Sujet: Gideon ~ Dans la vie, il y a ceux qui portent les pianos et ceux qui en jouent Sam 1 Fév - 15:04
FEAT. Marlon Teixeira
Gideon Vincenzo Callaway
24 ans → Né à Chicago le 16/09/1990 → Avocat célibataire → hétérosexuel → membre des workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Gideon est un gourmand, il aime les bons petits plats mais ne sait absolument pas cuisiner – Il est donc un adepte du traiteur dont il connait la carte des menus par cœur – Heureusement pour lui, la nature l’a doté d’un organisme que beaucoup de femmes lui envient à savoir qu’il peut manger tout et n’importe quoi sans prendre un gramme – En même temps, il pratique beaucoup de sport pour s’aérer l’esprit – Quand il était plus jeune, il voulait devenir musicien – Il joue du piano et de la guitare – Très mauvais chanteur par contre – Il vient d’un monde où l’argent coule à flot mais a réussi à garder les pieds sur Terre – Allergique aux fleurs - N’a jamais voulu être avocat mais son père ne lui a jamais laissé le choix car dans sa famille, on est avocat de père en fils – A eu quelques histoires mais sans grande prétention – Aime séduire les femmes mais n’arrive pas à se fixer – Souvent froid avec les autres, il met du temps avant de montrer son côté grand déconneur – Aime la mode – Se passe souvent la main dans les cheveux quand il est nerveux – A un tatouage sur l’omoplate gauche - Atteint d'une dégénérescence auditive depuis ses seize ans.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Gideon est un passionné de la vie, de la connaissance, tout l'intéresse ; c'est un homme qui pourra passer son existence à essayer de comprendre le pourquoi des choses. Cette passion débouche néanmoins sur une certaine froideur d'apparence. Il possède une grande confiance en lui, bien qu'il ait des timidités soudaines et surprenantes. Emotif, il a besoin d'amour et de compréhension même s'il n'est pas d'un premier abord très facile. Cet américain possède un grand sens du devoir et un système de valeurs qui le pousse à toujours prendre les cas désespérés dans son métier bien qu’il soit tout jeune avocat. Il aime et a besoin de croire en quelque chose, en quelqu'un, et c'est en cela qu'il ne faut pas le décevoir. Il possède un grand sens de l'amitié, amis qu'il a soigneusement, lentement mais durablement choisi et auxquels il sera fidèle. Assez altruiste, même s'il a parfois tendance à tout ramener à lui, il est également très sensible aux échecs et peut les ressasser longtemps. Cette volonté est avant tout liée au désir de Gideon d'être le premier; Passionné, jaloux et donc possessif sur le plan affectif, l'amour comme la haine est lente à venir chez Gideon mais quand il tombe amoureux, c’est durable. Passionné, protecteur, paternel, on peut dire qu’il est bien plus attiré par les femmes-enfants que par les femmes directes ou trop dominantes. Il aime garder la main dans ses relations amoureuses ou sexuelles.
Well... It's my story...
« Ah Gideon, te voilà, je te cherchais depuis deux heures. Où étais-tu ? » rouspéta Tobias Finley du moins, les traits de son visage m’informèrent de la tension dans sa voix. Cela faisait des années que je me battais contre une dégénérescence auditive. Au départ, j’avais été dans le déni avant de comprendre que cela ne faisait que compliquer les choses alors, j’avais accepté d’être appareillé mais loin de m’handicaper, j’avais fait de cette faiblesse, une force. Je m’étais battu pour reprendre une vie normale, apprenant notamment à décrypter le langage corporel mais aussi à lire sur les lèvres. Je connaissais également le langage des signes quand, fatigué, mon audition me faisait défaut et que j’étais obligé de pallier au problème notamment en jouant sur ma capacité à lire sur les lèvres. « Je plaidais au tribunal comme chaque jeudi matin » répondis-je avec mon flegme habituel, toisant mon interlocuteur avec un calme olympien. Il valait mieux avoir une patience à toute épreuve avec cette famille car les Finley étaient pour le moins spéciaux bien que j’avais un très bon rapport avec le patriarche. En même temps, il avait été l’un des premiers à croire en moi mais aussi à me pousser à suivre des études de droit dans une université réputée : Harvard. Au départ, rien n’était gagné par avance, je ne voulais pas suivre les traces de mon père mais Tobias avait su me convaincre comme à chaque fois que je désirais me confronter à mon père. En un sens, je pense l’avoir toujours perçu comme un second père bien plus aimant et bien plus préoccupé par ma vie que son associé et accessoirement mon géniteur.
Et voilà que quelques années plus tard, mes diplômes récemment en poche, je me trouvais embauché dans le cabinet Finley et Callaway. Mon avenir était tout tracé : dans un ou deux ans, mon père me parlera mariage avant de me parler de devenir associé. Seulement voilà, j’aspirais à d’autres choses surtout que je savais que tôt ou tard, je perdrais complétement mon ouïe. Aussi, je voulais en profiter pleinement. « Ah oui excuse-moi. Ces derniers temps, j’ai eu beaucoup de choses à gérer et je perds un peu la tête » s’excusa-t-il et je secouais la tête. « Il n’y a aucun problème. Tu voulais me parler ? » rétorquais-je nullement avide de m’éterniser sur des excuses inutiles. Tobias était bien un des rares hommes à pouvoir se targuer de faire partie de mes proches. Je n’étais pas un homme appréciant énormément les rapports humains. Je vivais pour ainsi dire en véritable ermite depuis l’accident de voiture qui plongea la seule femme que j’eu aimé dans un profond coma. Cela faisait quatre ans désormais. « Oui concernant le rachat de cette chaîne de motel » enchaîna-t-il aussitôt tout en s’asseyant face à moi. Il s’avait à force de me côtoyer depuis des années; que j’avais besoin d’avoir la personne bien en face pour pouvoir lire convenablement sur les lèvres et ainsi tenir une conversation à peu près normale.
Le soir-même, je me rendis dans mon restaurant préféré : le Blue Lagoon ; qui n’était autre que mon restaurant. Je l’avais ouvert il y a de cela deux ans avec mon meilleur ami et associé Benedict Larsson, un chef étoilé. C’était un investissement sur le long terme mais aussi une façon comme une autre de vivre ma passion pour la gastronomie par procuration. J’étais un piètre cuisinier mais un gestionnaire hors pair. Notre établissement fonctionnait d’ailleurs de mieux en mieux, s’attirant une clientèle fidèle tout en se faisant connaitre de plus en plus. J’étais fier de notre restaurant même si, je devais tout gérer en plus de ma carrière d’avocat et cela dans le secret le plus total. On ne peut pas dire que je n’avais pas de temps étant donné que personne ne m’attendait le soir à la maison. Au moins, le Blue Lagoon me permettait de maintenir une certaine vie sociale et non passer mon temps, en ermite à lire ou à travailler ; « Une célèbre école hôtelière a appelé aujourd’hui. Elle désire établir un partenariat avec notre restaurant. Je t’ai mis les documents dans ton bureau. Tu sais très bien que tout ça, c’est vraiment pas mon truc ! » m’avoua-t-il et j’hochais la tête. « Je regarderai cela à tête reposée » rétorquais-je d’un ton las. « Tu devrais rentrer, tu sais bien que le premier février, ce n’est pas ta journée » me dit-il en posant un main sur mon épaule et comme à chaque fois qu’il prononçait cette phrase, tous les ans depuis quatre ans, une sorte de malaise m’emporta. Il y avait quelque chose dans son regard, dans sa façon de fuir le miens qui me mettait mal à l’aise comme s’il se retenait de me dire quelque chose, comme s’il se sentait coupable de quelque chose. Chaque année, cette impression empirait. « Oui, tu as raison » terminais-je par lui dire en me baissant pour attraper ma sacoche, véritable prolongement de mon corps. « Tu sais Gid’… Il serait peut-être temps que tu passes à autre chose, que tu rencontres une autre femme non ? » me dit-il avec tristesse et une émotion que je n’arrivais pas à définir. Je fronçais les sourcils. « Je suis marié à ma carrière » fut ma seule réponse alors que je tournais les talons, quittant le restaurant pour rejoindre ma maison, dans le nord de Manhattan. J’étais plutôt fiancé. L’alliance à mon doigt attestait de mon ancien désir de m’unir à Victoria mais pouvait-on parler de mariage quand votre fiancée ne donne aucun signe de vie depuis quatre longues années ?
« Bonsoir Monsieur Newton » lâchais-je en poussant la porte de mon appartement pour mieux me baisser et prendre dans mes bras, un jeune chat qui ronronna. Je ne pouvais presque pas entendre ce bruit apaisant mais je sentais les vibrations contre ma main. « Je sais, je rentre tard mais j’ai pensé à t’apporter un cadeau pour me faire pardonner » poursuivais-je en l’amenant à la cuisine où je le déposais sur le plateau bar pour sortir une gamelle propre et y glisser des morceaux de sardines. Il en raffolait. « Bon appétit ! » souriais-je en caressant son poil avant de le laisser et d’aller m’enfermer dans mon bureau où je terminais par m’endormir, comme chaque soir, la tête reposant sur un dossier en cours. Ce fut mon portable qui me réveilla en le sentant vibrer contre la paume de ma main comme tous les matins.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Ice, 28a. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par partenariat. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 4/7jr. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. ★Crédit images → Forevertry.
Mon exemple de RolePlay:
→ Un ancien rp sous un autre personnage. Les dés étaient jetés et j’avais qu’une seule envie : quitter le pays pour fuir très loin. Oui, fuir cette femme que je devais rencontrer après avoir conversé de longues semaines avec elle au sujet de mes romans ou même de la vie de tous les jours. J’avais appris à la connaitre au travers de ses mots, de ses expressions et même de ses smiley. Tout était bon pour apprendre un peu plus chaque jour et dans un sens, il me tardait de la rencontrer mais je savais également que je la perdrais à l’instant même où elle verrait mon visage mutilé. Au cours de nos échanges virtuels, je lui avais parlé sommairement d’une mutilation sans jamais osé entrer dans les détails car je ne pensais jamais la voir réellement. Maintenant, j’allais devoir subir son regard de dégout et de peur qui ne manquerait pas d’avoir. Les gens réagissaient toujours ainsi même si au fil des années et des opérations de chirurgie, la cicatrice s’était légèrement atténuée. Pourtant, j’avais toujours l’impression qu’elle était à vif et suante de pu. Mon regard se perdit dans le reflet du miroir et je me détournais vivement. Je ne voulais pas la rencontrer mais je savais qu’elle ne me pardonnerait pas de lui poser un lapin. « Pourquoi m’imposer ça ! » marmonnais-je tout en faisant les cent pas dans ma chambre. Je restais à l’écart du monde pour ne pas m’imposer de désillusion et voilà que j’allais droit dans la gueule du loup.
L’heure approchait à grand pas et je me décidais de me préparer. Le choix de ma tenue fut cornélien au possible. Quoi mettre ? Je ne voulais pas me mettre sur mon trente-et-un histoire de ne pas la mettre mal à l’aise mais y aller trop décontracté ne serait peut-être pas bien. Bordel, je n’avais pas eu de rendez-vous amical, professionnel ou amoureux depuis des lustres. Alors, en désespoir de cause, je me décidais à mettre un jean noir, un polo noir et ma longue veste noire. Je m’habillais toujours que de cette couleur pour mieux me fondre dans la nuit. Or, aujourd’hui, je devais aller un peu dans la lumière. Il était temps pour moi de quitter mon antre sécuritaire pour rejoindre la vie active. La tête basse, je longeais le couloir pour rentrer dans l’ascenseur. Heureusement, il était vide. Cinq, six minutes plus tard, je sortais au volant de ma Porsche noire, mon bébé. C’est une des rares folies que je m’étais accordé avec mon penthouse. Mes livres se vendant bien, j’étais à la tête d’une petite fortune dont je prenais grand soin de faire grossir grâce à des placements judicieux. Il ne me fallut qu’une trentaine de minutes pour rejoindre Colombus park. L’air était frais normal pour cette saison et le parc était presque vide. Je l’attendais donc une rose à la main, code que nous avions mis au point pour nous reconnaitre. Mon estomac jouait les montagnes russes à mesure que vingt-heure se rapprochait. Puis, j’entendis une voix féminine près de moi et je sus que c’était elle.
Dernière édition par Gideon V. Callaway le Dim 2 Fév - 0:10, édité 7 fois
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Sujet: Re: Gideon ~ Dans la vie, il y a ceux qui portent les pianos et ceux qui en jouent Sam 1 Fév - 15:10
bienvenue ici & bon courage pour ta fiche si tu as des questions n'hésite surtout pas si tu veux commencer à discuter avec les membres tu peux toujours venir flooder dans cette partie ou bien te rendre sur la chatbox.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Gideon ~ Dans la vie, il y a ceux qui portent les pianos et ceux qui en jouent Sam 1 Fév - 15:13
Merciii
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Sujet: Re: Gideon ~ Dans la vie, il y a ceux qui portent les pianos et ceux qui en jouent Sam 1 Fév - 15:16
Bienvenue beau brun Bonne continuation pour ta fiche (:
Elsa J. Shadow
Empire State of Mind
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