Sujet: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Lun 11 Nov - 23:31
FEAT. TAYLOR KINNEY
Andrea Jason Wade
31 ans → Né à New York le 16/05/1982 → Pompier marié, mais en cours de divorce → hétéro ? homo ? bisexuel ? bonne question → membre des workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? Il est l'aîné d'une famille de 4: il a trois petites soeurs, dont une qui est décédée le 11 septembre 2001 ✈ Il a toujours rêvé au "rêve américain"; la petite femme parfaite, les gosses, le chien, la grosse maison blanche... ✈ Il a des goûts musicaux très pointus: il n'écoute que ce qui a été fait avant les années 80. Presley, les Beatles, Johnny Cash, Queen, Led Zeppelin, Bob Dylan, Pink Floyd, etc. ✈ Il est doué pour les travaux manuels: menuiserie, mécanique, etc. Il caresse d'ailleurs depuis un moment l'idée de construire une maison pour sa petite famille. ✈ Boire et fumer font parties de son quotidien depuis maintenant plusieurs mois, il ne s'en passe plus et refuse catégoriquement de reconnaître une quelconque dépendance à ces produits ✈ Il a été blessé au combat (lors de son service militaire) ce qui lui a laissé une jolie cicatrice au niveau du torse ✈ Jeune père, il ne fut pas très présent de part son métier durant les premiers moments de la vie de sa fille, aujourd'hui il essaie de se rattraper tant bien que mal, en voulant devenir un super papa ✈ Il possède une mémoire d'éléphant et la plupart de ce qu'il lit il est capable de le réciter de mémoire ✈ Il ne montre pas ses sentiments. Il ne craque qu’une fois seul, mais on peut déceler certaines choses. Quand il est mal à l’aise, il se passe une main sur la nuque et quand il est indécis, il se gratte la barbe .✈ Il a un sens de la famille très aiguë. Il ne supporte pas qu’on fasse du mal à ses proches et pour cela il est prêt à en arriver aux mains s’il le faut. ✈ Depuis un dérapage avec le chef des pompiers de la caserne où il travaille, il remet en doute toute sa vie sentimental et sexuelle ..
★Quel est le caractère de ton personnage? ✈ Ce type c'est un peu la force tranquille, grand carcasse impressionnante qui ne se prend pas la tête, il fait preuve d'un calme à toute épreuve, d'un charme fou et d'une culture qu'il vous expose au coin du crâne non pas pour se la péter, mais parce que c'est son mode de séduction favori. De toute façon avec tous les livres qu'il avale en grande pompe nul doute que des phrases qui font mouche restent bloquées tout au fond. ✈ Andrea est un garçon bien sous tous rapports. Il a toujours été très calme et patient, c’était comme ça. Il avait apprit à être patient surtout grâce ou à cause de son père. Ce dernier partait souvent et le jour où il est partit pour de bon, il a décidé que son père reviendrait un jour et qu’il devrait donc mettre toute sa patience à l’épreuve. Malheureusement, il n’a jamais revu son géniteur. ✈ On a tous nos faiblesses et il ne déroge pas à la règle, ce serait trop beau pour être vrai non ? Ses seules portes de sortie sont l'alcool et les bouquins. Je vous laisse deviner laquelle est la plus dangereuse. Il n'est pas encore au point de s'inscrire au alcooliques anonymes mais l'alcool ça détend, même si de son coté ça lui donne le coté agressif qu'il n'a jamais étant sobre. Obligé qu'à force d'être tout calme et pas un poil nerveux ça pète à un moment donné. On dit que l'alcool révèle ses désirs cachés ou une connerie dans le genre. ✈ Depuis qu'il y a eu ce dérapage avec son chef de caserne, dans les vestiaires, il ne sait plus vraiment quoi penser, quoi faire de sa vie. Il est marié, papa d'une petite fille et pourtant il se sent attiré par les hommes, du moins par un homme, c'est aujourd'hui ce qui l'obsède plus que tout, trouver une solution, trouver pourquoi, comment cela peut être possible.
Well... It's my story...
"Ce soir là, je suis chef B.A.T, c'est à dire chef du Binôme d'attaque au F.P.T (fourgon pompe tonne) ou autrement dis, le « Gros camion rouge pour éteindre les feux ». La garde s'apprête à passer une bonne nuit avec un Fourgon remplit de quatre volontaires sur les six hommes que compte l'engin.
Et pourtant, une innocente flammèche va chambouler tout ça.
Je m'appelle Andrea, 31ans, sapeur pompier professionnel depuis 2000 et pompier volontaire depuis une quinzaine d'années et papa d'une petite fille.
Vous savez, cette sensation que l'on ressent lorsque l'on se dit ; Aurais-je pu, aurais-je du ?. Ce sentiment de culpabilité que l'on ne peut expliquer. Cette terrible phrase qui nous hante à jamais ; Et si...j'avais fais ceci et si...j'avais fait cela.
Alors un peu de courage ... et commençons.
Nous sommes le 18 novembre 2002, il est 00h53 et je dors comme un bébé, lorsque le fameux « bip » me fait sortir de ma léthargie. J'ouvre les yeux en grand et « saute » dans mes rangers. Je sors de la chambre, ferme la porte et m'apprête à descendre le premier étage par la perche de feu. Une petite voix me dit alors : « Attention mon gars t'es pas bien réveillé». Alors je prends l'escalier afin d'éviter le pire, c'est à dire la chute. A peine la première marche en vue, je me rends compte que la seconde est déjà là. « Ouf ! » un peu plus et j'y avais droit à ma gamelle. M'enfin, j'arrive tout de même à descendre et à me retrouver par je ne sais quel moyen à ma place dans le fourgon, il démarre. Mince alors il est assez rare que je sois chef B.A.T !!! Alors si sa crame, ce soir, c'est pour moi ! Bizarrement, le calme et le silence sont pesants. D'habitude, tout le monde est excité en partant en feu et là, rien. Pas un bruit, si ce n'est le ronflement du moteur, qui à une sérieuse tendance à bercer. A cette heure-ci, il n'y a personne dans les rues, et il n'est donc pas nécessaire d'user du « pimpon » qui aurait pu m'éviter de me rendormir. Mais arrivée à environ trois cent mètres des lieux de l'intervention, c'est le vacarme de la radio qui ramène à la réalité. « Important panache de fumée » que le chef d'agrès du fourgon se met à hurler dans cette radio.« Oula ça doit bien riffer » que je me dis !!! Effectivement, en levant les yeux, je vois une façade de bâtiment, éclairée par les plus grandes flammes qu'il m'est été donné de voir. Bon je finis enfin de me préparer, les gants, le cuir, le casque, l'A.R.I (la bouteille pour respirer), tout est ok. « Alors là mon gars, va falloir assurer ». On arrive sur les lieux et là, « wouaaa ». Je ressens encore cette folle et immense excitation surplomber tout l'équipage. L'engin s'arrête et Bruno le chef d'agrès donne son premier ordre : « A vos rangs !!! ». Nous sommes alors tous les six, là, au garde à vous derrière le fourgon et fin prêt. Enfin, autant que nous pouvions nous l'imaginer...
Bruno en tête, puis moi suivi de mon équipier, nous passons sous le porche qui nous sépare du bâtiment. Je revois encore cette scène comme si c'était hier. Franchir ce passage, c'était comme ouvrir la porte de l'enfer. Les gens hurlent, crient et paniquent, les vitres éclatent les unes après les autres en laissant s'échapper cette terrible fumée noir. Les gens forment un attroupement devant le bâtiment de quatre étages et pointent du doigt les personnes restées dans ce véritable piège de feu. Certains crient à leurs fenêtres ce célèbre « au secours » tandis que les autres courent pour se réfugier. Je vois encore les regards de Bruno. Et tout s'enchaîne. « Une LDV », « Ok reçu ». A peine la lance établit qu'il me faut faire une grosse lance, afin d'éviter la propagation du foyer au quatrième étage, qui commençait déjà à fumer. C'est l'équipe du S.M.U.R (Pompier de la même caserne que nous mais détaché au S.A.M.U) à qui je donne la grosse lance, afin de monter dans les étages avec la première lance. Bruno toujours en tête, nous commençons notre ascension dans les escaliers noircis par la fumée. La chaleur est oppressante et s'accroît à chaque marches gravit. Arrivée au premier étage, Bruno nous donne alors pour mission, l'extinction du foyer qui se trouve au deuxième étage. Nous mettons alors mon équipier et moi nos masques et je lui dis alors : « Allez on y va, on fonce au deuxième ! ». La chaleur s'intensifie alors brutalement, et nous sommes stoppés net dans notre élan au niveau du demi pallier par le rayonnement insupportable d'une fuite de gaz enflammée, située à moins d'un mètre de l'appartement concerné. Le masque sur le visage, je suis prêt à « rentrer dedans » comme un jeune fougueux que je suis tout en faisant bien entendu attention à mon équipier. Je teste ma lance, l'eau est bien là. En rapide coup d'œil, je suis fin prêt. Mais c'est alors à ce moment, que Bruno remonte presque a notre niveaux et crie : « Andrea !!! il resterait du monde là haut !!! ». Je redescends quelques marches afin de comprendre ce qu'il hurle : « Quoi ??? », « Un témoin viens de me dire que quelqu'un manque, tu sais avec la femme qui a sauté derrière ! ». « Ah quel étage ? ». Et dans le vacarme le plus complet, il dévie son regard de ma direction, fixe cette fuite gaz enflammée qui nous brûle déjà de sa chaleur la plus intense et qui surtout nous empêche toute progression aux niveaux supérieurs et me jette « Un gamin serait resté a l'étage au dessus ! tu peux y aller ? ». Mon sang se glace alors et je sens mon corps entier se remplir de cette drôle de sensation que l'on ne ressent que très rarement. J'ai chaud et froid en même temps, à moins que ce soit dans l'autre sens. C'est trop confus. Sans même réfléchir, je détourne mon regard et défit cet élément devenu comme fou qui danse en agitant les flammes comme pour me dire, « allez viens si tu oses, mais tu ne passeras pas ! ». Je la traverse et sent mon cuir rétrécir sur moi au fur et à mesure de mon combat contre cette partie de l'enfer. Je me retourne comme pour lui cracher dessus et cris « je suis passé ! je suis passé ! ». J'arrive alors au demi pallier du troisième étage. Mon souffle et mon cœur « s'emballent ». Je sens les gouttes de sueurs couler un peu partout sur mon corps qui me brûlent. C'est l'effet cocotte minute bien connu des pompiers. Je monte les marches et arrivée à la quatrième, j'aperçois deux petits pieds. Ma première pensée sera « pourvu que ce soit une poupée ! ». Ne me demandez pas pourquoi une poupée ! c'est comme ça. Je voulais y croire, tomber sur un jouet. Et plus je prends de la hauteur, plus je découvre ce petit corps allongé...d'un enfant. J'en ai des frissons, rien qu'a l'écrire. Je tremble et les larmes montent en moi comme si elles voulaient « exploser ». Je m'approche de lui. Il est allongé là. Un chien qui se tient à sa tête comme s'il avait veillé sur lui jusqu'à son dernier souffle. Je lui prends la main et sens ce corps mou, sans vie. « Petit ! petit ! ouvre les yeux ! bouge !!! ». Je lui hurle dessus comme pour le réveiller, mais en vain. A ce moment, je n'entends plus rien. Plus de bruits de flammes qui crépitent, plus les hurlements des gens dehors, plus les camions qui s'égosillent à pleine puissance. Je suis là seul avec lui. Je prends son bras gauche l'assoit et lui hurle : « Je te sors de là, accroche toi !!! ». Je le porte alors sur mon dos et entame une descente infernale dans les escaliers. La fuite de gaz n'aura pas le temps de nous toucher et les tuyaux qui jonchent la totalité de la petite cage d'escalier totalement enfumée, n'auront pas raison de moi. Je le tiens sur mon dos et il ne bougera pas de là ! Je vois les lampadaires, les gens attroupés au pied de l'immeuble, des pompiers qui « courent partout ». Enfin, je suis dehors. « Un S.M.U.R ! un S.M.U.R ! » (c'est l'ambulance) que je cris. Un collègue du S.M.U.R court alors vers moi et me dit : « Viens ! l'ambulance est là bas ». Il m'accompagne un peu plus loin et je dépose ce petit bout à terre. Nous commençons alors les premiers soins avant que le reste de l'équipe médicale n'arrive. Je m'écarte à quelques mètres et m'écroule à même le sol. Je suis là, vide de ce pouvoir qui m'avait donné la force, vide de toute autre vision que ce petit bonhomme sur lequel les médecins s'agglutinent maintenant. Et c'est alors que j'entends cette voix terrible : « C'est finis, on ne peux plus rien faire, il est trop gravement brûlé ».
Voilà à quoi ressemble ma vie de pompier, c'est mon boulot de devoir affronter les flammes, la vie et surtout la mort. J'ai signé pour sauver des vies, mais parfois la nature se trouve bien plus forte que nous pauvres êtres humains. Fin bref, voilà ces quelques lignes c'était pour vous faire part de mon métier qui prend une partie très importante dans ma vie, j'adore mon boulot et je ne le changerai pour rien au monde.
Outre le travail, il y a aussi la famille qui compte extrêmement à mes yeux, sauf que voilà, en ce moment ce n'est plus du tout la parfaite petite vie de famille que j'avais toujours espéré. Certes j'avais une femme magnifique et aimante, certes nous avions eu le plus beau des cadeaux avec l'arrivée de ma petite puce Leah, maintenant âgée de dix ans, mais malgré ce bonheur apparent, je souffrais maintenant depuis plusieurs mois, intérieurement, au plus profond de moi même. Vous allez sans doute vous demander pourquoi ? et bien tout simplement parce que ma vie a basculé il y a maintenant huit mois lorsque je m'étais retrouvé seul face à mon supérieur, le chef des pompiers. Nous étions tous les deux dans les vestiaires de la caserne, il était tard et nous allions tous les deux prendre une douche. C'est une fois celle-ci terminée que se passa l'impensable, alors que nous étions seulement vêtue d'une serviette autour de la taille, voilà que nos regards se croisèrent, nos corps se rapprochèrent pour finalement échanger un long baiser, puis un autre et encore un autre. Voilà comment tout avait commencé, voilà comment ma vie en l'espace de quelques minutes venait de basculer. Comment avais-je pu embrasser un autre homme, comment cela pouvait-il être possible. J'étais marié et père d'une magnifique petit fille, comment pouvais-je ressentir une telle attirance pour un homme. C'était tout simplement impossible. Quoi qu'en y réfléchissant bien j'avais toujours su apprécier la beauté des hommes et depuis quelques temps même je me surprenais à faire des rêves érotiques en compagnie d'hommes. Comment tout cela pouvait-il devenir réalité ? Moi l'homme de famille plutôt macho, au physique du parfait hétéro, comment pouvais-je devenir homo ? Impossible ....
C'est ainsi que commença ma descente aux enfers, l'alcool, la reprise de la cigarette. Tout ça pour essayer d'estomper ce désir qui me répugnais, qui me gênais, qui me tourmentais chaque jour un peu plus. D'autant plus que quand je me trouvais en compagnie de mon chef, avec qui j'avais partagé ces baisers, je changeais de comportement et j'entrais dans son jeu, en tentant de le séduire, sans pour le moment aller plus loin ...
Aujourd'hui ma vie est donc un véritable chaos, je reste toujours ce pompier de renommé, mais ma vie sentimentale, familiale reste un vrai cauchemar. Sexuellement avec ma femme cela va de moins en moins, je deviens un mari et un père absent, je rentre souvent bourré et les disputes ne cessent de croître au sein de notre couple. Le divorce approche rapidement j'en suis certain ... je crois même que c'est le mieux, ma femme mérite mieux, beaucoup mieux. C'est ainsi qu'on vit maintenant séparément pour essayer de voir si cela peut arranger les choses, c'est son idée, pas la mienne, j'ai donc quitté le domicile conjugale ce soir. Je sais que de mon côté c'est peine perdue, chaque jour un peu plus je me rends compte que je ne pourrais plus l'aimer et lui faire l'amour comme avant. J'essaie pourtant de tout faire pour que ça marche entre nous, pour que je retrouve le goût des femmes. Pour tout vous dire je ne suis pas fier de moi, mais je tente tout mon possible pour me voiler la face, je vais même jusqu'à payer des femmes pour leur faire l'amour .... pour essayer de me convaincre, que je suis toujours un homme, un vrai ... Où tout ça va me mener, c'est une bonne question, affaire à suivre."
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → R', 22ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Topsites. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope. ★Présence sur le forum → 4 jours voir 5 jours sur 7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → Bazzart & Tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→ Et je me perds. Dans cette contemplation infinie. Et j'oublie tous mes points de repère. Suis-je seulement encore en vie ? Je fais abstraction de ce qui se passe autour de moi, de cet étalage de vie presque honteux. Mais je suis heureux. Je ne veux pas m'égarer en sentiments inutiles, je ne veux pas prendre le risque de gâcher cette joie profonde qui m'émoustille. Oh, si seulement tu étais, Tobias, si seulement tu étais là, tu m'aurais fait revenir sur terre. Le frère et la sœur. Les parfaits contraires. Elle, elle me fait m'élever vers des sphères hors de portée pour le commun des mortels. Elle me fait me sentir vivant, aimé, heureux, comme je ne l'avais pas été depuis longtemps, bien trop longtemps. Comme si je redécouvrais le sens profond de la vie. Meghan, c'est mon essence, ma moitié, celle que tu voudrais voir heureuse par dessus tout. Tu tais tes sentiments sous une couche de pensées, mais je l'ai deviné, mon frère. Je sais que tu veux le meilleur pour elle. Pas avec moi, je le sais aussi, mais je t'en supplie, daigne nous accorder ta bénédiction. Daigne nous laisser heureux. T'interposer entre-nous ne rendrait les choses que plus difficile. Tu veux le bonheur pour tes proches. Alors, soyons heureux, elle et moi. Et sois heureux de savoir qu'elle ne se laissera plus aller. Tu sais que je ne suis pourtant pas un modèle à suivre, mais tu sais que je suis fidèle, tu sais qu'elle ne souffrira pas avec moi. Pourquoi rechignes-tu à accepter la chose telle qu'elle est ? Ne m'en veux pas, Tobias. C'est une chose qui m'est tombée dessus. Je n'y ai pas été préparé. Ça m'a fait mal, car je savais que je gagnais quelque chose mais que j'en perdrais une. Ça m'est tombé dessus et je n'y avais pas été préparé. Toi, tu auras le temps de t'y faire avant de revenir. De peser le pour et le contre. Toi, tu ne verras plus deux âmes esseulées mais deux pièces d'un tout qui se combinent à la perfection.
Il avait fermé les yeux, s'accordant ainsi quelques minutes de réflexion. Pourtant, ce sujet avait été maintes fois tournés et retournés dans sa tête. Il voulait juste que Tobias, s'il était vraiment dans l'au-delà, entende ses prières silencieuses, les pensées qui s'entrechoquaient avec fracas dedans sa tête. Le militaire laissa le soleil brûler doucement sa peau. Il laissa cette douce chaleur s'infiltrer en lui et soudainement, il se sentait en accord avec la nature. Un grand sourire chaleureux se dessina sur son visage. Il ne s'était pas rasé depuis trois jours, et sa barbe naissante lui rajoutait un certain charme, il le savait pertinemment. Lorsque Cillian rouvrit les paupières, ses yeux azur suivirent le vol majestueux de deux oiseaux, qui se battaient pour un bout de pain. Au loin, il entendit les rires des quelques enfants qui n'avaient pas encore l'âge d'aller à l'école. Il entendit aussi le bruit de la circulation. De son cœur qui battait. D'une brise qui s'infiltrait entre les branches des arbres. Il entendait le souffle de la vie autour de lui. Il entendit aussi quelques mots, qui lui étaient adressés. Sa tête se leva vers la personne qui lui avait parlé. Il plissa les yeux, le soleil en profitant pour l'agresser vivement. Son sourire n'avait guère disparu de son visage. Le capitaine se mit debout, avec toute la grâce que pouvait lui permettre ses jambes qui avaient eu le temps de s'ankyloser. Il sentait des fourmis lui parcourir les membres mais après s'être fait passer pour un idiot total à secouer ses jambes pour faire partir cette sensation désagréable, il s'approcha de Noam, pressa tendrement ses épaules avant de lui faire la bise. L'homme s'écarta de la jeune femme et l'observa de la tête aux pieds. Son regard s'attarda sur la béquille. Ses sourcils se froncèrent comme lorsqu'il se pose une question. Lorsqu'il regarda de nouveau le visage de la jeune femme, il lui posa cette question silencieuse, qui le titillait, tandis que ses lèvres en posèrent une autre. « Comment vas-tu depuis le temps ? Tu as tellement de choses à me raconter et quoi de mieux que cette belle journée pour le faire ? Allez, viens t'asseoir et profitons de ce beau soleil pour se prélasser et se délasser ! »
Dernière édition par Andrea J. Wade le Lun 18 Nov - 0:02, édité 21 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Lun 11 Nov - 23:34
Un grand bienvenue de ma part hâte de venir squatter ta fiche de lien j'aime beaucoup ton perso déjà et le prénom
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Lun 11 Nov - 23:36
Ta phrase!!! J'adooooore
En tant que grand défenseur de la cause animal, je viendrais te demander un lien
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Lun 11 Nov - 23:36
BIENVENUUUUUUUUUE !!! très bon choix de personnage, et si tu veux, je peux très bien t'aider niveau compliqué sexuellement lol Il nous faudra un lien si tu le souhaites car Jesse est le chef des pompiers Kinney est juste la perfection au masculinnn quoi !! Ravi de voir que quelqu'un le joue ici et en plus un pompier j'adore déjà
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Lun 11 Nov - 23:38
Un nouveau pompier. Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Lun 11 Nov - 23:46
Kinney bienvenue sur nycl & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Lun 11 Nov - 23:53
Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 0:13
Canooon Bienvenue
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 0:21
Kinney
Bienvenue, excellent choix d'avatar Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 0:41
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 0:43
Waouw ! Et bien je m'attendais pas à ça comme accueil avec cet avatar ! Merci à tous pour votre accueil , je file bosser sur ma fiche pour vous rejoindre au plus vite
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 0:44
BIENVENUE a toi !
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 0:56
merveilleux, merveilleux, vite vite fini nous cette petite fiche lool ^^
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 1:36
Je fais au plus vite
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 1:42
Hey beau gosse, bienvenue par ici!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 1:46
Ppourquoi tu me tortures avec ce genre de smileys lol goshh !! bon courage perfection au masculin lol >>
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 3:12
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas & si tu as le temps tu peux passer sur la chatbox pour te familiariser avec les membres.
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Sujet: Re: ANDREA ♂ "Je peux pas flinguer un chien, un mec j’veux bien mais pas un chien" Mar 12 Nov - 4:52
taylor Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.