Sujet: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 20:28
FEAT. JOSEPH GORDON LEVITT
Krystian Maximillian GREY-HARCHER
28 ans → Né à Milan le 19/04/1985 → homme d'affaires, architecte. célibataire → hétérosexuel → membre des populars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Maximillian est claustrophobe et se sent extrêmement mal à l'aise dans les lieux confinés, sans fenêtres ou bien en sous sol, voilà pourquoi il évite de prendre le métro, à cause de cette phobie sont nées des crises d'angoisses auxquelles il est sujet, il suffit qu'il se sente mal à l'aise et c'en est fini pour lui, il tente de contrôler ces crises, suit même un traitement qui semble fonctionner pour le moment. Continuons sur les angoisses, le pauvre garçon est prit régulièrement de terreurs nocturnes et autres crises de spasmophilie, pas facile de dormir tranquillement, c'est d'ailleurs pour ça qu'il ne dort que quelques heures par nuit, jamais plus de quatre heures. Maximillian n'aime pas les surnoms, le plus souvent on le surnomme "Grey" mais il a horreur qu'on le surnomme Max, son prénom n'est pas "Max", c'est Maximillian, si ses parents en ont chier pour trouver un prénom ce n'est pas pour que personne ne le prononce. Il aime mettre la musique à fond quand il range son appartement parce qu'il a beau avoir une femme de ménage il n'en est jamais satisfait, il est très maniaque et se sent toujours obligé de repasser derrière elle. Le milanais aime écouter de la musique et on peut dire que son répertoire est très large, il aime absolument tous les genre de musique, il n'est pas difficile, mais son genre favori reste le rock rétro. Le jeune homme mesure dans les un mètre quatre vingt, si ce n'est plus et n'est pas très épais, on ne dira pas de lui qu'il est maigre ou bien squelettique, non, il se porte bien, il est athlétique. Quand quelque chose l'agace il a tendance à parler en italien, par parler j'entends naturellement dire des injures. Il aime la cuisine, déteste qu'on gâche la nourriture et il cuisine comme un dieu, il aurait put en faire son métier et ce jeune et charmant garçon aime chanter et danser en faisant cuire ses aliments, je vous rassure, il a une très belle voix, mais ce détail, il le garde pour lui. D'ailleurs, le milanais aime porter de beaux vêtements de marque, de beaux costumes, il est rare de le voir avec une paire de jean's, il porte un jogging uniquement son jogging pour aller à la salle de sports le samedi matin, mais ça s'arrête là. Il prend souvent le taxi quand il ne conduit pas sa voiture ou que son chauffeur ne prend pas la limousine.
★Quel est le caractère de ton personnage ? → Maximillian n'est pas quelqu'un de très patient, on peux dire qu'il a tendance à s'énerver rapidement, dans ce genre de crises il est capable de se montrer extrêmement violent, homme ou femme peut lui importe, un être humain c'est un être humain merde. Il est assez lunatique et peut passer de la joie profonde à la tristesse en un battement de cils, il est plutôt du genre introvertis et préfère écouter et conseiller les autres plutôt que l'inverse. C'est un ami loyal et très attentif, mais si par malheur vous lui avez fait quelque chose de déplaisant il est capable de vous rendre la pareil, il est très gentil, mais très rancunier aussi donc méfiez-vous de l'eau qui dort. Le milanais est un jeune homme bienveillant, légèrement égoïste sur les bords, mais prend quand même le temps de s'occuper de ses proches et aime leur faire plaisir. C'est simple, son caractère est vraiment spécial, il peut être doux et adorable et d'une minute à l'autre devenir le pire des salauds violent, j'insiste un petit peu sur le fait qu'il est assez jaloux et plutôt possessif. Maximillian est très impulsif, il agit parfois sans vraiment réfléchir et la plupart du temps il ne le regrette pas, son côté mauvais garçon plaît beaucoup aux femmes et il aime beaucoup plaire et profite de cette "chance", il est conscient de ne pas être le plus laid, mais ne pense pas être beau comme un dieu. Quoi qu'on lui dise, il finit toujours par n'en faire qu'à sa tête, libre ou tout simplement instinctif, personne ne peux et n'a le droit de lui dicter sa conduite et quand on y arrive il finit toujours par exploser pour tout envoyer au diable pour reprendre les choses en main. Il aime rire, il a son propre humour ce qui le rend parfois maladroit, ses plaisanteries sont asse spéciales dirons-nous. Il est sociable, et en général quand il ne peut pas blairer quelqu'un, il le lui fait ressentir, mais avec le sourire !
Well... It's my story...
Le meilleur moyen de tenir sa parole est de ne jamais la donner.
T'étais assis là, sur le bord de ton lit, de ton côté du matelas, à bout de souffle et à bout de nerfs tu regardais le vide parce que l'obscurité avait envahie la pièce dans laquelle tu dormais et seuls les bruits de New-York se faisaient entendre. La tête entre les mains tu venais encore de faire ce rêve, enfin un rêve, tu parles, ce cauchemar : tu ne devais pas avoir plus de six ans et la pièce dans laquelle tu te trouvais étais la chambre à coucher de tes parents qui avait été transformée en espèce de chambre d'hôpital parce que ton père était malade, vraiment très malade, mais l'homme n'avait pas voulu rester à l'hôpital, préférant rester chez lui pour vivre ses derniers instants mais ça tu l'ignorais. Tu étais assis dans cette pièce et tu le regardais, tu le regardais en souriant résigné, tu savais parfaitement que quelque chose n'allait pas, que ton père, cet homme si fort, mais à la santé si faible, n'allait pas tarder à vous quitter. Sa respiration était faible alors que l'oscilloscope s'emballait, tu étais venu lui apporter son dîner, le repas que ta mère lui avait préparer avec soin et amour, mais en le voyant ainsi, plus pâle qu'à la normale, plus faible que d'habitude, tu ne trouva pas le courage de le réveiller – lui qui semblait si paisible – pour lui donner son repas. Tu avais simplement eu l'envie de t'allonger près de ton papa, venant te blottir contre lui quand l'oscilloscope finit de s'emballer pour simplement n'émettre qu'un long « bip » tu compris que s'en était finit. Les paroles de ton père raisonnaient encore dans ta petite tête : « ne pleure pas, je ne veux jamais te voir pleurer, pleurer c'est pour les faibles ! » tu ne réussis à retenir tes larmes, malgré les ordres de ton père et plus les minutes avançaient plus son corps était froid, et tes petits doigts n'avaient de cesse que de serrer les siens qui étaient inertes. Tu ignorais pourquoi ce souvenir douloureux venait hanter tes rêves, toutes les nuits ou presque. Un long soupir attirait ton attention et tu te retournais rapidement pour finir par te souvenir que tu avais partager ton lit cette nuit, tu dors mal en compagnie de quelqu'un, encore plus qu'à ton habitude, quand tu es seul. Tu finis par te lever pour te diriger vers la salle de bain, traversant le dressing-room qui séparait ta chambre à coucher de la salle de bain, tu ne peux t'empêcher au passage de regarder ton reflet dans le miroir, les cheveux hirsutes, le teint blafard et les yeux vitreux, voilà à quoi tu ressemblait ce soir-là. Dans un soupire tu ôtais ton boxer de marquer d'un simple geste pour te jeter sous la douche. Tu n'avais qu'une hâte, qu'il soit l'heure qu'elle s'en aille cette nana, tu la connais, ou pas, tu l'a surement rencontrée hier mais tu n'as aucune envie qu'elle reste plus longtemps, tu étais seul, tu avais besoin de te vider la tête et tout autre chose, tu l'avais trouvé, maintenant que l'affaire était faite elle était libre de partir, enfin, libre et surtout priée de s'en aller. Tu enfilais un peignoir simple à la sortie de la douche, préférant te remettre à tes plans pour ne pas retourner dans la chambre, de toute manière avec elle dans son pieu, il lui serait impossible de dormir. Tu t'installais au bureau face à tes travaux et autres projets, un café dans une immense tasse blanche qui avait rendu la porcelaine de la tasse brûlante. Quand tu dessines des plans tu ne peux t'empêcher de penser à ta mère, à votre arrivée à New-York alors que tu n'avais que sept ans et surtout à ton beau père, Lloyd Harcher, celui qui t'avait aidé à devenir qui tu es, celui qui t'avais guidée et t'avais aidé à surmonter le décès de ton père, grand dieu que votre relation était compliqué au début, mais en grandissant votre relation à positivement évoluée. Tes yeux se baladaient sur ton bureau, deux cadres en bois bruts s'y trouvaient, l'un contenait une photo de famille, ton père, ta mère et toi tout petit, le deuxième c'était une photo de ton beau-père, ta mère et toi à l'obtention de ton diplôme. Tu reprenais les plans que tu avais dessiner quelques semaines plus tôt et bien vite sept heures trente avaient sonné, le visage impénétrable tu te dirigeait vers la porte de la chambre que tu poussais rapidement. « Il est temps que tu partes. » sous la couette se faisait entendre une petite voix et un petit rire jusqu'à ce que tu lui jette ses vêtements. « Je suis sérieux, prends tes affaires et vas t'en. » repris-tu en t'éloignant, te servant un deuxième café. Des des injures, quelques minutes plus tard elle quittait l'appartement en claquant la porte, ce qui fit trembler les murs. Tu fini par secouer la tête en trempant tes lèvres dans le liquide amer que contenait ta tasse en songeant aux files qu'il t'arrive de ramener parfois chez toi, tu te promettais même de ne plus en amener une seule chez toi, comme ça tu pourrais t'en aller une fois l'affaire conclue. Plus tu prends part aux joies et chagrins des gens, plus ils te sont proches et chers. Mais c'’est le chagrin et les problèmes qui vous rapprochent le plus.Tu finis par arriver aux alentours de huit heures dans les locaux de ton lieu de travail, tu préfères travailler chez toi, mais tu as tout de même un bureau où recevoir les clients, par exemple. Ton premier rendez-vous était programmé pour huit heure un quart et comme tu étais en avance et que le client n'était toujours pas arrivé tu décidais d'aller aux toilettes, après tes petites affaires terminées tu te lavais les mains alors qu'une drôle d'ombre passait devant la fenêtre à la vitre au verre fumé passait une paire de jambes. Tu ne put t'empêcher de passer tes mains sur ton visage, comme pour mieux te réveiller, pour être sur de ne pas avoir rêver mais cette paire de jambes repassait de nouveau, dans un geste rapide tu ouvrais cette fenêtre que tu tirais vers toi pour te pencher vers l'extérieur du bâtiment. Un coup d’œil à gauche, puis un autre à droite et là tu pouvait voir une jeune femme tremblante qui s'apprêtait à mettre fin à sa vie de la manière la plus égoïste qui soit et ça tu connaissais bien, quand tu allais étais plus jeune et que tu venais d'arriver à New-York ta mère était atteinte de dépression et avait tenter de mettre fin à ses jours à plusieurs reprise avant de rencontrer celui qui deviendra ton beau-père, en attendant, du haut de tes huit ans tu avais plus d'une dizaine de fois réussis à dissuader ta génitrice de ne pas faire de bêtises. « Excusez-moi... » commença-tu en te penchant d'avantage vers l'avant, prêt à monter sur le petit rebord de pierre pour aller chercher la jeune femme désespérée. Dans un sursaut elle tournait la tête vers toi, les larmes avaient noyer ses yeux, son visage était rosé et ses yeux gonflés. « Quoi ?! » t'agressait-elle en regardant de nouveau les rues de New-York qui semblaient minuscule vue d'ici, tu ne put t'empêcher d'esquisser un sourire à la question agressive de la jeune femme, était-elle sérieuse avec sa question là. « La question est la dernière : êtes-vous réellement égoïste et lâche au point de vouloir mettre fin à votre vie pour abandonner tout ceux pour qui vous comptez ? » lui demanda t-il en posant sa tête sur la paume de sa main pour l'observer longuement. « Qui êtes-vous pour me juger sans même me connaître ? » accompagné d'un « Et puis d'abord fermez votre gueule ! » qu'elle crachait alors que toi tu ne pouvais retenir ton rire nerveux pour finir par sortir et te hisser par la fenêtre. « Je ne vous juge pas, je constate que vous avez besoin d'aide et je suis persuadé que vos proches seront ravis de vous venir en aide. » tu plaquait ton dos contre la façade de l'immense bâtiment, heureusement que tu n'as pas le vertige tout de même. Cette scène n'avait de cesse que de faire remonter d'horribles souvenirs d'enfances que tu as maintes et maintes fois tenter d'oublier. « Foutez-moi la paix et retournez d'où vous venez si non je saute et j'déconne pas ! » hurlait-elle en penchant sa tête légèrement en avant. Tu étais en train de te dire que si tu étais resté couché aujourd'hui, tout ça ne te serais pas arrivé, mais maintenant que tu y étais, tu devais l'aider. « Ça fait cinq minutes que je discute avec vous, si vous aviez vraiment voulu... » mais elle ne te laissait pas terminer ta phrase « Si vous vous étiez mêler de vot'cul j'aurais sauté, j'vous retiens pas, barrez-vous ! » grondait-elle, laissant les larmes couler sur ses joues, reniflant bruyamment de temps à autres. « Je m'appelle Maximillian, quel est votre prénom ? » demandais-tu en te crispant peu à peu, soudain pris par la peur de tomber dans le vide. Il y eu un long silence, puis des sanglots avant que sa réponse ne se face entendre. « Kate, j'm'appel Kate. » dit-elle en tournant la tête vers toi avant de baisser le regard de nouveau. Après plus d'un quart d'heure de discussion et une fois que les autorités de la ville furent toutes concentrées aux pieds de l'immeuble tu finis par l'emmener à l'intérieur. Kathlyn Hicks était une jeune mère célibataire qui gagnait durement sa vie et vivait chez sa mère, elle avait quelques soucis d'argent que tu promis de régler pour l'aider en la faisant te promettre que plus jamais elle ne ferait un coup pareil, tu finis même par parler de ta mère qui avait tenter à plusieurs reprises de mettre fin à ses jours sous tes yeux. Elle fut prise en charges et toi tu retournait travailler, tes clients avaient finit par arriver, il n'était pas loin de neuf heures moins le quart maintenant. Même quand tu arrives à l'avance tu trouves toujours une bonne raison d'être en retard, ainsi va la vie. Mais je pense surtout que tu aurais aimé que quelqu'un t'aide à affronter les tentatives de suicide de ta mère parce qu'à huit ans, on est trop jeune pour affronter ça.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Amandine. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → par hasard, vraiment ! ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non pas du tout. ★Présence sur le forum → régulière. ★Personnage inventé ou scénario ? → personnage inventé. ★Crédit images → moriarty.
Mon exemple de RolePlay:
Il pleut, aujourd'hui il pleut à grosse goutes malheureusement pour toi, tu avais la chance de débuter les cours de la journée une heure plus tard que d'habitude, une mystérieuse maladie avait frappé le professeur de langue. Amen, c'était tout ce qui t'étais venu en tête quand tu as eu vent de la nouvelle, malheureusement pour les autres élèves, il y avait cours normalement mais tu refusais de traîner dans ton lit, tu ne t'étais pas couchée trop tard la nuit dernière, de plus, tu t'étais empiffrée du gâteau que tu avais pris le temps de préparer clandestinement hier, tu en avais d'ailleurs garder deux parts dans ton sac. Tu étais même fière du nappage que tu avais mis dessus. Quoi qu'il en soit tu t'étais levée en même temps que tes camarades de chambrée, tu avais enfiler des vêtements chauds à la vas vite et tu t'étais dirigée dans le parc après un petit déjeuner léger, tu vais même une tartine de beurre couvert de confiture à la main alors que tu courrais sous la pluie dans le parc pour te réfugier sous un arbre. Ce matin tu avais décidé de t'entraîner, t'entraîner encore et encore, tu avais l'espoir de devenir si puissante qu'on finirait par te respecter et même peut-être te craindre et cette idée te faisait frissonner. Après avoir couru quelque mètre tu réalisait que ton champs de force pouvait sans doute te protéger de la pluie alors avec la plus grande des concentration tu le faisais apparaître et miracle, les gouttes d'eau aussi grosse que ton pouce venaient s'écraser dessus et coulaient le long de cette bulle invisible que ton esprit était capable de faire apparaître. Tu marchais alors tranquillement, persuadée que ce soir tu aurais la migraine du siècle, mais ça ne t'empêchait pas de déguster la fin de ton petit déjeuner. Une fois le but atteint, c'est-à-dire, ce vieil arbre immense dénudé de presque toutes ses feuilles, tu déposais ton sac à terre, partiellement protégée par la seule branche encore vêtue de quelques feuilles jaunies par l'automne. Tu t'entraînais depuis à peine dix minutes, tu te concentrais de toute tes forces, bien que ton bouclier était beaucoup moins difficile à faire apparaître que quelques années plus tôt. Désormais tu pouvais le créer quand tu le souhaitais, naturellement tes émotions jouaient encore beaucoup dessus, tu avais beaucoup plus de mal avec tes émotions, mais tu savais que tout se passerait bien, tu voulais progresser de toute manière. L'intrus avait été si rapide qu'il avait réussit à s'approcher de toi sans que tu ne le remarque jusqu'à ce qu'il t'adresse la parole. Son accent et le débit de parole d'Ossian te firent sursauter en t'arrachant un horrible cris de surprise et dans un espèce de bruit magnétique ton bouclier, qui en temps normal est silencieux et invisible, apparut dans une couleur fluorescente, comme une lumière divine. Quand tu penses au débit de parole du p'tit singe, tu te dis que toi aussi, quand tu t'y mets parfois il est impossible de te comprendre. Tu posais ta main gauche sur ton cœur qui allait défoncer ta cage thoracique, mais la vue du visage de ton petit singe, Ossian, enfouis sous sa couche de vêtements et sa petite tête englobée par la capuche de sa veste t'arrachaient un sourire. « Si tu restes sous la pluie, tu vas attraper froid ! » dis-tu en croisant maintenant les bras. Il parlait si vite que tu ne comprenais pas, la pluie te tombait dessus maintenant alors en roulant des yeux, un petit sourire amusé sur les lèvres tu le tirais vers toi, vous protégeant en un instant de cette pluie digne d'un orage tropical. Tu haussais les sourcils en essuyant son visage d'un revers de la main, avec ton épais pull à grosses mailles pour finir par déposer un baiser sur sa joue. « T'es pas encore en cours ? » lui demanda-tu en tâchant de rester concentrée sur ton champs de force qui n'était plus si invisible puisque recouvert d'eau. Le matin, tu as tes moments, il t'arrive de ne parler à personne, d'être le pire des monstres, mais bien souvent, tu es adorable et très bavarde. « J'ai fais du gâteau, tu en veux ? » lui demanda-tu de nouveau en te reculant vers ton sac posé près des racines de l'arbre en question tout en regardant le bouclier qui vous protégeait, comme pour le forcer à ne pas se dématérialiser. « J'ai pensé à toi hier... » dis-tu calmement en ne lâchant pas du regard son champ de force, son sac dans les mains « Et j'ai eu une idée... » continuais-tu en ouvrant ton sac pour chercher à tâtons le sparts de gâteau enroulée dans du papier alimentaire. « Si tu cours en rond à l'intérieur d'un de mes champs de force, on peux peut-être faire une tornade ! » dis-tu fièrement en lui tendant les deux parts de gâteau, il y en avait une pour Max, mais tu n'étais pas sûre de la croiser aujourd'hui et puis Ossian était ton petit singe, ton petit favori.
Dernière édition par Maximillian Grey-Harcher le Sam 30 Nov - 0:20, édité 9 fois
Elsa J. Shadow
Empire State of Mind
◊ It's a new dawn, it's a new day, it's a new life
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 20:37
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 20:38
Bienvenue ici! ♥
Guest
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 20:40
bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 20:54
JOSEPH
Welcome
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 20:58
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 21:02
merci vous tous, vous êtes des amours, et que de belles gueules, je vais craquer moi, je viens d'arriver au paradis ! dites-moi, y a un moyen de réserver Jojo' ?
Elsa J. Shadow
Empire State of Mind
◊ It's a new dawn, it's a new day, it's a new life
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 22:03
Bienvenue chez nous !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 22:07
Je te souhaite la bienvenue parmi nous Ce mec, un véritable canon
Bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 22:26
merci beaucoup les filles
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 22:58
omg j'aime déjà ton perso, l'avatar, le pseudo, ce que t'as déjà inscrit en haut de la fiche.... je vais trop le kiffer quoi
bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Ven 29 Nov - 23:10
ma mignonne, t'es gentille ! Merci
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Sam 30 Nov - 0:31
Bienvenue par ici et bonne chance pour ta fichette
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Sam 30 Nov - 0:34
Heather Merci mam'zelle !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Sam 30 Nov - 1:07
Ah et j'oubliais... il nous faudra un lien
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Sam 30 Nov - 1:26
Bien ma belle, je prends note si tu as la moindre idée ou quoi que ce soit, n'hésites pas à me harceler !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Sam 30 Nov - 1:56
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Sam 30 Nov - 2:34
merci ma belle
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Sam 30 Nov - 2:55
Ta fiche est bonne, je te pré-valide donc en attendant qu'une admin passe t'ajouter à ton groupe Bon jeu parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Sam 30 Nov - 3:13
Oh une autre Amandine bienvenue !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. Sam 30 Nov - 3:38
Validé !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur les ballons :
Have Fun !
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie.
MAXIMILLIAN ★ la vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie.