Sujet: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Lun 28 Oct - 23:46
FEAT. JULIAN MORRIS
Gabriel Miles Levy-Beaugrand
28 ans → Né à Paris le 14/02/1985 → Avocat à Weil, Gotshal & Manges célibataire → hétérosexuel → membre des workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? Gabriel déteste son patronyme, dans son intégralité. Levy-Beaugrand, issu d’une alliance franco-anglaise, un père français et une mère anglo-américano-portugaiso-turcano-machino-truc – une pétasse quel qu’il en soit – son nom de famille représente à ses yeux l’arnaque suprême de sa vie. Il n’y a rien de plus dissonant que ‘Levy-Beaugrand’ selon lui. Le mélange des cultures ne s’avèrent pas toujours être la meilleure des solutions. « La merde, ils auraient pu m’appeler Pierre-Stewart en prénom pendant qu’ils y étaient. » Encore heureux, ils ne l’ont pas fait. Car, à contrario, son prénom est sa fierté. Il ne manque aucune occasion de rappeler au monde qu’il s’appelle Gabriel, n’hésitant pas à s’adreseer à lui-même à la troisième personne de temps à autre. Prétentieux ? Complètement. Mais avouez, Gabriel, c’est un beau prénom, un prénom mélodieux, agréable à l’oreille, doux. Gabriel Sansnomdefamille, Gabriel Toutcourt, comme il aime se présenter au monde. Néanmoins, quoi qu’il en dise, son patronyme annonce parfaitement la couleur du personnage porteur du nom. Beau et grand. Surtout beau. Et élégant. Monsieur est la définition même de l’élégance, à l’image de Barney Sitnson ou Harvey Specter, il ne vit que pour être habillé d’un costume à minimum mille dollars la pièce. Gabriel est coquet ainsi, Gabriel aime plaire, Gabriel ne sort jamais décoiffé ou dans un quelque piteux état de son loft new-yorkais. Gabriel est charmant, irrésistible. Ce qui explique son tableau de chasse féminin impressionnant. Oubliez Casanova, Gabriel Beaugrand a pris la relève. Les femmes ? Sans vouloir paraître trop prétentieux, bien qu’il le soit sans aucun doute, Gabriel a arrêté depuis belle lurette de leur courir après. Elles viennent après lui, non l’inverse. Gabriel est un bon Don Juan. Tout comme il est bon avocat. Tout comme il était un bon dealeur avant Harvard. C’est un fait, Gabriel Beaugrand est bon dans tout ce qu’il entreprend. L’homme parfait ? Il l’aurait été, s’il n’avait pas une aberration inexpliquée envers le sport, sous n’importe quelle forme : télé, radio, sur le terrain, tennis, football, rugby etc. A l’inverse de tout homme normalement constitué, Gabriel déteste le sport, déteste pratiquer le sport, déteste regarder un match de sport, déteste jouer les supporters d’un match de sport, déteste ceux qui ne détestent pas le sport. Dans la continuité des défauts qui l’empêchent d’obtenir l’award de l’homme parfait, on peut également ajouter ses nombreuses allergies exubérantes et ses phobies monstres qui peuvent faire toute crédibilité à son statut d’homme et avocat impitoyable : parmi elles, la phobie du vomi, la phobie des insectes à quatre pattes – coccinelles y compris, allergie au lactose, aux noisettes, à la glue, à l’odeur de de la glue forte et de l’essence qui lui procure des picotements sur tout le corps, phobie des lapins, allergie aux poils de chiens, chats et hamsters etc. Sans compter ses tics et tocs et manies qui l’empêchent souvent de vivre une vie on ne peut plus normal, si on escompte le fait qu’il ne vit déjà pas une vie normale à la base. Gabriel est étrange, fascinant pour le monde. Tout comme le caviar et le foie gras sont fascinants à ses yeux. Gabriel pourrait mourir pour de la bonne nourriture, pas ces cochonneries qu’on prépare négligemment et qu’on vend en grande surface à deux dollars non, la gastronomie –végétarienne - française, il en est fada. Peut-être, après mûre réflexion, monsieur mérite bien son nom. Gabriel déteste les tatouages et piercings. Gabriel aime fumer de temps en temps des substances illégales, bien que son travail le lui interdise fermement. Gabriel est fan, de Queen, de Velvet Underground, de ACDC, des Jackson Five et de toute la bonne vieille musique des années 70’s, 80’s et 90’s. Et d’Harry Potter, dont il pourrait vous citer tous les dialogues de tous les films, sans exception. Comme tout homme intégré à son époque, Gabriel ne lâche jamais son téléphone. Gabriel mange de la main gauche, en étant droitier. Gabriel se balade constamment avec un stabylo dans ses poches et un paquet de Galettes Bretonnes dans ses voitures. Gabriel a commencer à collectionner les plus belles et plus chères voitures après un stupide pari entre collègues. Gabriel est végétarien, et ne carbure qu’aux bagels le matin. Gabriel porte souvent des lunettes de soleil, pour le personnage. Gabriel est un homme heureux, qui a tout réussi, possédant richesse et un semblant de sagesse. Gabriel est pourtant un personnage sombre et mystérieux qui possède un passé troublant. Gabriel est heureux auquel cas. Après tout, il est Gabriel Beaugrand, un des plus avocats les plus doués de sa firme, de la ville pour son jeune âge.
★Quel est le caractère de ton personnage? « Quels adjectifs utiliseriez-vous pour décrire Monsieur Beaugrand ? – Arrogant, froid, distant … hautain, trois ans qu’il est dans le cabinet et il n’accorde qu’à très peu de monde ce ‘privilège’ de le fréquenter au sein de l’entreprise, c’en est ridicule et amusant à la fois. – Le qualifieriez-vous d’être quelqu'un ambitieux ? – Sans hésitation : oui. Tout le monde le sait, il ne rêve que d’une chose : détrôner Vanessa Bright, la dirigeante. Et il est prêt à tout pour arriver à ses fins. Je suis à peu près sûr qu’il n’hésiterait pas à trahir notre propre cabinet si besoin pour prendre sa place, un jour. – N’est-il pas un peu jeune pour atteindre un tel objectif ? – Je pense que depuis son arrivée, la moitié de la firme a pu saisir que l’âge ne faisait pas la donne. J’ai beau le haïr de toutes mes forces, je dois avouer, Gabriel a su démontrer à tous que même à un jeune âge, il est possible de grimper les échelons rapidement. Il est intelligent, certes sournois et effronté comme personne mais très intelligent et le manque d’expérience et de compassion peuvent sans doute jouer en sa défaveur mais mis à part ça, on oublie très vite qu’il n’a que 28 ans. Aux yeux de tous, il en paraît 40 ; il est mature, aussi bien physiquement que moralement. – Gabriel Beaugrand paraît être un grand atout pour ce cabinet alors. – Et bien plus encore ! Il est rare de voir un jeune avocat aussi dévoué pour son travail, on a l’impression qu’il ne vit que pour ça, pour le travail. Le premier arrivé au cabinet et le dernier à partir, c’est Gabriel. Il est dynamique et responsable, il faut avouer les faits. – En privé, comment qualifierez-vous Monsieur Beaugrand ? – Véritablement, personne ne connaît Gabriel assez bien pour répondre à cette question. En trois ans, il ne s’est fait aucun véritable ami, la seule qui le connaisse sur le bout des doigts est sa secrétaire et il paraît complice avec Vanessa, mais cela ne va pas plus loin qu’une relation professionnel. Il n’a pas l’air d’être une personne qui s’attache facilement. Aux dernières nouvelles, il n’a pas de petite amie mais aux dernières nouvelles, il n’est pas le petit ami que toutes les filles recherchent, bien au contraire. J’ignore comment il est dans la vie de tous les jours mais s’il est aussi borné, autoritaire et insupportable qu’au travail, il doit posséder qu’une poignée d’amis, et encore. – Si vous deviez utiliser un adjectif mélioratif pour le décrire ? – Question difficile. Aucune ? Il faut dire ce qui est, il est très peu gentil et agréable avec le monde qui l’entoure au travail, et ce n’est pas le collègue le plus calme. Peut-être honnête ? Loyal ? Quoi que, j’ai quand même quelques doutes. Hm sinon sérieux ! Très sérieux ! Et professionnel. Et selon les rumeurs, il lui arrive d’être de bonne humeur de temps à autre et d’être drôle, dans le genre à raconter blagues sur blagues, mais rares sont ces moments. Mis à part ambitieux, sérieux, professionnel, je ne vois pas donc. – Pouvez-vous croire qu’il aurait pu être naïf et fragile adolescent ? – Avec un caractère comme le sien aujourd’hui ? Absolument pas ! Ne racontez pas n’importe quoi ! »
Well... It's my story...
▹ C H A P T E R O N E .Si un jour, on avait prémédité que Joana Levy et Siméon Beaugrand allaient engendrer un enfant ensemble, plusieurs auraient rit à cette plaisanterie des plus osées. La french touch mélangé à l'english class. Siméon, le ténébreux étudiant au passé sombre, en droit enchaînant conquêtes sur conquêtes et Joana, la correspondante anglaise qui ne faisait pas défaut à la réputation des anglais, c'est-à-dire prétentieuse, fière, arrogant et snob, surtout snob. Un homme, une femme, deux jeunes, deux futurs avocat et juge, deux rivaux, deux ennemis, qui ne pouvaient décemment pas se voir en peinture. Coucher ensemble ? Laissez-moi rire ! Tout les prédestinait à se mener la bataille jusqu'à leur tombe, rien n'était fait pour que tous deux enterrait l'âge de guerre. Pourtant, pourtant, pourtant; elle était âgée de dix-huit ans, il allait sur ses dix-neuf, et Gabriel Miles Levy-Beaugrand naquit des mois suite à une relation tumultueuse, à Paris, et à la plus grande surprise de tous. Il était choyé, détesté, aimé, adulé (oui, oui), avait hérité des cheveux bruns ondulés de son père et des marrons électriques de sa mère, et le caractère de chien des deux réunis. Autant dire que dès son plus jeune âge, le petit Gabriel savait se faire entendre. « Maman, tu m'achètes ce jouet sinon je dis à mamie que c'est une 'connasse bonne qu'à faire le trottoir'. » Et bien entendu, on cédait à tous ses envies et désirs, lorsqu'on ne voulait pas risquer d'attirer le courroux du petit, qui ne manquait pas de moyens pour obtenir ce qu'il désirait. Enfance joyeuse, heureuse, épanouie, remplie d'amour et de chantages; Gabriel grandit dans cette paisible demeure où il était prince, roi. Rien ne lui était refusé, rien. ▹ C H A P T E R T W O . Petit Gabriel devint grand; âgé dorénavant de dix ans, il s'était légèrement assagit et interprétait le monde à sa façon. Sous ses yeux innocents, ses parents, qui malgré la naissance de leur fils, avaient continué leur guerre de rivalité avec acharnement, et la mini-guerre de rivalité devint une vraie guerre mondiale. Siméon Beaugrand venait d'apprendre la tromperie dont il avait été victime, ainsi que l'énorme conséquence que celle-ci avait provoqué : la naissance d'un second enfant, qu'il croyait en être le père. Pas de chance mon gars, cette fois-ci il faut laisser son tour, partage un peu ! Partage donc ta femme avec ton frère ! Oui, le choc : Joana avait fait preuve d'infidélité à l'égard de son mari avec le frère de celui-ci, et en avait engendré un gosse, Sasha. Petit Gabriel fixait attentivement la dispute qui se déroulait devant ses yeux, opposant son papa et sa maman, essayant éperdument de comprendre ne serait-ce qu'un petit peu la situation. Et petit Gabriel était grand, très grand, et intelligent, très intelligent, il avait deviné avant ses géniteurs où l'histoire allait mener : au divorce, à son plus grand bonheur. Ah oui, faut savoir quelque chose sur petit Gabriel; son père, c'était son pire ennemi, déjà depuis ses deux ans. Une longue histoire. Et sa mère ? sa pire ennemie, depuis cet instant. Chose facile à comprendre. Les voir se briser ? son plus grand bonheur. Pitié qu'il aille dans une famille d'accueil ! ▹ C H A P T E R T H R E E . Dommage pour lui, Gabriel ne fut aucunement placé dans une autre famille, et vécut ce qu'il redoutait le plus dans ce divorce : choisir entre ses deux terribles géniteurs incapables d'élever un stupide gosse. " Pique nique douille, c'est toi l'andouille ! " « Je veux vivre avec mon père. Ma mère ne m'aime pas. Et depuis tout petit, elle me frappe sans arrêt de toute façon. » Faux, bien évidemment (ou presque), mais comme il fallait justifier son choix, et que la vérité sortait toujours de la bouche des enfants hein. C'est ainsi que la vie père/fils commençait, dans une autre ville, dans un autre pays, les Etats-Unis, à New-York. Hello the Big Apple ! Ainsi que petit Gabriel devint vraiment grand, qu'il sombra totalement, malgré lui. ▹ C H A P T E R F O U R . L'humour. L'humour a toujours été son arme de la petite enfance à l'adolescence - escompté le chantage, dont il était roi pour arriver à ses fins. Gabriel Beaugrand (exit Levy-Beaugrand, il était hors de question de porter le nom d'une traînée) avait dorénavant dix-sept ans, bientôt dix-huit ans, et était détesté de tous au lycée. Sa vie de lycéen était misérable; il était celui qu'on enfermait sans scrupule dans les casiers, celui dont les filles n'adressaient aucun regard, celui qui passait inaperçu dans les couloirs en compagnie de son meilleur ami, lui, populaire; il était l'homme invisible. Malgré tout, malgré son père, devenu avocat réputé dans le pays, qui ne lésinait pas sur les moyens pour rendre son fils heureux, et ne comptait plus les milliers de dollars qui sortaient chaque jour de son compte en banque. Petit Gabriel était grand, oui, mais petit Gabriel n'était pas si grand que ça, on le choyait comme un petit bébé : son papa venait à son secours au moindre besoin, et lui donnait de l'argent, beaucoup d'argent. Gabriel était encore un enfant malgré son âge, un 'gros bébé' comme on le surnomme aussi bien. Et pour cause, Gabriel, au contraire d'autrui qui prenait du caractère, au fil des années, devenait de plus en plus facile à mener par le bout du nez, et était à tel point fragile qu'un rien pouvait le faire chavirer. Gabriel, le doux petit miel, comme l'appelait son meilleur ami, Gabin, un pur petit connard new-yorkais, lui aussi d'origine française. Petit il avait hérité du caractère bien trempé de ses parents, mais faut croire que ce caractère s'est perdu au fil des années. Pourtant, malgré sa soumission plus que facile, son père était pire, et Gabriel contrôlait ce dernier comme une jolie marionnette. Son père était le seul à qui il pouvait se permettre de jouer ce jeu. Il tenait les ficelles, il se contentait des les faire manipuler pour son 'papa chéri adoré'. « Oui fiston, le cabriolet sera livré demain à la villa ! » N'était-il pas tout gentil le monsieur tout gros tout pas beau ? Pourquoi la popularité ne s'achetait pas comme lui achetait l'amour de son fils ? Si c'était aussi facile au lycée, Gabriel aurait sans doute toutes les filles qu'il désire à ses pieds, quel pied ce serait ! Mais la popularité n'était pas si facile d'accès, et l'argent n'était pas mot d'ordre, le physique comptait également. Malheureusement, le physique, il ne le possédait pas à cet âge. L'humour, l'humour avait toujours été son arme vous dis-je, mais l'humour, à quoi ça sert ? ▹ C H A P T E R F I V E .« T'es qui toi ? - Ta sœur, espèce de con. Enfin, ta soeur et ta cousine en même temps; enfin tu vois. Sasha. Fille de la salope qui a trompé son mari avec son frère, cette même salope qui t'a engendré. Tu te souviens pas ? Au pire, on s'en fout, juste ferme ta gueule et suis-moi ! - Wow wow, attends une minute d'abord, c'est quoi cette histoire ? T'as perdu un pari avec ton coiffeur ou quoi ? Comment tu oses te balader avec cette chose sur ta tête ? » Au fond, il le savait, jamais il n'aurait dû la suivre cette folle à la coiffure impardonnable qui prétendait être sa scousine - sœur + cousine. Sa sœur ? What is the fouuuuck ? Souviens pas d'avoir eu une sœur. Mais, petit Gabriel était en quête d'aventure, petit Gabriel voulait vraiment devenir grand, vraiment vraiment grand et prouver au monde entier qu'ils avaient eu tord de le rejeter comme ça. Sasha était arrivée au parfait moment, et en très peu de temps, elle était devenue sa conscience, son point faible, son diable personnel. Elle était la connerie incarnée, et elle, avait réellement hérité du caractère de leur mère. Il était très naïf, elle avait des idées tordues. Durant des mois, des années, il avait été sa marionnette, son jouet. Durant des années, elle l'avait tiré vers le bas, le rendant 'bad boy', l'initiant aux drogues et autres genres, l'écartant petit à petit de sa minable vie insignifiante. Il avait totalement changé, était méconnaissable, aussi bien physiquement que moralement, et en était drôlement fière. Petit Gabriel avait bel et bien grandit ! Au revoir petit navet, bonjour oh grand monsieur bad boy ! Drogues, sexe et alcool étaient les mots ordres de sa nouvelle vie. Gabriel avait dorénavant vingt-et-un ans, était majeur, et venait tout juste de couper les ponts avec son père. Il vivait sa vie en compagnie de sa diablesse de sœur/cousine, et profitait de chaque instant. La vie devenait un jeu, un jeu drôlement amusant et sans limites. Un jeu vraiment plaisant, je vous le jure. Puis, un jour, le jeu s'arrête. Totalement. « Monsieur Beaugrand, je vous arrête pour la tentative de cambriolage de cette banque. Vous avez le droit de garder votre silence ... » ▹ C H A P T E R S I X . Un an de prison, ça use quand même. Oui, un an. Heureusement qu'un an. Un an suffit. Papa était venu à son secours, comme toujours, et malgré qu'il lui en voulait profondément, papa ne pouvait laisser son fiston laisser pourrir dans ce trou-à-rat, non ! Mais papa avait une seule et unique condition en échange de sa liberté : « Tu vas me faire le plaisir de te reprendre en main Gabriel Miles Beaugrand ! Et maintenant ! Ecoute-moi bien : un policier va venir t'interroger, encore, et cette fois-ci, tu parleras, tu as compris ?! Tu parleras, et tu accuseras cette petite pétasse ! Elle le mérité ! » Monsieur Beaugrand Junior soupira. Il faut croire qu'après toutes ces années, il n'avait pas achevé sa phase de pardon envers son ex-femme et cette petite gamine sur qui on reportait tous la faute, malgré son innocence dans l'histoire. « Sasha. » avait répondu Gabriel avec un dédain sans pareil, et une haine qu'il avait essayé de dissimuler - en vain. Mais la haine contre qui ? Son père ? Sasha ? Sa mère ? Le monde ? Beaugrand Senior leva les yeux au ciel. « La ferme Gabriel et fais bien ce que je te dis si tu tiens à ta liberté ! [...] Et ensuite, tu reprendras ta vie en main, j'engagerai un détective pour blanchir ton casier pour que tu puisses entrer à l'université, à Harvard ... - Mon papounet chéri, quel héros ! - ... pour étudier le droit, ainsi qu'il avait été convenu à ta majorité ! Il suffit de m'emmener en bateau comme tu l'as fait adolescent, je ne suis pas naïf et encore moins stupide, Gabriel, mets-toi bien ça dans la tête. Et tu oublieras cette traînée sur ta route pour Harvard, je refuse que tu aies la moindre contact avec elle. Aucune. Compris ? De toute manière, elle finira par pourrir dans ce trou pour un minimum de cinq ans, et je t'interdis de lui rendre une seule visite. Compris ? » Oui, il a compris le petit Gabriel ? « Est-ce que c'est compris Gabriel Miles Beaugrand ?! » Ouh, il hausse le ton le Beaugrand Senior, tremblez ! Gabriel le fixa droit dans les yeux avant de hocher la tête de haut en bas, en guise d'accord. Il venait de trahir sa sœur, et se sentait cruellement mal. Mais de temps en temps, il faut savoir être égoïste non ? Rares sont les fois où il l'avait été, égoïste, si on y repense bien. ▹ C H A P T E R S E V E N .« Gabriel, une nouvelle affaire pour toi. Harcèlement sexuel au travail qui a abouti à un licenciement sans motif valable. L’employée concernée porte plainte. - Affaire pro bono ? - Oui. - Je ne la prends pas. - Gabriel, je ne me souviens pas t'avoir donné le choix. - Tu sais que je ne prends pas ce type d’affaire, elles sont inutiles et ne sont bénéfiques à aucune carrière de quelconque avocat. Encore moins du mien. Désolé, Vanessa. - Comme je te l’ai dit, je ne crois pas t’avoir laissé le choix. Tu vas prendre cette affaire Gabriel, une affaire pro bono peut être plus bénéfique que tu ne le penses et elle pourra sans doute t'apprendre quelques valeurs morales qui semblent t'échapper : comme le respect des autres, par exemple. Et ne t’avises pas de le refiler aux petits nouveaux, je le saurais Gabriel. » Ainsi voici où en était petit Gabriel en octobre 2013. Avocat de nommé réputé à New-York, travaillant pour un cabinet aussi réputé, petit Gabriel avait on ne peut mieux réussi sa vie. Une belle revanche sur son adolescence catastrophique dont il avait tout fait pour oublier. Changer de vie, changer de caractère, changer de Gabriel. Tout avait été opéré pour qu’il n’ait plus rien à faire avec son ancien lui : chose réussite. Habitant dans un cent-cinquante mètres carrés à lui tout seul, possédant une secrétaire personnelle et ayant une même réputation qu’un des plus expérimentés des avocats de la firme à son âge, rien n’était plus sûr, Gabriel Beaugrand, le petit Français jadis persécuté avait percé le secret du bonheur. Il était heureux. Il ne rendait pas heureux le monde qui l’entourait par son caractère aisément détestable mais aux dernières nouvelles, il ne se souciait que très peu de ce que le monde pensait de lui. ‘It’s not about caring, it’s about winning’ : son crédo qui lui permit de grimper les échelons. Petit Gabriel, dont personne ne se souciait, avait dorénavant totalement disparu, laissant place à grand Gabriel, dont tout le monde se préoccupait dorénavant. Réussir. Par la réussite, il avait honoré le souhait de son père. Son défunt père à qui il devait, sans aucun doute, tout. La mission auparavant impossible que celui-ci s’était fixé pour son fils venait tout juste de réussir, et de là-haut, il ne pouvait sans doute être plus fier. Du moins, c’est ce que Gabriel espère. La prochaine étape était maintenant officiellement mise en marche : gagner sa propre place au sein des dirigeants de son entreprise. Et Gabriel Beaugrand paraissait prêt à tout pour arriver à ses fins, quitte à laisser sa peau au travail, quitte à n'avoir aucune vie privée. Petit Gabriel avait définitivement disparu. Adieu petit Gabriel, bonjour grand Gabriel !
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → c'quoi cette interrogatoire naméoh ? ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → par la plus belle des moches du monde (sinon ayant tenté 5456645 inscriptions, je connaissais déjà le forum ; promis, j'essaie de rester cette fois-ci) ★Ce personnage est-il un double compte ? → je pense que non ★Présence sur le forum → every day, every night ★Personnage inventé ou scénario ? → personnage inventé wesh wesh ★Crédit images → twisted lips (avatar) + tumblr (icon)
Mon exemple de RolePlay:
→ rp qui date de deux ou trois ans oléé
Etre parents. Certaines personnes vous diront qu’être parents est la plus belle chose qu’il puisse vous arriver dans une vie. D’autres nieront, crieront sur les toits que plus jamais ils ne réitéreraient l’expérience, prétendant que les enfants sont des cauchemars vivants. Tout le monde se fait un avis quant à devenir parents. On y pense souvent, malgré nous ou non. En envisageant le futur, cette idée qu’est d’être nounou d’enfants H24 s’incruste obligatoirement dans notre esprit. Oui, tout le monde se fait un avis vis-à-vis de ce métier très spécial, tout le monde y pense sans arrêt. Moi, y compris. Et encore plus ces derniers temps. Bien que mon avis face à cette lourde responsabilité ait été fait depuis belle lurette, je ne cesse de remettre cet avis ces dernières semaines. Quand on est petit, lorsque le monde vous parait merveilleux et insouciant, devenir parents est présenté à vos yeux comme un jeu, un jeu fort amusant et plaisant. Un jeu qui vous attire malgré vous. Un jeu dont vous avez envie de réaliser, encore et encore, même quand vous serez grand. Surtout quand vous serez grand. Toutes petites filles rêvent de devenir maman, elles s’entraînent dès le plus jeune âge pour satisfaire au mieux les envies d’un petit bout d’choux non-réel et devenir la maman idéale. Contrairement aux petits garçons. Ces derniers rêvent tous d’autres choses, gamins. Police, pompier, gendarmerie, médecin, boucher etc. … tous les métiers y passaient, sauf celui de papa. J’ignore encore pourquoi, mais rares sont les jeunes garçons qui rêvent d’incarner le métier de papa. Rares, mais pas inexistants. J’en suis la preuve vivante. Clément Maxence De Beauport, oui, a toujours rêvé de devenir père, je l’annonce au monde entier ! Mais en grandissant, l’envie s’est éteint de plus en plus en moi … enfin, c’est ce que je pensais. Pourtant, lorsque l’on m’annonça, lorsqu’elle m’annonça sa grossesse duquel j’en étais entièrement fautif, j’avais ressenti un sentiment dont je n’avais jamais ressenti auparavant. Un mélange de bonheur, d’appréhension, de peur, de stress et de joie, d’immense joie ! Quand elle m’avait annoncé cette nouvelle, je sus alors que tout allait changer dans ma vie, tout aller prendre un tournant différent de ce que j’avais prévu. Adieu monsieur Salaud-sur-service, bonjour monsieur Papa-adorable ! Car oui, j’allais être papa, et le meilleur papa que l’on est jamais vu qui plus est. La vie n’est-elle pas merveilleuse ? Je vais être papa ! Hm, petite précision, elle, c’est Micah Greenberg, une célébrité connu aux yeux de tous, la futur maman. Déjà un bon petit bout de temps que l’on se fréquentait, assez pour qu’elle tombe enceinte de moi en tout cas, sans pour autant que l’on finisse ‘ en couple ’. Et c’était aussi bien ainsi. Personne n’attendait quoi que ce soit de l’autre niveau engagement, encore mieux ! Nous étions de simples amis, de très bons amis qui se fréquentaient tout simplement et qui attendaient un bébé, rien d’autre. Des amis qui s’apprêtaient à parcourir les magasins hors-prix à la recherche de futurs éléments pour le bébé ; habits, chaussures, lit … Depuis l’annonce de sa grossesse, nous n’étions jamais sortis faire ce genre d’emplettes, et avions rarement parlé du fœtus ... Je suppose qu’il faut une première fois à tout, en espérant que cette première fois se déroulera à merveilles. En effet, je ne savais pas trop comment réagir face à elle. Si je devais être stressé ou non, détendu ou non, anxieux ou non, attentionné ou non … Si je devais lui faire la bise ou l’embrasser pour la saluer, la tenir par la main ou non … Tout était tellement confus dans ma tête. Nous n’étions pas en couple, mais nous attendions un enfant ensemble, tout était si compliqué. Maudit soit la vie ! « Micaaaaah, une heure que je t’attends ‘tain ! Qu’est-ce tu fous ma belle ? J’suppose qu’il y a encore des paparazzis … Enfin pas grave, prends ton temps, te presse pas, mais évite de me faire poireauter une heure de plus quand même hein. A t’aleur ! » Alors que je raccrochais après avoir laissé un énième message à la boîte vocale de Miss Greenberg, j’entendis un bruit de déclenchement d’appareil photo puis vit un flash, au loin. Sans même vérifier, je devinai aisément ce que c’était, et commençai légèrement à chauffer. Non qu’ils étaient envahissants, nooooon, du touuuut, mais ils étaient irrespectueux ! Je venais tout à peine d’apprendre que je devenais papa que la nouvelle avait déjà été annoncée dans les magazines people, dans le monde entier ! Je me demande même si le monde entier n’avait pas été mis au courant avant moi. Exaspérant ! Ou, il y avait bien un côté positif à cette situation : je devenais célèbre. Enfin, côté positif, côté positif … Hm, bref, passons. J’attendais encore Micah, l’air désespéré, devant un magasin pour nourrissons, répétant maintes et maintes fois la scène de nos salutations, quand quelqu’un m’interpella …
Dernière édition par Gabriel M. Beaugrand le Mer 30 Oct - 23:41, édité 13 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Lun 28 Oct - 23:49
JULIAN. Je viens à peine de l'abandonner qu'il est déjà repris, je savais qu'il y avait anguille sous roche en lisant la partie "my litte secret". Qui est la cafteuse ? Bref, du coup, tu comprends que j'exige un lien.
Re-bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Lun 28 Oct - 23:55
je mise sur marine en tout cas excellent choix BABY MORRIS EST TROP SEIXY bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Lun 28 Oct - 23:55
Et ben il aura pas été libre long temps
Bienvenue parmi nous, très bon choix d'avatar Bon courage pour ta fiche
Guest
Empire State of Mind
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Lun 28 Oct - 23:56
Levy, comme mon prof de philo bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Lun 28 Oct - 23:59
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 0:01
Re-bienvenue
Elsa J. Shadow
Empire State of Mind
◊ It's a new dawn, it's a new day, it's a new life
Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 0:03
Rebienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 0:08
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 0:12
Merci tout le monde
Hope. Tu dois être celle qui je dois remercier pour me permettre d'avoir Julian alors La cafteuse ? Zaira (alias Marine, il me semble que tu la connais ) elle m'a mis le couteau sous la gorge pour que je prenne Julian quand elle a vu qu'il s'est libéré Non, promis, c'est une coïncidence et une énorme chance que je sois tombée sur le bon jour ; promis, personne a vendu, et promis je vais bien m'occuper de Julian et il est évident qu'un lien s'impose je ne connais pas la petite miss de ton avatar, mais elle est mignonne comme tout et merci
Juliett. Pourquoi c'est tellement évident que ce soit elle ? merci, et je te retourne le compliment pour Palmer et Dobrev et Collins ok, je t'aime, on se marie ? et je n'hésiterai pas pour la box
Dylan. Une chance ou une malchance ? Merci, et très bon choix d'avatar
Luka. Désolée de te faire remémorer ton prof de philo mais rien que pour ce nom, ton prof mérite une palme d'or Et merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 0:15
Putain, Marine, que c'est étonnant. Tonkin, Morris, je la connais trop bien. Je ne sais pas si K. parlait de cette Marine là mais elle a du nez. Et oui, Marine, c'est une longue histoire, pleine de sims et d'avatars.
Donc oui, après des mois de loyaux service, je l'ai abandonné mais ce fut pour le bien de tous. Toi, déjà, vu ta manie d'écrire et de mettre des smileys, je t'aime. et je compte sur toi, il est si fragile ce petit Morris, si vite tourmenté.
Ginny est en phase d'être popularisée, je me prépare psychologiquement. Et tu me trouveras sous Shall (dianna agron) aussi. J'attendrai ta validation.
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 0:16
Gabriel M. Beaugrand a écrit:
Dylan. Une chance ou une malchance ? Merci, et très bon choix d'avatar
Une chance pour toi C'est que ça me fait drôle, c'était le scénario de ma Candice
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 0:20
Bon retour alors, d'après ce que j'ai compris! ♥
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 0:34
excellent choix d'avatar Re-bienvenue sur le forum dans ce cas
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 0:39
Hope. Trop prévisible t'as vu, mais bon qu'est-ce que tu veux, on la refait pas Marine je pense qu'elle parlait de la même Marine : en gros, Marine, t'es grilléééée ha les sims, tout s'explique Arf, j'espère être à la hauteur de la relève alors bon j'ai aussi une très grande histoire d'amour avec Morris donc je pense que ça devrait le faire mais sinon tu me fouettes si t'es pas satisfait je pense on devrait bien s'entendre nous deux en effet, surtout si tu m'aimes déjà, qui plus est je t'en veux pas, tout le monde a tendance à m'aimer très rapidement Après avoir cherché des informations sur ta Ginny (t'as vu comment j'insiste bien sur le "ta" : avoue, tu m'aimes ), en fait je la connais, du moins de Glee, même si je me souvenais plus d'elle, je la connais elle promet cette petite, je te conseille de marquer au fer rouge "propriété privé" quelque part sur son corps, c'est plus sûr, crois-en l'experte Bref, le flood cey mal, je finis cette fiche et on se trouvera un lien d'enfer
Dylan. ça peut tout aussi être une chance pour toi si on se trouve un lien d'enfer, une fois validé Mow d'accord, j'imagine que ça doit te faire drôle, donc comme je l'ai dit avant, j'espère être à la hauteur pour la relève de Morris alors
Artemis. Ce n'est pas un retour à proprement parler mais merci, c'est gentil ps : Lily Rabe, mon dieu quel choix, elle est juste extraordinaire dans AHS
Camelia. Je te retourne le compliment, poupée Palvin merci
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 0:55
BIENVENUE sur le forum
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 2:08
Bienvenue parmi nous C'est pas juste que la vie de ma Ailynn soit déjà terriblement compliqué, parce que J. Morris quoi
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 4:09
Bienvenue parmi nous Julian
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 12:22
Hello ! Je te souhaite la bienvenue parmi nous ! Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 12:32
Bienvenue sur le forum, quoi que si j'ai bien tout compris on t'a prise en otage ! T'inquiète tu vas bientôt développer un syndrome de Stockholm et tu ne voudras plus partir !
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 12:42
WELCOME AT HOME BABY BOY
Bon courage pour ta fichette et excellent choix d'avatar
D'ailleurs je pense qu'un lien va s'imposer entre les deux avocats
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 13:47
bienvenue a toi tu es sexy par contre tim te dit de te calmer sur hope sinon bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 16:41
Re bienvenu ! Bonne chance pour la suite de ta fiche
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 18:27
Marine, fidèle à elle-même. Je te fouetterai de toute manière mais avec douceur. Je sens que l'on va bien s'entendre, on va se faire un joli petit groupe de fous, ça va être cool.
T'en fais pas, je répète souvent qu'elle est à moi. tu es trop choue. Pas de soucis, bon courage en tout cas.
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel) Mar 29 Oct - 20:06
Gabriel M. Beaugrand a écrit:
Dylan. ça peut tout aussi être une chance pour toi si on se trouve un lien d'enfer, une fois validé
J'y compte bien
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Sujet: Re: that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel)
that awkward moment, when a slut wears clothes (gabriel)