Sujet: if today was your last day, and tomorrow was too late... → AIKEN Mar 14 Jan - 19:24
FEAT. BRADLEY JAMES
Bartiméus Styx AIKEN
27 ans → Né à Moscou le 25/03/1985 → Métiers ou Études célibataire → pansexuel → membre des Nom du groupe.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Répondre ici à la question ci-dessus ... Parlez ici de tout ce qui différencie votre personnage. S'il a des tatouages, des allergies, des piercings, une mimique particulière, tout ce qui selon vous le rend différent. Vous pouvez également parler de son physique, ses habitudes vestimentaires, bref tout ce qui le caractérise, tout simplement. Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla
★Quel est le caractère de ton personnage? → Veuillez décrire ici le caractère de votre personnage. 15 Lignes minimum. Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla
Well... It's my story...
Gare de Léningrad, Moscou. Nous sommes le quinze juin mille neuf cent quatre-vingt-cinq. Un train entre en gare à vingt heures et deux minutes exactement, comme l'annonce le panneau d'affichage des trains à venir et l'annonce sonore. A bord de celui-ci, un femme s'affole. Cela doit faire maintenant plus de six heures qu'elle est dans ce train, debout, car personne n'a daigné lui céder sa place. Ce n'aurait été un comble si la jeune femme, âgée d'à peine dix-huit ans, n'avait pas été enceinte, et sur le point de perdre les eaux. Ainsi, pendant tout ce laps de temps, elle avait dû résister à la douleur que son dos, son ventre et son abdomen lui faisaient subir, rendant tout son corps vulnérable et intouchable. Et la voilà qui panique. Le train entre donc en gare, à une allure beaucoup trop lente pour elle. La future mère sent des contractions la prendre, la douleur s'intensifier, sa vue se brouiller. Elle sort tant bien que mal de l'engin infernal lorsqu'il s'arrête, essayant de ne pas se faire piétiner par les usagers qui entraient et sortaient du wagon sans même prêter attention à ce petit bout de femme qui perdait son sens de l'orientation et devenait de plus en plus fragile. A bout de souffle, elle parvint tout de même à s'extirper du peloton des passagers effrénés, pour gagner un vieux banc mal entretenu à l'intérieur de la gare, massive et majestueuse, instaurée à la demande du tsar Nicolas Ier, dans l'optique de reprendre ses esprits et quelques forces avant de sortir sous la pluie frénétique qui s'abattait en ce jour de printemps. Emilia, ainsi se prénommait-elle, devait attendre devant l'immense gare ferroviaire que sa mère et son homme de main arrivent, dans la voiture de madame, mais elle ne s'attendait pas à perdre les eaux dans le wagon du train. Elle priait pour que sa mère se dépêche, et trouva la sortie au milieu d'autres russes qui venaient de descendre du train suivant le sien. Emilia tressaillit de douleur, posant sa main le long du mur de la gare pour se maintenir debout, avant d'être coupée dans sa marche, titubante, par un véhicule noir. Sa mère en sortit et la pressa à l'intérieur, alors que le chauffeur, le valet de la dame, démarra en trombe sans même attendre la fermeture de la porte arrière. L'engin à roues motorisé manqua de rentrer plusieurs fois dans divers obstacles, murs, autres véhicules ou même piétons. La pluie était tellement drue qu'on ne voyait pas à un mètre devant soi. Sortir par un temps pareil semblait suicidaire. Mais la jeune femme mal assise à l'intérieur de la sombre voiture ne se préoccupait que d'elle, et on n'aurait su la blâmer. Elle s'inquiétait pour ce qui lui arrivait, mais aussi pour ce que l'on dirait d'elle et de sa famille après l'évènement. « Allons-nous à l'hôpital ? » Le chauffeur ne broncha pas plus que les lèvres de la mère qui s'entr'ouvrirent à peine pour répondre à sa fille, comme si la question avait été si stupide que la réponse la plus appropriée aurait été une baffe. « Penses-tu, nous rentrons à la maison. C'est là que tu accoucheras, nulle part ailleurs. Tu as vu l'âge que tu as ? Tu n'es même pas mariée, tu penses avoir droit au confort ? Tu as encore de la chance que ton père ait refusé de te renier, pour moi, tu n'existerais déjà plus ! » Des mots qui raisonnèrent violemment dans la tête de la future mère. Etait-ce réellement sa faute ? Le reste du trajet fut silencieux, seuls les bruits naturels et les bougonnements du chauffeur firent quelque peu siffler les oreilles des deux femmes.
Emilia fut pressée dans son ancienne chambre, laissée en l'état, simplement nettoyée une fois par semaine par la femme de ménage. On la cacha des autres domestiques et seuls sa mère, son père et une sage-femme étaient présents alors qu'allongée sur le lit, la future mère retenait des cris de douleur. La femme de ménage frappa à la porte, qu'on lui ouvrit, apportant des serviettes et des couvertures. Puisqu'elle était là, on n'allait pas la forcer à s'en aller. Elle était au courant de l'histoire, après tout. Quelle histoire ? Emilia n'avait osé raconter la vérité. Elle avait donc avoué à sa mère avoir couché avec un homme en acceptant de l'argent en retour, ainsi, tout le monde la prendrait pour une fille facile, mais elle préférait cela. La réalité, pourtant, était tout autre. Au coin d'une rue, en pleine nuit, Emilia avait été happée à l'intérieur d'une voiture. Trois inconnus l'avaient utilisé comme un vulgaire morceau de chair. L'enfant à naître n'allait pas être le fruit d'une relation rémunérée, mais celui d'un viol. Cependant, elle n'avouerait cela à quiconque, pas même à son fils lorsqu'il serait en âge de comprendre. Elle inventerait une raison, une mort, un départ, quelque chose de fier. Mais pour le moment, tout ce à quoi la future mère pouvait penser, c'était la douleur intense qui accompagnait ses contractions. Des heures entières passèrent sans que rien n'arrive, sinon aux oreilles des parents les cris de douleur de la fille perdue. Lorsque enfin l'heure fatidique de la naissance de l'enfant sonna, les réactions furent partagées. Un soupir de soulagement modéré de la part de la mère, désormais libérée de la souffrance physique, alors que la mère s'indignait en accompagnant la sage-femme qui avait récupéré l'enfant. Le père, plus sage quant à lui, épongeait le front de sa fille avec une des serviettes apportées par la domestique, restée prostrée devant la scène. « Elle s'évanouit ! » Le père avait déployé ses poumons comme jamais pour faire retentir sa forte voix dans toute la demeure, faisant sursauter toutes les personnes présentes au passage. La sage-femme, entrain de couper le cordon ombilical de l'enfant, dériva alors sur le ventre du bébé, écorchant sa peau si fragile de nouveau-né. Rien d'inquiétant au final, puisque la plaie finit par se refermer d'elle-même, mais tout laissait à présager qu'il garderait une cicatrice tout au long de sa vie. Emilia fut remise sur pied avec de l'eau fraîche, et on lui rendit sa progéniture, alors même que la sage-femme était raccompagnée par la mère à la porte d'entrée. Le père ordonna à la domestique de ranger les serviettes et tout ce dont ils avaient eu besoin au long de ces terribles heures. Elle qui n'avait pas dit un mot depuis le début, finit par sortir de son silence, passant à côté de la mère et du fils avec dégoût. « Cet enfant sera maudit, maudit ! » Sa voix nasillarde résonna dans la pièce, puis elle se mit à rire bêtement, comme une sorcière ayant commis son méfait. Deux semaines suivirent, longues et épuisantes, dans la demeure des Koltsov, puis la mère mit Emilia et Bartiméus à la porte, estimant en avoir assez fait. L'abandonnée devrait se débrouiller seule. Maudits, ainsi soit-il.
(...)
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → # Lokhas/Mickaëla, 17 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'y étais déjà il y a quelques temps avec le scénario de Sage, mais le temps m'a manqué... Cependant j'aime beaucoup ce forum, du coup je voudrais retenter ma chance ici ! ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non ★Présence sur le forum → 7/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → PI ★Crédit images → Avatar : Hareton.
Mon exemple de RolePlay:
→ Poster ici un rp que vous pourrez utiliser plus tard comme premier rp sur le forum, ou bien un ancien rp écrit par votre main. L'exemple de RP doit avoir un minimum de 20 lignes complètes, comme demandé sur NYCL.
Dernière édition par Bartiméus S. Aiken le Mar 14 Jan - 22:36, édité 2 fois
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
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▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: if today was your last day, and tomorrow was too late... → AIKEN Mar 14 Jan - 19:30
could you say goodbye to yesterday je valide le titre
re-bienvenue chez nous alors
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Sujet: Re: if today was your last day, and tomorrow was too late... → AIKEN Mar 14 Jan - 19:38
rebienvenue parmi nous
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Sujet: Re: if today was your last day, and tomorrow was too late... → AIKEN Mar 14 Jan - 19:43