Sujet: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 0:45
FEAT. AARON TVEIT
Aiden John MATHESON
30 ans → Né à Los Angeles le 09/04/1983 → agent du FBI en couple pour sa couverture → hétérosexuel → membre des workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? Aiden n'a ni tatouages, ni piercing, par contre il a une petite cicatrice de quelques centimètres sur le côté gauche. Celle-ci vient d'une intervention durant laquelle, il s'est fait tirer dessus. Chaque matin, il a le même rituel; après un rapide détour par la salle de bain, il déjeune un petit truc en vitesse et va courir une heure. Sans ça, il n'est pas d'excellente humeur le matin. Son but a toujours été de devenir agent du FBI, il a trimer pour ça, c'est pourquoi il est accro à son travail. Quand il vous dit qu'il bosse sur un dossier, inutile donc d'essayer de changer ses plans.Il parle couramment le russe, grâce à sa mère. Et l'espagnol avec quelques lacunes. Il n'aime pas New York. Pour lui cette ville est un véritable labyrinthe infernal, bruyant et trop habité. Il cuisine à merveille, mais ne touche que rarement à l'aspirateur. S'il n'était pas un homme de loi, il ferait un parfait voleur. Son père, lui-même ancien voleur de trésors, lui a tout appris. De comment ouvrir le coffre de la banque nationale à comment imiter Monet. De ce fait, il peint à la perfection et maîtrise avec excellence les sciences.
★Quel est le caractère de ton personnage? Aiden est connu auprès de son entourage pour être quelqu'un de persévérant et d'ambitieux. Il n'abandonne pas facilement et fait même toujours tout son possible pour atteindre les buts qu'il se fixe. C'est un bosseur qui n'a pas peur des défis et qui en redemande sans cesse. Malgré qu'il soit en général une personne réfléchie, il n'a pas froid aux yeux, ce qui le met parfois en mauvaise position. Certains diraient que c'est plus de l'inconscience que du courage, mais une chose est sûre, Aiden serait le premier à risquer sa vie pour un ou une inconnue. Sans doute l'une des nombreuses raisons pour lesquelles, il est aussi bon dans son travail. Aiden peut compter ses amis sur les doigts d'une seule main. Tout d'abord, car même s'il reste quelqu'un de sociable, le jeune homme aime la solitude et le calme. Chose qu'il n'obtient réellement que lorsqu'il n'a aucun dossier sur lequel bosser. Ce qui est rare, vu qu'il est accro à son job et est toujours en quête d'une nouvelle affaire. Mais pour le si peu de temps libre qu'il lui reste, il aime être tranquille. Faire ses choses à lui. Ce qui freine pas mal ses chances de trouver une femme avec qui partager sa vie, ce qu'il ne recherche pas forcément. Mais qui ne lui ferait surement aucun mal. Deuxième raison pour laquelle Aiden ne compte que très peu d'amis, est une nouvelle fois en rapport avec son job. Être agent du FBI nécessite d'être discret et parfois même mystérieux. Sa vie est faite de beaucoup de secrets et de mensonges, ce qui ne facilite pas vraiment les relations humaines. Les quelques amis qu'à Aiden, sont donc des personnes apte à le comprendre et pour la plupart, dans la même situation que lui. Ce sont ces quelques rares personnes qui connaissent le mieux Aiden et qui pourraient vous le décrire ainsi comme, un homme généreux, attentionné, doux et attachant. Un gars qui aime déconner et passer de bons moments en toute simplicité. Quelqu'un d'un peu maladroit, mais plein de bonnes intentions. Têtu et qui déteste avoir tort. Sûr de lui, mais pas prétentieux. Un type bien en gros, mais qui a ses zones d'ombre comme tout le monde.
Well... It's my story...
La porte de sa chambre entre ouverte, je peux apercevoir l’ombre d’Olivia faire des allers-venus dans la pièce, comme-ci elle préparait quelque chose. Discrètement, je vais toquer à cette fameuse porte tout en passant ma tête dans son entrebâillement. Habillée d’un jean slim noir et d’un petit haut léger, perché sur ses dix centimètres de talons, je me doute bien qu’elle ne va pas se coucher. Inutile d’avoir fait l’académie de police pour le deviner. Pour cette raison, je me permets de rentrer dans la pièce. Les bras croisés contre mon torse, je l’observe un instant, elle qui ignore ma présence sachant sans nul doute que je ne vais pas tarder à prendre la parole. « Je peux savoir où tu vas ? » Elle relève la tête vers moi un court instant avant de m’ignorer à nouveau et de se diriger vers son miroir. « Tu ne trouves pas que ce débardeur fait un peu trop ressortir mes hanches ? » Me demande-t-elle tout en continuant à observer son reflet, sans vraiment me poser la question, tandis que je reste posté à l’entrée de sa chambre, sans dire un mot. « Je m’en doutais ! » Sans tarder, elle retire le bout de tissu qui recouvre la dentelle rouge qui soutient sa poitrine. Elle espère surement me déstabiliser, pour pouvoir fuir plus facilement, mais cela n’a plus vraiment d’effet sur moi. Voilà plus d’un mois que nous jouons les faux couples et nous adonnons à tout ce qui va avec. Les baisers, les gestes d’affections… Des semaines à la voir se promener à moitié nue dans l’appartement, quand je ne la vois pas sortir de la douche. Bien entendu, ce serait vous mentir, que de vous dire que je n’ai jamais été attiré par Olivia. C’est une jeune femme très séduisante, aussi bien physiquement, que par sa façon d’être. Mais j'ai très vite compris que notre lien était plus fraternel qu'autre chose. Ce qui n'est pas plus mal, car même si s'attacher à un témoin protégé est fortement déconseillé à un agent du FBI, il l'est encore plus d'avoir une relation avec. Olivia enfile un nouveau débardeur sous mon regard, tandis que je tente de rester professionnel, malgré le fait que la situation m'amuse un peu. Elle range quelques affaires dans son sac à main et celui-ci sur le bras, prend la direction de la porte que je l'empêche de passer. « Ca fait plus d'un mois que tu séquestres mes soirées dans cet appartement. Ma meilleure amie commence à se poser des questions, sur le pourquoi du comment je l'évite. Et puis, j'ai besoin de me changer les idées. Donc ce soir, j'ai décidé de m'évader, reste à savoir si je dois utiliser la force ou si tu préfères coopérer. » Me dit-elle sur un ton faussement sérieux alors que je lui souris, amusé. « La force ? Je t'en prie, fais-toi plaisir. » Je savais qu'elle ne tenterait rien. Pas qu'elle ne sache pas se défendre, car ça je le lui avais appris, simplement parce que c'était un jeu. Elle savait que je finirais par dire oui. « J'aurais plutôt espéré que tu coopères. » Elle lâche un petit rire nerveux et laisse place à un léger silence avant que je reprenne la parole. « Je te laisserais passer, à la condition que je t'accompagne. » Olivia est un témoin protégé, je suis l'agent du FBI chargé de sa protection. Ce n'est pas un job à temps partiel, je n'ai aucun droit à l'erreur, c'est pourquoi je suis dans l'obligation de fixer ce genre de conditions et de règles. Bien que ce ne soit pas toujours simple, c'est ce pourquoi je suis là. Il y a quelques mois, la jeune femme a franchi les portes d’un commissariat pour rapporter ce à quoi elle avait assisté. C’est comme ça que tout a commencé, c’est pour elle que j’ai quitté Washington pour New York. On m’a mis sur cette affaire et du jour au lendemain je me suis devenu le petit-ami d’une parfaite inconnue, squattant son canapé et partageant son intimité et chaque instant de sa vie. Je me suis aussi vu propulsé au rang de trafiquant de drogue cherchant à marchander avec une organisation russe. La même qui s’intéresse à Olivia et à ce qu’elle a vu. Et manque de preuve, je me retrouve embarqué dans toute cette histoire à mon tour. Autant dire que ma vie n’est pas de tout repos ces derniers temps, mais j’ai toujours préféré ça à la routine du métro-boulot-dodo. « Très bien mon chou, allons-y ! » Elle dépose ses lèvres sur les miennes et me contourne pour me donner une petite tape sur les fesses avant de se diriger vers l’entrée. « Tu prends ton rôle un peu trop à cœur… » Lui dis-je sans bouger de ma position, amusé par ce genre de moment. Je n’aurais pu espérer mieux que de travailler avec Oli…
Vingt heures quinze, nous voilà bloqués sur le pont de Brooklyn à cause d'un incident. Les voitures avancent au ralentit, lorsqu'elles avancent. Olivia a le regard perdu par la fenêtre, tandis que je cherche une station de radio sympa pour passer le temps. Les minutes s'écoulent et la jolie brune assise sur le siège passager décide de briser le silence. « Tu ne m'as jamais parlé de toi. » Spontanée, parfois je me demande ce qu'il se passe dans sa tête lorsqu'elle ne dit pas un mot. Car je connais la Olivia bavarde, impossible à arrêter mais aussi la Olivia calme et pensive, qui peut cogiter pendant des heures. Celle avec qui j'essaye actuellement d'atteindre Manhattan sans grand succès. « Tu sais ce qu'il y a à savoir... Je bosse pour le FBI à Washington... » « Tu es un drogué du boulot, tu n'as pas de petite-amie en dehors de moi, ta fausse copine. Tu n'as pas de chien, ni de poisson rouge. Tu parles russe par je ne sais quel miracle et tu n'aimes pas New York. A moins que tu aies dix ans, mais sois très précoce pour ton âge, il y a encore un tas de choses que je ne sais pas à ton sujet. Et je trouverais ça normal, maintenant que tu sais tout de moi, que j'en sache un peu plus sur l'homme qui squatte mon canapé. » Me coupa-t-elle avant de m'adresser un rapide sourire crispé. Je la regarde un instant, avant de concentrer à nouveau mon attention sur la route. Je laisse un court silence s'immiscer entre nous et finis par prendre la parole, toujours en regardant devant moi. « Ma mère est russe, c'est la raison pour laquelle je connais cette langue. Mon père n'a jamais réussi à retenir un seul mot, alors c'était notre petit moment à nous. On pouvait parler sans qu'il sache de quoi. » Parler de moi avait toujours été un exercice difficile, sans doute car j'attache plus d'importance à la vie des autres qu'à la mienne. Et peut-être aussi parce que je ne suis pas fier de mon parcours, du moins, une partie. « Je suis né à Los Angeles. J'y ai passé toute mon enfance, jusqu'à mon départ pour Harvard. Depuis que je suis gosse, je sais ce que je veux faire. Mon père, de son côté, avait d'autres plans d'avenir pour moi. Matheson est le nom de jeune fille de ma mère, mon père s'appelle John Errington, le célèbre voleur de trésors qui a réussi à fuir la police pendant trente ans. Il voulait que je sois comme lui et sa plus grosse erreur fut de m'apprendre tout ce qu'il savait. Lorsque je lui ai dit ce que je comptais faire de ma vie, il m'a fichu dehors. Heureusement, j'ai obtenu une bourse pour l'université et j'ai cumulé les petits jobs pour payer le reste de mes dépenses. J'ai fini par entrer à l'académie du FBI et après quelques années, je suis devenu agent. » Les yeux écarquillés, Olivia ne devait surement pas s'attendre à une histoire pareil et je me surprenais à ne censurer aucun passage, comme j'avais pourtant l'habitude de le faire. Mais ces semaines passées avec elle, m'avait prouvé que je pouvais lui faire confiance, en plus du fait qu'elle était une parfaite confidente. Mon chef m'avait dit, lors de l'arrestation de mon père, de me trouver une personne à qui parler. Pas forcément un spécialiste, ni une petite-amie, simplement un ou une ami(e) capable d'écouter sans prendre position. Olivia était cette personne. Elle avait aussi un passé qu'il fallait rattraper aujourd'hui. Elle avait été du côté du mal et à présent du bien, tout comme moi lorsque je devais garder secrète la cachette des trésors volés par mon père, que j'ai fini par dévoiler quand je suis devenu agent du FBI. « Et tes parents ? » Je la regarde un instant, comme hésitant sur mes mots. « Ma mère doit surement être au Canada, elle en a toujours rêvé. Quant à mon père, je l'ai arrêté il y a deux ans... C'est étrange, lorsqu'on suspectait mon père d'être le voleur, tout le monde me montrait du doigt et personne n'avait confiance en moi. Maintenant que je suis celui qui l'a arrêté, ça n'a rien changé, sauf la raison pour laquelle les gens me regardent ainsi. » Après un instant sans réaction, Olivia finit par poser sa main sur la mienne, les yeux emplis de compassion. « Tu es un homme bon et courageux Aiden, n'en doutes pas. Tu as fait ce que tu pensais juste et ce pourquoi tu as prêté serment. Il n'est pas donné à tout le monde de comprendre ça, mais que tu m'en parles ne fait que confirmer ce que je pensais déjà à ton sujet. Et j'apprécie. » Elle m'adresse un doux sourire, alors que la voie devant nous se dégage enfin.
Avec quelques minutes de retard, nous arrivons finalement dans un petit bar sympa de Manhattan. Olivia plisse les yeux pour trouver son amie parmi les nombreuses personnes qui se sont données rendez-vous par ici. Je ne cesse de lui dire qu’elle a besoin de lunettes… Je lui désigne une jeune femme assise seule à une table dans le fond, juste pour l’aider. « Je l’ai vu. J’allais justement te le dire. » Tente-t-elle de me faire croire, tandis que je la suis avec un petit sourire amusé accroché aux lèvres. Accolades entre copines, rapides petites discussions, j’attends patiemment qu’on me présente et ça ne tarde pas à venir… Charlie, nom peu commun pour une fille, mais qui lui va à merveille. Qu’on ne se méprenne pas, c’est une très belle jeune femme, j’ai d’ailleurs un peu de mal à décoller mon regard d’elle, mais il n’y a rien de réellement masculin chez elle. Sauf peut-être, le fait qu’elle soit pompier, son tempérament de feu et ses goûts en matière de programme télé. J’ai plaisir à apprendre à la connaître, et cela doit surement se voir à en juger les coups de pieds que me donne Olivia sous la table, me rappelant que je suis son petit-ami aux yeux de tous… Petit-ami très intéressé par la jeune femme assise juste en face. « Bon, et toi Aiden, tu fais quoi dans la vie ? » Olivia se lève soudainement de son siège. « Excusez-moi, je reviens. » On la suit tous les deux du regard, Charlie ne prête pas attention à son départ précipité vers les toilettes, mais de mon côté je sais ce qui l’y pousse. Dans toute cette histoire, mentir à sa meilleure amie est ce qu’elle a de plus dur à faire, appréhendant sa réaction lorsqu’elle finira par tout lui avouer. Et il ne faut pas croire, même si une grande partie de ma vie est basée sur les mensonges et les secrets, cela n’a rien de facile pour moi non plus. La voir ainsi me fait culpabiliser et mentir à une fille comme Charlie rend mon travail encore plus difficile. Mais j’ai choisi ce que je fais aujourd’hui et je sais que mes mensonges ne sont faits que de bonnes intentions. « Je travaille dans l’import-export. » Lui dis-je en la regardant à nouveau, juste avant de boire une longue gorgée de ma bière et de lui sourire. « Tu vas bien ? » Olivia acquiesce d’un signe de tête et dépose un baiser sur ma joue. Je sens qu’elle ne va pas bien, mais inutile d’insister. « Où est Charlie ? » Je désigne la scène d’un geste de la tête tandis que la musique se met en route. Les verres se sont enchaînés et je ne sais trop comment, Charlie a décidé de se mettre à pousser la chansonnette. Plus les heures passent, plus j’ai du mal à la quitter des yeux, loin de me douter de tout ce que cela va engendrer. « Je me doute que ma meilleure amie t’as tapé dans l’œil, mais tu es toujours mon soit disant petit-ami. » Me dit Olivia faussement vexée, jusqu’à ce que je passe mon bras autour de ses épaules et dépose un baiser sur sa tête.
Quelques jours se sont écoulés depuis ma rencontre avec Charlie, que je vois régulièrement à présent. J'ai décidé de laisser ce plaisir à Olivia, voir sa meilleure amie est important pour elle. Je la sens un peu plus heureuse, même si la situation reste compliquée. Et je dois bien l'avouer, la présence de Charlie est loin de me déplaire. Le plus dur reste de ne pas m'attacher, même si je suis inévitablement attiré par elle, elle ne fait pas partie de ma mission et celle-ci passe avant tout. « Excusez-moi, je dois prendre cet appel. » Je quitte précipitamment la table pour aller m'enfermer dans la chambre, n'en oubliant pas mon comportement surement suspect aux yeux de Charlie, qui assiste bien trop souvent à ce genre de scène. Mais lorsqu'il s'agit des russes, je n'ai d'autres choix que de répondre. « Ton copain semble très demandé. » Olivia se contente de sourire à son amie et de lui demander : « Encore un peu de vin ? » Perturbée par tant de mensonges, la jeune femme manque le verre de Charlie qui voit son chemisier reteint de rouge. « Oh non, excuse-moi ! » « Ce n'est rien. » Rapidement, celle-ci prend sa serviette pour éponger le vin qu'elle a reçu, ne manquant pas de remarquer la détresse de sa meilleure amie. « Vas te chercher un nouveau haut dans mon armoire, on va nettoyer celui-ci avant qu'il ne soit foutu. » A l'instant où j'ouvre la porte de la chambre, je me retrouve donc nez à nez avec Charlie qui tient toujours sa serviette contre sa poitrine. Je la regarde sans dire un mot. « Oh, petit accident. » Me dit-elle sans attendre que je lui pose la question. « Tout va bien ? » « Euh... Oui, je dois juste y aller. Un petit souci au boulot, rien de bien grave. » Un nouveau silence, elle se pince les lèvres comme pour se retenir de me dire le fond de sa pensée et c’est tant mieux, car je ne préfère pas savoir ce qu’elle a dans la tête. Obliger Olivia à lui mentir et lui cacher ma véritable identité est déjà assez difficile comme ça, sans qu’en plus il me faille me disputer avec elle. « A bientôt alors. » Discrètement, je vérifie que mon arme est bien cachée sous mon t-shirt. Et après lui avoir adressé un rapide sourire, me dirige vers l’entrée, interceptant Olivia sur mon passage. « Je dois y aller, ferme bien la porte après son départ. Je vais faire au plus vite. » Je dépose un baiser sur son front et quitte l’appartement, tandis que Charlie revient vers son amie. « Bah pourquoi tu ne t’es pas changée ?! » Elle ne répond pas tout de suite, peut-être encore un peu sous le choc de sa dernière découverte. « Depuis quand on a des secrets l’une pour l’autre ?... Je savais bien que quelque chose n’allait pas. Plus d’un mois sans te voir, un nouveau petit-ami sorti de nulle part. Tu es bien silencieuse quand il s’agit de parler de lui et je comprends mieux pourquoi maintenant. » Les yeux grands ouverts, Olivia déglutie. Elle ne sait plus où se mettre, ni ce qu’elle va bien pouvoir répondre aux prochaines accusations de sa meilleure amie. « Avec ses départs tardifs à répétition, je me posais déjà des questions sur ce qu’il faisait vraiment de sa vie. Et puis j’ai trouvé ça… Tout à l’heure. » ...
… Trois heures trente du matin, je reviens enfin à l’appartement, toutes les lumières sont encore allumées. Olivia est sur le canapé, les yeux fixés sur le petit objet qu’elle tient entre les mains et que je n’arrive à discerner que lorsque je m’approche d’elle. « Que se passe-t-il ? » Je m’assieds à côté d’elle et tout en regardant la balle avec laquelle elle joue, passe mon bras autour de ses épaules. « Charlie a trouvé ça, dans la chambre, tout à l’heure. » Je soupire doucement. Je savais Charlie intelligente et attentive, je me doutais donc qu’elle suspecterait quelque chose à un moment ou à un autre. Je ne pensais simplement pas que cela se présenterait aussi vite et de cette façon. « Et tu lui as dit quoi ? » Olivia m’en veut, je le sens. Elle ne me regarde pas et se contente de répondre comme un agent qu’elle n’est pas, ce qui me fait culpabiliser. « Je lui ai dit que l’arme à laquelle appartenait ces balles, était là pour notre protection. Que le quartier n’était pas sûr ces derniers temps. Mais elle te suspecte de ne pas être celui que tu prétends. Je lui ai dit que tu étais quelqu’un de bien et qu’elle n’avait pas à s’inquiéter, mais je la connais, elle n’a pas cru un mot de ce que je lui ai dit… » Un silence de quelques minutes s’installent, jusqu’à ce qu’Olivia se lève brusquement, lançant la balle à travers la pièce dans son élan. « Je n’aurais jamais dû te la présenter ! Maintenant, elle va commencer à poser des questions… Elle va se mettre en danger, par ma faute ! Je ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose… » Les hurlements laissent gentiment place aux larmes. Je l’observe un instant, je n’ai jamais été très doué pour réconforter les gens, mais je finis quand même par me lever. Sa tête entre mes mains, je l’oblige à me regarder. « Hey ! Il ne lui arrivera rien, ok ?! Je ne laisserais personne lui faire du mal, je te le promets. Je vais régler tout ça. » Je la prends dans mes bras, réfléchissant déjà à comment j’allais gérer tout ça. Il était certain que je ne laisserais rien arriver à Charlie, mais pour ça, il fallait déjà que je garde ma couverture intacte et que je l’éloigne d’Olivia et moi.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Déborah/b.boop, 22 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'y étais déjà et j'ai décidé de revenir ★Ce personnage est-il un double compte ? → non ★Présence sur le forum → 4/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé ★Crédit images → scarlett glasses
Mon exemple de RolePlay:
→ Peut-être bien que j’avais tort sur toute la ligne, peut-être bien que mes mots n’avaient aucun impact sur ce que Dwight pensait de lui-même et des évènements passés, mais j’avais besoin qu’il sache qu’à mes yeux il n’y était pour rien dans la mort de mon frère. Dwight était têtu et je savais que je ne pourrais pas le faire changer d’avis sur la question, mais au moins j’essayais de lui montrer que je n’étais pas contre lui et dans un sens que j’étais là pour lui. J’étais peut-être en train de passer pour une parfaite idiote éperdument amoureuse, mais à cet instant je m’en fichais bien, peut-être parce que j’avais besoin de me persuader que la vérité n’était pas si affreuse que ce que Dwight semblait vouloir me faire comprendre. Un frisson me parcourut lorsque je sentis sa main saisir la mienne, dans un geste peut-être un peu maladroit, mais qui me fit tout de même chavirer intérieurement. Son contacte m’avait manqué ces derniers jours, alors je profitais de l’instant comme si cela m’était interdit, sachant très bien qu’il relâcherait ma main dans quelques secondes si je ne le faisais pas avant. « Si je pouvais... » Il s’éclaircit la voix alors que je l’observais, me doutant de ce qu’il s’apprêtait à dire. « Si je pouvais prendre sa place pour te le ramener, je le ferais sans la moindre hésitation. » L’espace de quelques secondes, la tête baissée vers nos mains dont je resserrais l’étreinte, je tentais d’imaginer Jamie face à moi m’apprenant la mort de Dwight. Je me souvenais de chaque instant passé avec ce dernier, de notre rencontre à ce fameux jour que j’avais attendu si longtemps. D’année en année, mes sentiments à son égard n’avaient eu de cesse de s’accroitre, au point que l’amour que j’éprouvais pour lui en devenait indescriptible, au point que je n’arrivais à savoir quelle perte m’aurait fait le plus de mal. Mais enfin de compte et malgré la souffrance que provoquait en moi la mort de mon frère, je m’estimais heureuse que l’un d’eux soit revenu. Je relevais alors les yeux vers son visage et lui adressait un nouveau sourire triste. « Cela ne ferait aucune différence, à part l’homme que je pleurerais à cet instant. » Je savais bien que pour lui tout cela était difficile à comprendre, car il était celui qui était rentré vivant quand les autres y étaient restés. Je ne lui demandais d’ailleurs pas de comprendre, juste de me laisser apprécier le si peu de chance que j’avais eu de retrouver l’un des hommes que j’aimais. « Je te dirais tout, un jour mais aucun de nous n'est prêt pour ça. Ne dis pas que j'ai fait ce qu'il fallait, tu ignores combien tu peux te tromper. » Je l’observais, intriguée par ses propos. Que cachait-il de si pénible à avouer ? Je me faisais mille et une idées dans ma tête et chacune d’elles me faisaient plus peur que l’autre. J’étais de nature curieuse, mais à cet instant j’étais surtout terrifiée par la vérité, alors je me contentais de hocher légèrement la tête, préférant remettre ce sujet à une autre fois.
Face à l’honnêteté de Dwight, il était difficile pour moi de garder la vérité sous silence. Je me sentais affreuse de faire semblant d’être une femme qui n’était pas la vraie version de celle que j’étais à présent, surtout après ce que Dwight avait eu le courage de m’avouer. Alors je décidais d’être honnête à mon tour, en commençant par mes sentiments pour lui. Certes, je lui avouais que je l’aimais de façon détournée, sans doute trop peu courageuse pour le lui dire autrement. Mais j’étais déjà bien contente de retirer ce poids de mes épaules, même s’il n’avait pas l’air de comprendre. Il fallait dire que j’avais moi-même du mal à trouver une quelconque logique dans mes phrases. « Je ne comprends pas. » Je le regardais un instant, sans dire un mot, cherchant en moi le courage de tout lui dire. Hésitant encore et encore avant de me lancer réellement. A chaque mot que je prononçais, je l’observais pour essayer de déceler en lui le moindre sentiment ou ressentiment à l’égard de ce que j’étais en train de lui avouer. J’avais peur de sa réaction, malgré les nombreuses fois où il m’avait prouvé que je pouvais compter sur lui. Il ne m’avait jamais jugé, jamais rejeté, même s’il aurait pu le faire plus d’une fois, mais j’avais encore peur, peut-être parce que son avis était sans doute le plus important à mes yeux, peut-être parce que j’avais besoin qu’il aime qui j’étais pour me sentir exister. « Tu es en train de me dire que tu ne te souviens pas que je suis partie à l'armée avec Jamie ? De toutes ces fois où on a communiqué ensemble, par lettre, sur internet, par webcam ? Tu es clairement en train de me dire que tu ne te souviens pas de notre histoire ? Ni de notre mort ? » Je n’arrivais pas à savoir si Dwight m’en voulait d’avoir tout oublié de notre histoire et je devais bien avouer que je ne pensais pas que c’était ce qui lui viendrait en premier à l’esprit, ce qui eut le don de me mettre mal à l’aise et de répondre timidement : « En gros, oui. J’ai appris votre mort ce même jour, c'est-à-dire, il y a environ une semaine. Et j’ai relu quelques-unes de tes lettres ces derniers soirs. Apparemment je les avais gardées. Mais malgré tout ça, je n’arrive pas à me souvenir. » Je ne cachais pas ma gêne en le regardant et en gesticulant dans tous les sens. Même si ce que nous avions vécu avait dû être la plus belle partie de ma vie, je ne m’en souvenais pas et j’avais encore du mal à m’imaginer ce qu’avait pu être ma vie ces cinq dernières années ce qui rendait les choses moins intenses pour moi que pour ceux qui en avait encore le souvenir. De ce fait, j’oubliais l’importance que ces moments avaient pu avoir pour Dwight et je me rendais soudainement compte que j’avais peut-être pris la mauvaise décision en voulant lui dire la vérité. « Comment est-ce possible ? Tu as eu un accident ? Tu as reçu un coup sur la tête, tu as passé des examens pour savoir pourquoi cette période s'est effacée de ta mémoire ? » Il m’assaillait de questions et semblait aussi déboussolé que moi. Malgré tout ça, je me rendais compte à sa façon de me parler qu’il ne m’en voulait pas, alors un peu moins gênée qu’avant, je lui répondais : « Je ne sais pas comment c’est arrivé et non, je n’ai pas été voir de médecins. Je crois que j’ai peur, peur de ce que je pourrais avoir. Peut-être que ça me reviendra avec le temps. » Le fait que je sois tout à coup moins mal à l’aise de lui parler de mon amnésie faisait que j’arrivais même à lui avouer mes craintes à ce sujet et je devais bien l’avouer, ça faisait du bien, même si je ne disais pas tout… J’avais bien d’autres peurs en rapport avec ma perte de mémoire, comme les sentiments que j’éprouvais pour Rafael. J’étais incapable de savoir à quel point je l’avais aimé et il ne pouvait pas m’aider là-dessus, alors l’idée de ressentir soudainement, à nouveau, des sentiments que j’avais oublié m’effrayait. Tout en sortant de mes pensées, je décidais de poursuivre mes aveux en répondant à la déclaration que Dwight m’avait faite un peu plus tôt et je ne m’attendais certainement pas à ce que cela allait provoquer. Je le vis alors faire quelques pas en avant, mon cœur se mettant à accélérer, puis je sentis un frisson me parcourir au contact de sa main dans ma nuque et sans que j’aie le temps de le voir venir, il posa ses lèvres sur les miennes. Dans mes souvenirs, nous avions échangé deux ou trois baisers en l’espace d’une soirée, mais aucun n’avait été aussi intense que celui-ci. Je ne me posais aucune question à ce moment, je réagissais comme par réflexe en passant mes bras autour de son cou et en répondant à son baiser pour le prolonger aussi longtemps que possible. J’aurais voulu que les secondes s’arrêtent de tourner et elles ne furent pas le problème, mais la conscience de Dwight si. « Je n'aurais pas dû... je suis en train de profiter de la situation, de ta vulnérabilité et je ne devrais pas. » M’avoua-t-il après avoir mis un terme à ce baiser et avant de se reculer brusquement. Tandis que j’étais encore choquée par ce qu’il venait de se passer. Je le regardais avec de grands yeux tout en essayant de suivre ce qu’il me disait, sans grand succès. « Je ne devrais pas mais j'en brûle d'envie. Tu es en train de me dire que tu m'aimes toujours et que tu ne connais pas l'homme qui partage ta vie, tu n'imagines pas comme il est difficile pour moi à cet instant de ne pas t'embrasser jusqu'à couper notre souffle à tous les deux. » Il semblait aussi désemparé que moi, à la différence que lui extériorisait alors que je ne disais pas un mot. J’étais comme pétrifiée par mes sentiments, car je savais qu’à partir de ce moment je serais incapable de passer à autre chose. « C'est une putain de sacrée situation! » Je relevais la tête que j’avais baissée quelques secondes avant pour le regarder et soudainement je pensais à Rafael. Cela pouvait sembler étrange après le baiser du seul homme que j’avais aimé dans ma vie, mais il y a un moment où ma conscience refaisait surface elle aussi. J’étais mariée, à un homme que j’aimais surement dans mes souvenirs, je n’étais pas autorisée à aller en embrasser un autre sous prétexte que je ne me souvenais plus de mes sentiments pour lui. Je n’étais pas autorisée à lui faire du mal alors qu’il faisait tout pour m’aider dans ce que je traversais. Alors en sachant que si je ne m’éloignais pas très vite de Dwight, je cèderais à une pulsion soudaine moi aussi, je décidais de quitter la pièce. « Il faut que je m’en aille. » Sans rien ajouter, je m’empressais de franchir la porte et d’un pas rapide je traversais le couloir qui menait à la cafétéria. Alors, mon cœur s’emballa une nouvelle fois quand mon regard croisa celui de Rafael. Le temps passé avec Dwight m’avait pourtant paru si court. « Catherine, tout va bien ?! » Me demanda-t-il sans doute inquiet de me voir débarquer de nulle part et totalement essoufflée. « Je… » Je n’arrivais pas à articuler ce qui devait ressembler à une phrase, alors que je vis les yeux de Rafael se détourner sur quelqu’un d’autre et à en juger son regard, cela ne pouvait être qu’une personne. « Dwight ?! » Mon cœur me donna l’impression d’exploser en moi alors que je n’osais pas me tourner vers Dwight, incapable d’assumer le poids de son regard. J’aurais pu lui dire qui était mon mari, mais j’avais décidé de garder son nom sous silence, sachant très bien qu’il n’approuvait déjà pas le fait que je sois mariée, alors encore moins le fait que cela soit à Rafael. A cet instant, je n’avais qu’une envie… fuir.
Dernière édition par Aiden J. Matheson le Dim 10 Nov - 1:33, édité 10 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 0:59
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 0:59
Aaron + le pseudo + l'occupation. Re-bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 1:19
Re-Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 1:41
Re-bienvenue Bon courage pour ta fichette
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 3:20
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 9:51
Rebienvenue Tu étais qui avant ?
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 10:11
Je te souhaite un bon retour sur N.Y.C.L. ton personnage a l'air super intéressant :cutie
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 10:38
MERCI à tous
Tulisa: Je jouais Nolan Grayson/Taylor Kinney
& JOSH j'exige un lien
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 11:56
Aiden, quel joli prénom ! Re-welcome sur NYCL !
Bonne chance pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 11:57
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres. AARON huhu
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 17:40
Agent du FBI Bwiouuuuh c'est couuuule ça
Re-bienvenue parmi nous alors Bonne chance pour ta fichette
Guest
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 18:46
bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 20:08
Bienvenue et bon courage pour la suite
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 22:08
Merci à vous tous
GOSH! Les trois hommes de ma vie à la suite! Je fonds
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 28 Oct - 23:30
Re-bienvenue sur le forum!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Mar 29 Oct - 4:11
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Mar 29 Oct - 13:50
rebienvenue sur le forum j'adhère ton titre ton choix de pseudo et de vava bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Mer 30 Oct - 15:53
Bienvenue
Katerina M. Lehtonen
Empire State of Mind
what doesn't kill you makes you stronger
▌INSCRIT LE : 15/04/2012
▌MESSAGES : 6549
▌AGE DU PERSO : 19
▌ADRESSE : 5614 Dodgewood Road #404, Bronx. avec un enfoiré & un tatoué.
▌CÉLÉBRITÉ : Demetria Devonne Lovato.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Mer 30 Oct - 22:59
re-bienvenue chez nous !
Guest
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Ven 1 Nov - 17:04
aaron (re)bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Sam 2 Nov - 23:12
Bienvenue sur NYCL Bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Dim 3 Nov - 4:56
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Dim 3 Nov - 21:04
Quel re-accueil Merci à tous
PS: je finis ma fiche, au plus tard, mardi. Désolée pour le retard
Elsa J. Shadow
Empire State of Mind
◊ It's a new dawn, it's a new day, it's a new life
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Lun 4 Nov - 19:11
En vue de la date à laquelle tu as posté ta fiche, il te reste une semaine pour terminer ta présentation, tu es donc considérée comme un membre en danger.
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.
AIDEN ✖ La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.