Sujet: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:06
FEAT. Lizzie Brocheré
Avalon Juliet Madère
26 ans → Née à Paris le 20/02/1987 → Thanatopractrice et Illustratrice de romans jeunesse. célibataire → Keudall'sexuelle → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → "Il y a les gens beaux et les jambons." Avalon est une fille naturelle. Chez elle pas de maquillage, de tralalas, de robes du soir. Une vraie madame tout le monde, passant inaperçue dans la masse. Son physique banal, ses yeux cernés de nuits souvent trop courtes et ses cheveux souvent incoiffables (ou simplement pas coiffés) à la coupe standard, d'un stupide châtain, fait d'elle une personne facilement oubliée. Plutôt petite - un mètre soixante-sept - elle ne brille ni par son élégance, ni par sa féminité. Si elle a de beaux yeux bleus et un sourire mignon, il est si rare qu'elle soit joviale que ce trait disparaît bien vite pour ne laisser qu'une personne terne.
Ni tatouage, ni piercing, ni couleurs flashys, Avalon n'a rien d'excentrique. Elle a des goûts simples, se fichant bien des "trucs de fille" comme les chaussure et les robes, les laissant volontiers aux autres. Elle déteste passer des heures dans la salle de bain et puis à quoi bon ? Les gens qu'elle voit toute la journée sont morts, de toute façon. Ce n'est pas le vieille madame Michu qui va critiquer ses cheveux décoiffés alors qu'elle même est un peu violette et n'a plus beaucoup de cheveux sur le caillou.
Avalon n'a d'original que son prénom à coucher dehors. Cependant, elle a une jolie voix, assez rauque, aux accents français très marqués. Elle ne se parfume pas souvent et sent plus souvent le tabac froid que le dernier Lolita Lempicka. Elle use et abuse de café et de la cigarette, ce qui n'aide pas à garder un teint de rose et une fraîcheur de pétale perlé de rosée.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Avalon est terne, grise et invisible. Si elle n'est pas idiote, elle n'est pas un prix Nobel de chimie, ni une oratrice hors pair. Elle à cependant un réel talent pour le dessin, bien qu'elle n'ai jamais pu l'exploiter avant des années. A présent illustratrice pour des romans jeunesse, elle met dans ses œuvres la couleur qu'il manque à sa vie.
Pas de petits copains, pas de sorties en boîtes, pas de cercle d'amis. Il n'y a que les morts dont elle s'occupent qui rythme ses journées et l'odeur du formol est un parfum plutôt tenace. Lorsqu'elle a besoin de parler, elle sait qu'aux moins eux seront muets... Comme des tombes. Avalon n'a pas d'humour, mais beaucoup de cynisme. Sa vie professionnelle ne laisse pas beaucoup de place pour des vivants. De toute façon elle a toujours eu du mal à aller vers les autres. D'une timidité maladive, elle bafouille et s'embrouille et finit plus souvent par se trouver idiote et niaise là où certains la trouverait maladroite et touchante. Peu à l'aise avec les gens, elle est d'une grande maladresse dans ses paroles, se montrant souvent trop franche. Craintive vis à vis des hommes, elle n'a jamais franchi le pas avec l'un d'eux, n'ayant eu qu'un seul amour dont elle n'arrive pas à se débarrasser du fantôme. Vierge, extra vierge même, comme l'huile d'olive, le contact physique la perturbe toujours et elle rechigne à laisser quelqu'un avoir des gestes tendres à son égard.
Consciencieuse, elle essaye toujours de tout bien faire, essayant de copier l'idéal des séries télévisées sans vraiment y arriver - elle n'est pas non plus bonne cuisinière. Mais malgré ses défauts, Avalon est d'une immense gentillesse. Si elle est timide et cynique, désabusée par une vie difficile, elle reste quelqu'un de profondément altruiste, d'une nature infiniment généreuse... Mais aussi d'une grande naïveté derrière sa carapace de solitaire endurcie.
"Avalon, c'est franchement un nom à coucher dehors. Je sais pas ce qu'a fumé ma mère avant ma naissance mais bon, je suppose qu'on s'y fait." Avalon est né en banlieue parisienne, dans une famille de la classe moyenne, d'une mère anglaise et d'un père français. Famille sans histoire dans toute sa splendeur, son enfance fut d'un banal à crever. Elle ne manqua pas d'affection, ne finit pas sur le trottoir ou battue et violée par un père alcoolique, chômeur, violent, repris de justice. Rayez la mention inutile. Elle n'eut pas spécialement d'anniversaire digne d'une petite princesse Disney avec un poney mais ne fut pas malheureuse pour autant. Timide, elle passait plus de temps le nez dans des bouquins et sans trop d'amis. Un ou deux, à part les gamins qui se moquaient d'elle parce qu'elle était une intello - ben oui, elle lisait des livres de plus de cinq cent pages, on est vite catalogué à cet âge et pour pas grand chose. Et puis on se moqua souvent de son prénom mais ça aussi, on s'y fait. Avalon n'avait pas beaucoup de confiance en elle, ni en les autres. Un peu farouche, plutôt garçon manqué, elle gardait toujours une porte blindée entre elle et les autres. Elle s'évadait dans son imagination, dans des dessins plus jolis que ceux des autres et dans les livres qu'elle dévorait. Elle avait un don pour le dessin, sachant sans trop de peine donner vie à des personnages et des animaux, tout en couleurs et en courbes douces. Sur le papier, la vie devenait du technicolor.
Cette drôle de fille pas très jolie, ni populaire, ni riche, fit son petit bout de chemin dans la vie. Elle aurait voulu devenir dessinatrice mais ses parents ne voulaient pas : ce n'est pas un vrai métier, il n'y a pas de débouchés. Alors elle ne fit jamais les beaux-arts dont elle avait rêvé. Son père travaillait pour une entreprise de pompes funèbres et elle y passa quelques fois pour des stages. Ce fut ce qu'elle choisit. Une très curieuse orientation pour une jeune fille de son âge. Elle s'était simplement rendu compte que les morts ne jugeaient pas, ne parlaient pas à tord et à travers. Et pour elle, apprêter les disparus pour leur dernier voyage était une manière d'aider les autres à faire leur deuil. Elle n'était pas la meilleure mais elle était sérieuse et appliquée et elle réussit son bac, avec encore moins d'amis depuis qu'on savait qu'elle voulait devenir thanatopractrice. Elle était "la fille bizarre" du fond de la classe, qui griffonnait toujours sur ses feuilles de cours et qui voulait travailler avec les morts. Tout ça était égal à Avalon. Elle se moquait bien d'avoir des amis, parler aux gens, s'ouvrir à eux, était trop compliqué. Elle n'avait pas envie d'être féminine, ou d'être comme tout le monde. Elle ne voulait pas d'un petit ami boutonneux aux hormones en ébullition. Elle voulait juste dessiner et faire son petit bonhomme de chemin.
Elle le rencontra lors de son apprentissage. Lui. Le bon. L'amour, avec un grand A. Ce n'était pas le plus beau, ni le plus intelligent. Mais ils s'étaient plu. Peter et elle ne couchèrent jamais ensemble, ils étaient tous les deux un peu semblables. Ils restèrent ensemble presque un an, baignant dans leur amour de grands enfants encore trop sages pour vraiment oser franchir le pas. Pour Avalon, il n'y en aurait pas d'autres. Pour Peter non plus. Une love story comme au cinéma au milieu de leur quotidien banal d'étudiants en thanatopraxie. L'amour fleurit parfois dans les endroits les plus inattendus et s'épanouit comme une fleur indisciplinée, même au milieu du carrelage aseptisé d'une morgue d'hôpital. Finalement, Avalon fut embauchée à la fin de sa formation par une entreprise de pompes funèbres parisienne. Il était question qu'elle parte de chez ses parents, à vingt-quatre ans, pour habiter avec Peter. Ils parlaient de mariage en blanc, de choses douces et romantiques.
Et puis un jour, sur la table de la morgue, ce ne fut pas un inconnu qu'il fallut préparer pour son enterrement. Peter reposait, pâle, les lèvres bleues, le corps abîmé par un stupide accident de voiture. Le truc idiot, que l'on ne voit jamais venir et qui vous fauche comme ça. Ce fut la première fois qu'Avalon avait les mains qui tremblaient pour maquiller le défunt. Ce fut la première fois qu'elle se mit à pleurer en habillant le corps sans vie de son petit ami. Sonnée, évoluant dans un brouillard indistinct, l'enterrement ne suffit pas à ensevelir sa peine et à refermer le couvercle de sa douleur comme on avait refermé le couvercle du cercueil. Avalon ne s'en remit pas. C'était elle qui avait insisté pour s'occuper du corps, mais la sensation de la peau glacée de son amoureux restait incrusté à la pulpe de ses doigts. Pourtant il fallait continuer, évoluer dans l'appartement où ils n'avaient vécu que deux mois ensemble, passer de lieux chargés de souvenirs en lieux chargés de souvenirs. Avalon se laissait dépérir, coincée entre insomnies, cafés-clopes et un deuil qu'elle n'arrivait pas à faire. Elle étouffait, se réveillant en sueur chaque nuits depuis qu'il était parti pour toujours.
Alors elle fit la seule chose qui lui semblait censé. A vingt-cinq ans, voilà cette petite souris grise qui s'envole pour le rêve américain, droit sur New-York. Elle avait appris à parler anglais grâce à sa mère depuis toute petite. Elle avait même trouvé du travail dans une autre entreprise de pompes funèbres et obtint sa green-card sans problèmes. Elle traversa l'Atlantique comme pour mettre le plus de distance possible entre sa tristesse et elle. Elle reprit sa vie monocorde, solitaire et secrète, enfermée dans ses souvenirs. Elle vit un psychiatre, qui la poussa à tenter de trouver un exutoire dans le dessin et à trouver un éditeur pour travailler comme illustratrice en free-lance. Elle avait tenté sans grande conviction mais elle fut retenue par des éditeurs jeunesse, son style rond et coloré trouvant son public. Des couleurs, de si jolies couleurs tendres, comme autant de baumes sur son cœur. Des couleurs pour pallier au blanc de sa salle de travail et des personnages amusants pour oublier les corps qui défilaient sous ses doigts comme autant d'inconnus familiers qu'elle préparait pour le dernier des voyages. Son psychiatre était content de ses progrès, mais il ne savait pas qu'elle continuait à ne pas dormir. Le dessin ne remplace pas toujours les amis et la fréquentation des vivants.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Livia; 26 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'pars et je reviens. C'est fou ça. Bon j'étais Daisie ... ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop. ★Présence sur le forum → Ca va dépendre, ceux qui me connaissent savent la bête que je suis... ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé, hey. ★Crédit images → Moi, tumblr, sigh Ethna.
Mon exemple de RolePlay:
→ Parfois, Toussaint lui faisait peur. Réellement. Il y avait chez cette femme de glace une force indifférente, un côté immuable de roc tranquille que rien n'atteint qui forçait plus à la crainte qu'au respect. Elle avait toujours été distante et la voilà sous-entendant qu'elle aurait pu malmener gravement un homme pour quoi ? Pour lui ? Parce qu'il avait sous-entendu qu'il pourrait l'avoir dans son lit ? Maximillian ne savait trop en vérité s'il se sentait rassuré ou inquiété. Il démêlerait ses sentiments plus tard. Son attention était requise, il devait faire les choses bien.
Le repas était silencieux, seulement rythmé par le bruit des couverts, dans cette vaste salle à manger vide. Et même alors que la voix du jeune homme retombait, le silence revenait, oppressant, lui serrant le cœur. Mais il ne dit rien de plus. Il était un garçon avare de paroles et de confidences. Il ne parlait jamais trop, se montrant sans cesse poli et réservé. Ce n'était pas forcément son véritable caractère mais à force de plier la nature, l'on finit par devenir semblable à ce que l'on voudrait. Lorsque Toussaint pris la parole, il resta silencieux. Elle ne ressentait rien pour lui... Il avait beau le savoir, en être sûr, l'entendre dire était étrangement douloureux. Il sentit quelque chose en lui, enfoui très profond, hurler à cette idée. Elle ne ressentait rien et il n'était qu'un étranger. Il le savait. L'entendre se le faire confirmer était pire encore que d'en être sûr. Mais le docile adolescent ne releva pas, hochant simplement la tête en signe d'assentiment, comme pour lui faire croire qu'elle avait raison, qu'il ne ressentait pour elle que de la gratitude. Mais elle se trompait, cette vieille folle qui croit que le monde est dirigé par l'argent. Elle se trompait tellement sur les sentiments. Il ne dit rien, malgré l'étincelle de ses yeux bleus. Il ne dit rien malgré l'envie de lui crier qu'elle ne savait rien. Il la laissait continuer.
Elle affirmait qu'il allait en baver et il n'eut qu'un sourire sardonique, un rictus presque cruel. En baver ? Il en avait assez bavé dans sa vie pour que tout traitement de Toussaint ne soit que dérision. Peut-on s'émouvoir d'attraper un rhume quand on a eu le choléra ? Il ne la coupa pas, parce qu'il voulait savoir ce qu'elle allait dire, ce qui avait pu la pousser à l'adopter, lui, un délinquant trop âgé pour être seulement adopté, qui avait purgé une peine de prison. Oui, il s'était assuré que plus personne ne voudrait l'adopter. Mais elle l'avait quand même fait. Contre toute attente, elle parla enfin. Des abus. Maximillian resta silencieux, cessant même de manger, ses jointures blanchissant alors qu'il serrait férocement sa fourchette sous le coup de l'émotion qui lui bloquait la gorge. Oh oui, il connaissait ça. Il connaissait la violence des hommes entre eux. Mais il l'avait toujours caché. Et elle, cette vieille lionne impitoyable le savait. Tacitement, elle le savait. Peut-être parce qu'elle l'avait vécu aussi. Sans doute avait-elle flairé chez lui la même chose que chez elle. La même odeur fanée de très vieille souffrance.
Déjà, elle remettait son armure, déjà elle se cachait de lui, reprenant les faux semblants. Maximillian regarda sa main et le manche plié de sa fourchette, donnant à l'objet un angle inhabituel. Il ne pensait pas avoir serré si fort. Alors, très pâle, il se leva en silence, retournant vers la cuisine pour se chercher une autre fourchette, marchant avec une raideur inhabituelle. Il ne disait toujours rien quand il se rassit sagement à sa place et reprit quelques bouchées. Le silence avait ce bourdonnement assourdissant de ces situations merveilleuses et atroces.
"Je m'en doutais sans le savoir." Dit-il à l'adresse de sa mère adoptive, les yeux très durs, trop durs pour un enfant de son âge. Le souvenir de sa famille d'accueil dont la mère était si gentille... Tellement gentille... La mère que tout orphelin rêverait d'avoir. Cette femme dans les yeux de laquelle il avait dû devenir un affreux délinquant... Voir se peindre dans son regard toute sa déception et sa tristesse... pour qu'elle ne sache jamais quelles horreurs avaient commises son mari. Elle n'aurait pas pu le supporter, elle qui était si douce. Il ne voulait pas la détruire avec des histoires sordides. Le poids du secret était un châtiment qu'il ne voulait pas lui infliger. Il ne voulait pas détruire sa vie, après avoir détruit ses espoirs d'être enfin la mère de quelqu'un. "J'espérais qu'on n'essayerais plus de m'adopter à cause de mon dossier et que je resterais pupille de la nation jusqu'à ma majorité." C'était dit d'une manière très sobre. "Mais je suis là." Un constat, presqu'un peu amer. Elle l'avait choisi lui, parmi tous les autres orphelins quand n'importe qui l'aurait laissé à sa solitude. "Vous cherchez quelque chose que je ne suis pas sûr de pouvoir encore donner." Il la fixait avec une grave intensité. Maximillian était plus dur que l'on pouvait le penser, endurcit par une vie pénible et une grande solitude. Il restait un simple adolescent, mais marqué et hanté.
Il acheva sa petite part en silence, ses traits fermés sur ses préoccupations et ses sentiments refoulés. "Vous n'êtes seule que parce que vous le voulez. Je suis là depuis trois ans." Conclu-t-il d'une voix plus douce, posant sur elle deux yeux d'un bleu sombre, un peu nostalgiques. Elle voulait ne plus être seule sans savoir comment faire; et demandait la recette à un solitaire."Rien ne nous empêche d'être seuls, mais à deux." Il lui fit un sourire, assez doux. Ce sourire qui n'atteignait jamais ses yeux, froids et lointains. Mais c'était tout de même un sourire et une acceptation tacite des confidences de sa mère adoptive.
Dernière édition par Avalon J. Madère le Sam 19 Oct - 22:20, édité 4 fois
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:10
Mooooooooow un retour
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:10
Ma chérie, tu es revenuuuuuuue! <3
Avec cette actrice merveilleuse en plus. J'adore le caractère de ton personnage, elle à l'air pas commode du tout! Re-bienvenue en tout cas ma femme, tu vas faire des heureux!
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:12
Merci Dylan ! Et ouais, je reviens, on reviens toujours...
(et ma femme/morue que j'aime, merci ♥)
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:14
toi aussi tu bafouilles en parlant ??? on va bien s'entendre
rebienvenue et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:15
Hey ma poule ♥ On va bafouiller ensemble alors
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:29
Bienvenue à N.Y. demoiselle, j'adore ce que tu a écrit, la caractère, waow ! Hâte de lire la suite ! Puis Avalon c'la classe, et Lizzie en plus !!!
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:32
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:38
(Lizzie est juste TROP poupinette comme actrice ! ) Merci Oakley ! Ravie que ça plaise ^^ J'adore ton avatar au passage *-*
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:40
Avalon J. Madère a écrit:
(et ma femme/morue que j'aime, merci ♥)
Bon bref, hâte de lire ta fiche en entier ma chérie! ♥♥♥
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 21:43
Re-bienvenue par ici alors
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 22:15
Tiens tiens tiens... Toi aussi tu t'es laissée corrompre !!
Re bienvenue chouquette rose en sucre de pomme d'amûûûûûûr !!! Bon courage pour ta fiche qui commence bien !
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Sujet: Re: Avalon J. Madère ♣ Warm Bodies Sam 19 Oct - 22:17
Merci beaucoup Tommy o/
Et Lucy, merci ma petite pomme d'amûûûr ! J'ai terminé d'ailleurs, mouhaha ! Je viens rajouter une touche de gloom dans ce paysage coloré...
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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