25 ans → Née à New-York le 22/06/1988 → Dernière année de faculté de droit & stagiaire dans un cabinet d'avocats depuis un an. célibataire → hétérosexuel(le) → membre des Beauty queens.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Je m'appelle Jade, Jade Amélia Laurens. Nom à rallonge comme on les aime, je n'y ai pas échappé forcément, ça aurait trop beau. J'ai testé toutes les couleurs capillaires, mais je peux vous le dire, je suis brune ! Assez fine depuis toute petite, j'ai la taille mannequin, mais ça ne m'a jamais intéressé, je mange ce que je veux et quand j'en ai envie - Autrement dit, je suis une goinfre à mes heures perdues.- Je m'habille normalement, sans jamais trop d'extravagance ; J'aime bien que ça reste sobre tout en étant jolie, la simplicité c'est tellement mieux ! Je n'ai pas de piercings, l'idée de me faire rentrer une aiguille dans la peau m'a toujours effrayée, et puis je ne trouve pas ça particulièrement beau, surtout. Parcontre j'ai un tatouage, que j'ai fait pour seize ans, âge où on se croit invincible et où on a envie de s'imposer dans le monde. Comme si un tatouage pouvait aider à tout cela. Bref, tout ça pour dire que j'ai un petit coeur ... Et l'endroit je vous laisserai le trouver par vous-même. - Ne vous imaginez pas je ne sais quoi !- En ce qui concerne mes tics et manies ... Je dois avouer que je me pince très souvent mes lèvres, à vrai-dire dès que je réfléchis, ou doute, ou ment. Donc souvent. Je jure souvent, à coup de "merde" ou "putain" mais ça sort tout seul, on ne peut pas m'en vouloir.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Je suis une personne plutôt difficile à cerner. Mon caractère dépendra très certainement de vous ! J'ai toujours été très réservée, légèrement timide ; Plus petite, on disait que j'étais une fleur qui avait besoin de s'épanouir, et c'était vrai. Mes expériences passés et mon vécu ont fait que j'ai réussi à devenir quelqu'un, à m'imposer en tant que tel. Je suis quelqu'un de spontané, j'aime quand tout se décide sur le moment, je déteste prévoir tout à l'avance, savoir ce que je ferais tel jour à telle heure, ça m'ennuie profondément, je préfère laisser aller et venir, sans trop me poser de questions : Soyons fous, nous n'avons qu'une vie après tout. Je suis une personne amusante, j'adore amuser la galerie en faisant n'importe quoi, rire pour moi, c'est primordiale. De nature plutôt curieuse, j'adore tout savoir tout le monde, curieuse, ou peut-être tout simplement parce que je suis une fille ! Voilà les bons côtés ... Mais vous vous doutez bien qu'il y'en a bien entendu des moins bons. Je suis assez susceptible, tout pique que vous pourrez me lancer pourrait me blesser, et dans ce cas-là, je deviendrais très méchante, allant jusqu'à vous blesser vous, je sais que ça n'est pas bien d'être comme ça... Mais je n'y peux rien ! Je suis complètement bornée, lorsque j'ai une idée dans la tête impossible de me la faire retirer ! J'ai beaucoup de mal à m'attacher aux gens, du mal à leur accorder une certaine confiance, je suis sociable oui, mais quand il s'agit d'aller plus loin, je ne suis plus là !
Well... It's my story...
Juin 1988
Ma naissance. Je suis née à New-York, fille de Catherina Hopkins, vétérinaire, et de George Laurens, avocat. On décida de m’appeler Jade, trouvant ce prénom joli, mes parents n’avaient pas hésité une seule seconde. Bébé, on disait de moi que j’allais être gâtée toute ma vie. Et ils avaient raison.
J’ai ensuite grandi comme tout enfant normalement constitué. Il est vrai que j’ai toujours été très gâtée, habituée à avoir tout ce que je désirais, mes parents avaient largement les moyens de m’offrir tout ce qui me faisait envie et ils ne s’en cachaient pas, du genre à bien étaler ce qu’ils avaient. Enfin … Surtout ma mère. Elle avait grandit modestement, alors maintenant qu’elle avait un bon métier et un mari blindé aux as, je pense qu’elle a voulu rattraper le temps perdu en montrant fièrement que oui, elle avait réussi. Ce qui m’a toujours étonnée, et même étant petite, c’était que dès qu’on avait un manque, un pantalon qui se trouait, des chaussures qui se salissaient ou encore un ours en peluche qui faisait son temps, dès que le moindre petit manque se faisait ressentir, quelque chose venait le remplacer aussitôt, comme si c’était naturel, comme si je ne pouvais pas vivre le manque, comme si ça n’existait pas chez nous, comme si tout pouvait se remplacer aussi facilement…
Je n’avais que onze ans lorsque mes parents ont décidé de divorcer. Apparemment, ma mère aurait trompé mon père avait l’un de ses infirmiers. Mon père l’aurait appris en jetant un coup d’œil dans son portable. Furieux, il n’était pas passé par quatre chemins et l’avait flanquée à la porte sans prendre en considération l’option du pardon, pour lui c’était inconcevable, il avait été élevé à la vieille école, pour lui, maman méritait le bûché ! Le divorce avait été prononcé à une vitesse fulgurante, mon père étant avocat s’était dépêché de remplir les papiers demandés, et de signer, mon père gardait tout, ils avaient décidé de ne rien diviser, sauf moi, bien entendu. Une semaine chez papa, une semaine chez maman, cette situation ne m’enchantait pas vraiment, même si j’étais jeune, je comprenais tout, j’étais loin d’être naïve, je savais que ça ne serait plus jamais comme avant. Heureusement pour moi, New-York était une grande ville, il y’avait assez de place pour eux deux.
Et puis il a bien fallu grandir, grandir pour évoluer et se forger son propre caractère, choisir ce que l’on veut devenir et qui l’on veut être plus tard, à quoi l’on veut ressembler. Je suis au lycée maintenant, je mène une vie banale comme tout le monde. Maman s’est remariée avec cet infirmier que je déteste, ils vivent d’amour et d’eau fraîche blablabla, ils recoulent sans arrêt c’est insupportable. Il a un fils, très mystérieux, très renfermé sur lui-même, du moins c’est ce qu’il veut laisser paraître … Impossible d’avoir un dialogue avec lui, il vient sans arrêt en coup de vent, rares sont les moments que nous avons passé ensembles. Et je ne m’en porte pas plus mal à vrai-dire. Quant à mon père éternellement seul, il travaille d’arrache pied, sans arrêt en déplacement ou au bureau, je ne passe que très peu de temps avec lui, mais je sais que son boulot occupe une grande place dans sa vie et je ne lui en veux pas, je sais qu’il sera toujours là pour moi. Moi, je travaille plutôt bien, élève studieuse, j’ai beaucoup d’amis, très courtisée mais jamais envoûtée, je me méfis des garçons, au lycée, ça les chatouille déjà en dessous de la braguette, et ça ne m’intéresse pas du tout. Je passe par la case « je m’interroge sur mon orientation sexuelle. » , tout est flou, étant donné que je n’ai jamais vécu d’aventure, je ne connais pas, donc je doute – donc je me pince les lèvres – (lire mes tics et manies pour comprendre). Oh bien-sûr j’ai déjà embrassé des garçons, mais c’était juste pour « essayer » rien de tout ça ne comptait.
Première année de faculté de droit. J’ai trouvé ce que je voulais devenir et je compte bien m’y tenir. Je veux être avocate, comme papa. Je ne sais pas encore vraiment vers quels cas juridiques m’orienter, mais je sais déjà le principal, et pour moi, le reste viendra. C’est durant la soirée d’intégration que je l’ai rencontré. Je crois que c’est ça qu’on appelle un coup de foudre, oui, ça doit être ça. Mon regard n’a pu se décoller du sien, j’étais comme envoûtée. Il s’appelait Chris. Nous avons tout de suite bien accroché, je me sentais pousser des ailes quand j’étais à ses côtés, c’était presque inexplicable. Il était en troisième année et moi en première, mais à vrai-dire, nous nous en fichions. Nous sommes restés ensembles durant deux mois ; Plus rien pour moi n’avait d’importance, je séchais les cours pour pouvoir me retrouver à ses côtés, on sortait très souvent, mes parents ne me reconnaissaient plus, j’étais devenue une autre, une pathétique amoureuse. Il était mon premier amour, je vivais ces sensations pour la première fois, il était normal que tout ça soit un tant soit peu, intensif. C’est durant une soirée chez l’un de ses amis à laquelle nous étions invités tout les deux, que je lui ai offert ma virginité. J’avais imaginé ce moment une centaine de fois dans mon esprit, mais ce que je peux assurer, c’est que jamais, je ne l’aurais imaginé de cette manière. Nous avions un peu bu tout les deux, tout était assez flou, même si je me rendais parfaitement compte de ce que j’étais entrain de faire. Ce moment a duré quinze pathétiques minutes. Je me souviens, il s’était rhabillé à une vitesse éclair, m’avait embrassé sur le front, et avait filé en me lâchant un « C’était bien, merci. » J’étais restée plantée là comme une pauvre idiote à moitié nue. Je ne l’avais pas revu de la soirée, j’étais donc rentrée, ne sachant pas vraiment quoi faire, ni quoi penser. Le lendemain, tout s’était éclairé subitement. J’avais surpris une conversation dans les couloirs de la faculté. J’avais finis par comprendre que Chris était en fait, ce genre de gars, qui adore faire des paris avec ses amis. La course au dépucelage, c’est comme ça que ça s’appelle. Et j’en avais été la victime. J’avais été blessée au plus profond de mon âme, j’étais tombé éperdument amoureuse d’un imbécile heureux et je ne m’étais rendu compte de rien. Je ne lui ai plus jamais reparlé, j’aurais pu ne pas me laisser faire mais c’était au dessus de mes forces, j’étais bien trop fragile à ce moment-là. Bien trop naïve. C’est à ce moment-là, que je me suis jurée de ne plus jamais tomber amoureuse, du moins plus aussi facilement !
Ce qui nous amène aux jours d’aujourd’hui ! Voilà, j’ai bien grandis, j’ai désormais 25 ans, je suis en dernière année de faculté, j’ai réussi mes examens avec brio, grâce à mon père également je me dois de l’avouer. Je suis également stagiaire dans l’un de ses cabinets. Je suis une femme qui s’assume pleinement. J’habite un ravissant petit appartement près de la fac, c’est plus pratique. Je suis bien entendu célibataire, et très endurcie. Je ne compte pas tomber amoureuse d’aussitôt, ou alors il faudra me torturer ! J’aime faire la fête, je ne me pose pas vraiment de question sur ce qui viendra demain, je vis au jour le jour. Il m’arrive de finir mes nuits dans les bras d’hommes, mais dès que la situation se concrétise un peu, je me sauve en courant, pas question de tomber dans le panneau à nouveau.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Camille 20ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Grâce à Bazzart! ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop ★Présence sur le forum → 5j/7 minimum ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé ★Crédit images → Class whore
Mon exemple de RolePlay:
→ Aujourd’hui avait été une journée très longue et très dure pour moi. J’étais levé depuis six heures du matin, j’avais un rendez-vous important chez un cardiologue très réputé de Los Angeles concernant mon état de santé. C’est étrange, depuis que j’avais appris que j’étais malade à New-York, je ne vivais pas différemment, comme si au final, je n’avais rien. J’avais pourtant énormément de recommandations à respecter, mais je dois avouer que tout ça me passait par dessus la tête, je m’en fichais, et ça n’était pas bien. Et le médecin l’avait bel et bien vu ; J’avais une tension trop élevée, je ne m’étais pas arrêté de boire de l’alcool, même si je n’étais pas alcoolique, un petit verre de temps en temps me détendait, enfin, c’était mon impression. Ma vie professionnelle était tout les jours très stressante, mais je savais bien qu’avocat n’était pas un métier de tout repos ; Sans parler de ma vie sentimentale qui ne tenait désormais qu’à un fil. Tout ça mélangé était très mauvais pour moi, le médecin me répétait sans arrêt, que OUI j’étais malade et que désormais, il fallait que je fasse attention à certaines choses, que je ne pouvais pas faire semblant de rien, que j’accepte la fatalité, que je n’avais pas le choix, c’était ça ou risquer ma vie. Prenez ça dans la face, à sept heures du matin, pour bien démarrer la journée, vous verrez, ça fait énormément de bien. J’avais quitté le cabinet du cardiologue aux alentours de neuf heures pour me rendre ensuite au bureau qui n’était pas très loin de là. Je n’arrêtais pas de penser à tout ça, à ce qui flottait au dessus de ma tête, ce rendez-vous avait été un coup dur, je ne pouvais le nier. Je n’arrivai même pas à me concentrer, tout était très flou, tout me semblait être compliqué, c’était étrange venant de moi, je ne me reconnaissais plus à vrai-dire, moi l’homme fort, entrain de tomber doucement sous la pression, ça n’était plus moi. Après une heure passée assis devant ce bureau blindé de paperasse, j’avais décidé de rentrer chez moi et de prendre ma journée, je ne pouvais pas resté ici une seconde de plus, c’était trop éprouvant, je n’étais pas prêt, pas maintenant. J’avais enfilé ma veste et avait quitté la haute tour qui abritait mon cabinet d’avocats sans prévenir qui que se soit, peu importe, de toute manière je n’avais de compte à rendre à personne. Après avoir pris un taxi, j’étais arrivé devant mon appartement, y était entré, et avait fermé la porte à double tour, je ne comprenais pas ce qui était entrain de m’arriver, un moment de faiblesse ça arrive à tout le monde, je le savais, mais à moi, ça n’était que très rarement, je ne m’étais pas senti comme ça, depuis la mort de mes parents, ce fameux jour où tout s’était écroulé. J’avais regardé autour de moi, forcé de constater à quel point cet appartement était vide, à quel point il était sombre. Je détestais cet appartement depuis qu’October l’avait quitté à vrai-dire. Tout les soirs je rentrais seul à cet appartement, j’y mangeais seul, j’y dormais seul, ça aussi c’était très pesant pour moi, j’avais inévitablement besoin d’elle à mes côtés. Elle me manquait à un point inexplicable, elle avait laissé un grand vide en moi. Je ne savais pas vraiment où nous en étions, nous nous étions revus certes, mais je savais pertinemment qu’il faudrait beaucoup plus de temps pour espérer peut-être que tout redevienne comme avant, et ça n’était pas chose faîte, loin de là. Nous nous étions blessés mutuellement, et même si je l’aimais comme un fou, je souffrais encore de ses aveux, je n’arrivais pas à chasser ses pensées de ma tête, c’est comme si elles avaient décidé de m’harceler en permanence pour me rendre complètement dingue. Je n’avais eu que de brèves nouvelles de la belle brune depuis que nous nous étions revus, je ne voulais pas être un poids pour elle, je voulais lui laisser du temps et de l’espace, je ne pouvais pas revenir comme ça au bout de six mois et espérer qu’elle me tombe dans les bras aussitôt, c’était bien trop facile. Et elle et moi, nous étions loin, bien loin d’être « faciles ». J’avais décidé de me reposer un peu, j’en avais grandement besoin, même si je savais que ça ne résoudrait rien de rester enfermé chez moi à dormir, il fallait que je le fasse. J’avais ouvert la boîte de cachés qui se trouvait sur ma table de nuit et en avait prit deux, pour être sûr de dormir. Je m’étais allongé sur le lit, regardant le plafond, en attendant que le sommeil vienne s’emparer de moi.
La sonnerie de mon portable me réveilla en sursaut, j’avais un nouveau message. C’était October. Elle me demandait de la rejoindre à cette nouvelle boîte de nuit pas très loin, elle ajoutait qu’elle avait besoin de moi, que ça n’allait pas fort ; Je relu le message plusieurs fois, encore sonné des cachets que j’avais pris. Je regardai l’heure sur ma montre, il était vingt-deux heures, j’avais dormi toute la journée, et si je n’avais pas eu ce message, j’étais certainement parti pour la nuit. « Putain.. » Je me frottai le visage et m’étirai ensuite, je me forçai à me lever, il fallait que je me réveille une bonne fois pour toute, il fallait que j’aille retrouver la femme que j’aimais, à tout prix. J’enfilai un jean foncé assez rapidement, je décidai de garder la chemise noire dans laquelle j’étais, inutile de se changer, je m’en fichais royalement. Il me fallait un café, j’avais du mal à tenir debout. Je descendis dans la cuisine pour me faire couler un expresso très rapidement, je le bu d’un seul trait, enfilai ma veste et partis en direction de la boîte de nuit où October m’attendait. Je n’avais même pas pris soin de lui répondre, j’étais plus du genre spontané à débarquer comme ça. La fraîcheur dehors me fouetta le visage et me réveilla d’un seul coup, certes j’étais encore un peu sous l’effet des cachets, mais en boite ça pourrait passer, vu qu’ils sont tous bourrés, ils ne feront pas la différence. Un taxi m’emmena jusque devant le Devilish Temptations, la musique résonnait de dehors, les videurs me laissèrent passer sans broncher, j’entrai donc dans cet cage à poule, la musique beaucoup trop forte me fit grimacer, j’étais pas réellement prêt à affronter tout ce bruit, là tout de suite. Je regardai un peu aux alentours, pas d’October, d’habitude, elle était au bar, mais pas là, bizarre. Je fronçai les sourcils, où pouvait-elle bien être. J’avançai un peu dans la boîte ; J’avais besoin d’aller aux toilettes, en même temps je n’y avais pas été de toute la journée, normal. Je regardai autour de moi, histoire de les trouver, avec un peu d’espoir… Je les vis au loin, ah victoire, je m’y hâtais. Je marchai tête baissée, je n’avais envie de croiser personne, et encore moins de parler, la seule personne que je voulais voir ce soir était October. Lorsque je levai la tête pour éviter quelqu'un, je l’a vis là, entrain de se faire attraper par un pauvre gars, ça ne fis qu’un tour dans ma tête, je pressai le pas directement dans leur direction pour me mettre entre et pousser le gars d’une force assez étrange d’ailleurs, avec les cachets. « Fils de pute ! » Je n’avais qu’une envie en tête, c’était de le tuer, de lui faire mal, la rage m’envahissait. Je sentis ma main s’entremêlait dans celle d’October, elle me demanda de venir avec elle, que ce gars n’en valait pas la peine, ce qui était totalement vrai, mais bon sang, j’avais une telle envie de le voir souffrir devant moi. Je n’arrivais pas à le quitter des yeux. « Casse-toi ! » lâchais-je en suivant October, je m’étais énervé d’un coup, à une vitesse surprenante, je ne supportais pas de voir ça, c’était beaucoup trop pour moi, suite à ça, mes pensées d’October avec ce genre de gars revenaient en moi, c’était horrible, je serrai mes lèvres ensembles en fermant les yeux en essayant de me calmer en m’approchant du bar, mais je n’y parvenais pas, c’était vraiment une journée merdique ! Je posai mes deux coudes sur le bar et entra ma tête dans mes mains pour souffler un coup. Je levai ma tête en direction d’October, j’étais énervé. « Pourquoi tu viens dans ce genre d’endroits ? Pourquoi tu y viens toute seule, réponds-moi s’il te plaît. » J’avais quelque peu crier, d’abord parce que la musique était forte, mais aussi parce que j’étais énervé, contre l’autre idiot surtout. Je n’étais pas énervé contre elle, je ne comprenais pas pourquoi elle venait ici, dans ce genre d’endroit remplis de crevards, prêts à tout pour trouver des femmes qu’ils pourront se taper toute la nuit ça me dégoutait, je savais que c’était comme ça, j’étais ce genre d’homme avant, avant que je la rencontre, elle, la femme de ma vie.
Dernière édition par Jade A. Laurens le Ven 24 Jan - 21:57, édité 17 fois
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 2:00
Bienvenue
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 2:04
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 2:07
Merci à vous deux
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 2:52
Bienvenue parmi nous Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 4:14
Bienvenue
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 7:04
Bienvenue parmi nous
Guest
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 8:52
miranda bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 9:49
Bienvenue
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 15:01
Bienvenue Attention, nous demandons au maximum 5 ans d'écart entre l'âge du personnage et de la célébrité, et Miranda ayant 30 ans, Jade doit avoir au moins 25 ans
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 15:12
Merci D'accord sans soucis !
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 20:12
Bienvenue sur le forum.
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 20:19
Bienvenue parmi nous! ♥
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 20:32
Merci à vous
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 20:57
bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 21:02
Merciiiii
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 22:32
bienvenue
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Ven 24 Jan - 23:37
Tout est bon pour moi Je te pré-valide donc en attendant qu'une admin passe t'ajouter à ton groupe Bon jeu parmi nous
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Sujet: Re: If u ask me I'm ready Sam 25 Jan - 2:18