Sujet: Parce que la famille c'est important. || Santiago Mendez Ven 24 Jan - 15:22
FEAT. William Levy
Santiago Mendez
30 ans → Né à New York le 30/08/1983 → Magicien célibataire → homosexuel → membre des playboy.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Santiago est un latino d’1m83 pour environ 78 kilos. Enfin, on s’en fout. Ce qu’il faut savoir, c’est que son arme de séduction, c’est sur sourire et son corps d’athlète. Qu’on se le dise, homme ou femme, vous vous retournez de suite sur un homme bien fait que sur une boule. Il aime énormément le sport, il en a toujours fait et il en fera toujours. C’est sa façon de décompresser, d’oublier ses soucis. Il a un rituel, quand il est stressé ou bien quand il s’inquiète pour ses proches, et bien il va courir une bonne heure pour se vider la tête et ne plus penser à rien. Lorsqu’il est gêné, il passe sa main dans ses cheveux. Cela n’arrive pas souvent mais tout de même. Il se mordille également la lèvre inférieure lorsqu’il est attiré par quelqu’un. Ses ongles en prennent un coup lorsqu’il est nerveux. C’est comme ça, il se les ronge. Il a un tatouage au niveau du pied et une oreille percée. Il est allergique au poireau et déteste ça de toute façon, ce n’est donc pas une grande perte. Il aime les soirées tranquilles au coin du feu, mais il aime également s’amuser. Il aime les moments en famille, parce que c’est tout pour lui. Il aime plaire et séduire, mais pas au point de se taper un mec tous les soirs. Malgré tout, il a des aventures comme tout le monde. Il déteste la méchanceté gratuite, les mauvaises langues et surtout l’injustice. Il préfère voir ses proches sourirent. C’est bout en train, un optimiste et il l’assume. Niveau style vestimentaire, il est plutôt décontracté, un bon jean et une simple chemise. Il lui arrive d’être bien habillé, quand il bosse. Après, il n’est pas non plus négligé. Il met des vêtements dans lesquels il se sent bien. Voilà ce qu’on peut dire sur Santiago.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Que dire sur notre membre du clan Mendez, c’est un homme droit, qui déteste l’hypocrisie. Lorsqu’il a pris une décision, il la tient. Il ne dévie pas et surtout ne change que très rarement d’avis. Bien entendu, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, mais il est tout de même buté et borné. Il est loyal et aimant. Autant dire, quand vous faites partie de ses proches, des personnes qu’il apprécie, qu’il aime et bien il vous construit un temple en chocolat. Lorsqu’il aime, il ne compte pas, il pourrait décrocher la lune pour le mec qui a décroché son cœur. Malheureusement, c’est très rarement le cas. Il est séduisant et il aime plaire. Il est donc volage mais soyez sûr d’une chose, lorsqu’il aime, les autres hommes ne compte pas, il est fidèle et n’a jamais été voir ailleurs lorsqu’il était en couple. C’est quelqu’un de bileux, il faut le dire. Il n’a pas vécu des choses faciles, son frère a failli mourir, sa sœur s’est retrouvé paralysée après un accident de voiture. Bref, il s’inquiète rapidement lorsqu’il n’a pas de nouvelles de ses proches. Il était énormément protecteur avec ceux qu’il aime, au point peut-être d’être trop présent et parfois étouffant. Mais c’est comme ça. Il est possessif et surtout, il déteste qu’on veuille du mal aux personnes auxquelles il tient. Il peut en devenir violent. Bref, quand il aime, c’est d’un amour inconditionnel, rien de plus, rien de moins. Il est susceptible, il prend vite la mouche quand on le critique, surtout quand cette critique n’est pas fondé. Il peut vite prendre la mouche. Il aime s’éclater et les crises de rire. Il a trente ans mais est resté gamin dans sa tête. C’est le premier à vouloir faire des conneries. Voilà pour ce qui est du petit caractère de Santiago.
C’est un nounours, tout doux mais aussi charmant et séducteur et qui aime s’amuser quand il est célibataire. Il est protecteur, affectueux mais aussi têtu et susceptible. Voilà pour le résumer de ces quelques lignes.
Well... It's my story...
C’est lors d’un joli jour d’août que Santiago a vu le jour. Il est le premier fils d’une famille aimante et croyante. Une famille dont la force est l’amour et la bienveillance. Il n’y a pas à dire, il n’aurait pu tomber dans meilleure famille que celle des Mendez. D’ailleurs, encore aujourd’hui, il est heureux d’être l’un des membres de cette famille. Il n’a jamais manqué de rien et il a toujours été couvert de câlins et de bisous. Il est donc le premier d’une fratrie de trois enfants. Quatre ans après sa naissance, Sandro a pointé le petit bout de son nez. Il a tout de suite pris son rôle de grand frère à cœur et il l’a de suite protégé. C’était un petit garçon tout content, il avait un petit frère avec qui il pourrait jouer. Et puis, Sandro était un bébé si mignon qu’il ne pouvait que l’aimer. Il aimait le prendre dans ses bras, lui faire des bisous, s’occuper de lui, lui donner le biberon, jouer avec lui. Bref, c’était un grand frère aux anges. Ses parents n’auraient pas pu lui faire un aussi joli cadeau. Et comme un bonheur n’est rien sans un autre, une petite fille était venue agrandir la famille. Il était de nouveau heureux, le sourire aux lèvres. Il s’était promis une chose en voyant le jolie visage de sa sœur, la protéger coute que coute. Leur enfance était tout simplement une enfance normale avec des petits plaisirs, des cadeaux, des rires, des joies, des pleurs. Une enfance somme toute normale. C’est la suite qui n’est pas très folichonne. D’ailleurs, lorsque Santiago y repense, il aimerait retrouver cette enfance, si innocente et surtout si heureuse.
C’est Sandro qui avait eu subir le courroux de la vie et du Seigneur qui vivait au-dessus de leurs têtes. Pourquoi ? Il n’en savait rien… Il ne méritait tout simplement pas d’avoir ce foutu cancer et Santiago n’arrivait pas à comprendre les raisons de cette maladie. Sandro avait toujours été un gentil garçon avec la joie de vivre. A présent, il était livide, avec un tas de tuyaux dans ce lit d’hôpital. Chaque soir, l’aîné des Mendez se mettait à genoux devant son lit pour pouvoir prier et demander à Dieu de sauver son frère. Santiago n’arrivait pas à se dire qu’il pourrait perdre son petit frère. Pourtant, à chaque fois qu’il le voyait dans ce lit d’hôpital, avec ces cordons sur son torse, le teint blafard, il avait peur de le voir rendre son dernier souffle. D’ailleurs, il avait bien failli vivre ce moment atroce à plusieurs reprises. Et puis, Dieu avait fini par l’entendre pour lui rendre son petit frère. Trois ans, trois années qu’il avait fini par vaincre cette saloperie de cancer. Santiago était le plus heureux et il comptait bien profiter de chaque instant de cette nouvelle vie avec Sandro. Il ne comptait pas le lâcher. Il passait un maximum de temps avec lui et il faisait tout pour lui montrer que la vie pouvait être belle.
Durant ces années à suivre son frère dans ce long combat contre la maladie, Santiago fut pris de passion pour quelque chose de particulier, la magie. Il était tombé sur un magicien à l’hôpital, un mec qui venait faire des tours pour amuser les enfants et leur faire passer le temps. Depuis, il s’était juré de devenir magicien. Il s’est donc mis à la recherche des plus grands pour devenir un de leur élève. Il n’avait pas eu la chance d’avoir une place à leur côté, mais une chose en entraînant une autre et à force d’acharnement, il avait réussi à développer un mini spectacle. C’est lors d’une représentation dans un bar avec une scène ouverte qu’il le reconnu, le magicien de l’hôpital. Il lui avait promis de lui apprendre les rudiments de la magie et des tours à n’en plus finir. Santiago adorait jouer avec les cartes, mais aussi les boîtes et les chaînes. Il avait soif d’apprendre et du bagou. Sans la maladie de son frère, il n’aurait pas rencontré son mentor et il n’aurait pas un avenir dans la magie. Attention, il n’est pas en train de remercier Sandro d’avoir été malade, bien au contraire, il s’en voulait. Il s’en voulait parce que depuis son adolescence, il s’est tourné vers le pêché en se tournant vers les hommes, en les regardant, en éprouvant du plaisir à les regarder. L’aîné des Mendez était gay et il n’arrivait pas vraiment à l’assumer. Que dirait ses parents s’ils apprenaient qu’il aimait les autres hommes. Il a peur de leur jugement et encore aujourd’hui, il se cache plutôt que de dire la vérité. Il fait de son mieux pour ne pas se faire voir et pour paraître le plus hétéro possible.
Sa vie n’a pas toujours été simple, l’épisode de son frère l’a beaucoup peiné et puisqu’un malheur n’arrive jamais sans un autre, il avait fallu que sa sœur soit à l’origine d’un accident et qu’elle perde l’usage de ses jambes. Une période bien noire encore une fois et difficile pour elle comme pour lui. Il n’aimait pas la voir dans cet état et pourtant, il n’en montrait rien pour qu’elle soit forte et qu’elle prenne la décision de se faire soigner, d’aller en centre de rééducation pour retrouver l’usage de ses jambes. Sandro était là pour lui prêter main forte. Après de longues semaines à batailler, elle avait fini par se laisser convaincre et ses efforts avaient porté leur fruit puisqu’elle remarchait à présent. Santiago était le plus heureux des frères. Il n’en avait pourtant pas fini avec sa sœur, il voulait qu’elle rechausse les chaussons de danse, qu’elle reprenne cette passion qui la faisait vibrer. C’était plus fort que lui, il voulait voir sa famille heureuse. Il n’était peut-être pas le plus heureux de tous, mais il s’en fichait. Le plus important était que son frère, sa sœur et ses parents soient heureux. Il passait après, ça avait toujours été ainsi.
Côté cœur, il a déjà connu l’amour avec un homme. Une romance qui avait duré près de cinq ans. Cinq belles années qui s’étaient terminées par simple jalousie. Cet homme avait été jaloux du lien qui unissait Santiago à sa famille. Et puis surtout, il n’en pouvait plus de se cacher. L’aîné des Mendez avait souffert et avait noyé sa souffrance dans l’alcool. Il s’était réveillé le lendemain matin dans un lit qu’il ne connaissait pas et aux côtés d’une femme. Il avait vite déguerpi. Il avait commis une erreur et il espérait ne plus jamais s’en souvenir. Cette histoire s’est passée il y a cinq ans et aujourd’hui, elle revient le hanter. Il y a maintenant quelques semaines, une femme est venue toquer à sa porte pour lui dire qu’il était père, père de son fils âgé d’un peu plus de quatre ans. Santiago n’en croyait pas ses oreilles. C’était tout bonnement impossible. Il se refusait à y croire. Pourtant, l’idée d’avoir un enfant lui plaisait bien… Que faire ? Il n’en savait rien. Un test de paternité ? Oui, c’était le mieux à faire… Après, il assumerait. Ce qu’il ne savait pas, c’était que cette femme en toquant avait ce garçon avec elle, qu’elle le confia à Santiago avant de partir sans dire un mot… Pourquoi faire un test ? Elle était partie et il ne se voyait pas abandonné ce petit. Aujourd’hui, il est père célibataire… Sa famille l’a accepté et il en est le plus heureux. Yanny est son fils et il compte bien l’aimer et le chérir jusqu’au bout.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Anthony, 26 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Grâce à Lily. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope. ★Présence sur le forum → Environ 5 jours sur 7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario. ★Crédit images → Ma Lily.
Mon exemple de RolePlay:
→ Franchement, plus les moins passaient et plus je me disais que notre famille était tout simplement maudite. Nous étions pourtant une famille croyante, tournée vers Dieu. Mes parents m’ont toujours dit, donne ce que tu peux et Dieu te le rendra. Il fallait l’avouer, Dieu ne nous rendait rien pour l’instant. Je n’avais rien contre lui. Mais parfois, il pourrait penser à nous et nous donner quelques miracles. J’avais dû affronter le visage affaiblie de mon frère à l’hôpital, le voir le visage blafard, à l’article de la mort à cause de cette saloperie de cancer. J’avais été à deux doigts de craquer face à cette épreuve et pourtant, j’étais resté fort face à lui et surtout pour lui. Je suis l’aîné, je dois être fort et surtout un exemple pour mes frères et sœurs. C’était ce que j’avais essayé de faire depuis toujours. Je ne voulais pas avoir une mauvaise image vis-à-vis d’eux et puis, je me devais de les conduire sur un chemin sûr et surtout sur un chemin qui ne soit pas semer d’embûches. Pourtant, la vie en avait décidé autrement, elle avait décidé de lui faire subir cette épreuve. J’étais là, jour et nuit à l’hôpital, à lui tenir la main, à lui apporter mon soutien de la façon la plus adéquate possible. Je tentais de le divertir, de lui faire penser à autre chose. Je n’aimais pas le voir triste et surtout, je détestais quand il broyait du noir. Au fin fond de moi, j’avais été convaincu depuis le départ qu’il vaincrait cette saloperie. Il se devait d’y croire et de se battre. Je lui donnais cette force. Et puis, je priais chaque soir, chaque fois que j’allais à l’hôpital, à la chapelle prévue à cet effet.
Mes prières avaient fini par être entendues. A force de le harceler, Dieu avait dû se dire qu’il me devait bien ça. Sandro pouvait tourner cette page douloureuse pour croquer la vie à pleines dents et en profiter comme il le devait. Je pouvais enfin souffler, enfin mettre de côté cette facette de ma personnalité, le grand frère protecteur qui fait tout pour le bonheur de son petit frère. Dieu s’acharnait contre moi, de quoi devenir athée sérieusement. Non, je plaisante, ce n’était pas encore arrivé à ce point. Mais bon, je me demandais pourquoi il m’en voulait autant. Pourquoi me faire vivre toutes ces épreuves ? Etait-ce parce que j’étais gay, parce que j’aimais les hommes, que j’étais attiré par les personnes du même sexe que moi. Il est vrai que l’homosexualité n’est peut-être pas une chose vue de la meilleure des façons par la religion, mais tout de même. Il n’avait pas à faire payer ma famille de mon orientation sexuelle. Si Dieu devait s’en prendre à quelqu’un, c’était à moi, pas aux autres. Pourquoi je parle de tout ça ? Ah oui, tout simplement parce qu’il avant fallu que Pandorà soit victime d’un accident de voiture et qu’elle perde l’usage de ses jambes. Une épreuve atroce pour elle. Elle avait perdu son sourire. D’un côté, je la comprenais tout à fait. Elle était danseuse professionnelle, ses jambes, c’étaient toute sa vie, son gagne-pain, sa passion et elle avait tout perdu à cause d’un stupide accident qu’elle avait causé. Je me devais de la soutenir et de faire en sorte qu’elle se batte. Après tout, rien n’était sûr, elle pourrait très bien retrouver l’usage de ses jambes si elle décidait de se battre et de faire de la rééducation. Elle n’en avait pas envie, elle ne s’en sentait pas capable. Je savais pertinemment qu’elle l’était et je la poussais dans ce sens. Sandro me prêtait mains fortes. Elle avait fini par capituler et maintenant, elle avait retrouvé toute sa mobilité. Merci Dieu, encore un miracle, enfin un miracle… Je n’en sais rien mais mes prières avaient été entendues.
Elle avait retrouvé sa vie d’avant et pourtant, je sentais qu’elle n’était plus la même. Elle se refusait de passer la porte d’un studio de danse. Elle avait perdu l’étincelle dans ses yeux. Elle ne voulait plus entendre parler de danse. Je ne comprenais pas et surtout, je ne voulais pas qu’elle abandonne ce qui lui donnait le sourire et la force de se lever chaque matin. J’avais encore pris la décision de passer ma casquette de grand frère et de la conduire dans un studio de danse pour qu’elle se replonge dans cette passion qui la faisait vibrer. Je m’étais donc levé ce matin-là avec la ferme intention de venir la kidnapper pour la conduire dans un endroit qui lui plaisait plus qu’elle ne voulait me le faire croire. J’avais pris une bonne douche, un bon petit déjeuner et pris ma voiture pour aller la chercher. Lorsqu’elle m’ouvrit, j’avais simplement prononcé cette phrase. « - Prends tes affaires, on va boire un café ensemble sœurette. » Elle m’avait regardé étrangement, mais elle m’avait suivi. C’était silencieux dans la voiture, mais je m’en fichais, j’avais la ferme intention de la faire reprendre du service et nous ne partirions pas sans qu’elle ait chaussé les chaussons pour faire quelques pointes. Après quelques minutes de route, je m’étais garé devant le studio de danse que j’avais choisi. Elle s’était rapidement rendu compte de mon plan et me faisait déjà un regard de tueuse. Je ne pus m’empêcher de sourire pour venir caresser sa joue. « - Ecoute ma belle, je sais que la danse c’est ta passion et surtout que tu ne peux pas la quitter. Alors, nous ne partirons pas avant d’être entrés dans ce lieu, que tu ais mis tes chaussons pour faire quelques arabesques d’accord ! Ce n’est pas négociable petite sœur. Je t’aime tellement, je ne veux pas que tu fermes cette porte… » Je voulais qu’elle redevienne elle-même. Elle n’était plus cette jeune femme handicapée, elle pouvait reprendre le cours de sa vie. Pandorà, respire et combat cette anxiété, la danse va t’y aider et je serais là aussi pour t’aider si tu en as besoin. .
Dernière édition par Santiago Mendez le Sam 25 Jan - 2:06, édité 8 fois
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Sujet: Re: Parce que la famille c'est important. || Santiago Mendez Ven 24 Jan - 15:28
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Sujet: Re: Parce que la famille c'est important. || Santiago Mendez Ven 24 Jan - 15:30