FEAT. CLEMENCE POESY

Albane Lacroix-Duma

28 ans ans → Né(e) à Lille le 28/03/1985 → Peintre et propriétaire d'une galerie d'art
Veuve avec un enfant sur les bras → hétérosexuelle → membre des Artists.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ ♦ A un tatouage sur le bas du dos où est marqué « Believe »  ♦ Craque pour tout ce qui est à base de chocolats ♦ Vit au jour le jour ♦ A une collection impressionnante de sacs à mains en tout genre ♦ A déjà fait un safari en Afrique et aimerait y retourner un jour ♦ Regarder des films en noirs et blancs ne la dérange absolument pas ♦ Fan des films de Hitchcock ♦ Si sa carrière de peintre n’avait pas décollé, elle aurait voulu être vétérinaire ♦ Possède trois chats, un aquarium géant, deux lapins. Plus tard, elle aimerait avoir un berger-allemand ♦ Est persuadé que son père a déjà trompé sa mère  ♦ Croit à tout ce qui est surnaturel ♦ A une fascination étrange pour les catastrophes naturelles ♦ Aime regarder des vieilles photos à l’époque où toute sa famille était heureuse ♦ Avant de rencontrer Roman, elle était tombée amoureuse d’un homme marié mais, ne l’a jamais approché ♦ Est une pro du poker et des échecs ♦ A commencé à apprendre à jouer de la guitare mais, a vite abandonné ♦ Aime bien offrir des cadeaux étranges aux gens ♦ Regrette de ne pas s’entendre avec les jumeaux, elle aimerait arranger les choses mais, ne sait pas comment s’y prendre ♦ A un faible pour la Piña Colada ♦ Ne supporte pas la vraie fourrure, savoir comment c’est fait lui donne envie de vomir ♦ est allergique aux piqûres d’hyménoptères (abeilles, guêpes, frelons…) ♦ Va régulièrement au spa pour se détendre. C’est un budget mais, elle l’assume  ♦ Aime beaucoup les boissons que servent les starbucks ♦ Fuit les réseaux sociaux comme la peste. Elle trouve ça complètement inutile ♦ Collectionne les appareils high-tech ♦ Est plutôt douée en cuisine.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Petite, Albane a toujours été en décalage avec le reste du monde. Tant qu’elle avait des crayons de couleurs à portée de mains, tout allait bien. C’était une gamine qui s’enfermait volontiers dans ce monde pour échapper aux conflits, à la violence omniprésente qu’elle apercevait partout à la télé. Ses  frères et sœurs ont toujours eu envie de la surprotéger et ça ne l’a jamais dérangé. Pour elle, sa famille était son cocon protecteur. Autant dire que quand sa famille s’est brisée petit à petit, elle ne s’en est jamais remise. La française en veut toujours à ses parents de s’être laissé aller à ce point et d’avoir provoqué consciemment la destruction des Duma. Elle n’a plus aucun contact avec son père et ne s’en porte pas plus mal. Aujourd’hui, Albane est une personne fragile qui fuit toujours autant le conflit. Il lui arrive même de frôler la crise d’hystérie quand les disputes entre son entourage et elle sont trop puissantes ou quand elle pense à Roman.

En apparence, c’est une personne qui donne l’impression d’être sereine et plutôt joyeuse. En vérité, c’est une femme brisée dont l’envie de tout contrôler la détruit petit à petit. Néanmoins, elle a appris que le sourire est la meilleure des armes pour éviter les questions gênantes alors, elle en abuse. Elle s’enferme dans une vision de bonheur factice pour ne plus souffrir et commence même à croire à cette illusion sorti tout droit de son esprit. La seule ombre au tableau, c’est son fils. Petit garçon adorable qui la met face à toutes ces peurs, à toutes ces faiblesses, qui la désarme totalement au point qu’elle n’arrive même plus à s’en occuper correctement. Elle regrette d’avoir cédé à la demande de son défunt mari sauf qu’elle ne peut plus reculer. A la place, elle s’est promis de trouver quelqu’un qui pourra jouer les papas parfaits pour Timothy. A l’heure actuelle, Albane s’est rendu compte qu’elle ne pouvait pas apporter de bonnes choses à son fils. Ce n’est qu’une coquille vide.

Histoire d’oublier le cauchemar perpétuel qu’est devenue sa vie, la jeune femme se préoccupe des problèmes des autres. On la dit psychologue, compatissante, compréhensive… Bref. Elle joue son rôle à la perfection. Elle abhorre toutes les personnes jouant avec les autres, préférant l’honnêteté au mensonge… Pourtant, depuis la mort de son mari, elle se découvre un petit côté manipulatrice et même si pour le moment, elle le fait pour se protéger… Elle a peur que « son côté obscur » gagne de plus en plus de place. Elle est terrifiée à l’idée de devenir comme ses parents et a tendance à péter un plomb quand on lui fait une allusion à ce sujet. Pour une phobique des conflits, c’est plutôt paradoxale. La peintre se perd entre l’image qu’elle veut donner et la personne qu’elle est réellement. Elle a besoin d’aide pour la sortir de là mais, n’est pas du genre à supplier quiconque. Elle veut être une femme forte. Ce qu’elle oublie, c’est qu’elle ne l’a jamais été. Albane a toujours eu des doutes. Elle manque de confiance en elle.

Well... It's my story...

Tout était calme dans la maison comme si on l’avait déserté. Chose rare chez les Duma. Il était de notoriété publique que Gautier et Christa étaient à la tête d’une famille de six enfants. Seule une petite blonde trônait au milieu du salon, entourée de crayons de couleurs. Elle devait avoir cinq ans et ses dessins n’avaient beau rien à voir avec des chefs d’œuvres, la gamine continuait encore et toujours à colorer ses feuilles blanches. Un garçon plus âgé entra dans la pièce et se dirigea vers la fillette, le sourire aux lèvres. « Tu vas finir par devenir une véritable artiste si tu continues à t’entraîner comme ça, Albane. Une vraie championne du dessin ! » Maxime était l’aîné de la fratrie. Il devait avoir treize ans, à cette époque. Il adorait sa petite sœur. C’était sa préférée et il n’avait aucune honte à le montrer. Il s’installa sur la table d’en face et commença ses devoirs mais, il fut vite interrompu par une petite voix. « Grand frère…Pourquoi papa et maman… ils nous aiment pas ? » L’adolescent plongea son regard dans les yeux bleus de sa sœur avant de soupirer. Il ne savait pas quoi répondre. Enfin si mais, il n’était pas sûr que lui annoncer que ses parents avaient fait un tas de gosses mais, n’assumaient pas leurs rôles était une bonne chose. Il choisit l’option n°2 : se taire.

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Une dispute éclata dans la maison faisant sursauter Albane. Elle haïssait les conflits. Elle essaya de se boucher les oreilles avec ses mains. Rien n’y faisait. Elle entendait encore et toujours son père hurler sur son frère aîné. Elle entendait tout. « Tu comptais nous le dire quand que tu ne sortirais jamais avec une fille hein ? Que tu faisais partie de ces détraqués qui aimaient les hommes ?! J’ai honte que tu sois mon fils ! Tu as conscience de l’exemple que tu donnes à tes frères et sœurs ?? Ça te plait à ce point de te rebeller ?! » Alors que la petite fille de sept ans s’apprêtait à ouvrir la porte pour défendre son frère, malgré la peur qui lui dévorait les entrailles… Marlène entra dans la chambre pour refermer la porte aussitôt. « Il faut que tu restes ici, ma chérie. » Marlène était une jolie brunette de quatorze ans. Une collégienne studieuse qui faisait la fierté des Duma. Elle était née juste après Maxime et ils entretenaient une relation plutôt houleuse. « Pourquoi ? Il faut protéger Maxime. Il faut expliquer à Papa qu’il a tout faux. Max n’est pas un détraqué… » « Je sais, mais c’est trop tard… Il est déjà parti faire ses valises… Il s’en va, ma belle. Maxime part de la maison… Je suis désolée... » Depuis toujours, la future artiste pensait que sa sœur aînée n’appréciait pas son frère adorée et pourtant, quand elle la vit s’écrouler sur le sol, le corps secoué de sanglots. Du haut de ses sept ans, Albane comprit qu’elle avait eu tout faux.

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« ALBAAAAAAAAAANE ! Va chercher ton petit frère. Il a encore fait des conneries à l’école. Une vraie calamité ce gosse depuis quelques temps. » Elle avait douze ans. Son petit frère avait dix ans et se transformait en une vraie terreur à mesure qu’il approchait du collège. La collégienne ne le montrait pas mais, s’inquiétait grandement pour Julian. Elle était bien la seule, d’ailleurs. Sa mère était bien plus occupée à goûter tous les alcools du monde depuis que son Maxou chéri avait claqué la porte pour s’intéresser au reste du monde. Quant à son père, elle se demandait sérieusement si l’option « Bon père » avait un jour été inscrit dans son patrimoine génétique. Marlène était trop à fond dans son rôle de petite fille modèle pour se préoccuper des débilités du garçon. Quant aux faux jumeaux, Zoah et Caleb, ils lui donnaient mal au crâne rien que de penser à eux. Depuis quelques temps, Albane avait l’impression d’être l’aînée de sa fratrie tellement les autres étaient synonymes de déception à ses yeux. « C’est bon, pas la peine de hurler, j’y vais ! »  L’ambiance familiale lui prenait de plus en plus la tête. Elle arriva très vite devant l’école primaire où son petit frère l’attendait sagement. A tel point que la Lilloise se demandait si Julian avait vraiment fait quelque chose. Quand il vit la tête blonde de sa sœur, un grand sourire éclaira son visage. « Je savais que c’était toi qui viendrais me chercher, Alby ! »  Elle haïssait ce surnom et si ça venait d’une autre personne que son cadet, elle était persuadée qu’elle l’étriperait. Elle eut un sourire triste à sa remarque. Forcément que c’était elle qui serait venu le chercher. Ce n’était plus qu’eux face au reste du monde, après tout.

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Les années passèrent et le climat familial allait de mal en pis. A tel point que du haut de ses quinze ans, la jeune fille décida de s’installer chez sa tante et embarqua Julian avec elle. Hors de question qu’il passe le reste de ses années collèges entre une mère alcoolique et un père dont l’intolérance atteignait un niveau inimaginable. La vie était bien plus facile avec la sœur de sa génitrice. Albane pouvait laisser le rôle de mère de substitution pour de bon et se concentrer sur sa vie d’adolescente. C’est à cette période-là qu’elle abandonna le dessin pour la peinture. C’est à cette même période qu’elle tomba amoureuse pour la première fois et qu’elle se confia à sa meilleure amie. « Je crois que je suis amoureuse. Je suis tellement troublée quand je le vois. Je n’arrive pas à lui parler… En plus, j’ai l’impression qu’il ne me calcule même pas. Et pourtant, j’ai cette impression étrange que ce serait bête que je passe à côté même si ce n’est pas l’homme de ma vie. C’est bizarre hein ? Tu ne veux pas m’aider ? » Son interlocutrice acquiesça en souriant. Le lendemain, celui qu’elle aimait secrètement s’affichait, tout sourire, avec Lucinda. Ce jour-là, la lycéenne craqua en plein milieu d’un cours sous les yeux pleins d’incompréhension de toute la classe. N’était-elle pas réputée pour garder son sang-froid ?

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« Ta mère ne va pas bien, Albane. Elle va mourir, tu comprends ça ? Elle ne sera plus là. Je t’en prie. Il faut que tu ailles la voir… Elle a besoin de toi, de tous ses enfants. » La voix de sa tante était étranglée par l’émotion et pourtant, Alba ne semblait pas du tout être touchée par ce qu’elle venait d’entendre. En même temps, c’était logique. Il y a longtemps que la jeune femme de dix-neuf ans avait arrêtée de considérer sa mère comme tel. La femme qui l’avait mise au monde n’était plus qu’une loque humaine. Si elle était toujours la petite fille de cinq ans, elle se serait mise à hurler, à pleurer mais, ce n’était plus le cas. Elle avait grandi trop vite, elle avait fini par s’élever toute seule. Pourquoi donc verserait-elle des larmes pour cette femme qui n’a jamais su être à la hauteur ? Ce serait complètement débile et paradoxale. Alors pourquoi, intérieurement, elle sentait son cœur se briser et sentait les larmes prêtes à déborder de ses yeux ? Elle se souvient que ce jour-là, on l’avait prise dans ses bras et qu’elle avait peint un tableau représentant une maison délabrée sous un ciel orageux. Elle se souvint également avoir été à l’enterrement et s’être pris une cuite le soir même. Ce n’est qu’après avoir perdu quelqu’un qu’on se rend compte de sa valeur… Désormais, cette phrase revêtait tout un sens à ses yeux. Sauf que c’était trop tard… Comme toujours.

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« Roman, arrête… Non pas là… » Les supplications et les rires de Albane s’emmêlaient alors que son petit ami depuis deux an était en train de la chatouiller. A 23 ans, elle avait mis du temps à le trouver mais, était sûr que c’était le bon. Son grand amour. La preuve, il l’avait convaincu de partir à New-York ensemble. Ils habitaient dans un appartement plutôt spacieux à Brooklyn. Elle l’avait rencontré alors que la jeune femme participait à son premier vernissage dans la capitale française. Il l’avait été charmé par ses toiles et lui avait laissé son numéro. Ils s’étaient revus quelques jours après pour un face-à-face torride. Le coup de foudre. Ils vivaient l’amour avec un grand A et avaient mille projets en tête. Bref, ils s’adoraient, s’aimaient. Ils se voyaient déjà mariés avec des tas de gamins autour d’eux. C’était beau, c’était magnifique.

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« Et si on essayait de faire un enfant ? » La peintre manqua de lâcher sa tasse de café face à cette demande soudaine. Certes, Roman avait été embauché dans un garage où il faisait un travail formidable. Quant à elle, ses peintures se vendaient plutôt bien. Ça faisais quatre ans qu’ils étaient ensemble et la blonde voyait très bien son cher et tendre en parfait papa poule mais, quelque chose bloquait. « Je ne sais pas… Je ne me sens pas prête. » Albane hésitait, cela se voyait et le jeune homme sut que tout n’était pas perdu. De toute façon, il comprenait sa belle. Il savait toute son histoire et on ne pouvait pas dire qu’elle avait eu une enfance très heureuse. Il plongea son regard dans le sien avant de prendre ses mains dans les siennes. «Ma chérie, tu ne seras pas comme ta mère. Tu es différente. Tu es la fille la plus généreuse que je connaisse et je suis sûr que tu feras une maman formidable. Au début de notre histoire, tu rêvais d’avoir un mini-toi. Tu voulais plein de mini-nous et une grande maison. Je te promets qu’on aura tout ça mais, je t’en prie… Ne te défile pas. Tu n’as aucune raison de l’être. Tu es parfaite. » N’importe quelle fille aurait hoché la tête face à une telle déclaration. Pas Albane. La française préféra prendre son sac à main, prétextant un rendez-vous professionnel et referma la porte sans un mot. Elle savait que la soirée allait être particulièrement difficile mais, tant pis. Elle assumerait. Et si il décidait de s’en aller après ce caprice de sa part… Elle s’y ferait. Roman était resté pour sa plus grande joie et neuf mois plus tard… Timothy Lacroix-Duma naquit. A présent, ils étaient trois…

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La vie était devenue mouvementée avec le petit garçon d’un an. Il adorait les câlins et… Les bêtises. Une véritable tornade qui faisait preuve d’une imagination débordante pour mettre l’appartement sens dessus-dessous. Timothy mettait à rude épreuve la patience du jeune couple mais, ce n’était pas si important. Les moments de bonheur rattrapait tout ça. Ils avaient tout pour être heureux. Jusqu’à ce jour où le monde de l’artiste s’écroula. « Albane ? C’est Kimberley. Il s’est passé quelque chose au garage… Une erreur de la part d’un stagiaire… La voiture est tombée sur Roman… Je suis désolée… » Elle entendit sa belle-sœur en pleurs à l’autre bout du combiné et pourtant, la désormais veuve ne réagissait pas. Elle était comme déconnectée. Impossible… Il avait promis qu’ils auraient plein d’enfants, qu’ils seraient heureux dans une grande maison… et il l’abandonnait ? Elle se souvient d’avoir mis fin à l’appel et ce fut le trou noir. Elle se réveilla à l’hôpital. Le verdict ? Crise d’hystérie. Les voisins avaient alertés les urgences.

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« Je peux pas continuer comme ça, Marly. Il me le rappelle trop… Je l’aime. C’est mon bébé… mais, c’est tellement compliqué… Je n’arrive pas à m’en occuper… J’ai l’impression de devenir comme maman. Je ne veux pas… C’est trop dur… » Marlène n’avait jamais vu sa cadette dans un tel état de détresse et ça lui fendait le cœur. C’était une situation d’urgence et la Duma avait réussi à réunir Maxime et Julian. Les jumeaux étaient partis elle ne savait où et elle s’en fichait pas mal. Elle savait bien que ces dernières années… L’éditrice avait manqué à son devoir de sœur aînée mais, elle était bien décidée à se rattraper et à être de nouveau un pilier pour sa jeune sœur. La preuve, elle venait d’emménager à New-York dans l’Upper East Side. Elle avait même proposé à sa sœur de venir vivre avec elle. L’appartement était bien assez grand pour dix personnes alors… Albane s’était empressée d’accepter. Chez elle, tout lui rappelait son défunt mari et elle savait qu’elle ne pourrait jamais tourner la page dans ces conditions. C’était au-dessus de ses forces.

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Un an est passé depuis la mort de Roman. Un an où Albane avait quitté sa sœur pour vivre dans un autre appartement un peu plus loin. Elle pouvait se le permettre depuis qu’elle avait hérité d’une fortune colossale due à la mort de son mari. C’est bien son seul caprice. Le reste de l’argent demeure à la banque et elle a gardé le même train de vie qu’auparavant. Elle a toujours autant de mal à s’occuper de son fils. La française d’origine l’emmène régulièrement chez sa sœur ou ses frères qui ne sont plus si loin d’elle, à présent. Elle ne se sent pas prête à revivre une autre histoire dans l’immédiat. La jeune femme a ouvert sa propre galerie, il y a six mois et n’hésite pas à dénicher des talents pour les révéler au monde entier. Son travail est devenu essentielle à sa vie… En parallèle, elle a monté une association aidant les gens à surmonter la mort d’un proche. Bref, à vingt-huit ans, la vie continue et ça, elle l’a bien compris. Ne sois pas inquiet, un jour, je serai, de nouveau, heureuse… Je te le promets, Roman.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Memoriam, 22 ans d'existence
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je connaissais déjà le forum. Je suis venue il y a pas si longtemps avec un personnage nommé Kassandra avec Claire Holt en vava. J'ai fais un passage express. J'adorais le personnage, j'avais des supers liens et pourtant, y'a un truc qui coinçait. J'avais repris le boulot, c'était ptet ça le problème. Alors, je reviens avec Albane. Personnage que j'ai en tête depuis pas mal de temps et je ne le vois évoluer que sur NYCL...
★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop. J'aurais bien aimé, cependant...
★Présence sur le forum → Si on prends mon boulot en compte, je dirais 5/7 mais, j'essaye de passer un peu tout les jours
★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé
★Crédit images → Icons (Tuut) + Avatar (Psychotic Bitch)

Mon exemple de RolePlay:

awwwwwwwwwwwwww un retour avec Clémence en plus re-bienvenue à la maison

Re-bienvenue parmi nous! ♥

Re-bienvenue parmi nous

Re-bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche

Yaay, vive les lillois  
Re-bienvenue parmi nous  j'ai hâte d'en savoir plus sur ton personnage. Avec Clémence en plus  

Re-Bienvenue
Bon courage pour ta fiche

Merci tout le monde pour cet accueil de fou   ça fais plaisir !

clémence et le personnage s'annonce super
bienvenue parmi nous

L'avatar :laura:
Re-bienvenue chez nous alors

rebienvenue à toi et bon courage pour ta fiche

Kassandra

J'espère que cette fois ci ça tiendra !

Je te souhaite la bienvenue sur le forum

POESY

re-bienvenue alors, bonne chance pour ta fiche

Re-Bienvenue

Bienvenue jolie Clemence   

Rebienvenue

Merci tout le monde  

Shalimar => Contente de voir que mes choix plaisent ^^ J'ai vu que Poesy faisait l'unanimité mais, heureuse de voir qu'il n'y a pas que ça qui plait ^^

Zaira => Merci pour le pressentiment sur le personnage ! Je l'aime, ma Albane **

Devon => Merci ! Et je suis sûre que ce sera la bonne, ce coup-ci. Je vois pas ce qui pourrait m'empêcher de rester longtemps sur le forum. Surtout que Albane, ça fais très longtemps que je l'ai en tête  

Re-bienvenue sur le forum

Clémence Poésy. Très bon choix.
Bienvenue

Tu as intérêt sinon Devon viendra te hanter !

Re-Bienvenue
Excellent choix d'avatar