55 ans → Née à New York le 06/07/1958 → Peintre, photographe et scénographe. Célibataire → Bisexuelle, mais nettement plus attirée par les hommes. → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Dianne, surnommée aussi Lady Di ou Didi par son entourage proche, est âgée de 55 ans. S’il fut un temps où elle craignait vieillir, elle assume aujourd’hui pleinement et sereinement sa cinquantaine. Sans être, en soi, la plus belle des femmes, il faut reconnaître que Dianne a malgré tout des traits harmonieux. À dire vrai, elle ne fait pas toujours tout à fait son âge. On pourrait facilement lui donner 5 années de moins. Ni grande, ni petite, ni trop mince, ni trop en chair, elle a une taille des plus normales et ne fait rien de particulier pour garder la forme. Elle veille à une alimentation saine et court son 2 kilomètres tous les jours, mais sans plus.
Ses origines lui ont donné une physionomie du visage quelque peu soviétique. Elle a les cheveux blonds et le teint pâle, typiques de ses origines allemandes. Son nez, imparfait, lui a souvent donné des complexes. Ce nez, elle a toujours déclamé avec hargne qu’elle l’avait hérité de son père. « Cette énorme protubérance dans le milieu du visage ne me sert à rien, sinon de m’enlaidir », disait-elle à l’adolescence. Ce nez, elle a fini par l’accepter et à lui trouver un certain charme.
Depuis toujours, Dianne porte les cheveux mi-longs. Tantôt attachée, tantôt retombant en cascade dans son dos, elle prétexte souvent qu’elle ne sait pas quoi faire de sa tignasse. Allez savoir comment elle arrive à coiffer ses cheveux sans avoir l’air d’un épouvantail ! Disons simplement que le "don" de se coiffer ne lui est pas inné. Elle fait comme peut avec ce qu'elle a.
Tantôt bohème, tantôt décontractée, tantôt sexy ou juste elle-même, Dianne varie les styles vestimentaires au gré des saisons et de ses humeurs. Le plus souvent du temps, lorsqu’elle peint, on la voit vêtue de vêtements amples et confortables. Elle troque ses jeans et ses chemisiers de lin pour des tenues plus classiques lorsqu’elle rencontre des clients. Dianne n’est pas le genre de femmes à suivre les tendances. Elle n’a aucune règle, sinon d’être confortable et bien vêtue.
Peu dépensière, Dianne a un petit côté zen qu’elle assume en s’alimentant de produits biologiques et en cultivant ses propres légumes. Elle n’a rien, cependant, d’une hippie excentrique. Elle se fond parfaitement à la masse, sans être clinquante ou superficielle.
★Quel est le caractère de ton personnage?
Dianna est connue pour son charme. Un charme qui ne tient pas de la beauté, certes, mais un charisme intérieur à la fois indéfinissable et séduisant. Depuis toute petite, elle attire à elle les gens. Les jeunes, comme les plus âgés. Elle a toujours eu cette facilité à entrer en contact avec autrui. Avoir choisi la politique, elle aurait sûrement réussi à s’allier des partisans. Enfant, on la trouvait tout simplement adorable. Elle était pétillante, vive, serviable et docile. À l’adolescence, sans être un canon de la beauté, elle avait une popularité à en faire rager les « reines » du collège. Elle était une amie sur qui on pouvait compter, l’épaule sur qui on pouvait se reposer. Au début de l’âge adulte, elle a succédé les conquêtes amoureuses. Elle a toujours eu un franc succès, tant chez les hommes que les femmes. Dianne possède incontestablement ce petit quelque chose, une profondeur d’âme, de bienveillance et de sympathie qui fait qu’on a envie d’être avec elle, d’apprendre à la connaître, de s’en faire une amie.
Si elle se montre intéressée par autrui, elle reste quelque peu indifférente au domaine matériel et aux signes extérieurs de richesse. Elle a toujours prétendu que la vraie richesse de quelqu’un ne se trouve pas dans ses bijoux ou dans son portefeuille, mais dans son cœur et l’essence de son âme.
Bavarde et spontanée, la quinquagénaire est une véritable boule d’énergie. Rien ne l’arrête ! Son besoin de parler et de s’entourer de gens vient avant celui de se nourrir, de se reposer. Capable de se coucher au petit matin pour se lever après 4 ou 5 heures de sommeil, c’est souvent à se demander d’où elle arrive à puiser ses forces. Véritable girouette (ou pieuvre), elle peut entreprendre des millions de projets tout à la fois, sans toutefois amoindrir la qualité de l’un ou l’autre de ses projets. Elle se donne à 100% dans tout ce qu’elle entreprend. À l’époque de son mariage, elle arrivait à tout concilier : sa vie de femme, sa vie d’épouse, sa vie de mère et sa vie d’artistes. Hyperactive ? Sans l’ombre d’un doute. C’est peut-être pour cette raison que son mariage n’a pas tenu la route. Lui voulait de la tranquillité, elle voulait bouger. Disons simplement qu’elle a toujours vécu une octave en dessous ou au-dessus des autres, selon son rythme.
Artiste dans l’âme, Dianne est une rêveuse et une optimiste. Elle cherche constamment à trouver la parcelle de beauté, même dans ce qui est fondamentalement laid. Ce trait de caractère est d’ailleurs l’un des fils conducteurs de son travail d’artiste. Naïve, direz-vous ? Non. Elle préfère se qualifier d’idéaliste.
Dotée d’une grande sensibilité, Dianne est non seulement une émotive, mais une extrémiste. Paradoxalement, pour une artiste, ce n’est pas gris. C’est blanc ou noir. Son humeur étant fluctuante, elle est capable de la plus grande des douceurs, mais aussi des pires méchancetés. Si quelque chose l’irrite, l’embête ou l’agace, elle changera alors du tout au tout. N’aimant ni l’injustice, ni les faux-semblants, elle est capable de colères violentes et rancunières. Il lui arrive parfois d’être très franche et directe… voire trop !
Bien que réceptive à son environnement, elle n’ouvre pas ses bras et son cœur aussi facilement qu’on le croit. D’une part, elle aime bien laisser planer un certain mystère autour d’elle. En amour comme en amitié, elle demande beaucoup de preuve d’affection. Les paroles valent bien peu pour elle. Ce qui lui faut, c’est de l’action, du concret.
Forte d’instinct maternel, elle préfère donner plutôt que de recevoir. Dianne est une femme des plus orgueilleuses. Elle refuse obstinément l’aide d’autrui et préfère de loin montrer qu’elle est capable de se débrouiller toute seule. C’est ainsi dans toutes les sphères de sa vie, tant personnelle que professionnelle. Il ne faut surtout pas chercher à contester ses capacités. Elle deviendra agressive et plus orgueilleuse encore. Par contre, si elle vient à constater qu’elle est incapable de faire quelque chose d’elle-même, elle reprochera alors involontairement à son entourage d’avoir été indifférent ou de ne pas avoir réussi à la convaincre de l’aider.
Femme complexe, Dianne est à la fois fragile et solide comme un roc. À la fois aimante et impénétrable. Tantôt douce, tantôt venimeuse. Chose certaine, quand elle vous choisit pour ami ou pour amant, elle sera capable de tout pour vous.
Well... It's my story...
Fille de Ralph et d’Eleanor Adler, c’est à Manhattan, le 6 juin 1958, que nait Dianne. Elle est la première d’une fratrie de trois filles et de deux garçons. Entre 1962 et 1971 naîtront l’un après l’autre Susan (51 ans), Jake (48 ans) Lisa (45 ans) et Lawrence (42 ans). Ralph est médecin et Eleanor est femme au foyer lorsque la famille Adler quitte New York pour s’installer à la Nouvelle-Orléans. Ralph vient d’être muté dans un hôpital de Bâton-Rouge. Dianne n’est âgée que de 5 ans et Susan n’a qu’à peine quelques mois.
La famille Adler vit plus que confortablement dans une maison centenaire de type coloniale. C’est à la Nouvelle-Orléans que Dianne passera la majeure partie de son enfance et de son adolescence, entourée d’enfants noirs. D’aussi loin qu’elle se souvienne, elle se rappelle des randonnées à bicyclette, du bayou et des marécages, de la pêche et des parties de cache-cache dans les boisées. À cette époque, on s’amusait avec bien peu de choses. La vie à la Nouvelle-Orléans n’avait rien à voir avec New York. Il y avait une fraternité qui n’existait nulle part ailleurs. La Nouvelle-Orléans, c’était soul, c’était Jazz, c’était la culture afro-américaine. Si Ralph et son épouse, d’une certaine façon, ont toujours tenté d’éloigner leurs enfants de cette culture, Dianne, elle, a toujours voulu s’en rapprocher. La plupart de ses amis furent d’ailleurs afro-américains.
Dianne et sa fratrie font leur scolarité dans des collèges privés. C’est d’ailleurs à la St.Joseph’s Academy que Didi fera la rencontre d’amies qui le sont encore aujourd’hui.
En 1976, à l’âge de 18 ans, Dianne quitte à regret la Nouvelle-Orléans pour retourner à New York. Rebelle et fantaisiste dans l’âme et naturellement douée pour tout ce qui touche le dessin et la photographie, elle rêve de devenir artiste-peintre. Ralph n’est pas d’accord avec les choix de sa fille, d’autant plus qu’elle est la seule à avoir choisi cette branche. Pas de veine pour Monsieur Adler… Sa fille aînée ne s’est jamais prédestinée à une carrière en médecine. Elle n’avait ni les résultats, ni l’ambition pour le devenir.
C’est à l’Institut des beaux-arts, l’une des quatorze divisions de l’Université de New York, que Dianne entame sa formation universitaire. Elle fera 3 ans en peinture et en photographie avant de se diriger dans les arts de la scène avec le désir de devenir scénographe de spectacles et d’expositions.
Lors de sa dernière année d’université, Dianne fait la rencontre Kenneth Chamberlain, un jeune sculpteur de 10 ans son aîné. Ce n’est pas le coup de foudre, mais ils deviennent amis. Leur amitié se consolidera un an plus tard, lorsque tous les deux s’avoueront leur attirance respective. Ils se marient en 1982. De cette union naitront 3 enfants : Jacob (30 ans), Rebecca (28 ans) et Brianna (24 ans).
Dianne et sa famille semblent filer le parfait bonheur à l’exception d’une chose : c’est une mère présente, mais excentrique. Kenneth reproche d’ailleurs souvent à sa femme d’en faire trop, d’accepter trop de contrats. Dianne, elle, a besoin de liberté. Rapidement, le couple bat de l’aile. La mère de famille se sent comme dans emprisonné dans un carcan et cela nuit à son art. Elle profite d’un contrat scénique qui l’éloigne de sa famille pour faire le vide. Cette distance lui est bénéfique. À son retour, sa décision est prise. Elle quitte son mari en 2001, quelques mois avant les attentats qui décimeront les tours jumelles du World Trade Center. Jacob est majeur, il comprendra. Rebecca aussi. C’est pour Brianna que ce sera plus difficile. Cette dernière n’a jamais compris ce qui a poussé sa mère à les quitter.
Depuis 2001, Dianne vit sa vie d’artiste à 200 à l’heure. Libre comme l’air, elle mène sa vie au gré de son art et de ses passions du moment. Oiseau de nuit à ses heures, elle donne ainsi l’impression d’être replongée dans une éternelle adolescence. Si Kenneth a refait sa vie avec une autre femme, Dianne, elle, a succédé les relations avec non seulement des hommes, mais également des femmes. Si dans sa vie professionnelle Dianne semble épanouie, il en va tout autrement avec sa vie personnelle.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Julie, Juju ou Lily, 31 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Grâce à une pub sur Facebook ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope ★Présence sur le forum → 2 à 3 fois par semaine, davantage pendant les vacances. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Me, Myself and I
Mon exemple de RolePlay:
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Meredith F. Hamilton a écrit:
Un rendez-vous pour une bonne action
Oubliez ! Oubliez tout ce qu’on a pu vous dire du « métier » de First Lady. Que ceux et celles qui pensent à tort qu’être l’épouse du Président des États-Unis d’Amérique se résume à faire les boutiques escortée de ses gardes du corps ou à se prélasser toute la journée aillent se rhabiller! Être la première dame des États-Unis, c’est avoir un emploi du temps chargé ! Depuis qu’Aaron et elle avaient emménagé à la Maison Blanche voilà déjà quelques mois, Meredith travaillait sans relâche. En plus de devoir accompagner son mari dans divers événements publics, il lui fallait travailler à l’association de lutte contre le cancer de Washington. Il lui fallait aussi, en tant que « dame de la maison », voir au déroulement des réceptions données par le président. Rien ne pouvait être laissé au hasard. Ses moindres sorties, allant des plus personnelles aux plus officielles, étaient susceptibles de jouer en la faveur de son mari ou en défaveur de celui-ci.
Parmi toutes ses tâches, il en allait d’une qui lui tenait à cœur plus que les autres : son poste de directrice de l’association de lutte contre le cancer. Cette cause, elle ne l’avait pas choisie par hasard. Le cancer, elle l’avait vécu de très près, ayant elle-même été victime d’un cancer du sein. Le cancer, en était une « rescapée ». C’est ainsi qu’elle se qualifiait. Depuis qu’elle se savait en rémission, il ne se passait pas une journée sans qu’elle remercie sa bonne fortune. Elle avait eu de la chance et elle le savait. Voilà pourquoi à son tour elle voulait se battre. Se battre pour tous ceux et celles qui devront vivre, un jour ou l’autre, avec un diagnostic de cancer. Seule l’avancée de la médecine peut arriver à combattre ce fléau. Il est donc important non seulement de soutenir les malades et leurs proches, mais aussi d’amasser des fonds. Sans prétendre qu’elle était la meilleure des gestionnaires, il fallait toutefois reconnaître que Meredith avait un sens aigu pour les affaires. Elle arrivait toujours à obtenir ce qu’elle voulait, qu’il s’agisse d’argent ou de commanditaires. Elle roulait ainsi sa bosse, en épaulant les gens dans le besoin et en témoignant de ses propres expériences.
Ce matin-là, au petit déjeuner, un jeune homme vint à Meredith.
« Votre emploi du temps de la journée, Madame Hamilton. »
La première dame déposa sa tasse de thé, sourit au jeune homme et prit le document. Elle attrapa au passage ses lunettes qu’elle posa sur le bout de son nez.
"Il faudra ajouter Mark Montgomery au programme. Je dois le rencontrer à 10h30. Ce sera au salon rouge. Il faudra aussi déplacer ma visite à la Savoy Elementary School… J’ai un rendez-vous médical cet après-midi. Impossible d'être à l'école à 13h00. Il m'a semblé vous l’avoir dit hier…"
Le ton de la sexagénaire était à la fois calme et contrarié. C’était à donner de froid dans le dos. Cette femme était capable de toutes les douceurs, mais lorsque chose l’embêtait, elle n’hésitait pas à vous le faire savoir. Ce trait de caractère lui avait d’ailleurs valu le surnom « The Dragon Lady ».
"Bien entendu, Madame. La direction de l’école comprendra sûrement. Vous me voyez navrer de ma bêtise. B… Je reviens sitôt les corrections apportées."
Le jeune employé, qui en était visiblement à ses débuts, vu ses maladresses, eut tout de même droit à un second sourire de la première dame. Il s’éclipsa alors, la mine basse.
Meredith termina son petit déjeuner et retourna à sa chambre où elle rejoint Aaron qui s’apprêtait à partir en réunion. Ils s’embrassèrent comme à l’habitude avant de vaquer à leurs occupations respectives.
Vers 10h15, faisant claquer ses talons dans les couloirs de la Maison Blanche, Meredith se dirigea vers le salon rouge, un dossier entre les mains. On la salua au passage. La première dame se trouvait au salon, face à l’un des tableaux de la pièce, lorsqu’on lui annonça l’arrivée de Mark. Ce dernier fit son apparition dans le cadre de porte pendant que Meredith se retourna. Tandis que son invité s’avançait vers elle, elle lui sourit chaleureusement.
"Pas de « Madame » entre nous, Mark. Tu es l’ami de Thomas, après tout. Et puis ça me vieillit terriblement ! Alors… Qu’est-ce que je peux faire pour toi ?"
made by pandora.
Dernière édition par Dianne F. Adler le Ven 18 Oct - 0:18, édité 8 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Dianne Clarisse Adler Lun 14 Oct - 17:19
Contente de te voir officiellement ici, bienvenue donc sur NYCL, en espérant que tu t'y plaises! Meryl Streep quoi! <333
J'ai hâte de voir le reste de ta fiche!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Dianne Clarisse Adler Lun 14 Oct - 17:21
Choix d'avatar très intéressant! Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Dianne Clarisse Adler Lun 14 Oct - 17:21
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Dianne Clarisse Adler Lun 14 Oct - 17:24
Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Dianne Clarisse Adler Lun 14 Oct - 17:32
Merci à tous !
Elsa J. Shadow
Empire State of Mind
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