Sujet: ♦ Jena « On joue pour gagner. Pas pour jouer » Lun 30 Déc - 16:31
FEAT. AVRIL LAVIGNE
Jena Alyss MORGAN
25 ans → Née à Paris le 16/09/1988 → Photographe En couple → hétérosexuelle → membre des populars .
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Je suis belle. En tous cas, plus que la moyenne. Mes cheveux, blonds comme les blés, me tombent jusqu’aux hanches, ou presque. Ils sont mon arme de séduction la plus évidente. Je suis plutôt petite, sans non plus l’être trop : je mesure en effet un mètre soixante cinq. Je suis bien proportionnée, ni trop grasse, ni trop maigre. Mince, mais sans non plus tomber dans le « sac d’os ». Je suis, le plus souvent, habillée d’un jean slim, voire skinny bleu marine, et d’un simple débardeur noir avec un certain décolleté. Ma peau, pâle, fais ressortir mes yeux bleus comme le ciel, et mes lèvres rosées. Sur mon poignet droit, l’on peut observer le contour d’une étoile, tatouée en noir. Des tatouages, j’en ai plusieurs, mais tous représentent la même chose ; une étoile. J’en ai donc un au poignet droit, mais aussi un sur la hanche, et un sur l’omoplate gauche. J’ai aussi des piercings, même si je ne les considère pas vraiment comme tels ; en effet, ce sont juste les deux trous aux oreilles, ainsi que l’hélix. Pour les trous dans le cartilage, j’y glisse souvent des petits clous. Pour l'hélix, un simple anneau orné d’une perle suffit amplement.
★Quel est le caractère de ton personnage? → On me traite parfois de peste. C’est vrai que j’aime faire ma loi, et plier les gens à ma volonté. Mais, lorsque j’aime quelque chose, je suis passionnée ; je m’y donne à fond. Je suis prête à toutes les concessions, ou presque, pour atteindre mon but. Prête à tout, vraiment tout. J’élimine mes adversaires un à un, peu importe comment. Je suis égoïste, un peu. Je n’ai pas de mal à partager les choses matérielles. Mais les autres, telles que l’amour, la réussite, le mérite… Il ne faut pas rêver. C’est à moi. Je me bats pour ce que je veux, et dès lors que je l’ai, je le garde. Je suis possessive. Ce qui est à moi est à moi. Je suis aussi très impulsive, et j’ai le sang chaud. Un rien peut m’énerver…. Et quand je suis énervée… Vous ne voulez pas être l’objet de ma colère. Je n’ai pas de scrupules, pas de conscience dans ces moments là. Déjà que, habituellement, je n’en ai que très peu… Après ce portrait, c’est vrai que l’on peut me trouver méchante, sans scrupule, manipulatrice, et impulsive. Mais, j’ai aussi des qualités. Je suis acharnée, passionnée, comme je l’ai déjà précisé. Et je peux aussi être sympa, avec mes amis. Je suis bonne vivante, et j’aime faire la fête. En bref, je suis une fille plus ou moins normale, mais cependant, pourrie gâtée sur les bords. Aaah, l’argent de papa, ca aide des fois !
Well... It's my story...
Je suis née en France, en 1988. A Paris, plus précisément. La capitale ! Mon père est new yorkais, mais voyage énormément, de pays en pays, de villes en villes. Son métier, dans le secteur du cinéma, n’a cessé de m’ouvrir des portes, et son argent, lui, m’a propulsé sur l’échelle de la popularité. Dès que je veux quelque chose, je l’obtiens. Mais revenons à notre histoire. C’est en 1986 que, voyageant à Paris, il rencontre ma mère. Il est réalisateur américain, elle est actrice française. C’est presque tout de suite le coup de foudre. Un an plus tard, alors que mon père retourne en Amérique, ma mère reste en France. Cependant, la séparation est si douloureuse que mon père revient presque immédiatement en France, où ils se marient. Ils ont un seul et unique enfant. Moi. Leur « petite star » comme ils m’appellent. Nous vivons heureux, à Paris, dans un des arrondissements les plus chics, pendant six ans. Mais mon père est cependant bien obligé de revenir à New York. Ma mère refuse de quitter Paris, aussi ne partons aux USA qu’a deux. Et c’est là que tout commence vraiment.
Cher journal Aujourd’hui, le 14 juillet 1996 que je reçois le premier coup de fil de Maman. C’est la fête Nationale à Paris. Et ca fait bientôt un an que nous sommes partis. Ca m’a fait bizarre de l’entendre me parler. Ca fait longtemps que je ne l’ai pas vu, mais, bizarrement, elle ne me manque pas trop. Ici, à NY, je suis heureuse. Comme si ma place était ici depuis toujours et pour toujours.
Cher journal Ca fait trois ans que nous sommes partis. J’ai eu neuf ans avant-hier ! Y’avait plein des gens qui sont venus à ma fête d’anniversaire, c’était trop bien ! A l’école, je suis maintenant considérée comme une petite star, avec un groupe d’amies. Certes, il y a des gens au dessus de nous, mais on s’amuse super bien quand même !
Cher journal Je ne sais pas pourquoi je t’ai repris. Ca faisait très longtemps. J’ai quatorze ans, maintenant. Et ma popularité est définitivement acquise. L’argent de Papa m’aide certes, mais j’ai des ami(e)s qui m’aiment aussi pour ce que je suis. Mon caractère aussi à contribué à arriver là où j’en suis. Il faut savoir se battre ici, à NY. J’ai définitivement perdu le contact avec ma mère. Et Papa aussi. Mais après tout… Peu importe. On a pas besoin d’elle pour être heureux ! Franchement, elle n’avait qu’à venir elle aussi à New York. Elle ne l’a pas fait ? Eh bien…Tant pis pour elle !
Cher journal J’ai 17 ans. Et je sais bien que ca fait vraiment gamin d’écrire son journal à cet âge, mais je m’en moque. J’aime bien. Et ceux qui me critiquent… Je les écrase. Comme des mouches. Maintenant, j’ai plus besoin d’aide, je gère. Et je fais ma loi à presque tout le monde. Sauf aux groupes des « queens » comme je les appelle avec des amies. Ce groupe là, on n’y touche pas. On ne leur dit rien. C’est la hiérarchie. Mais bon. On n’est pas trop bas sur l’échelle. Donc ça va. Oh ! Je n’ai pas encore parlé de mes études. Photographie. Tout le monde me dit que je suis douée. Alors… Je me suis lancée. Et en effet, je suis plutôt douée. J’espère que je pourrai en faire mon métier. J’adore ça, et comme mon nom est déja connu dans le monde de l’art, avec mon père… Ca devrait passer. Bah. Ca passera. Parce que je le veux. Et que quand je veux quelque chose… Je l’obtiens.
Mon Dieu. Je suis tombée sur ce journal en défaisant les cartons, pour m’installer dans mon nouvel appartement chic. Ca faisait si longtemps ! Je suis majeure, diplômée et photographe, maintenant ! J’ai 25 ans, darling ! Enfin bref. Comme il reste une page je trouve dommage de la laisser vide. J’ai hésité entre y coller une photo et écrire mais je préfère écrire. Je suis moins douée, mais, au moins, ça ne fera pas « tache » avec le reste du carnet. Enfin bref. J’ai enfin emménagé seule dans un appart’. Ca ne fait pas de mal un peu d’autonomie… Même si, je dois bien l’avouer, je ne pourrai pas me passer du porte monnaie de papa. Et ce, même si je gagne bien assez pour me suffire à moi-même.
Le soleil brille sur l’appartement, révélant sa décoration luxueuse. La jeune femme apparaît dans l’encadrement de la porte, tenant un jeune homme brun par la main. Ils s’embrassent, et rigolent un peu ensemble. Une photographe et un footballeur. Quel beau couple. Idyllique. Ou presque. Soudain, on les voit crier. La femme semble s’emporter. Et l’homme secoue la tête, en essayant de lui faire entendre raison. C’est comme ça chaque jour, entre eux.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Marie & 13 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Google est mon ami ! ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope ★Présence sur le forum → Quatre jours sur sept en moyenne ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Crazy et @thxdrauhl
Mon exemple de RolePlay:
→ Il fait encore nuit, lorsque j’ouvre les yeux. Un rayon de lune filtre encore par la fenêtre, répandant dans ma chambre une lueur blafarde, qui en deviendrait presque effrayante. Le ciel semble dégagé de tous nuages, et le soleil commence à pointer son nez. Je me suis éveillé trop tôt, bien trop tôt. Je me connais je sais que je ne pourrai pas me rendormir, mais il doit être dans les six heures du matin… Je ne sais pas ce que j’ai, en ce moment, je ne dors presque pas. Enfin bref. Je me résigne enfin à me lever, et jette un dernier coup d’œil par la fenêtre avant de me retourner sur moi-même. Je m’empêtre dans des draps trop rêches, trop lourds. Je soupire bruyamment, tout en les envoyant valser le long de mon lit. Aujourd’hui, les Jeux vont commencer. Chacun est tenu d’être présent devant son poste de télévision, à 10 heures. C’est comme ça, depuis le début des Jeux, et ce sera comme ça jusqu’à la fin. C’est la vie. Quand je pense que certains trouvent cela divertissant Je ne comprends pas pourquoi. Quel intérêt peut-on trouver à un Jeu où des foutus gamins, qui, pour la plupart n’ont rien demandé, et rêvent de se tirer de là, sont obligés de mourir dans d’atroces souffrances ? Où est le plaisir, où est l’avantage, le divertissement ? Personnellement, je ne le vois pas. Je vois juste des amis partir, et ne jamais revenir. C’est tout. Je n’ai plus rien à craindre, à présent. Mes six années de peur se sont écoulées, je ne suis pas parti. Je ne partirai pas. Je resterai ici, au District, jusqu’à la fin de ma vie. Certes, peu enivrant, mais au moins, je vivrai. Et c’est le plus beau cadeau. C’est juste une question de chance, de chance pure et simple. J’ai eu la chance de survivre, de tenir jusque là. Certains, malheureusement, non… Certains parents, certaines mères, après avoir vu leurs maris, leurs frères, mourir durant les Jours Sombres, ont vu leurs enfants quitter le foyer. Se lever, un matin, aller à la Moisson. Et leur nom a été prononcé. Et ils sont morts. Au District Quatre, cependant, nous avons plus de chance que les autres : nous sommes un District révolutionnaire, certes. Mais aussi plutôt riche. Alors, nous nous entraînons. A tuer, à éviter de mourir. Et même si ça fait mal, même si c’est dégoûtant, ça peut aider. Alors, on le fait. Parce que nous vivons dans un monde égoïste, dans un monde où c’est chacun pour sa pomme. On s’entraîne à tuer pour ne pas mourir. Pour ne pas perdre. Des fois, je vois des gamins de six ans, à peine, tenter de manier des épées, bien trop lourdes pour elles. Je vois des gens pleurer sur des tombes, des cercueils arriver, des Pacificateurs fouetter des gens, parfois jusqu’à la mort. Et ça me donne envie de hurler, de tuer le président, de tuer tous ceux qui sont à l’origine de ce carnage. Mais je ne peux pas, alors je fais comme tout le monde ; tête basse, et on marche droit. Et on s’entraîne à tuer, pour ne pas être tué.
Soudain, une voix me sort de mes pensées. Ma tante, qui me demande si je suis réveillé. Je lève les yeux au ciel, attrape deux trois affaires, et sort de ma chambre. Jetant au passage un regard à l’horloge, je me rends compte qu’il est encore tôt. Dans les environs de six heures. Je jette un coup d’œil à ma tante, et lui lance un petit « Salut » peu convaincu. Pourquoi me crie-t-elle ainsi dans les oreilles ? A six heures, pourquoi éveille-t-elle tout le monde ? Je ne sais pas, m’en soucie fort peu, à dire vrai. J’entre dans la salle de bain, prends une douche rapide, glaciale, comme à mon habitude. Puis, je descends manger. En bas, l’atmosphère est tendue, le silence pesant. Je ne demande pas ce qu’il se passe, je le sais déjà. Ce sont les Jeux de la Faim. Ils se disent qu’ils ont eu de la chance. Mais, qu’en deux ans, la chance peut encore tourner. Car mon cousin, et frère d’adoption, Sully, à encore deux ans, lui. Avant que ce ne sois fini. Avant d’être sûr que pour nous, les Jeux ne soient plus qu’un mauvais souvenir de boule au ventre, lors de la Moisson. Que des souvenirs de cauchemars, de cris, d’épouvante, de larmes, parfois. De tristesse, souvent. Et de peur. Tout le temps. Je frissonne doucement. Oui, vivement dans deux ans. Que Sully et Silver soient libérés de la menace planant sur eux. Silver... Je ne préfère pas y penser. J’ai déjà assez de soucis comme ça, aujourd’hui. Je m’assois sur une chaise. Personne ne parle, le silence donne quelque chose d’irréel à la chose. D’incroyable. Comme si le temps était suspendu. Mais le temps s’écoule bel et bien. Puis, je me rends compte de l’étrangeté de la chose. Que font-ils tous debout à cette heure-ci ? Mon oncle, je comprends, à la limite. Il doit aller à la pêche. Sully l’accompagne peut-être, mais ma tante ? A six heures ? Je ne comprends vraiment pas. Et je n’ai peut-être pas envie de comprendre, au final. Je termine mon café, que je me suis préparé, puis recule brutalement ma chaise, qui produit un grincement sinistre. Ils sursautent.
« J’y vais. »
Je ne précise pas où, ni quand je reviendrai, ni pourquoi. Je précise juste que j’y vais. Peut-être serais-je de retour à l’heure, pour regarder le lancer des Jeux. Peut-être pas. Moi-même, je ne le sais pas encore. Je verrai bien. Au fond, peu importe. Qu’en ai-je à faire, de regarder un Jeu du genre ? Je claque légèrement la porte. Deuxième bruit sinistre. Je mets de l’ambiance, dites-moi ! Avec un léger soupir, je me mets à marcher, doucement, tranquillement. J’erre, sans but précis, à travers le District.
Au bout de quinze, vingt, peut-être, ou bien même trente minutes, le District commence à prendre vie. Les volets s’ouvrent, les gens crient, sourient, et tout ce bruit soudain m’en donne mal à la tête. Je dirige alors mes pas vers un endroit connu de tous, ou presque : la plage. Endroit totalement prohibé du District, certes. Mais aussi un des plus connus. Cependant, je doute que, si tôt dans la matinée, beaucoup de gens soient là-bas. Je veux juste la paix. Je suis sociable, certes, mais, comme tous, j’aime avoir des instants de repos, de tranquillité. Et aujourd’hui, j’en ai besoin. Je marche tranquillement, paisiblement, aussi mets-je un petit bout de temps à arriver. Deux fois plus que d’habitude, en fait. Lorsque je croise des gens, je baisse la tête, évite leur regard, pour ne pas avoir à leur parler. Je veux juste la paix. Pour une fois, on peut bien me l’accorder ? J’arrive enfin au grillage. La dernière fois… Je me suis coupé. Juste ici, pensé-je, en déposant ma main au niveau de mon torse, sur la poitrine, presque sur le cœur. Je soupire, évitant au maximum de penser à ces souvenirs. Pas besoin de se sentir mal. C’est fait, c’est fait. On ne peut plus revenir en arrière. Non, on ne peut plus. Je passe ma jambe par-dessus le grillage, et saute, d’un bond souple (enfin, à peu près). J’atterris dans du sable fin, chaud, à la teinte pâle, blanchâtre, sous les rayons de la lune. La mer, quand à elle, m’offre un spectacle magnifique. Les premières lueurs du soleil se reflètent dessus, l’eau et le ciel semblent se confondre, dans des nuances de bleu pâle, rose porcelaine, orange doux, jaune… Et rouge. Un rouge vif, un rouge sang. Rouge comme l’amour, le sang, la mort, la puissance. Rouge comme la beauté. Le rouge. C’est ma couleur favorite. Le rouge.
Rouge comme le sang Rouge comme l’espoir L’espoir d’un soir Un espoir vacillant Rouge comme la vie Une vie qui nous sourie Rouge comme la mort Une mort qui nous donne tort.
Je m’assois sur le sable. Des grains volent, cependant que je fixe mon regard droit sur le soleil qui se lève. Dans la mer, je vois d’infimes mouvements bouger. Des animaux marins. Des poissons, des crustacés, des dauphins, peut-être. Je les envie, quelque part. Je les envie de pouvoir se déplacer à volonté, de ne pas avoir à craindre pour leur vie. Nous les pêchons, certes, mais ils vivent en paix, et meurent rapidement. De toute façon, rien n’est pire que l’Arène. La mort lui est largement supérieure. Soudain, sans réfléchir, comme mus par un réflexe, je me lève, retire mon tee-shirt, et plonge dans les vagues. Je les esquives, les empêche de m’emporter au loin. Un jour, peut-être. Mais pas aujourd’hui. Au bout d’une dizaine de minutes, je laisse le flux de l’eau me ramener sur la plage. Calmement, presque paisiblement. Et je reste là. A intervalles réguliers, une vague vient s’écraser contre mon corps. Mais je me sens bien. Juste bien. Plongé dans mes pensées, je n’entends pas de suite les pas qui s’approchent. Lorsque je les entends l’inconnu est déjà sur la plage. Je me lève d’un bond, sautant sur mes pieds, et me retourne vers l’étranger. Il n’est pas du District, sinon, je m’en serai rappelé. Il est grand, fort, bien bâti. Un colosse. Maigre, certes. Mais un colosse. Il doit venir du District Huit, ou du Douze. Peu importe. Il s’approche, et je le regarde. Au bout de longues minutes de silence, je lance enfin :
« Qui es-tu ? »
Mon ton n’est pas agressif, mais neutre. Le ton de quelqu’un qui veut savoir qui diable est celui qui trouble sa tranquillité.
[Ce rp est tiré de l’univers d’Hunger Games]
Dernière édition par Jena A. Morgan le Lun 30 Déc - 19:26, édité 2 fois
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Sujet: Re: ♦ Jena « On joue pour gagner. Pas pour jouer » Lun 30 Déc - 16:33
avril lavigne, le super choix bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: ♦ Jena « On joue pour gagner. Pas pour jouer » Lun 30 Déc - 16:57
avril
bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ♦ Jena « On joue pour gagner. Pas pour jouer » Lun 30 Déc - 17:01
Oui Avril
Merci beaucoup à vous deux ♥
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Sujet: Re: ♦ Jena « On joue pour gagner. Pas pour jouer » Lun 30 Déc - 17:22
13 Wahou ! Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: ♦ Jena « On joue pour gagner. Pas pour jouer » Lun 30 Déc - 18:41