Sujet: Robyn Sullivan + And I would walk 500 miles, and I would walk 500 more… Ven 17 Jan - 16:32
FEAT. ALEXIS BLEDEL
Robyn Sullivan
31 ans → Née à New York le 18/05/1882 → Mère porteuse et étudiante en droit célibataire → membre des outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Quoi? Parce qu'en plus il faut que je me décrive physiquement! Bon, alors, par où commencer? Premièrement, vous remarquerez surement que je n'ai pas la taille mannequin. Je suis très petite, mais ça me plait comme ça, après tout, je peux porter des talons hauts sans éclipser l'homme qui est à mes côtés. Je ne suis pas très grosse non plus, j'ai beau faire rarement de la gym et manger de la merde, je ne grossi jamais. Sinon, la plus part des gens adorent mes yeux, car ils sont grand et bleus comme le ciel. La couleur de mes cheveux est totalement naturelle. J'ai les cheveux châtains avec quelques nuances de roux et dire que j'étais blonde quand j'étais enfant! Ouais, une blonde mince aux yeux bleus, le rêve vous me direz, mais les garçons ne faisaient pourtant pas la queue devant moi, je n'étais pas une reine de beauté non plus. Sinon, je n'ai pas de tatouage, pas que je les trouves particulièrement laid, mais je n'ai tout simplement jamais ressenti le besoin de jeter mon argent par les fenêtres. Côté style vestimentaire, je ne suis pas vraiment du genre à porter du Prada, ni du Dolce&Gabanna, mais j'aime bien m'habiller de façon sobre. En général, j'aime beaucoup porter des robes et des jupes tailleurs. Dans ma garde-robe les tons de noir et de taupe domine sauf que j'aime bien les agencer avec des accents de couleur. Puis, le bleu et le rouge me vont à merveille.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Pour comprendre qui je suis, il est important de savoir que ma vie n'a pas toujours été facile et que j'ai traversé des épreuves qui m'ont menées à devenir qui je suis aujourd'hui. Tout d'abord, je suis quelqu'un de très déterminée. Quand je veux un truc, je l'obtiens que ce soit un appartement à Manhattan où qu'un homme tombe en amour avec moi. J'hésite très rarement à blesser les autres pour obtenir ce que je souhaite vraiment. Certains diront que je suis égoïste d'agir ainsi, mais j'ai tellement souffert de ma naïveté qu'aujourd'hui, je ferais n'importe quoi pour ne pas être blessé à nouveau. Un autre chose à savoir sur moi, c'est que je suis très fidèle à mes amis proches. Je veux dire par là que les gens auxquelles je tiens vraiment ne feront jamais parti de mes plans. J'agi en général dans mon propre intérêt sauf qu'avec ses personnes là, je ne peux tout simplement pas. Je peux avoir l'air d'une personne méchante qui ne tient pas vraiment aux gens, mais ce n'est qu'une façade, ceux qui me connaissent vraiment vous le dirons. Sinon, je suis vraiment doué pour persuader les gens. Après tout, j'ai quand même réussi à faire en sorte de ne pas payer de loyer pendant plus de neuf mois. C'est probablement la meilleure qualité que je pourrais avoir en tant qu'avocate, car dans ce métier, la persuasion démontre que je peux mener mes enquêtes avec brio. Après tout, le but de ce métier, c'est de convaincre les gens. Bien que je ne prenne pas pour une sainte, je n'ai jamais voulu plus que mes aspirations. J'ai toujours été modeste, quand j'étais petite je ne rêvais pas d'avoir une grosse maison avec une grosse voiture, mais je voulais qu'on m'aime. Ce n'est pas quelque chose de cher, mais qui comptais tellement pour moi. Je suis parfois manipulatrice puisque j'ai compris dans la vie que pour obtenir ce qu'on veut être gentil et naïf ne font pas avancé ses plans. Puisque je ne suis pas naïve et que je l'ai été dans le passé, j'ai une crainte toujours présente à m'attacher aux gens. Je crains toujours qu'un jour même les personnes à qui j'ai confiance me trahisse. Après tout, ce n'est pas ça le monde d'aujourd'hui? Un monde dans lequel l'argent domine la confiance et l'honnêteté. Bon, d'accord, j'entre dans le moule, car j'ai prouvé qu'on ne pouvait pas vraiment avoir confiance en moi. Je suis quelqu'un qui sourit tout le temps, je parais toujours de bonne humeur, vous savez, ça cache souvent une peine innombrable. Je n'échappe pas aux règles fixées par la société. Je ne suis pas tellement jalouse, mais je dois avoué que de voir des couples s'aimer heureux me donne envie et ce même si je l'avouerai jamais.
Well... It's my story...
Je suis née une journée d'orage, le 18 juin 1982 dans une jolie chambre avec un gentil policier qui surveillait ma naissance avec attention pour ne pas que ma mère se sauve durant l'accouchement. En fait, j'ai passé à un cheveux d'être un bébé né dans une voiture de police. Probablement un truc qui aurait fait la une des journaux. Quelques jours avant que je vienne au monde, ma mère avait fait un vol à mains armées. Le but? Avoir de l'argent pour m'élever. Ma mère n'était pas une mauvaise mère, bien au contraire, elle était juste trop naïve. C'est ce que j'ai découvert durant les années. Elle aurait bien voulu m'envoyer à mon père puisqu'elle allait en prison, mais il avait disparut. La vérité c'est qu'il avait une femme et des enfants déjà et qu'il avait menti à ma mère sur sa véritable identité. Alors, quand je suis née, les services sociaux m'ont mis sur une jolie liste d'attente, sauf que j'ai dû être hospitalisé très tôt pour des problèmes de santé. Quand j'ai enfin pu sortir de l'hôpital, j'avais trois ans et aucune famille ne voulait de moi. Ils m'ont trainé dans une famille d'accueil, famille qui tenait plus au beau chèque que je pouvais leur apporté qu'à moi. J'ai donc grandit dans ce milieu de terreur qu'est le petit quartier du Bronx dans l'état de New York. Malgré le fait que je me plaignais jamais et que je faisais tout ce qu'on me demandait, on me frappait a chaque fois que je faisais un truc de travers. Je gardais quand même la foi, la foi que j'allais m'en sortir. C'était le seul truc qui me gardait en vie. Une fois toutes mes tâches accomplies, je me rendais seule à l'église à tous les dimanches. C'est là que les Avery m'ont repéré. C'était une famille qui allait à l'église tous les dimanches et qui ont commencé à me poser des questions. Je leur répondais presque toute la vérité, sauf qu'ils me battaient, car ma famille d'accueil m'avait bien avertie que si je parlais, il me tuerait. J'avais très peur et un jour, que je vais me rappeler toute ma vie, m'ayant vu avec les Avery, ils ont eu peur que je parle et m'ont interdit de sortir de la maison un dimanche. Soucieux, le père de la famille Avery est venue voir comment j'allais. On lui a dit que j'étais malade, mais quelques heures plus tard me voyant dehors avec les autres enfants, couverte de bleus, il a décidé qu'il agirait. Il m'a pris sous son aile. Il m'a accepté dans sa famille. Les Avery étaient une famille aimante et nombreuse, que tous les enfants y compris moi rêvait d'avoir. J'étais enchanté et ma vie commençait à reprendre de la couleur. Bien qu'on riait de moi au lycée parce que j'étais la seule blanche parmi une famille de noir, j'étais heureuse et j'ai réussi à me faire des amis. C'était le moment de paix dans ma vie et j'aspirais devenir une grande avocate. À dix-sept ans, je me suis rapprochée de l'ainé de la famille. Pourtant, on ne faisait rien de mal, sauf que le père des Avery m'a surpris à l'embrasser. À cet instant, je n'étais plus rien pour lui, alors il m'a laissé vivre de mes propres ailes et m'a viré de la maison familiale. Heureusement que j'avais réussi à me faire un peu d'argent de poche pour me trouver un appartement. Je vivrais par moi-même à partir de ce moment-là.
J'ai réussi de peine et de misère à terminer le lycée, parce que j'étais têtue et que j'avais envie de devenir quelqu'un de bien malgré tout. J'ai enchainé les petits boulots sans avenir pour subvenir à mes besoins. Je ne me suis jamais plaint, sauf que je détestais ces boulots, je rêvais de faire plus. À l'âge de vingt-et-un ans, je me suis trouvée un boulot de barmaid dans un bar. C'était plus ou moins payant, mais j'aimais le boulot. C'est alors que je me suis liée à un autre barmaid avec qui je travaillais. Il était vraiment charmant et je l'aimais beaucoup. Il m'avait promis qu'un jour, on allait se marier et avoir une famille ensemble. J'étais très amoureuse de lui, c'était d'ailleurs le premier garçon avec qui j'ai couché et je suis tombée enceinte. Je croyais à cet instant que nous allions fondé une famille sauf qu'un jour alors que j'allais chez lui pour lui annoncé j'ai découvert qu'il avait déjà une famille avec une autre femme, ça m'a anéantie. J'ai fini par lâcher le boulot et par me faire avorter, croyant que c'était la seule chose à faire. J'étais anéantie, mais j'ai décidé de me relever parce que j'étais quelqu'un de forte. Une de mes bonnes amies m'a parlé d'un boulot qui payait bien, celui de mère porteuse. Je suis allée à l'agence cachant que j'avais déjà eu des problèmes de cœur et malgré mon jeune âge, ils ont accepté de faire de moi une mère porteuse. La grossesse s'est portée à merveille jusqu'au jour de l'accouchement, j'ai faillit perdre le bébé. Ce qui m'a découragé à recommencer. Ensuite, j'ai passé à autre chose passant de serveuse à secrétaire dans un bureau d'avocat, mais sans études, je ne pouvais pas faire ce que je voulais vraiment. Je n'étais pas heureuse, un jour mon père biologique qui n'avais pas pris ses responsabilités jusqu'ici à décider d'entrer en contact avec moi. Il était mourant et il m'a avoué m'avoir suivit toute mon enfance sans jamais avoir rien fait. Ça m'a démolit de savoir que pendant toutes ces années il aurait pu me sauver alors qu'il ne l'a pas fait. Pour moi, c'était un lâche et je n'ai jamais pu lui pardonner, même dans ses derniers instants de lividité.
À partir de cet instant, j'ai décidé que je me laisserais plus jamais marcher sur les pieds. J'ai alors décidé que je deviendrais une grande avocate. Le seul moyen que j'avais d'y arriver c'était de refaire le boulot que j'avais fait au par-avant celui de mère porteuse, mais pour cela je devais essayé de ne pas avoir de dépense pour économiser jusqu'au dernier sous. C'est alors que j'ai rencontré Madisson dans une agence. Je lui ai raconté que j'avais des problèmes avec mon immeuble et que j'avais besoin d'un toit pour vivre. Il accepta de me prendre chez lui. C'était bien car comme ça, je n'aurais plus de dépenses et que comme ça je pourrais allé à l'université sans même devoir recommencer le boulot de mère porteuse. En vivant, chez lui, j'ai rencontré sa mère une femme qui au début je trouvais sénile, mais qui avec le temps est devenu quelqu'un de bien pour moi. La pauvre, elle est Alzheimer et elle me prenait pour sa fille. C'était quelque chose qui pouvait bien me servir au quotidien. Madisson avait commencer à avoir des doutes sur moi, mais elle, elle prenait toujours mon côté. Grâce à l'argent que j'ai pu amasser durant ces neuf mois de grossesse, j'ai enfin pu m'inscrire à l'université en droit comme j'en rêvait sauf, qu'une fois le bébé arrivé, je ne pouvais pas lâcher prise et abandonner le beau toit qu'on m'avait offert. J'ai donc usé du charme indéniable que j'avais pour le convaincre de me laisser une chance et lui offrir mes services de nounou à domicile. Ça a fini par fonctionner et aujourd'hui je vis toujours avec les Callahan moyennant quelques heures de baby sitting.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Icecream*, 21 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Deux folles m'ont torturé jusqu'à ce que je vienne ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non ★Présence sur le forum → Au moins 5/7 peut-être plus on s'est jamais ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario ★Crédit images → moi ^^
Mon exemple de RolePlay:
→ Tant dit que la vie avançait autour de moi j'étais tellement étourdi par le brouahah autour de moi que j'avais oublier de faire mon deuil ou plutôt, j'y arrivait pas. Ma jumelle me faisait la guerre. Elle n'avait peut-être pas de fusil, mais elle utilisait le regard comme fusil et à chaque fois ça me tuait littéralement et puis, je n'avais pas l'impression qu'elle me comprenait. Même si on dit que les jumelles sont plutôt fusionnelles, nous n'étions probablement pas des vraies jumelles, parce que ces jours-ci, elle n'était pas vraiment mon double. Pourtant, avant, on arrivait à communiquer assez facilement, mais la mort de nos parents avait fait tout foiré. Maintenant, elle était juste une femme qui me ressemblait. Je me sentais extrêmement seule et de voir ma marraine autant humaine que moi, me faisait sentir moins seule. Les déceptions amoureuses ne sont serte pas la mort de ses parents, mais c'était plutôt difficile. Voir même destructeur. Je le savais car moi aussi j'avais eu des peines d'amour. Daccord, elles n'étaient surement pas autant destructrice, mais je pouvais comprendre. Elle ne m'avait rien dit, mais le concierge m'en avait glisser un mot. Étant plutôt dans ma bulle c'est temps-ci un matin j'avais faillit le pousser dans les escaliers après un petit-déjeuner chez Esmeralda. Je me suis excusée mille fois et on a finit par parler. Il a finit par me dire que Matteo avait quitté l'immeuble. Je l'écoutais parler de Mattia et de l'accident la bouche ouverte, j'étais bouche-bée et je ne pouvais pas parler. Ma Esme' avait faillit y laisser sa vie? Si j'avais perdu ma tante en plus de mes parents, je ne sais pas trop ce que j'aurais fait. J'aurais probablement voulu encore m'enlever la vie, Ouais, j'avais fait quelques tentatives de suicide ces derniers mois. Pourquoi? Parce que je me sentais coupable de la mort de mes parents, c'était pour moi qu'ils étaient mort. Et puis, je savais que de voir autant de colère entre moi et Elisa les rendait triste. Au moins, je l'avais, elle. S'il fallait que je perdes ma tatie, ma Esme, je n'aurais pas survécue. Je ne sais pas si mon pauvre cœur allait survivre à la perte de quelqu'un d'autre. Surtout que ma Esme' était devenue une genre de maman pour moi ces temps-ci. Je ne supporterais jamais de perdre une autre maman… jamais… Une larme coula sur ma joue. « Désoler, je veux pas pleuré. Je veux être forte pour toi, mais c'est juste que je tiens à toi et l'idée de te perdre me rend triste. » Elle était celle qui me ramenait toujours à la vie. Elle se montrait forte pour moi je le savais, car elle aussi vivait des moments difficiles. C'était mon vaillant petit soldat. Je la câlinais toujours, comme si je voulais que jamais elle ne parte. Je savais que la vie était fragile et que tout pouvaient basculer du jour au lendemain. Je ne lui avais pas parler du braquage. J'avais pas voulu l’effrayer et puis, elle avait sans doute d'autres chats à fouetter. Néanmoins, je la comprenais de se sentir autant coupable du moins elle me l'avait pas dit, mais j'avais l'intuition que c'était ça. Je me sentais coupable moi-aussi. J'étais convaincue, que j'étais la raison de la mort de mes parents. Je chassa cette idée de ma tête. C'était pour elle que j'étais venue pas pour moi! « Pardonne-moi, je contrôle pas mes émotions. Je sais que tu sera toujours-là pour moi. Jamais tu pourrais mourir toi, t'es mon rock en puissance. Un petit soldat rose. » dis-je à la rigolade histoire de calmer un peu l'atmosphère. « Ça va aller? » ajoutais-je en jouant dans ses cheveux comme si elle était une poupée. J'avais le sentiment de pas vraiment savoir ce qu'elle avait, j'avais le sentiment qu'il y avait autre chose qui la tourmentait. Une plaie toujours ouverte, qu'elle n'avait jamais avoué. Elle voulait sans doute pas m'ajouter de la peine. Cependant, même quand elle me disait rien, je sentais qu'elle n'allait pas.
Dernière édition par Robyn Sullivan le Jeu 23 Jan - 16:54, édité 8 fois
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Sujet: Re: Robyn Sullivan + And I would walk 500 miles, and I would walk 500 more… Ven 17 Jan - 16:34
alexis bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Robyn Sullivan + And I would walk 500 miles, and I would walk 500 more… Ven 17 Jan - 16:38
Qui ça t'a torturée ? xD Bienvenue Kinder !
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Sujet: Re: Robyn Sullivan + And I would walk 500 miles, and I would walk 500 more… Ven 17 Jan - 16:48
Merci Andrew, puis Jullian quoi
Quasiment pas toi hein Merci, tu me fais une surprise ? J'veux bien des câlins, des guillis et des bisous moi
Katerina M. Lehtonen
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Sujet: Re: Robyn Sullivan + And I would walk 500 miles, and I would walk 500 more… Ven 17 Jan - 16:52
très bon choix d'avatar bienvenue chez nous !
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Sujet: Re: Robyn Sullivan + And I would walk 500 miles, and I would walk 500 more… Ven 17 Jan - 17:22
Bienvenue !
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Sujet: Re: Robyn Sullivan + And I would walk 500 miles, and I would walk 500 more… Ven 17 Jan - 17:28
Alexis est un choix d'avatar excellent Elle est vraiment trop chou cette nana Bienvenue parmi nous en tout cas Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Robyn Sullivan + And I would walk 500 miles, and I would walk 500 more… Ven 17 Jan - 18:00
alexis + 500 miles bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Robyn Sullivan + And I would walk 500 miles, and I would walk 500 more… Ven 17 Jan - 18:19
ton titre omg ça me fait tellement rire à cause de himym bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Robyn Sullivan + And I would walk 500 miles, and I would walk 500 more… Ven 17 Jan - 18:31
Katerina M. Lehtonen a écrit:
très bon choix d'avatar :like:bienvenue chez nous !
Merci beaucoup, ouais Alexis, elle est trop bien
Lorenzo C. Perritolli a écrit:
Bienvenue !
Marchi
Lorella A. Garibaldi a écrit:
Alexis est un choix d'avatar excellent :like:Elle est vraiment trop chou cette nana Bienvenue parmi nous en tout cas Bon courage pour ta fiche
Merci beaucoup
Wendy R. Lane-Carstairs a écrit:
alexis + 500 miles bienvenue parmi nous
merci beaucoup je savais pas quoi mettre en titre alors j'ai mis la chanson que j'écoutais mdr
Lily-Jade M. Grey a écrit:
ton titre omg ça me fait tellement rire à cause de himym bienvenue parmi nous
Merci beaucoup, ouais Marshall est trop fanna de cette chanson là, mais elle est géniale