite à un accident dans sa vie, Johanne a découvert qu’elle était malade et sait qu’elle doit prendre son traitement. Elle n’entend plus les voix, mais a du mal à avoir des envies et à se projeter.
Passive : Johanne n’avait pas d’envie de rien. De toute sa vie, elle a toujours tout fait en fonction de ce que les autres lui disaient de faire. Par exemple, elle est venue vivre à New York parce que ses parents l’y ont obligé. Elle n’a aucun centre d’intérêt si ce n’est l’informatique parce que cela servirait son intérêt de ne pas sortir de chez elle, et de rencontrer le moins de personne possible. Maintenant qu’elle n’a d’autres choix que de trouver un travail et un nouveau lieu de vie adapté à ses finances, Johanne ira-t-elle vers la nécessité ou quelque chose qu’elle apprécie réellement ?
Solitaire : Depuis toute petite, Johanne n’a jamais eu beaucoup d’amis. A vrai dire, elle ne saurait pas expliquer la différence entre un ami et une personne qu’on connait. Elle se suffit à elle-même et ne va donc jamais vers les autres. Quand elle n’avait pas de traitement, elle pensait que Candy était sa meilleure amie. A présent, elle reste persuadée que personne ne la comprend mieux que toutes ces voix qui lui manquent parfois le soir.
Réfléchie : Même si elle n’a pas plus pousser ses études comme elle l’aurait prévu, elle se débrouille très bien, et sait s’organiser. Elle ne manque pas de culture, et pourrait faire la conversation à n’importe quelle personne, simplement qu’elle n’aime pas adresser la parole aux personnes. Derrière son ordinateur, quand elle se connecte sur les différents forums, elle est adepte des longs messages, et devient une personne très apprécie sur le net.
Calme : Johanne arrive à prendre du recul dans beaucoup de situation afin d’analyser. Même si elle ne cherche pas de solution, on ne la voit plus jamais s’emporter. Cela est peut être du à son traitement qui la pose dans beaucoup de domaines. La voix de Johanne est douce, il est rare de l’entendre crier, mais quand elle hausse le ton sa voix n’est plus la même. D’ailleurs, Johanne ne se reconnait pas elle-même, c’est peut être aussi pour cela qu’elle n’hausse jamais la voix.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Marie, 21 ans, sans pseudo ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Il y a fort longtemps, j'y ai déposé des valises. J'ai voyagé par la suite, mais on revient toujours à la maison. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non, ce n'est pas un DC, mais un TC. ★Présence sur le forum → Ceci est une présence quotidienne. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Avatar : Paradase. Icon : pas encore trouvé.
« Bandes de couillons de nageur … Ils ne m'arriveront jamais à la cheville même avec un trampoline… Ils font de ces bruits quand ils plongent, à croire qu’ils ne savent pas nager… Et puis, vas y que l’autre commente n’importe comment avec des termes qui se veulent techniques mais qui sont juste de la poudre aux yeux… Punaise, et personne se tait, on se croirait à une compétition d’école… Qu’est ce que les gens foutent ici … entre l’autre qu’on entend bouffer, et l’autre qui est au téléphone… ça me donne envie de me pendre ces conneries… Et puis, je ne parle même pas de leur performance… ça se présente athlète de haut niveau, même moi je fais encore mieux… Je ferrai mieux de me barrer au lieu d’assister à un massacre pareil… Crois moi qu’ils vont en entendre parler de leur compétition nationale… Une vraie catastrophe …! J’ai honte … Je n’ai jamais assisté à un truc aussi merdique de ma vie… Et qu’on n’aille pas me dire que je suis encore de mauvaise fois … Et vas y que le commentateur fait encore ces blagues vaseuses … Putain, ça va finir je vais me casser… »
Voilà ce que Devon enregistrait sur son magnétophone pendant qu’il assistant à une compétition de natation. C’était son domaine de prédilection, il avait brillé sous les projecteurs en étant au même niveau que Michael Phelps, avec pour seule déception de ne pas partager la même piscine. Alors forcement, il était un peu aigri quand son travail lui demandait de couvrir des événements autant de la natation. Il aimerait tellement être à leur place que parfois il râlait, et pour l’occasion, il ne s’était pas gêner. Cela allait bientôt faire trois ans qu’il travaillait pour ce magasine sportif, et il avait de plus en plus d’importante. Quand il réalisait des reportages, l’ancien sportif avait cette touche de cynisme qui n’appartenait qu’à lui et qui faisait sa signature. Les gens adoraient l’entendre, il trouvait qu’il ne parlait pas la langue de bois et appréciait. Entre la langue de bois et la critique il n’y a qu’un pas, et ce pas, Devon le franchissait parfois. Peut être était ce pour cela que les sportifs voulaient l’avoir dans sa poche et que d’autres ne voulaient pas entendre parler de lui. Devon n’en avait rien à faire, il n’en faisait qu’à sa tête comme bien souvent. Quand l’équipe lui avait demandé de couvrir les championnats régionaux au Roy Wilkins Recreation Center, il avait d’abord cru à une blague. Comment une compétition pouvait avoir lieu dans ce lieu qui puait les touristes. Forcement, il était parti avec un apriori qui ne s’était pas arrangé quand il avait du se frayer un chemin parmi les curieux qui venait assister à cet événement comme d’autres vont manger sur le parking d’un fastfood. L’humeur du chroniqueur n’avait fait que s’aggraver à mesure que les minutes s’égrenaient. Et histoire de rajouter de l’huile sur le feu, ils en étaient à leur deuxième faux départ avec à chaque fois des bruits de baleine jeté à la mer quand ils plongent. « Mais ils sont cons ou bien il le font exprès ? Jamais de ma vie !»
Il faut dire que durant la carrière de l’aveugle, il n’avait jamais fait de faux départ et était particulièrement fier de cela pour s’en vanter à n’importe qui. Il s’était installé dans les gradins au premier rang de façon à être au plus proche de la piscine. Alors que certains préféraient la vue en hauteur, Devon n’en avait rien à faire, peu importe où il était placé il avait cet éternel écran noir. Et puis, vu la catastrophe nautique qui se jouait dans l’eau, il préférait ne pas recouvrir la vue pour ce genre de massacre. Et même s’il le voulait, sa cécité était inopérable. Enfin le départ de la course était le bon. Devon soupira en reprenant ses propres commentaires dans son petit appareil.
« Enfin, après trois assez misérables, voilà la bande de sardines handicapés qui se jette à l’eau. Les spectateurs du premier rang ont même le droit à une douche… Quelle bande d’empoté… Et le rassemblement de débile continue avec le commentateur qui préfère faire une blague douteuse que de me dire qui est en tête… Les compétitions de haut niveau, ce n’est plus ce que c’était. »
Tout le monde en prend pour son grade avec monsieur Cohen. Il arrête de parler dans sa petite boite noire pour essayer de comprendre ce qu’il se passe, mais sans les commentaires, il ne peut que s’imaginer. Et l’imagination ce n’est pas ce qu’on lui demande. Il se décide de faire appel à la personne à côté de lui. « Désolé mais ils en sont où ? »
Dernière édition par Johanne A. Baker le Mer 9 Oct - 17:45, édité 4 fois
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 12:01
Well... It's my story...
J'ai écris une lettre ...
Ma tête est un vrai bordel. Enfin, je devrais dire était. Je ne me souviens pas vraiment du jour où je suis arrivée ici. En faite, quand je réfléchis, je ne sais même pas comment je suis arrivée ici, ni même ce que j’étais ou ce qu’on m’a fait avant. Enfin, je crois bien que je ne veux pas m’en souvenir, et qu’il y a bien une raison si quand je m’imagine avant le centre, j’ai un grand trou noir. C’est surement mieux ainsi. En faite, c’est mieux ainsi. Ici, on m’a souvent dit, ce que tu ne sais pas, ne te peux pas te faire de mal. Et c’est bien vrai, j’en suis à présent convaincue.
Aussi loin que je m’en souvienne, mon premier souvenir clair n’est pas très commun. A moins que ce soit le cas, et que je me suis simplement faite une illusion, comme j’avais l’illusion d’une vie d’avant. En fait, le premier souvenir que j’ai gardé s’est passé au centre. J’étais dans ma chambre, je me souviens plus de la fille avec qui je la partageais, mais je me souviens qu’un soir, lors du coucher, je me souviens avoir regardé mes chaussons blancs, m’être demandée plusieurs fois comment aller être la nuit. Et puis, je me suis plongée dans ces draps blancs, j’ai posé sa tête dans l’oreiller un peu dur, j’ai regardé le plafond. Le surveillant de nuit est passé, il a dit celle à qui je partageais la chambre d’arrêter de chanter, il a éteint la lumière et nous a dit de nous endormir. Et quand j’ai fermé les yeux, j’ai dormi. Vous allez surement sourire ou alors vous posez des questions quand vous lirez ceux-ci, mais je me sentais bien, je n’étais pas envahie par toutes ces choses qui me dépassent. J’ai compris ce jour là que pour vivre sans me compliquer la vie, en appliquant simplement ce que vous demandiez ce que je fasse. Et c’est à partir de ce moment là que j’ai tout mis en œuvre pour aller mieux. Je ne me souviens pas de comment j’étais avant, mais je sais que maintenant plus rien ne m’obsède.
Je me souviens également d’un soir où Alexia nous a raconter cette histoire l’après midi durant l’atelier détente. Elle racontait l’histoire d’une jeune femme qui se posait trop de question et à force d’avoir trop posé de questions, elle s’était perdue et était morte. Nous avons parlé avec Alexia, longtemps. Je me suis permise de lui demander comment ça se faisait que je ne me rappelais de rien avant mon arrivé au centre. C’est elle qui m’a raconté comment j’étais le jour où je suis arrivée. Visiblement, j’étais très troublée, je n’avais aucun repères, je me sentais menacée par la moindre chose qui m’entourait.
C’est ce soir là où je me souviens de ma première crise. Après qu’Alexia m’ait dit ça, je suis rentrée sur le groupe, c’était l’heure du goûter. Nous avions du pain et de la confiture. Mais c’était de la confiture de mûres, je détestai les mûres, et personne ne m’a dit ce que c’était. Quand j’en ai mangé, des millions de voix se sont élevé dans ma tête. Il y en avait tellement, elles étaient toutes si effrayantes que je m’étais dit qu’en écouter seulement une seule, serait surement la bonne, celle que je devais écouter. La première était sifflante, comme quelqu’un qui vous murmure à l’oreille. Elle m’expliquait qu’on avait tenté de me tuer en m’obligeant à manger cette confiture, que personne pour moi ne pouvait m’aider dans ce centre et que je ferais mieux de tuer tout le monde avant que tout le monde ne me tue. J’ai cru que c’était une voix qui devait m’apaiser, je l’ai écouté, je l’ai laissé s’emparer de moi, et la colère est montée, la rage a explosé, j’ai frappé, j’ai hurlé. Je crois bien qu’à ce moment là j’étais comme possédée. Quand j’ai compris que cette voix n’était pas une voix qui me voulait du bien j’ai essayé d’en écouter une autre. Celle-ci était beaucoup plus aigue, presque angoissée, elle m’expliquait que toute ma vie, toutes ces personnes seraient dans ma tête quoi que je fasse et quoi qu’il arrive dans ma vie. Plus vite, je me rendrais compte de cette réalité, plus vite je serais capable de faire ce qu’il y a à faire pour le bien de toutes les personnes qui m’apprécient. Et dire que j’ai faillit me jeter de la fenêtre de ma chambre. Quand j’y repense, je pense que je ne vous serai jamais assez reconnaissante de m’avoir sauvé ce jour là.
Ces voix ne font plus parti de moi grâce au traitement que vous m’avez administré. J’arrive à vivre sans cette peur d’écouter une voix qui m’incitera que trop fortement à faire de mauvais choix pour moi-même. Cet événement s’est produit il y a quatre ans et je sais que j’ai grandement évolué depuis ce temps. C’est pourquoi j’ai décidé de vous écrire cette lettre docteur pour vous demander s’il serait possible de rejoindre le monde extérieur.
Aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours vécu dans les murs de ce centre, j’y ai appris beaucoup et je vous dois beaucoup j’en suis certaine. J’ai vu beaucoup de monde partir d’ici pour rejoindre l’unité un. J’ai compris que cette unité est celle des personnes qui ne partiront jamais. Vous avez fait des miracles avec moi, et j’ai conscience d’être extrêmement chanceuse. Je n’ai connu qu’une seule personne qui est sortie dans le monde extérieure, au-delà de la grande clôture, et j’aimerai avoir cette opportunité également. Je sais bien que nous sommes très rares à avoir la chance un jour de pouvoir vivre sans vous, mais je me sens prête et j’ai préparé de nombreux argument.
Mon traitement, je le prends à la lettre, à la minute près, je n’aimerai pas revivre les événements où la folie s’empare de moi, et toutes ces voix me font perdre pied. Cela fait si longtemps que je ne les ai pas entendus et il serait facile pour moi de faire comme si elles n’avaient jamais existé. Mais les oublier serait une terrible erreur, peut être même pire que d’oublier de prendre mont traitement. Car si je l’oublie, je pourrai être tenté de ne plus le reprendre. Je sais dans quel état je suis, à quel point je n’ai plus le contrôle sur mes actions, et pour que plus jamais ça ne se reproduise, il faut que je garde ce que j’ai en tête. Dieu m’a fait imparfaite, mais ce n’est pas parce que Dieu a des desseins différents des miens que je dois me conformer à être incarner par la folie. Je veux me fondre dans la masse, et je mettrais toute ma vie tout en œuvre pour être la plus ordinaire possible.
C’est pourquoi, j’aimerai sincèrement que vous me permettiez, Docteur, de prendre part au grand théâtre de la réalité et que vous me donniez une identité. J’aimerai être quelqu’un.
Voici la lettre que Johanne a pensé écrire durant ces longs mois de coma. Pour mieux comprendre, je vous propose de vous raconter la vraie histoire de Johanne, celle qu’elle-même ne connait pas.
Avant cela, j'étais ...
Cette jeune femme qui pense avoir écrit une lettre a une histoire et surtout une identité. Elle s’appelle Johanne, prénom qu’elle a hérité de sa grand-mère d’origine belge. Ses parents ont toujours été aimants avec elle. Cette petite fille était désirée et attendue. La première et la seule des enfants du couple. Ils avaient eu un peu de mal à l’avoir, mais ils n’avaient pas pour autant fait appel à une aide médicale, seul l’espoir leur avait permis d’avoir cette petite fille. Les parents de Johanne sont des gens honnêtes, des croyants. La mère est dentiste, elle travaille à mi temps car elle préférait s’occuper de sa fille que des dents de patients qui les négligent. Son père est aviateur dans l’armée. Les parents de la demoiselle n’étaient pas mariés, mais ils vivaient ensemble depuis longtemps et s’aimaient depuis encore plus longtemps. Quand on voit cette famille, on se dit qu’il n’y a rien de plus ordinaire qu’eux. Et c’est le cas. Du moins, c’était le cas jusqu’à ce que Johanne grandisse. L’enfance de la petite Baker Simons se passa sans problème. Assez bonne élève en école primaire, elle était conciliante et ne posait pas plus de problème que cela.
Bien évidement, chaque histoire a une fin et celle d’une Johanne qui ne pose pas de problème se termina. Plus la jeune demoiselle prenait de l’âge, et plus son comportement posait question. Elle s’isolait beaucoup. Ses instituteurs étaient tous d’accord pour dire qu’elle avait tendance à éviter d’être en présence des autres. Durant les récréations, elle jouait seule et parfois était même prise à parler seule avec des amis imaginaires. En classe, quand des travaux étaient en groupe, elle ne s’investissait pas, et se laissait marcher sur les pieds. Rapidement, on lui avait collé l’étiquette d’une solitaire. Cette étiquette la suivra pendant une paire d’année. En faite, jusqu’à ce qu’elle intègre le lycée. C’est à ce moment là que tout bascula et qu’elle en oublia même qui elle était.
Seule, souvent au lycée, elle rentrait un soir de l’école en faisant le chemin à pied. La ville de Washington n’était pas particulièrement la plus délinquante, et elle connaissait très bien le chemin. Ce soir là, elle avait finit tard les cours, c’était l’hiver, et seuls les réverbères éclairaient le chemin. Il y avait peu de passage, la pluie avait dissuadé les courageux de sortir. Seuls la nécessité obligeait les gens à sortir. Et Johanne fit un beau bout de chemin avant de rencontrer le premier moteur. Elle n’avait pas de parapluie alors son pas était rapide. Une voiture est passée près d’elle et a ralentit pour être à sa vitesse, la vitre s’est baissée et un homme d’une vingtaine d’année est apparu. La lycéenne a continué à allonger le pas et l’a ignoré comme elle ignorait beaucoup de monde. Son manège marchait très bien jusqu’à ce que l’homme l’ait appelé par son prénom. Décontenancée, elle s’est arrêtée et a vu l’homme qui allait changer sa vie du tout au tout.
Et j'ai voulu oublier ...
Il n’était pas moche. On aurait même pu dire le contraire. A peine l’avait elle regarder, qu’une voix vient lui susurrer à l’oreille qu’elle peut lui faire confiance. Les gens avec des mauvaises intentions n’étaient pas beaux. Or, lui l’était. Et puisque la voix lui avait dit, elle s’était approchée. Il racontait qu’il ne trouvait pas le chemin. Etrangement, la voix avait décidé que Johanne pouvait faire confiance aveugle en l’inconnu. Et c’est ce qu’elle a fait. C’est même elle-même qui s’est proposé à monter dans la voiture. La voiture était elle, il n’arrivait que des belles histoires dans les belles voitures lui avait confirmé cette même voix. De fil en aiguille, on lui avait expliqué qu’il était normal qu’un inconnu mette sa main sur sa cuisse, qu’il se montre insistant sur le fait de la remonter pendant qu’il conduisait. Elle n’avait pas réagit, trop en confiance avec la voix qui la berçait d’illusions. Elle était dans une belle voiture, avec un bel homme, rien ne pouvait lui arriver. Du moins, rien de mal. Johanne observe la route à travers les carreaux teintés de la voiture. Personne ne la voit, mais elle voit toutes les personnes sous leur parapluie qui sont à des lieux d’imaginer que la vie de Johanne Andrea Baker Simons allait prendre un tournant décisif.
Elle a comprit bien trop tard qu’elle n’allait pas rentrer chez elle, et que ce carrosse ne l’emmenait pas dans un château, qu’elle ne serait pas une princesse. Il s’est arrêté au pied d’un immeuble sombre. Là, l’attendait une bande de jeunes de son âge, beaucoup moins intéressant physiquement mais tout aussi louche. Une autre voix s’est lovée au creux de son oreille. Elle était tout aussi malveillante que la première. Celle-ci lui a dit que si elle se laissait faire maintenant, plus jamais on ne viendrait l’embêter et qu’elle ne sentirait pas ce qu’on allait lui faire. Elle l’a écouté, mais les pires sévices ont été faits sur son corps de jeune demoiselle. Tous ses sens avaient été en alerte. Elle a essayé de tout couper, mais une autre fois plus forte lui avait demandé de résister. Elle a résisté, et a été témoin de son pire cauchemar. Et puis ça avait été la coupure, le noir. Plus rien, c’est à ce moment là que tout s’est arrêté et qu’elle a tout oublié.
J'ai oublié ...
La police a retrouvé son corps trois semaines plus tard. Les journaux ont relaté son histoire. L’histoire d’une lycéenne qui avait été victime d’un viol en réunion et de multiples tortures. Certains journaux se contentaient de rester dans le factuel, en expliquant le nombre de brûlures de cigarette, la sous-nutrition, le traumatisme d’un enfermement et d’avoir été retrouvé sur un trottoir sans vêtement. D’autres préféraient relater les problèmes psychologiques pouvaient avoir ses ravisseurs. On parlait de traumatismes dans leur relation à leur mère. Ces journaux étaient d’accord pour trouver des excuses mais pas pour les pardonner. Parfois, dans certains journaux on pouvait lire des articles se demandant ce que faisait la police quand la demoiselle a disparu, pourquoi ont-ils prit autant de temps avant de retrouver son corps alors que ses parents avaient immédiatement signalé son retard et sa disparition.
Et puis, il y avait un journal qui s’est intéressé à savoir comment la jeune et jolie Johanne avait fait pour ne pas alarmer lors de son kidnapping. La rue qu’elle empruntait était une rue où beaucoup de monde vivait et ou certaines personnes épiaient leur voisin avec plaisir. Forcement, si une jeune lycéenne avait hurlé, des personnes l’auraient vu. Le journaliste a monté sa petite enquête et a pu rencontrer une de ces habitantes qui se souvient d’avoir vu la jeune fille marcher sous la pluie et une voiture noire s’approcher d’elle. C’est comme cela que le journaliste avait appris que Johanne était montée volontairement dans cette voiture. Rapidement, d’autres torchons ont décidé de relayer l’information. Plusieurs journalistes se sont penchés sur le pourquoi elle était montée si facilement dans le véhicule. Ils ont creusé dans le passé de la jeune Johanne : elle qui était si bonne élève comment avait elle pu faire cela. Et quand on creuse avec acharnement on trouve.
Des personnes se sont mises à parler du fait que Johanne était une solitaire, pas méchante mais très malléable. Un de ses professeurs l’a même comparé à de la pâte à modeler. Des personnes qui étaient plus proche de la jeune ont même parlé que parfois elle avait des absences. Ce fut la voisine qui lâcha la plus grosse information : elle affirmait avoir déjà entendu la jeune toute seule en changeant de ton. Quand elle l’avait vu, elle avait eu froid dans le dos car elle en était arrivée à la conclusion que la belle Johanne entendait des voix, voix qui avait de l’influence sur sa façon de parler. Les parents qui savaient bien que leur bébé n’était pas comme toutes les autres l’avaient toujours protégé de cette maladie, mais malgré le faux prétexte pour qu’elle prenne un traitement, celui-ci n’avait pas été assez efficace. Les parents ont été dévastés quand ils ont découvert qu’ils étaient responsables pour les horreurs qui étaient arrivé à leur fille. Ils ont mis tout leur argent de côté pour trouver une réponse médicale au rétablissement de leur fille : autant mentalement que physiquement.
J'ai du tout réinventer ...
En recherchant, ils ont trouvé un centre qui préconisait des séjours de rupture comatique. Pendant plusieurs mois, on plongeait le patient dans un coma afin que son corps ait le temps de se rétablir des blessures et que la douleur soit plus supportable. Pour l’éloigner au maximum de la folie de ce fait divers, Johanne est partie en Corée pendant son coma. Coma qui dura quatre mois.
La clinique dans laquelle Johanne a été placée est connue en Corée pour travailler sur le rétablissement de sujet ayant vécu des traumatismes. Rien d’avant-gardiste cependant. Ils n’ont rien fait de particulier à la jeune femme durant son séjour. Ils n’ont simplement pas réajusté son traitement et certains infirmiers n’étant pas habitué à ce genre de médicament ont parfois raté plusieurs jour de lui administrer. Résultat, au lieu que son cerveau se repose pour mieux guérir ces multiples blessures, il livrait un combat entre toutes les voix dans son esprit. Et des voix, il y en avait énormément.
La plus fréquente était Candy. Johanne l’avait surnommé ainsi car c’était la première à être apparue. Jeune fille, Johanne jouait avec Candy, ses parents ont d’abord cru à une amie imaginaire comme beaucoup d’autres enfants. Candy avait des aspirations d’enfant. Elle n’était que pure innocente et voyait le monde entouré d’un voile blanc. C’est surement la plus dangereuse, elle est joueuse et n’a peur que des insectes et autres petites bébêtes. Elle entrainerait Johanne à faire de nombreuses choses dont elle n’aurait pas forcement envie.
Parmi ces voix, il y a aussi Athena. C’est Johanne qui l’a nommé ainsi en l’honneur de la déesse grecque. Pour mademoiselle Baker, c’est celle qui est de meilleurs conseils. Alors que Johanne a tendance à se replier sur elle-même, et ne pas aller vers les autres, Athena l’aide à réfléchir. La déesse lui incite souvent d’aller vers les autres. C’est surement la seule qui n’aimerait ne pas exister et qui ferait tout pour que Johanne prenne son traitement. Elle ne veut que du bien à Johanne mais doit lutté contre toutes les autres voix pour se faire entendre et ce n’est pas chose facile.
Il y a aussi Emily qui est fatiguée de tout qui incite Johanne à ne rien faire, qui manque totalement de motivation. Elle déteste les autres et ferait tout pour que la jeune Johanne finisse sa vie seule entourée de personne. Grand paradoxe, quand Johanne est toute seule, Emily souhaiterait que Johanne mette fin à sa vie car être seule est trop déprimant. C’est souvent elle qui l’incite à commettre l’irréparable. Bien souvent, la voix d’Emily est fatiguée et ne cherche pas à s’exprimer. Elle est présente quand aucune des autres voix n’a rien à dire.
Il y a Katie également. Celle-ci, c’est la pire. Avec elle, tout n’est que destruction et massacre. Elle prend du plaisir à souffrir, ou plutôt à faire souffrir la jeune Johanne. Elle déteste tout, et n’apprécie rien. Elle dit souvent à Johanne que tout n’est qu’agression. Elle réveille en Johanne des envies de violence. Katie est celle qui a le plus de caractère et qui parle le plus souvent à Johanne. Même si elle n’aimerait pas l’écouter, la jeune femme se laisse souvent influencer par cette voix.
Et enfin, il y a Dave. La seule voix masculine qui revient le plus souvent. Dave est étrange, Johanne fait de son mieux pour ne pas l’écouter mais il réveille chez elle les plus bats instincts. Au début, Johanne pensait que c’était Dave qui lui faisait aimer les femmes. Maintenant, elle ne sait plus, mais c’est lui qui lui met plein d’idées étrangement lubriques dans son esprit.
Et il y a plein d’autres voix qui ne viennent pas assez souvent pour avoir le droit d’avoir un prénom. Toutes ces voix se sont affronter durant les quatre mois de coma de Johanne, ils lui ont fait croire que sa vie n’était qu’une fiction, que le nom qu’on lui avait donné, ses parents étaient des noms qui ne lui appartiennent pas, qu’elle devrait jouer les apprécier. Pour se protéger, elle a promis de ne plus écouter les voix, et de coller au mieux à la nouvelle identité qui lui aura été donné. Quand Johanne se réveille, elle n’est plus la même.
Et maintenant, j'essaye ...
Johanne a 18 ans quand elle vient vivre à New York. Ses parents vivent avec elle. A présent, elle sait qu’elle a été malade, même si elle ne croit pas la vraie histoire que ses parents lui ont racontée. Son traitement lui permet de ne plus entendre des voix, mais il ne lui a pas permis de comprendre que ses parents ne lui mentaient pas. Elle n’a pas pu reprendre ses études, car elle avait prit trop de retard. Néanmoins, elle s’est inscrite à des cours par correspondance. Elle a d’abord étudié l’anglais, mais ça ne l’a plus intéressé. Puis, elle s’est essayée à l’histoire mais elle a arrêté. Sa mère voulait qu’elle reprenne son cabinet, mais elle n’en avait pas d’envie. Johanne n’avait plus d’appétence pour les apprentissages et a donc travaillé dans des emplois non gratifiants.
Elle n’entend plus ces voix, même si quand elle dort elle aimerait bien les revoir. Elle n’a rien d’excitant dans sa vie, n’a aucune passion et a beaucoup de mal à se projeter. Selon les médecins, ce serait parce que sa production de dopamine est diminuée. Ses parents ont essayé de l’ouvrir un peu à tout. Ils l’ont inscrite à des cours de piano, de peinture, de français, … Sans résultat, Johanne n’avait envie de rien et restait une éternelle passive de sa vie. Pour lui donner un coup de pouce dans la vie, ses parents ont décidé, lors de son anniversaire de sa majorité, de la laisser se débrouiller par elle-même et d’arrêter de la couver. Résultat : Johanne a eu un tout petit appartement lui donne $650 pour l’aider par mois et doit se débrouiller le restant. La vie à New York n’est pas donnée.
Et après quelques mois de galère, Johanne a trouvé un moyen de vivre en ayant le minimum de contact avec son environnement extérieur. Elle travaille sur internet, fait ses courses par internet et sort très peu de chez elle. Ses parents ont découvert cela, et ont décidé de frapper fort. Johanne n’a plus aucune rentrée d’argent, et son père s’est arrangé avec un des informaticiens dans l’armée pour qu’elle n’ait plus un accès à internet. Ses connaissances sont faibles et elle n’a toujours pas trouvé de moyen de palier à cela. Du coup, elle sort de plus en plus.
En résumé ...
Johanne est schizophrène. Malgré un traitement depuis adolescente, il lui arrive d’entendre des voix. Ses parents ont fait de leur mieux pour palier la maladie de leur fille, mais alors qu’elle était au lycée, elle a été victime d’un viol en réunion. Elle fut laisser pour morte, et ne fut retrouver qu’une quinzaine de jours plus tard dans les rues, comme une sauvage. Blessée, elle fut plongée dans le coma pour réparer son corps. Quand, elle se réveilla, Johanne était persuadée que tout ce qu’on lui a raconté sur son histoire avait été inventé parce qu’elle a vécu dans un camp pour fou et qu’elle avait pu sortir pour son bon comportement. Elle n’entend plus les voix, mais ne sort que peu. Ses parents pour lui donner un coup de fouet, ont décidé d’envoyer leur fille à sa majorité à New York pour qu’elle apprenne à se débrouiller par elle-même et à avoir des envies.
A New York, Johanne s’est enfermée dans son appartement, investissant son peu d’argent dans un ordinateur pour que ses besoins viennent à elle et non elle qui parte à la recherche de ses besoins. Ses parents ont de nouveau découvert la supercherie. Du coup, ils ne donnent plus d’argent à leur fille, et ont coupé son accès à internet. Johanne n’a plus de choix : elle doit prendre part à la foule de New York, et cela va passer par changer d’appartement et se trouver un travail.
Dernière édition par Johanne A. Baker le Lun 7 Oct - 11:23, édité 7 fois
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 12:15
Bienvenue a toi, et bon courage pour terminer ta fichounette
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 12:19
Bienvenue
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 12:30
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
Elsa J. Shadow
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◊ It's a new dawn, it's a new day, it's a new life
Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 13:00
Aaaaah mais c'est Cohen/Venturi
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 13:01
Je me disais aussi, avec ce smiley & cette façon de m'appeler par mon nom de famille c'est quelqu'un de connu Vilaine
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 13:04
REEE
Katerina M. Lehtonen
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 14:43
bienvenue chez nous !
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 15:33
re-re-bienvenue
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 15:36
Elsa E. Ducret a écrit:
Aaaaah mais c'est Cohen/Venturi
Bien deviné, vous avez été trop rapide pour me souhaiter la bienvenue que je n'ai pas eu le temps de répondre aux petites cases pour vous laisser des indices
Dylan L. James-Cooper a écrit:
Je me disais aussi, avec ce smiley & cette façon de m'appeler par mon nom de famille c'est quelqu'un de connu Vilaine
Que veux tu, ce smiley & moi c'est tout une histoire d'amour.
Nate E. Helstrom a écrit:
REEE
Merci
Katerina M. Lehtonen a écrit:
bienvenue chez nous !
Oh yeah tu as sorti ta plus belle Merci.
Ondine L. Casanueva a écrit:
re-re-bienvenue
:heh:Merci ma jolie
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 17:50
Bienvenue parmi nous Ta célébrité me dit quelque chose Elle est très jolie
EDIT: J'avais pas vu que tu étais un TC XD Et je l'ai vu dans Marvel's Agents of S.H.I.E.L.D.
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 18:10
Rebienvenue
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 18:23
rebienvenue a toi tu connais la maison bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 18:56
Un troisième cooooompte Bienvenue dans le monde des schizophrènes acharnés Bon courage pour cette nouvelle fiche
btw, j'adore le choix du groupe, l'avatar, le pseudo et l'orientation sexuelle
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 18:58
Bienvenue sur le forum.
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 19:10
Caleb A. Hemsworth a écrit:
Bienvenue parmi nous Ta célébrité me dit quelque chose Elle est très jolie
EDIT: :maiseuh:J'avais pas vu que tu étais un TC XD Et je l'ai vu dans Marvel's Agents of S.H.I.E.L.D.
Je vois que je n'ai plus de secrets pour toi Merci
Mike D. Spencer a écrit:
Rebienvenue
Merci
Timothy A. Rosenfield a écrit:
rebienvenue a toi :siffle:tu connais la maison :siffle:bon courage pour ta fiche
Je te remercie
Ethan R.J. Blackson a écrit:
Un troisième cooooompte Bienvenue dans le monde des schizophrènes acharnés Bon courage pour cette nouvelle fiche
btw, j'adore le choix du groupe, l'avatar, le pseudo et l'orientation sexuelle
Ouais, c'était le but de ma vie mais je reste jeune dans ce monde de fou Contente qu'elle te plaise pour l'instant Zu'
Hope A. Roseberry a écrit:
Bienvenue sur le forum.
Merci Queen Hope
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 19:14
Oh je n'avais pas vu que tu étais un TC, non plus. DEVOU / ZACHOU. Welcome back, quelle activité, seigneur. Queen Hope ? J'aime.
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 21:20
soulmate de rp j'aime bien comme petit surnom donc je te baptise ainsi anyway je ne te file pas le blabla habituel tu es chez toi ici bon courage pour ta fiche j'ai lu le premier paragraphe de l'histoire je m'attarderai sur le reste plus tard
Sebastian E. Black
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Dim 6 Oct - 21:39
Re-bienvenue
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Lun 7 Oct - 0:55
Bienvenue jolie demoiselle
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Lun 7 Oct - 1:04
Bienvenue chez les fous
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Sujet: Re: JAB : "Still Into Me" Lun 7 Oct - 10:37
Hope A. Roseberry a écrit:
Oh je n'avais pas vu que tu étais un TC, non plus. DEVOU / ZACHOU. :cutie:Welcome back, quelle activité, seigneur. Queen Hope ? J'aime.
Oh yeah, et puis question activité tu es pas mal non plus
Serena L. Douglas a écrit:
soulmate de rp j'aime bien comme petit surnom donc je te baptise ainsi anyway je ne te file pas le blabla habituel tu es chez toi ici bon courage pour ta fiche :kisss:j'ai lu le premier paragraphe de l'histoire :like:je m'attarderai sur le reste plus tard
Oh yeah soulmate de RP Ca me fait tellement plaisir