24 ans → Née à New York le 21/01/1989 → Modèle photo célibataire → hétérosexuelle → membre des Beauty Queens.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Je suis pas allergique aux cons, j’ai trop l’habitude de les fréquenter pour que ce soit le cas. Par contre je suis allergique aux fruits de mer, en plus, je trouve ça atroce, surtout quand c’est tout visqueux et que ça ressemble à rien, ce qui est le cas pour la plupart. Sinon je fume comme un pompier – que ce soit un joint de temps en temps ou des paquets de cigarettes « normales » - , et il se peut que je me tape un cancer un jour, mais ce qui doit arriver arrivera de toute façon. J’aime m’habiller assez classe même si je préfère me trimballer en sous-vêtements – ou avec le strict minimum - mais malheureusement, on n’a pas le droit dans la rue… Avant de devenir modèle photo, j’ai déjà vendu mon corps et je n’en ai pas honte. Pourquoi est-ce que c’en serait une d’ailleurs ? ça veut dire que je suis assez bien foutue pour me le permettre, non ? En plus, c’est le genre de truc vachement bien payé, ce qui fait que j’ai un peu d’argent de côté. J’aime tellement les hommes que je suis capable de passer tout mon temps avec eux. J’ai déjà testé avec une fille, mais c’est pas mon truc.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Derrière mes airs de je m’en foutiste, je vous assure qu’en fait, je le suis pas tant que ça, par exemple, quand je sais que Juan fréquente d’autres filles que moi, ça me rend dingue ! Je suis jalouse à en crever, mais je ne lui montre pas, de peur qu’il soit content. Sinon, je sais qu’il y a pas mieux foutue que moi et je ne me gêne pas pour en profiter, faut dire que c’est plutôt pratique vu le métier que je fais. Parfois je suis franche, mais au sujet de mon accouchement sous X, je suis très réservée, personne n’est au courant à part le père. Sinon, je suis du genre extravertie, loin d’être sérieuse et complètement débauchée, et je n’aime pas trop les gens timides, du genre ceux qui ont un balais où je pense et qu’il est impossible de leur retirer. Il peut m’arriver des tas de trucs comme j’ai tendance à être malchanceuse et maladroite, et à un moment, j’ai vraiment arrêté de compter… Avec les autres, je pense être assez ouverte, même si j’ai tendance à me méfier des filles, sachant que la plupart sont des véritables garces, pires que moi souvent.
Well... It's my story...
Je n’ai pas eu une enfance traumatisante, loin de là. J’ai jamais manqué de rien mais la famille, ça n’a jamais été mon truc. Ça me saoule plus qu’autre chose. Je ne suis ni proche de ma petite sœur, ni de mon grand-frère, et encore moins de mes parents. Pourtant, ils ont toujours cherché à ce qu’on soit une famille idéale, avec des enfants presque parfaits, travaillant bien à l’école, faisant du cheval et jouant du piano, mais comme une sorte de rébellion, j’ai toujours refusé de me plier à ça. Etre une bonne élève ? Trop peu pour moi. Même si j’en aurais la capacité, je me suis toujours complètement foutue des cours, rien qu’à l’école, j’en avais déjà rien à battre. L’adolescence… Je vous dis pas qu’est-ce que je me suis éclatée à cette période-là ! C’est là que j’ai commencé à me chercher, à tester mes limites. Comme tout ado qui se respecte je pense. Bien sûr, mes parents n’étaient pas d’accord avec toutes mes conneries, notamment lors des soirées où y avaient drogues et alcools à gogo, pour mon plus grand bonheur. Combien de fois je suis rentrée éméchée à la maison… ! Ils avaient honte, mais ça m’était égal, je ne pensais qu’à me divertir, quoi qu’on en pense.
Evidemment, les cours ne m’intéressaient toujours pas. Je préférais faire la fête et trainer avec les garçons parce que j’avais toujours envie de foutre des paires de baffes aux filles. J’avais ma bande de mecs, et c’était très bien comme ça. On passait du bon temps, c’était top. Puis à seize ans, je suis sortie avec l’un d’eux, Juan. Beau à en tomber par terre. Avec lui, j’ai connu toutes mes premières fois, de la première cigarette au premier rapport sexuel, en passant par l’épique premier baiser.
Franchement, je me sentais super bien avec lui. C’est vrai qu’on n’avait pas la même vision de la famille mais c’était loin de me déranger. Or, je suis du genre à vouloir être libre à tout prix et ça a toujours été dur pour moi de résister aux tentations aussi nombreuses soient-elles, bien que le sexe domine.
Je suis restée sage pendant trois ans – j’avais dix-neuf ans donc. Je n’ai jamais commis le moindre petit écart mais il fallait bien que je craque à un moment, je suis loin d’être parfaite. Une relation sérieuse… Ce n’est pas vraiment mon truc, j’avais besoin de respirer. Alors, j’ai trompé Juan, avec un photographe, lors d’un shoot plutôt osé. A vrai dire, je m’en suis voulue mais je ne pouvais pas revenir en arrière… J’étais amoureuse de lui, mais pourtant, je l’ai trahi et je pense qu’il n’y aucun moyen de réparer ça. Le truc, c’est que le jour où j’ai fait ça, ça m’était complètement sorti de la tête, qu’il était censé passer me récupérer. On était dans le studio, sur un canapé, dans le plus petit apparat possible et il nous a surpris. Il n’a pas été du genre à gueuler et à se mettre à taper sur le premier truc qui lui passe sous la main, ou bien sur le type, il a juste bloqué et est parti. J’ai cherché à le retenir, puis il m’a dit d’aller me faire foutre, bien que ce soit déjà fait. Je n’aurais pas dû faire ça, mais il a eu entièrement raison de rompre avec moi. Après tout, c’était tout ce que je méritais.
Quelques mois après, devinez qui a frappé à ma porte ? Juan, bourré comme pas possible, sentant l’alcool à des kilomètres. C’est vrai qu’il n’était pas tendre dans ses propos, mais je ne pouvais pas lui en vouloir pour ça, bien que ça fasse mal. Il avait envie de coucher avec moi aussi, et c’est pas comme si je pouvais cracher dessus. Alors on l’a fait. Puis on est devenu une sorte de sex-friends.
A 21 ans, j’avais assez de fric pour pouvoir avoir mon chez moi et enfin quitter le nid familial. Quel bonheur d’être complètement indépendante, et de faire absolument tout ce que je veux ! Faut dire que j’ai rêvé de ça pendant des années, et j’y suis arrivée. Certes, y a eu un peu de prostitution pour y parvenir mais je m’en fous complètement.
Quelques années après, j’ai participé à une sorte de gala de charité. J’ai discuté avec un type et on n’a pas fait que ça. Et là je suis tombée enceinte d’un coup d’un soir. Que faire du bébé ? J’en savais trop rien… Le faire disparaitre, je n’en étais pas capable puis être mère… Non. Je crois que ce n’était pas pour moi. Pendant ce temps, je me cachais, je prétextais faire des shoots à l’étranger parce que c’était plus simple de mentir, étant donné que je n’arrivais pas à prendre une décision.
Neuf mois plus tard, cette chose avait germé dans mon ventre et était prête à en sortir. Je ne savais toujours pas quoi faire… Je ne pouvais pas assumer, il fallait que je lui donne toutes ses chances de réussir. Ce n’est pas avec une mère qui fait à moitié la pute qu’il pourrait le faire. Alors j’ai préféré accoucher sous X, ce serait bien mieux pour lui. Je n’avais pas voulu savoir si c’était une fille, ou bien un garçon lors de l’échographie. C’est le jour de l’accouchement que j’ai appris que c’était un petit garçon.
Ça n’a pas été facile de l’abandonner comme ça, mais je continue à essayer de me persuader que c’était ce qu’il y avait de mieux à faire. Depuis le jour où j’ai trompé Juan… Je n’ai jamais plus été correcte, jamais plus pris de bonnes décisions. Cette vie de merde, je l’ai choisi et je ne sais pas si je ferais de nouveau les mêmes choix, s’il fallait revenir en arrière.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Emy, 16 ans - bientôt 17. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Grâce à Juanito. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope. ★Présence sur le forum → 6/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → tearsflight.
Mon exemple de RolePlay:
→ Aujourd’hui, comme le jour de ma rencontre avec Jules – il y a quasiment une éternité – je décide d’aller courir, comme à chaque fois que je ne dois pas dispenser de cours à l’école et que les autres profs prennent le relai. Au moins, ça me permet de m’aérer la tête, comme quand je danse, et de laisser les problèmes à plus tard. C’est une belle journée en plus, alors je vais en profiter comme il se doit.
Au bout d’environ une demi-heure de course, je me sens épiée. Je me retourne plusieurs fois mais ne remarque rien de particulier. Même si je suis censée laisser les problèmes à la maison, dès que je viens ici, je pense à lui. Ce n’est pas comme si je n’avais pas essayé de l’oublier depuis plus d’un an et demi… Il a beau m’avoir fait souffrir, je l’aime encore mais je suis bien trop fière pour chercher à le retrouver et à recoller les morceaux. Il l’aurait fait s’il tenait vraiment à moi.
Le pire, c’est que même depuis qu’on n’est plus ensemble, je le vois partout. Il rôde encore dans mon appartement, m’attend à la sortie de l’école de danse, s’assied sur le banc dans le parc… Et il n’y a pas un rêve – ou un cauchemar – où il n’est pas là. Je me demande pourquoi c’est si dur. Enfin, y a pas besoin de beaucoup réfléchir puisque je n’ai jamais eu d’aussi longue relation qu’avec lui. Evidemment, je m’y suis beaucoup trop accrochée.
Je cours sans m’en rendre compte, tout ça pour laisser les soucis loin, très loin derrière moi alors qu’ils me rattrapent. J’aperçois sa silhouette au loin, qui traverse par la pelouse, mais je me dis que ce n’est pas possible. Je préfère détourner le regard, au cas-où. C’est là que je percute quelqu’un de plein fouet. Les yeux baissés, il s’excuse alors que je cherche à le fixer mais rien. Je me contente de dire :
« Navrée aussi… »
Il me tourne le dos, je le prends vraiment mal. Comme s’il n’y avait rien eu entre nous… Comme s’il ne m’avait jamais connue. J’essaie de le rattraper en courant un peu plus vite, même s’il marche assez rapidement… Je me place devant lui, et ne bouge plus. Je mets mes mains sur mes hanches et le regarde fixement, j’aurais presque pu oublier à quel point il était beau… !
« Eh attends ! C’est tout ce à quoi j’ai droit ? Même pas un bonjour ni rien ? Alors qu’on a couché ensemble des centaines de fois, sérieusement ? Bon, tu me diras, tu t’es pas gêné pour coucher avec d’autres… Dans mon plumard qui plus est. »
Je le fusille du regard et poursuis :
« Tu n’as pas l’impression de me devoir des excuses non ? A moins que ça soit moi, qui soit en tort ? D’ailleurs, qu’est-ce que tu as attendu ? »
Je ne suis même pas sûre de vouloir savoir tout ça... Mais ça me permettrait peut-être d'aller de l'avant, et d'enfin tourner la page.
Dernière édition par Milah D. Nilsen le Sam 7 Déc - 20:17, édité 7 fois
Sujet: Re: Milah : Love is weakness Ven 6 Déc - 23:43
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH. j'te souhaite la bienvenue dans le coin et je suis genre... ravie que tu sois inscrite. < ça, c'est de la part de Juan. mais moi, officiellement, jotem.
Guest
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Milah : Love is weakness Ven 6 Déc - 23:44
cintia bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Milah : Love is weakness Ven 6 Déc - 23:46
Merci mon Juanito d'amour Jotem aussiii
Merci Zaira
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Milah : Love is weakness Ven 6 Déc - 23:47
J'ai entendu parlé de ta venue et je t'attends avec impatience
Bienvenue ici
J'aime trop ton choix d'avatar !
Elsa J. Shadow
Empire State of Mind
◊ It's a new dawn, it's a new day, it's a new life