Sujet: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Ven 8 Nov - 0:37
FEAT. FINN HARRIES
Daniel Jackson SPADE
22 ans → Né à Leadworth, UK, le 23/08/1991 → Étudiant en Photographie célibataire → pansexuel → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? ♦ Éternel gamin au crâne renversé dans un grand bol de rêves, Daniel ne vit que pour la beauté de son univers. ♦ Daniel est en très mauvais terme avec son frère jumeau, Alex. Les deux garçons ne se parlent presque plus depuis qu’il a décidé de quitter l’Angleterre pour ses études. ♦ Il ne sait que très peu cuisiner et préfère manger à l’extérieur ou commander chez lui ; c’est très rare de le voir derrière les fourneaux. ♦ Il possède un tatouage sur l’omoplate gauche, une ancre. Pourquoi ? Parce qu’il trouve le motif joli. ♦ Maniaque, il n'y a pas un seul endroit qui soit passé au peigne fin au moins trois fois par jours. ♦ Il ne porte que très rarement de chaussettes. ♦ Du coup, il marche souvent pieds-nus, chez lui; ou chez les autres. ♦ Qu'il s'agisse du bras droit ou gauche, il y a très souvent plusieurs bracelets de diverses couleurs et formes autour de ses poignets. ♦ Daniel est hypocondriaque. ♦ Il porte des lentilles de contacts et parfois des lunettes en même temps, tant il oublie ces-mêmes lentilles. ♦ Son mètre 90 lui permis pendant une très courte période, vraiment très très courte, de faire du mannequinat. ♦ Il n'a jamais bu une goutte d'alcool de toute sa vie. ♦ Par contre, il fume depuis ses 14 ans. ♦ Il considère son appareil photo comme son propre enfant et ne l'échangerai pour rien au monde. ♦ Il dort avec un lapin en peluche. ♦ Il est plus proche de sa mère qu'il l'est de son père. ♦ Il aime les vieux groupes de Rock'n'Roll autant qu'il apprécie la musique classique. ♦ Il apprend à jouer du violon ♦ Il a encore beaucoup de mal avec le système de circulation des États-Unis, ce qui a pu être annonciateur de situation très comiques dans les rues de New-York. ♦ Croyez-le ou non, vous n'irez pas vérifier de toute façon, il est complexé par la taille de son... entre-jambe.
★Quel est le caractère de ton personnage? Né sans la moindre aisance prédisposée pour l’aider à grandir et l’accompagner dans la dureté de la vie, Daniel à la sympathie sans limite nous apparaît comme un jeune homme bien dans son corps autant qu’il semble l’être dans son esprit. Fort en amabilité, incombé d’un très grand respect envers presque tout, on irait presque à croire qu’il est trop droit pour être vrai. Comme tout adolescent qu’il n’est plus que depuis quelques années seulement, il lui arrivait d’être irascible parfois même insupportable, mais depuis peu il s’est assagit et se comporte en véritable gentleman de la classe britannique. Rien de plus satisfaisant pour lui que d’être apprécié autant qu’il peut apprécier la vie. Jeune garçon au cœur sur la main, il n’hésite pas à se montrer généreux, parfois même beaucoup trop et se comporte rarement comme quelqu’un de peu sympathique envers quiconque. Très porté sur l’amour de son prochain il correspondrait à ces hippies d’autrefois si l’on ne le savait pas fort en bouche. En effet, bien que très agréable avec un grand nombre, il arrive que le garçon sache se montrer sous le mauvais jour, facilement nerveux et très rapidement stressé par la difficulté de vivre loin de son pays natal, il est une boule de nerf déguisée sous une grande compassion et gît entre les deux, comme suspendu sur une corde pendante entre la bonté et la monstruosité. Pourtant, bien que très fragile entre sa rage et sa pureté d’âme ; il reste un garçon très simple et très peu évocateur du moindre trouble. D’ailleurs très charitable, il se voue à une constante dévotion envers la cause du plus faible et du plus pauvre ; toujours prêt à donner de ce qu’il a de plus important pour aider, il est quelqu’un de très fiable et de très confiant dans ses acte. Il voit encore quelque chose de bon dans l’humanité. Proche des autres il est très attaché dans la stabilité de la vie et ne supporte que très vaguement les chamboulements qu’une amitié peut provoquer, d’autant qu’il supporte très peu les vagues que l’amour viendrait déposer sur sa plage, bien que romantique transi il se dit que ces choses-là ne lui conviendraient pas parce qu’elles appellent à prendre trop de responsabilités et que plus il en prendrait plus il serait gêné ou embarrassé d’être avec une autre personne. Et pourtant, il est un garçon incroyablement sociable, qui n’hésite presque jamais à faire le premier pas pour venir s’adresser à quelqu’un qu’il aurait à peine croisé, à l’humour quelque fois douteux, il reste un grand boute-en-train ainsi qu’un amusant bouffon.
Well... It's my story...
« Pan ! Pan pan ! Paf le monsieur est mort. Paf, le monsieur tombe à terre. Paf, j'ai gagné.
Le genou à terre, les cheveux en bataille écrasés sous un casque de vélo noir, le t-shirt blanc plein de tâche d’herbe et de terre. Je baisse mon fusil, je regarde par-dessus ma cachette imprenable. Puis je vais vérifier qu’il est bien mort. C’est la guerre, qu’je dis dans mon talkie-walkie en r'gardant le monsieur, y a des gens qui meurent, et y en a qui vivent. Toi, tu meurs, j’y dis. A TABLE ! Que maman crie. Du coup, Alex il arrête d’être mort. Et il se redresse en m'attrapant la main, parce que je la lui tends et il me pousse pour aller plus vite que moi à table. Faut dire que ça donne faim de faire la guerre, ah bah ça oui. À cause d’Alex, j’suis tombé par terre, alors du coup j’me relève et je file à toutes jambes vers la maison, parce que moi aussi j’ai faim quand même. On a mangé des pâtes avec de la viande avec un goût bizarre, c’était bon. »
Dieu qu'il est loin le temps de ma jeunesse. Le temps de la naïveté, du bonheur simple. Ce temps où Alex et moi étions encore les meilleurs amis du monde. En ce temps-là d'ailleurs, nos parents continuaient de nous faire nous habiller exactement comme l'autre. Peut-être que parce que ce n'est plus le cas, lui et moi ne nous apprécions plus autant qu'avant. Peut-être que c'est parce qu'on se ressemblait en tout point qu'on s'appréciait encore... J’ignore ce qui a changé, mais ce fut radical dès l’adolescence. Lui et moi perdirent cette proximité, cette amitié indécrottable, ce genre de lien qu’on croit incassable tant il a été là pendant très longtemps. Quand on a commencé à baigner dans la puberté, lui et moi sommes devenus irascibles, surtout moi. J’étais un terrible garçon, un petit emmerdeur de première, toujours là pour venir vous ennuyer, toujours là pour venir vous critiquer. L’exemple parfait du salaud, le genre de mec qui se moque de vous si vous portez deux fois la même tenue, le genre de pignouf capable de se moquer de votre apparence. J’étais détestable et je me déteste pour avoir été ainsi. Et puis, le miracle de la fin de puberté apparu, à mes dix-sept ans, c’était relativement tôt puisque la plupart des gens que je connaissais à l’époque n’en avait toujours pas fini. Moi, j’étais terminé, flambant neuf et tout brillant. Allez savoir si c’est lié, mais être passé par les boutons, la voix en pleine mue, et le caractère à fleur de peau, ça vous change un homme. Surtout quand ce même homme était un enfoiré. Et puis, aussi, j’ai découvert les cours d’Arts Plastiques au lycée. Parce que ça n’a rien à voir avec ce qu’on fait dans les classes précédentes, c’était un exutoire si profond que je m’étais toujours demandé comment j’avais fait avant ça. Mon professeur était un homme dans sa jeune quarantaine, aux cheveux couleur poivre et sel toujours en bataille, il avait l’air d’un cinglé mais était très sympathique. C’est grâce à lui, d’ailleurs, que ma passion est née. Dès la classe de Première, j’ai été mis en émoi par tant de choses, que ce monsieur m’a guidé avec tant de talent que j’en suis devenu fan. Au fil du temps je suis même devenu son ami, c’est dire à quel point il était agréable à côtoyer. Ce professeur était plus qu’un simple enseignant à mes yeux, c’était peut-être même devenu ma Muse… Je n’ai jamais vraiment eut l’occasion de le découvrir puisque l’année suivante fut porteuse d’une bien triste nouvelle. En effet, un officiel de l’administration vint tout de noir vêtu alors que nous recevions nos emplois du temps, et je sus à ce moment précis que le pire viendrait. D’une voix tremblante et déstabilisée il nous annonça son décès. L’impression de tomber du haut d’un gratte-ciel, vous la connaissez ? J’ai senti mon cœur chuter dans mes tripes jusqu’à ce qu’il s’écroule dans mon estomac. Vraiment, j’étais détruit. Qui pouvait penser qu’on pouvait autant s’attacher à un professeur ? On oubliait qu’ils étaient eux-mêmes humains, qu’ils éprouvaient des choses… Qu’ils étaient tout simplement réels. Et voilà, en un rien de temps, plus vite qu’il n’en fallait pour souffler, il venait de disparaître. De nous quitter, de me quitter. Et le plus étrange, c’est que je semblais être le seul à vraiment en être attristé, je voyais les autres se réjouir, certains s’exclamaient même qu’ils n’auraient pas cours d’Arts avant un long moment… J’étais enragé mais trop explosé dans mon intérieur pour oser défendre sa mémoire. Il y en avait qui étaient silencieux, d’autres étaient intrigués, incapable pour le moment de comprendre ce qu’il se passait. Moi, écrasé contre moi-même, serré dans ma chaise, je pleurais. Tout seul dans le coin, à l’abri des autres, enfermé derrière la silhouette de mes voisins de table.
L’année fut une torture. Et quand enfin, je fus en mesure de quitter ce monde qui m’avait tant marqué, je décidais d’étudier au plus loin de la mémoire cet homme qui me manquait tant. Et malgré mes nombreuses tentatives, personne ne comprit cette insurmontable peine qui me pesait dessus. Et plutôt que d’essayer en vain de convaincre mon entourage, je masquai cette douleur derrière monts et merveilles de sourires et de plaisanteries. Arguant que je voulais étudier dans les terres de l’Oncle Sam parce que les possibilités étaient plus grandes là-bas, c’était tout à fait crédible, et l’on me détesta pour cela. Mes parents comprenaient, ils se doutaient bien qu’un jeune homme comme moi avait besoin de grandes débouchées, mais mon frère, tout aussi borné qu’il fut voyait cela comme une tentative de ma part pour montrer à quel point j’étais « si inestimable et meilleur que tout le monde, car [j’] avais le droit d’étudier à New York. De côtoyer le Rêve Américain, et tout ça. » Depuis mon départ, c’est presque comme s’il ne me connaissait plus, et ça aussi, ça m’attriste… Mais au moins, je peux essayer de rendre hommage à ce grand homme qu’était mon professeur, j’ai même hérité de son appareil photo. Alors si je dois devenir quelqu’un à New York, je deviendrais quelqu’un pour lui.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Adonis, 18 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → En traversant de l'autre côté du miroir, Alice. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Absolument pas ★Présence sur le forum → Ça peut varier sur de nombreux tableaux, mais en principe, je suis là plus qu'il n'en faut ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé tout droit depuis mon esprit bancal. ★Crédit images → Dieu, si Ça existe, pour avoir engendré cette petite beauté ?
Mon exemple de RolePlay:
→Doctor Who Reprézennnnnnnnnt .
« Sombre et mal-éclairée, cette pièce regorgeait d'une ambiance bien que très sombre, étrangement agréable. Le ciel pleurait tandis que l'ombre des nuages couvraient l'habituelle couleur des cieux. Les bruits du tonnerre qui grondait faisait chanter l'environnement, qui se pliait à sa puissante voix. L'herbe bien qu'épaisse était très courte et gisait au sol, écrasée par la lourde pluie, qui était bien plus pesante que pouvait l'être celle de la planète Terre ou d'un tout autre monde. Les routes pavées brillaient d'humidité tandis que de la boue se mêlaient à elles, dans les campagnes du Monde. On entendait de très faibles craquements dans les nuages, car les éclairs commençaient à se manifester au gré de cet orage qui continuait de faire taire toute vie. Les enfants dissimulaient leurs frêles échine sous leurs draps, tandis que les parents verrouillaient les fenêtres et les portes. D'autres, plus courageux, osaient garder leurs portes et leurs fenêtres déverrouillées tandis que l'orage continuait sa course tonitruante au travers de ce monde. La minuscule fente qui servait de fenêtre à ce cachot donnait une vue réduite et contrainte sur les pieds et les mouvements de quelques gardes qui tournaient en rond, répétant leur patrouille depuis des jours, voire plus... Qui sait ? L'extérieur dans lequel on apercevait les jambes couverte de bottes en métal sombre, semblait être celui d'une cour, peut-être s'agissait-il d'un château médiéval. Cependant, à la lueur des quelques sources inconnues de lumière qui en provenaient, le sol semblait organique, d'une teinte violette, comme s'il s'agissait d'un organisme évolutif de taille gigantesque. Un éclair frappa, et l'on pu avoir confirmé de cette supposition. Les hommes de ce monde enfermaient leurs prisonniers au dessous d'une bête dans laquelle ils vivaient ?
Lorsque le second éclair frappa, une silhouette fut aperçue, dans la cellule, en plus de celle de cette femelle qui frappait à répétition contre les barreaux, se plaignant d'être enfermée injustement, peut-être... L'ombre du deuxième personnage fut projeté contre le mur qui faisait face à la large cellule dans laquelle les hommes avaient jetée l'extraterrestre. Le noir complet. Un autre éclair, la même silhouette. Puis, soudain, on vit les torches s'enflammer unes à unes, sans que personne n'ait été présent pour le faire. Le noir complet commençait à s'effacer et l'on voyait apparaître la même matière visqueuse violette contre les murs en pierre, c'était visiblement présent en profondeur, en plus de la surface. Lorsque toutes les torches furent enflammées ont eu pu remarquer qu'elles étaient elles aussi couverte par cette étrange organisme de la couleur pourpre. Des filaments traversant les fissures des murs, grimpants dans les plafonds, s'enfonçant dans le sol, c'était incommensurablement grand. La seconde silhouette ne bougeait pas, c'était un homme. Dissimulé sous de grandes robes, il avait le visage à demi-couvert d'un genre d'ample capuche d'un brun sombre. Les deux mains jointes par dessus ses genoux, écrasés contre le sol, tandis que ses pieds étaient en contact avec le mur, comme son dos. On pu apercevoir qu'il serrait entre ses index un chapelet, semblable à ceux que les terriens ont l'habitude d'avoir, à ceci près que le sien était de la couleur de l'or, et qu'il n'y avait aucune représentation d'un messie crucifié. De même, les habituelles perles, étaient ici remplacés par des dodécaèdres d'or dont chaque face étaient marqués par un symbole différent à chaque fois. Si on s'attardait à les compter, on aurait pu remarquer qu'il y avait douze pièces géométriques. Le visage couvert d'une barbe, sa peau d'un blanc presque aussi clair que l'opale laissait penser qu'il s'agissait d'un cadavre mort dans cette position de prière, car on ne pouvait apercevoir de lui pas le moindre signe de vie, immobile et immuable.
Un autre éclair. La capuche de l'homme s'abaissa, comme si un tentacule venu de son dos l'y aida. En fait, on pu très brièvement apercevoir que les traînées violettes de cette étrange matière convergeaient toute en un point, sous ses genoux. Avec imagination, il était donc possible de supposer qu'il en était la cause et l'origine. Un autre éclair vint frapper le ciel, et les torches frémirent brièvement par le vent qui venait de s'engouffrer depuis le long du couloir en pierre. Mais elles ne s'éteignirent pas et au contraire, les flammes furent intensifiées. Si bien que la lueur qu'elles dégageaient permettait désormais de clairement apercevoir le visage de l'homme, son apparence humaine était un trompe-l’œil certain, car il ne l'était pas. On remarqua qu'aux côtés de ses yeux, depuis ses tempes, brillaient quelques veines teintées de violet, semblant provenir de derrière son crâne, pour s'engouffrer dans ses orbites oculaires. On avait l'impression qu'ils allaient s'ouvrir à tout moment pour nous dévorer, telles les mâchoires d'une bête démoniaque. Cependant, ce fut autre chose qui vint à s'ouvrir : les lèvres de l'homme. D'abord silencieuses, elles laissèrent tomber de la poussière, suggérant que cela faisait de nombreuses années qu'il n'avait pas prononcé un mot et qu'il était là, assis, priant. Ensuite, d'une voix enrouée par le silence il prononça quelques mots. « Celle qui par la prétention manie les arts occultes ne peut supporter de voir la justice. Et que dans celle-ci, elle puisse un jour trouver l'hospice. Je l'espère. » Suite à cet étrange proverbe, il ouvrit les yeux, révélant un regard presque paternel qui fixait depuis son arrivée la demoiselle. Les veines colorées disparurent et l'étrange matière commença à décroître, comme un animal rampant rentrant dans sa ruche, les masses gluantes et visqueuses glissèrent jusqu'aux genoux de l'homme et s'enfoncèrent dans ceux-ci, avant de disparaître et de ne laisser voir plus que la formation originelle et rocailleuse de la geôle. Cependant toujours immobile, l'étrange homme maintenait sa position de foi et caressa du bout d'un doigt la face de l'un des dodécaèdres. « Livre des Hénochiens; 754ème rime. » Prononça-t-il de sa voix toujours enrouée, le regard planté dans la demoiselle. »
Dernière édition par Daniel J. Spade le Dim 10 Nov - 3:29, édité 33 fois
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Ven 8 Nov - 0:55
Hello little cutie ! Je te souhaite la bienvenue sur NYCL ! Tu vas t'éclater parmi nous, tu vas voir ! Good luck pour ta fiche ^^
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Ven 8 Nov - 0:56
Tiens, un autre pansexuel. Bienvenue au club et sur NYCL! =)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Ven 8 Nov - 0:58
Bienvenue parmi nous
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Ven 8 Nov - 20:49
bienvenue parmi nous
bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Ven 8 Nov - 21:03
Hope A. Roseberry a écrit:
FINN HARRIES. :iron:marry me.
N'allons pas trop vite en besogne madame !
Merci peuuuuple
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Ven 8 Nov - 21:05
Madame. Tu viens d'entrer dans ny folie, prépare toi.
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Ven 8 Nov - 21:16
Le gif de ta SIP bienvenue sur NYCL
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Ven 8 Nov - 23:52
Bienvenue sur NYCL Bon courage pour ta fichounette
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Sam 9 Nov - 14:25
Bienvenue parmi nous !!
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Dim 10 Nov - 3:05
Thanks everybodyyyy
*se dépêche de finir son bébé*
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Dim 10 Nov - 5:17
Bienvenue
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Dim 10 Nov - 12:10
Ta fiche est bonne pour moi, ton personnage m'a l'air intéressant Je te pré-valide donc, en attendant qu'une admin passe t'ajouter à ton groupe Bon jeu parmi nous
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear. Dim 10 Nov - 13:39
Yayyy
Merci !
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Sujet: Re: Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear.
Daniel Jackson Spade | I'm an ace of spade m'dear.