Sujet: reagan ∻ burst like a hurricane. Ven 15 Nov - 2:12
FEAT. ELISABETH OLSEN
Reagan-Ivy Lawford
24 ans → Née à Perth, Australie le 14/02/1989→ journaliste célibataire → hétérosexuelle → membre des beauty queens.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Signe particulier :1/ Je suis diabétique de type 1 et ce, depuis l'adolescence. Par conséquent, je dois régulièrement contrôler mon taux de glycémie, m'injecter de l'insuline plusieurs fois par jour, et manger de manière équilibrée. Certes, cela peut paraître lassant mais ça a été une habitude à prendre.
2/ Je me suis fais tatouer lorsque j'avais dix-neuf. Mon tatouage est gravé sur mon avant-bras et représente les lettres de mon anniversaire, soit le nombre quatroze. Je possède également une cicatrice sur le sommet de crâne, cela dit elle est petite et ressemble beaucoup à un barreau de chaise. Je m'étais ouvert le crâne lorsque j'étais gamine dû à une chute mal réceptionnée.
3/ J'ai fait de la danse classique durant toute mon adolescence. J'adorais ça. J'aurai pu me lancer dans une carrière de ballerine si mes parents avaient accepté que j'en fasse mon métier. Malheureusement, tout ne s'est pas produit comme je l'aurai souhaité.. j'en ai eu gros sur le coeur et j'en en ai d'ailleurs, toujours voulu à mes parents pour ça.
→ Mon style vestimentaire : J'aime être au gout du jour et paraître différente aux yeux de tous. Me démarquer, voilà l'important. Certains vous diront qu'on ne peut pas changer de style vestimentaire en un claquement de doigts, moi je vous dirai que tout est possible. Le côté bohème chic me va à ravir, on me l'a souvent dis alors je préfère m'habiller ainsi. Je porte énormément de couleurs ; je trouve que cela me va mieux au teint.
★Quel est le caractère de ton personnage? → On comprendra que ma principale qualité est bien entendu ma perfection, mon don d'exceller dans n'importe quelle matière et ce, peu importe le nombre de temps que j'ai à consacrer à mes études ou à mon boulot, ma capacité d'apprentissage grandissante est irréprochable, cela ne serait rien sans ma soif de perfection, mon envie de se surpasser à chaque fois. On peut définir ce trait de caractère comme étant une détermination excessive, je ne vois pas cela de la même manière, non, je le vois comme étant du courage, de la force de caractère. Ne jamais baisser les bras, voila ma principale devise que je respecte chaque jours de ma vie, profiter du moment présent en est un autre cependant, ne profite pas des moments opportuns préférant peut-être les consacrer davantage dans son avenir ? A vous de voir, enfin avec ma détermination, on peut voir le subtil mélange de ma patience et de mon sens des responsabilités. J'entretiens intelligemment mes relations et en déduis toujours les pours et les contres et c'est à partir de ces observations que je peux en déduire si la personne en vaut la peine ; petite futée ? Je le suis davantage : prévoir ses conséquences à l'avance, voilà un énorme progrès dans ce qu'on peut appeler la maturité. La manipulation est-ce véritablement un défaut ? Non puisque sans un talent d'actrice, jamais ses tentatives de manipulation seraient crédibles, alors étant excessivement futé, je cacherai probablement bien mon jeu la plupart du temps pour arriver à mes fins ... Cruel ? inhumain, faire croire aux autres qu'ils détiennent exactement ce qu'ils veulent sans pour autant leur laisser la moindre chance c'est ce qu'on appelle un brin de génie. D'autre part, je fonce et n’ai pas peur de dire ce que je pense. Je possède une technique imbattable pour combattre mes peurs ; je ferme les yeux et compte jusqu'à cinq, à partir de ce moment-là je dois oublier ma frayeur et continuer. C’est aussi un très grand passionné de musique, de théâtre, de cinéma, de peinture. Je suis également très franc, direct, ne mâchant pas mes mots, pourrait on dire. J'ai tout simplement horreur de garder les choses pour moi et je vais généralement droit au but sans me soucier des répercutions que certaines choses peuvent faire sur la personne en question. Bien entendu, je suis beaucoup plus douce sur ce sujet-là vis-à-vis des personnes que j'apprécie, afin de ne pas les blesser.
Well... It's my story...
Some are born to sweet delight, some are born to endless night. « Charles, rattrape là ! Elle va se noyer, Charles, bon sang, fais quelque chose ! » la voix de ma mère était à peine audible das les remous de l'eau. Je buvais la tasse, tentais de garder les yeux ouverts pour rester attentive. Combattre et lutter ; à sept ans, on ne sait pas vraiment comment y arriver ni comment faire. J'étais perdue, naviguant en solitaire dans le néant ... non ... dans cette eau chlorée, cette piscine qu'avait construite mes parents il y a deux ans. Je ne cessais de plonger et de remonter, tentant d'aérer mes poumons, respirant avec difficulté. « Charles ! Aide là ! » Mon père avait parfois des absences pourtant en cet instant, il n'avait pas réfléchi et s'était jeté la tête la première dans l'eau. Je me rappelle avoir été tirée hors du bassin ; mon père avait effectué les gestes de secours à la perfection, m'attribuant de l'oxygène dans mes poumons qui regorgeaient d'eau. L'hospitalisation avait été évitée, de justesse cela dit. Allongée au bord de la piscine, mes pupilles embrumées fixèrent avec attention les visages graves de mes parents mais également de mon frère qui, pour le coup, m'avait tenu la main. J'avais failli me noyer à l'âge de sept ans et je me souviendrai probablement toute ma vie de ce souvenir, douloureux tout de même. J'avais voulu faire ma grande, ma petite-fille un peu trop orgueilleuse. Délaissant mes bouées gonflables, je m'étais aventurée seule dans l'eau, prenant soin de vérifier que mes parents avaient le dos tourner avant de m'élancer dans l'eau. Mon frère n'avait pas été présent autour de la piscine et n'avait donc pas pu me gronder. A dix ans, on joue les gros durs ; pour lui, c'était vraiment un spectacle que de se montrer aussi fier à mon égard. Je n'aimais pas lorsqu'il prenait la place de mes parents car ce n'était pas son rôle. Il était mon grand frère et personne d'autres. Pourtant, lorsque le drame s'était produit, il n'avait pas été là pour me sermonner ni même pour me gronder. Il avait été présent lorsque mon père avait réussi à m'extraire des poumons les filets d'eau qui s'y étaient infiltrés. Il m'avait tenu la main et avait su me rassurer. Me réconforter sous le regard terrifié de mes paternels qui ne s'étaient pas attendus à ce que je commette un geste aussi dangereux. J'avais mis ma vie en danger, inconsciemment. A l'âge de sept ans, ce n'est pas totalement l'âge de raison, du moins ça ne l'était pas pour moi. Inconsciente, je l'ai été jusqu'à mon adolescence, jusqu'à ce que je vienne à remarquer mes propres erreurs, mes propres faiblesses. En classe de quatrième, j'avais vu l'un de mes amis se faire agresser par un garçon - un délinquant, surement -. Je n'avais rien fait. En classe de troisième, le même garçon avait frappé l'une de mes amies. Je m'étais interposée, recevant moi-même le coup. « Inconsciente » m'avait-il soufflé avant de décamper, trop lâche pour terminer ce qu'il avait déjà entrepris. A l'époque, j'avais quinze ans et là encore, je ne me rendais pas totalement compte de mes actes. A croire que je faisais tout pour m'attirer des ennuis à moins que ça ne soit les ennuis qui m'attiraient.
It's very hard to grow up in a perfect family when you're not perfect. « Madame Lawford a eu accident. Nous ... Nous l'avons hospitalisé d'urgence. » le médecin nous observait, serrant fermement le bloc-notes qu'il tenait entre les mains. Pour le coup, le mot « urgence » sonnait vrai. Nous n'étions pas dans les films où certaines répliques semblaient exagérées. Pour le coup, mon père, mon frère et moi-même étions face à la réalité, une cruelle réalité. Je savais que ma mère avait été victime d'un accident de voiture et savais également que son état s'avérait critique étant donné qu'elle avait été placée à la place du mort (...) « Est-ce que nous pouvons la voir ? » répliqua mon père d'une voix cassée, due à l'émotion probablement. « Pas pour l'instant monsieur Lawford. Restez ici, je reviendrai vous chercher lorsque nous aurons terminés. » Terminé ? Que devaient-ils terminer ? Je n'étais pas convaincue par la franchise de ce toubib encore moins par son sourire crispé, me donnant froidement les jetons. Ma main s'appliqua tendrement sur celle de mon père qui fut parcouru d'un sursaut. Je n'avais jamais été aussi proche de lui qu'à cet instant. Les rares moments intimes entre père et fille n'existaient que très - trop - peu et c'est là, assise dans cette foutue salle d'attente de ce maudit hôpital, que je me rendais compte de tout ce que j'avais bien pu rater en sa compagnie. « Ils ont intérêt de ramener maman intacte du bloc. » mon frère s'était redressé. Vingt ans, 1m83 pour 86kg de muscles. Je savais qu'il serait capable du pire lorsqu'il s'agissait de toucher à sa famille. Il me l'avait démontré à maintes reprises lorsque des gamins de ma classe de seconde s'étaient amusés - ce n'était pas drôle - à me prendre mon tube de Glucophen juste pour me voir m'évanouir. La bagarre fut mémorable et mon frère s'en était sorti en héros. Un sourire s'était incrusté sur mes lèvres alors que je songeais à ce souvenir maladroit. Songer à un instant joyeux alors que l'un de nos parents était entre la vie et la mort, il fallait avoir du culot. J'en avais. J'étais confiante quant à la survie de ma mère. C'était une battante. Pourtant, lorsque le médecin revint vers nous et demanda à voir mon père en privé, je compris qu'il y avait eu des complications. Tendue, j'observais mon paternel se diriger vers la salle avoisinante, accompagné par ce médecin qui ne me faisait guère bonne impression. Malgré la porte close, je pus réussir à lire sur les lèvres du toubib un « Je suis désolé. ». Je déglutis, croyant vaciller et m'ordonnant à croire que je venais d'halluciner. Je perdis rapidement pied lorsque mon père, muet, me confirma mes macabres pensées en ne me lançant qu'un seul regard. Mon frère comprit également et la descente aux enfers débuta. Le soir même, mon père rencontra une fois de plus le chemin de ses vieux démons et se vida le stock de rhum et de whisky écossais que l'on gardait généralement pour les invités. Le soir même, mon frère fut envoyé au commissariat suite à des coups et blessures répétitifs à l'égard du personnels hospitaliers. Le soir même, je fus prise d'un violent malaise, caractéristique parfaite d'une acidocétose diabétique, due à une concentration sanguine d'insuline trop faible. Heureusement, l'une de mes amies vint à me secourir d'extrême justesse. Plus les jours et les mois défilaient et plus le néant s'ouvrait à moi. L'enterrement de ma défunte mère avait été prononcée dans un cimetière de la ville. Quelques proches étaient présent mais la cérémonie restait intime. Mon père était mal en point, luttant férocement contre sa dépendance envers l'alcool. Il avait une mine déconfite et la gueule de bois, c'était certain. Sa détresse était sans appel. Je noyais la mienne dans les sorties ou dans ma dernière année d'étude. Mes malaises dus à mon diabète de type 1 étaient de plus en plus fréquents. Je ne m'alimentais plus comme avant. Même le avant possédait un goût d'amertume. Quant à mon frère, il s'était engagé dans l'Armée de terre et était parti sur le front, ne nous laissant qu'une simple carte avec ces quelques mots « on se reverra. » Oui, on se reverra.
i know i can have it all. i just don’t know if i actually want it all … « J'ai relevé à maintes reprises que la qualité indispensable et première d'un bon journaliste était la curiosité. Certes, mais ce n'est pas tout. En fait, pour être un bon journaliste il faut surtout être réactif, être capable de s'adapter aux situations, à des interlocuteurs aux personnalités très diverses, être habile, un peu provocateur mais toujours courtois. Je crois qu'il faut savoir se rendre aimable, sans en faire trop -au risque de passer pour une hypocrite-. Être extrêmement patient, c'est le plus important. Sans non plus se faire marcher dessus. Être capable de savoir dire non, avec humour cela passe mieux, fasse à toutes les demandes de nos interlocuteurs, savoir conserver son indépendance en quelque sorte. Comprendre, sans interpréter, les propos de nos interlocuteurs. Et être capable de retranscrire ce que l'on a entendu et observé. Savoir écrire, enfin, de manière claire, précise, vivante, en évitant les observations personnelles. Ce n'est pas si facile d'être un bon journaliste. Je n'aime pas les dérives que j'observe : ceux qui écrivent pour se faire plaisir et non pour informer, ceux qui copinent beaucoup trop avec les informateurs potentiels, les décideurs, les politiques, oui, ça, ça me dérange. » C'était mon ressenti à moi, Reagan, jeune australienne qui vient tout juste de débarquer dans la Grosse Pomme. The American Dream qu'ils disaient, espérons que cela soit véridique. J'avais postulé sans grands espoirs dans une agence de presse new-yorkaise, sur un coup de tête cela dit. Et finalement, j'avais décroché le job -à mon plus grand étonnement- grâce à mes précédentes expériences plus que compétentes. Je débarquais alors à 24 ans, dans une nouvelle ville, laissant derrière moi les fantômes de mon passé.. ou presque.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → a. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → en passant par hasard sur un top-site, je suis tombée sur le forum et franchement, je ne regrette pas mon inscription ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → Régulière sauf en période d'examens ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage totalement inventé. ★Crédit images → @waldorf pour l'avatar+ @livejournal pour l'icon.
Mon exemple de RolePlay:
→ « Sert moi un verre Cooper. » Verre tendu au dessus du punch, mon regard se portait en direction du jeune homme que je venais d''aborder. Un gars assez costaud pour son âge, les cheveux ébouriffés, l'air déconcerté mais terriblement canon. Je le connaissais depuis quelques temps déjà : d'après mes souvenirs, nous nous étions déjà croisés lors d'une fête identique à celle-ci. L'alcool coulant à flot, cela avait largement suffi à faciliter un rapprochement. « Ton verre Jamie. » Acquiesçant d'un signe de tête, je pris le gobelet qu'il m'avait rempli à raz-bord, manquant de le faire glisser de mes doigts - ma maladresse légendaire - C'est lorsque je comptais m'éclipser du buffet que Cooper - pardonnez moi, son prénom m'échappe - me rattrapa. Sa main agrippa mon avant-bras, un frisson s'empara de mon corps tandis que le beau brun reprit la parole, l'air sérieux comme jamais. « Je voudrai te voir tout à l'heure, vers ton pavillon, ça te dit ? » Je fis mine de réfléchir, me demandant s'il allait être mon plan c*l du soir ou s'il comptait simplement me causer et parler de la pluie et du beau temps. J'approuvais finalement. « Ça marche, on se voit dans trois-quart d'heure. » En guise de remerciement, je lui tapotais tranquillement le bas-ventre, plantant mon regard épineux dans le sien. Inutile de préciser que j'attendais le moment où ce beau mâle comptait me chevaucher. Celui-ci disparu de mon champ de vision, me laissant seule, un verre à la main et au proie à une tranquille errance entre les étudiants qui s'éclataient comme jamais. Me frayant un chemin vers un endroit plus ou moins tranquille, un sofa semblait me tendre les bras et je ne me priais pas pour le rejoindre. M'asseyant sur ce dernier, je bus tranquillement mon verre de punch, observant avec délice les jeunes qui s'emparaient de la piste de danse. Autant dire que j'étais plutôt contente d'être venue non accompagnée, cela me laissait plus de temps pour admirer les beaux mâles et choisir celui que je ramènerais en fin de soirée.
« P*tain, t'es trop bonne toi. » me susurra un gars qui venait tout juste de s'emparer de la place libre à mes côtés. Un loser, un de plus rétorquais-je, intérieurement parlant. Levant les yeux au ciel, j'implorais la déesse de l'alcool de me rendre complètement ivre pour pouvoir vomir sur cet homme qui m'apparaissait un peu trop collant. « Ouais je sais, inutile de me flatter, tu perds ton temps. » Mon regard se posa sur lui, le dévisageant brièvement avant de contempler ses pupilles qui étaient incroyablement captivantes ; le seul atout qu'il pouvait présentement avoir. « Ça te dit de tirer un coup vite fait ? Allez, s'te plaît .. » Ses lèvres se rapprochèrent dangereusement des miennes ; son haleine empestait l'alcool et je n'eus à peine le temps de bouger, qu'il commençait déjà à vaciller. « A ta place je boirais moins. Oh et un conseil, essaie de draguer la fille du bar, elle a des atouts qui risquent de te donner encore plus le vertige. » Cette fille, c'était Miranda ; la 3ème année de sciences po. On la surnommait ' miss gros lolos ' dû à la paire imposante - mais fascinante - qu'elle possédait. Suite à cette entrevue, je quittais les lieux pour prendre - enfin ! - place sur la piste de danse. J'étais probablement venue seule, mais je savais que mes ' soeurs ' étaient également présentes .. allez savoir où exactement. La musique était enivrante, percutante et rythmée. Mon corps ondulait sur une chanson de David Guetta. Malgré la piste qui était bondée, je me serai cru seule à danser, transportée par ce son purement dancefloor. Je prenais plaisir à me coller contre tous les corps qui se présentaient à moi. A force de sauter, mon gobelet s'était déversé sur le sol. Puis, le DJ vint à improviser d'autres chansons dont je ne connaissais absolument pas les titres, des remix qui me faisaient tourner la tête. Ma robe virevoltait à chaque saut, mes cheveux collaient à ma peau humide, c'était un pur délice.
Enfin, je décidais de quitter les lieux pour me rendre à mon - je l'espère - coup d'un soir - du moins, c'était ce que je pensais - Quittant la salle des fêtes, je m’accaparais d'une bouteille de vodka qui trônait en solitaire contre un muret, avant de m'éloigner de ce doux paradis. Il était plus minuit lorsque j'errai dans le campus avec et comme seul compagnon, cette bouteille de vodka. Tenant relativement bien l'alcool, il m'arrivait d'en ingurgiter des litres avant que je ne sois totalement saoule, à proprement parler. Empruntant des chemins familiers, je ne tardais pas à rejoindre cette grande avenue où se touchaient presque tous les bâtiments des confréries. M'avançant tranquillement en direction de mon pavillon, je remarquais rapidement qu'un homme s'était installé sur les marches menant jusqu'au perron. Pourtant, il ne ressemblait en rien à Cooper. « P*tain ... Il m'a posé un lapin. L'enfoiré ! » Je fulminais. Cooper n'allait pas venir, je le sentais. Cela faisait bien un quart d'heure qu'il aurait dû m'attendre et ce n'était pas le cas. Alors, mes pas se rapprochèrent rapidement de cet homme, ce .. cette espèce de clochard qui bousillait la peinture des escaliers. Je ne voyais même pas son visage ; les seuls vêtements qu'il possédait étaient son jogging pouilleux et son sweat à capuche dégueulasse. Qui c'était celui-là ? « Hey ! Hey toi le bouseux ... Dégage d'ici ! » ordonnais-je à ce type tout en me plaçant face à lui, gardant tout de même une certaine distance entre lui et moi. Buvant une gorgée de vodka, j'attendais qu'il ne vienne à redresser son visage pour voir à quel type j'avais à faire ; on ne sait jamais, s'il était canon, il y avait toujours moyen de s'arranger.
Dernière édition par Reagan-Ivy Lawford le Dim 17 Nov - 0:53, édité 7 fois
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Sujet: Re: reagan ∻ burst like a hurricane. Ven 15 Nov - 6:15
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche J'adore le pseudo
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Sujet: Re: reagan ∻ burst like a hurricane. Ven 15 Nov - 8:30
elizabeth + le pseudo bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: reagan ∻ burst like a hurricane. Ven 15 Nov - 10:11
Bienvenue! ♥
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Sujet: Re: reagan ∻ burst like a hurricane. Ven 15 Nov - 10:23
Bienvenue
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Sujet: Re: reagan ∻ burst like a hurricane. Ven 15 Nov - 10:47
Bienvenu parmi nous
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Sujet: Re: reagan ∻ burst like a hurricane. Ven 15 Nov - 10:54
Original le prénom, j'aime Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche