Sujet: JUAN + murder to excellence. Mar 3 Déc - 16:02
FEAT. DYLAN RIEDER
Juan Simao Mendez
24 ans → Né à New-York le 28 novembre 1989 → cuisinier et pâtissier célibataire → hétérosexuel → membre des playboys.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → J’ai de nombreux tatouages sur le corps ; les mains (y compris les paumes), les pieds, au niveau des jambes, dans le dos, sur les côtés, sur les bras… Bref, je ne les compte plus. + J’ai une passion étrange pour les têtes de mort, je trouve que c’est fascinant, du coup, j’en ai pas mal en tatouages. + En véritable autodidacte, j’apprends très souvent les choses par moi-même. + Je joue de la guitare dès que j’en ai l’occasion. + Je fais du skate depuis que je suis gamin et je me blesse très souvent à cause de cela. + Ma passion de la cuisine et des pâtisseries me vient de ma grand-mère. + J’ai participé à la dernière édition de masterchef. + J’ai fais plusieurs petits boulots avant de me mettre vraiment à la cuisine. + J’ai été barman, livreur, j’ai même bossé dans un resto jap et c’était marrant d’être le seul latino du coin. + Je maîtrise l’anglais et l’espagnol puisqu’à la maison, on parle presque toujours espagnol. + Je suis très respectueux envers la Religion, mais me rendre à l’Église tous les dimanches me tape royalement sur les nerfs. + J’adore les repas dominical en compagnie de toute la famille. + Même si je suis un très gros bosseur, je suis pas toujours sérieux et je fais souvent tout ce qui me passe par la tête. + Quand des gens m’insupportent et que je n’ai pas envie de faire la conversation avec eux, je parle avec un accent très prononcé et je fais semblant de pas les comprendre. + Je suis très proche de tous les membres de ma famille. + J’adore lire. + Parfois, je me mets à danser sans raison précise, peu importe le lieu, il suffit que j’entende un peu de musique et on me contrôle plus. + Je suis un touche à tout, j’aime pas être inactif et je veux toujours apprendre de nouvelles choses. + Je pourrais passer toute ma vie dans une cuisine. + J’aime pas les contraintes, j’ai envie de faire tout ce que je veux. Je m’habille simplement, je n’aime pas me prendre la tête. + J’ai souvent les cheveux coupé courts, mais il arrive qu’ils soient un peu plus longs.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Mon éducation très portée sur la Religion voudrait que je sois le parfait petit ange, mais j’crois que j’ai loupé quelques cours de catéchismes. C’est pas que je trouve cela chiant ou quelque chose d’autre, mais franchement, me rendre à l’Église tous les dimanches, ça allait lorsque j’étais gamin, mais à l’heure actuelle, je trouve que c’est clairement une perte de temps. Après tout, on répète sans cesse que l’Seigneur est avec nous peu importe où on se trouve… Du coup, que j’sois sur les bancs d’l’Église ou pas, ça change quoi ? L’bon Dieu est quand même avec moi, non ? Enfin, même si je suis gonflé à l’idée de m’y rendre, j’y vais parce que je respecte beaucoup trop ma famille pour faire l’affront de ne pas être à leurs côtés. Sous mes airs de presque connard – je sais que j’ai la gueule du mec qui emmerde le monde -, j’ai énormément de respect envers mes proches et à mes yeux, la famille est ce qu’il y a de plus important. Des amis, on les remplace si ils décident de prendre un autre chemin, on fait de nouvelles connaissances, mais la famille… Ce sont les liens du sang et ils sont irremplaçables. Puis, chez moi, on est tous très unis et soudés. Si les nôtres ont des problèmes, on se mobilise tous, on ne laisse personne dans les ennuis, ce n’est pas dans notre nature. Il faut dire que nous sommes très nombreux et on pourrait croire qu’il n’est pas facile de se faire une place, mais ce n’est pas du tout le cas ; chacun a sa place et personne n’est mit de côté. Enfin, pour en revenir à mon caractère… Je suis un mec très – trop – sociable. Je parle à tout le monde, tout le temps, j’ai toujours un truc à dire et lorsque je commence, je ne m’arrête plus. Mais il y a aussi des moments où je sais me taire, notamment lorsque je bouquine ou que je joue de la musique, là, il ne faut surtout pas qu’on me dérange, je suis dans ma petite bulle et c’est très bien ainsi. Je suis un bourreau de travail, j’aime trop ce que je fais et j’y passerai bien toute mon existence, mais je ne crois pas que ce serait très raisonnable. Je suis également trop extraverti, je crois. Je veux dire… Je ne me connais pas de limites. Lorsque j’ai envie de faire quelque chose, je le fais et je me pose les questions après. Avec les gens, je fais les choses comme je les sens et je ne pense pas une seule seconde qu’ils voudraient pas que je me comporte de cette manière, mais je suis comme ça… ! Je sais pas faire autrement, je ne sais pas me mettre des barrières ou freiner mes idées et mes envies. J’ai trop besoin de vivre ma vie comme si elle pouvait être terminée dès le lendemain. Chaque minute compte. C’est une sorte de leitmotiv. Bon, j’avoue aussi que je peux être chiant mais ce n’est jamais volontaire… ou presque ! Mais quand une personne me tape sur les nerfs, j’ai tendance à lui rendre et je le fais plutôt bien. Je ne suis jamais en reste et j’ai toujours des idées en stock. Je suis plutôt calme dans la vie de tous les jours, mais il ne faut pas non plus me prendre pour un grand crétin. Si on me cherche beaucoup trop ou qu’on s’attaque à mes proches, je perds mon calme et je deviens plus bagarreur. Quand je suis en soirée et que je bois beaucoup, je deviens incontrôlable… J’enchaîne les conneries et je fous souvent la honte aux personnes qui m’accompagnent mais je n’y peux rien… J’ai tendance à toujours trop boire alors que je sais très bien comment ça se termine. Je fume aussi. Beaucoup. Beaucoup trop selon ma mère qui voudrait que je mette un terme à cette addiction, comme elle dit. Je lui dis toujours que j’y penserai, mais je n’y pense jamais et dès que je sors de chez mes parents, je me rachète des paquets. J’l’aime ma mère. Franchement. C’est la femme de ma vie. Elle est trop géniale. Elle est exceptionnelle. Et même si souvent je me comporte comme un parfait idiot avec les femmes, je les respecte parce qu’elle m’a apprit à le faire. Je ne vais jamais trop loin avec elles parce que je sais que ma pauvre mère ne me le pardonnerait pas. Puis, parfois, quand des merdes me tombent dessus, je cherche toujours le bon côté des choses parce que j’estime que même dans les pires moments, il y a des trucs positifs qui en sortent et je préfère me dire cela plutôt qu’être pessimiste et m’dire que la vie n’est qu’une pauvre idiote qui ne mérite pas qu’on la vive.
Well... It's my story...
J’ai pas franchement de quoi me plaindre au sujet de mon enfance. J’ai grandis dans une famille très unie et très soudée dans laquelle les uns entraident les autres en cas de problèmes. On ne laissait jamais quelqu’un derrière nous, on ne laissait jamais un proche dans le besoin parce qu’on savait que si on se trouvait dans la merde, toute la famille Mendez répondrait présente. Alors ouais, on était pas franchement riche, on roulait pas sur l’or, mais on avait cette richesse au sein de notre famille qui faisait qu’on avait toujours quelque chose dans nos assiettes, qu’on avait tous un toit au dessus de la tête et franchement, ça valait (et ça vaut toujours) tout l’or du monde. Je m’en fichais que les autres mômes aient des fringues de marques, je m’en fichais qu’ils aient des trucs trop cool qui valaient des centaines de dollars, ces gosses de riches n’avaient pas ce que notre famille possédait et ils ne l’auraient probablement jamais. J’ai toujours eu tendance à me foutre de l’avis des gens et avec les années, mon point de vue n’a pas changé. J’ai jamais été envieux de qui que ce soit. Petit, je passais énormément de temps avec mes grands-parents et notamment avec ma grand-mère parce que je l’adorais tout simplement. Elle était fantastique et avec elle, je faisais toujours la cuisine ou elle m’apprenait à faire des gâteaux et d’autres pâtisseries qu’on mangeait ensuite tous ensemble. C’est à cette période que j’ai eu cette passion que j’ai aujourd’hui et qui m’a conduit à être cuisinier et pâtissier. Mais ce déclic m’est venu quelques années plus tard. Bref. J’étais proche de tout le monde, il faut dire que je n’étais pas du genre chiant, capricieux… J’étais surtout très bavard et je crois que parfois, mes parents pouvaient être soulagés que je passe du temps chez mes oncles et tantes… Je m’arrêtais jamais, pire qu’une pile électrique. Pour canaliser mon énergie, je m’étais mis au skate vers l’âge de dix ans. C’était pas très beau, je tiens à le dire… Je me cassais souvent la gueule, je revenais avec les fringues déchirés et j’arrêtais pas de saigner parce que quand je tombais, j’avais jamais le réflexe de me protéger, non… J’allais au bout des choses, y compris des douleurs.
À l’école, j’étais pas un cancre, j’étais même plutôt bon, mais j’aimais pas trop cela. Être assis toute la journée et écouter quelqu’un me raconter des choses dont j’en avais rien à fiche, ce n’était pas mon délire. Je préférais apprendre par moi-même, dans les bouquins ou même avec des documentaires, ça me semblait déjà plus vivant que ces professeurs qui avaient l’air de se faire autant chier que nous, pauvre élèves. Heureusement, je trouvais toujours de quoi m’occuper et je passais mon temps à faire des dessins ou à écrire des conneries sur des feuilles volantes. J’aimais pas me prendre la tête, je voulais pas être trop insolent parce que je savais que ça passerait pas avec mes parents. Pour eux, je mettais un frein à mes idées de rébellion, mais je faisais quand même quelques conneries. Disons que j’étais bon pour les coups en douce… ! Seulement, lorsque j’avais treize ans, j’ai assisté à un truc qui m’a marqué et il arrive encore que j’en fasse des cauchemars. Bref. Je revenais des cours avec mon grand frère Luis et mon cousin Sandro lorsque nous avons entendu des tirs. Je ne savais pas trop ce qu’il se passait jusqu’à ce que mon cousin s’effondre au sol, devant mes yeux. Je ne savais pas quoi faire. Pour la première fois, j’avais la gueule fermée et je me retrouvais tout con. C’est Luis qui m’avait ramené à la réalité en me disant d’appeler rapidement les secours, que notre cousin était blessé et qu’il fallait faire vite. Lorsqu’il se trouvait au bloc opératoire, on attendait tous, on crevait d’impatience, mais on gardait espoir. D’ailleurs, ironie du sort : ce qui aurait dû lui coûter la vie… lui a en fait sauver la vie. Sans cette fichue balle, jamais personne n’aurait su qu’il était malade et qu’il devait suivre un traitement. Putain de cancer. Putain de misère.
J’ai jamais passé autant de temps à l’hôpital que durant cette période. Avec la famille, on était tous là-bas. Jamais en même temps, mais il y avait toujours quelqu’un avec lui, on ne voulait pas qu’il soit seul, c’était déjà bien assez difficile. Moi, je mettais de côté mon fichu traumatisme jusqu’à l’enfouir complètement au fond de moi et je me concentrais sur la famille et mon cousin. On n’arrêtait pas les prières, c’était dingue. On faisait que ça. On se débrouillait comme on pouvait. Pour un peu mettre ma pierre à l’édifice, j’allais souvent à l’hôpital pour faire la lecture à Sandro. On avait toujours eu cette passion commune alors pour moi, c’était un bon moyen de rendre son hospitalisation moins difficile et moins contraignante. J’étais là-bas presque tous les jours, dès que je sortais des cours, j’allais le voir et je reprenais la lecture de la veille jusqu’à ce qu’on épuise vraiment un stock de bouquins. C’est aussi à cette période que j’ai appris à jouer de la guitare. C’était un autre échappatoire, quelque chose qui me faisait du bien et qui m’aidait à décompresser. J’étais toujours en train de faire une activité, je ne supportais pas d’être là, attendre que le temps passe sans rien faire. Évidemment, mes résultats n’étaient pas très bons, mais je m’en fichais… Je savais que les études allaient être inutiles vu que ce je voulais faire plus tard. Quand je dis que je suis un autodidacte, je ne plaisante pas. Pour moi, apprendre les choses via quelqu’un d’autre, c’est limite une phobie, je n’aime pas ça.
Après le lycée, je n’ai pas poursuivi mes études parce que cela ne me convenait plus et j’en avais vraiment marre d’être assis pendant des heures à ne rien faire. Pour ne pas rester ainsi, j’ai commencé à faire des petits boulots. J’en ai fais pas mal durant quelques mois. J’ai été livreur, mais je ne trouvais pas cela très intéressant et comme j’étais souvent en retard, mon patron n’aimait pas – ce que je peux comprendre. Ensuite, j’ai été barman et franchement, c’était excellent ! J’adorais faire des cocktails, ça m’amusait comme un dingue, mais il arrivait que je termine complètement déchiré avant la fin de mon service parce que ouais, pendant mes pauses, j’étais du genre à picoler et pas qu’un peu… Je sais que c’était pas bien, mais je m’en foutais. J’ai même été dans un restaurant japonais, même qu’à la base, il ne voulait pas de moi parce que je n’étais pas comme eux, mais franchement, j’étais bon ! Je passais le plus clair du temps en cuisine et là, je me sentais vraiment à ma place. Après cette expérience, j’avais aussi bossé dans une pizzeria, je trouvais ça marrant ! Ouais, je touche à tout et ça me plaît. Mais au final, c’est vraiment dans un restaurant où j’ai trouvé ma place. Faire la cuisine ça a toujours été mon truc et je m’épanouis complètement dans ce que je fais, et encore plus lorsque je fais des pâtisseries. Je m’éclate comme un fou. Bref, j’avais vraiment trouvé ma voie et j’en étais que plus heureux.
Pour mon cousin, la santé allait mieux et dans notre famille, c’était une très bonne nouvelle. On est le genre à se supporter jusqu’au bout, peu importe les événements. Et là, on était tous derrière la petite famille. Du coup, comme ça allait mieux, après une longue hésitation, je m’étais inscris à un concours qui passait à la télévision sous les conseils de quelques gars qui bossaient avec moi au restaurant. Masterchef, là… Ils disaient que je serai le candidat idéal les salauds… Mais c’est surtout parce que je n’avais pas la gueule de l’emploi qu’ils me poussaient à le faire. Et je l’ai fais cette émission. Sérieusement. C’était à mourir de rire, mais j’ai adoré cette expérience. J’y avais quelques rencontres exceptionnelles et même si je n’ai pas gagné, je suis fier de mon parcours. Même si je crois que souvent, je passais pour un dingue… Il faut dire que rares sont les candidats qui dansent derrière leur plan de travail sous prétexte que la vie est belle. Après cette expérience, j’ai repris mon poste dans le restaurant où je bossais avant puisque j’y étais bien et je ne voulais pas faire mon job ailleurs – du moins, pas pour le moment. D’autant que c’est un restaurant vraiment classe et j’aime le fait que je sois en total décalage avec l’image qu’il renvoi.
Pour en venir au présent… Je n’ai pas changé depuis tout ce temps. Je suis toujours le Juan que tout le monde connaît, celui qui aime faire la fête, celui qui boit plus que de raison et qui fume comme un pompier. J’aime toujours autant mon job, j’aime toujours autant la vie et j’en profite comme un dingue. Je ne suis pas parfait et je ne vais jamais prétendre l’être parce que je pense que la perfection est chiante et ce sont les imperfections qui rendent quelqu’un meilleur – du coup, je me rapproche de l’excellence, quoi.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → WS - 23 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → top site, y a un loooong moment. (a) ★Ce personnage est-il un double compte ? → C'est le 5ème et je suis pas accroc, d'accord ? ★Présence sur le forum → Régulière ! ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario familiale. ★Crédit images → bazz + tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→Si je suis dingue ? Oui, cela ne fait aucun doute ! Mais au moins, je parviens encore et toujours à la faire rire, et vous savez ce qu’on dit ? Femme qui rit... Bon, théoriquement, elle est déjà dans mon lit, mais le principe reste le même. Seulement, je pense qu’il est préférable que je garde mes remarques pour moi puisque déjà là, Mackenzie n’arrive pas à se remettre de ma connerie. Il faut dire que la comparer à une étoile de mer, ce n’était pas franchement l’idée du siècle et moi-même je ne sais pas pourquoi j’en suis venu à ce stade. Il y a quelque chose qui cloche chez moi, mais pour le moment, je préfère me dire que c’est à cause du long vol en avion. Généralement, cela perturbe mon cerveau - il faut toujours trouver une parade pour se rassurer.
Je ne peux faire autrement que rire avec elle. Il faut dire que son rire est très communicatif et j’adore l’entendre. Elle s’excuse, mais je secoue la tête : je ne peux rien lui dire. Tout ceci est entièrement de ma faute (bien qu’elle ait sa part de responsabilité puisque c’est elle qui a eu l’idée de se mettre en position "étoile de mer"). Seulement, à sa petite remarque, j’arque un sourcil. J’essaie de comprendre lentement ce qu’elle vient de me dire et j’en viens à la conclusion première qu’elle me compare à une... éponge. Une éponge. Deux minutes. Il faut que je visualise. Je suis un truc jaune avec des trous ?
« Que je remette les choses dans l’ordre... Tu me compare à une éponge... Mon loft est donc l’ananas... De ce côté là, on peut s’arranger... Par contre, vivre sous la mer, je crois pas que ce soit possible. », dis-je en arquant de nouveau un sourcil.
Je me redresse, les mains toujours de chaque côté de son visage et je reste en appui au dessus d’elle. Je fais genre que je suis très sérieux, mais en vrai, j’ai genre envie de sourire comme un débile - mais je me retiens, il me reste encore un petit peu de dignité... Elle est cachée. Mais elle est présente.
« Mais n’empêche, une éponge... », ajouté-je en faisant la moue.
Quoi ? Je joue la comédie. J’ai le droit de le faire. Je suis un parfait comédien, c’est Mackenzie qui l’a dit. Je ne peux que la croire. Je crois en tout ce qu’elle dit. Je bois ses paroles.... Je sais, je commence à en faire trop. Mais on a comprit ce que je voulais dire, c’est l’essentiel.
Je fini par rire un coup et je reprends mon sérieux. Est-ce que l’on pourrait vivre ensemble, elle et moi ? Sans aucun doute, oui. On passe tout notre temps ensemble - ou presque - et on s’entend merveilleusement bien. Que demander de plus ? Je pense que ce serait un pas en avant et personnellement, je me sens prêt à le faire. Je ne doute pas de mes sentiments envers cette femme.
« Perso, je ne suis pas contre cette idée... Surtout si elle est soumise de manière si originale... », finis-je par dire avant de rire de nouveau.
Je ne fais que rire. Je ne peux faire autrement. Je repense à ce qu’elle a dit et c’est plus fort que moi. Au moins, il est certain que je ne m’ennuie jamais avec elle et c’est tant mieux. À sa question, j’incline la tête sur le côté et hausse les épaules. Je vois bien qu’elle fuyait un petit peu mon regard. Moh. Comme si j’allais me moquer ou que sais-je encore !
« Aucune idée. Mais si vraiment cela te tient à cœur, je peux en faire la demande. », dis-je, histoire de faire un peu d’humour...
Genre on en fait pas depuis tout à l’heure.
Finalement, je colle davantage mon corps contre le sien et niche mon visage dans son cou. Je l’embrasse quelques secondes tendrement.
« Je suis fatigué, tu me fais un câlin ? », demandé-je un peu à la manière d’un gamin.
Je suis fatigué. Mais bien entendu. C’était juste le moyen de me rapprocher encore un peu plus d’elle pour avoir encore un peu plus d’attention (comme si j’en avais pas assez, évidemment) et me blottir contre son corps.
Dernière édition par Juan S. Mendez le Mar 3 Déc - 22:46, édité 7 fois
Sujet: Re: JUAN + murder to excellence. Mar 3 Déc - 23:14
merci !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: JUAN + murder to excellence. Mer 4 Déc - 4:57
Tu as craqué Vivement qu'on en sache plus sur ce personnage, j'adore tous les tiens donc celui-ci ne devrait pas déroger à la règle Re-bienvenue chez toi
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: JUAN + murder to excellence. Mer 4 Déc - 5:21
dp ;
Rien à dire, je confirme ce que je viens de dire dans mon message du dessus, encore un personnage qui promet Tu connais la maison, je te pré-valide avant qu'on vienne t'ajouter aux bleus Bon jeu parmi nous
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: JUAN + murder to excellence. Mer 4 Déc - 12:47
Validé !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur les ballons :
Have Fun !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: JUAN + murder to excellence. Mer 4 Déc - 13:21
Je te souhaite une très chaleureuse bienvenue sur le forum