Sujet: le bonheur est dans les choses simples, pourquoi l'amour est-il si compliqué ? (maxence) Ven 21 Fév - 19:49
FEAT. CHACE CRAWFORD
Maxence Raphaël DUCRET
24 ans → Né à Bordeaux le 26/03/1989 → Entrepreneur d'une start-up célibataire → hétérosexuel → membre des populars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → J’adore les tatouages. Seulement je les aime sur les autres, pas sur moi. Je suis persuadé que ça ne donnerait rien de bon sur mon corps, ne me demandez pas pourquoi. Toutes ces sortes d’accessoires, tatouages, piercings, ce n’est vraiment pas pour moi, vous ne me verrez jamais en porter. Non, je ne suis pas quelqu’un de sophistiqué, la simplicité est un mot qui pourrait caractériser mon style, mon apparence. Je n’ai pas cette volonté de me démarquer des autres, de ressortir du lot. Je préfère que les gens me remarquent par ma personnalité plutôt que par les vêtements que je porte. La plupart du temps, vous me verrez avec un petit jean ou un pantalon chino accompagné d’un t-shirt ou d’une chemise, rien de plus. Sauf évidemment quand il fait plus froid, nous savons tous à quel point l’hiver à New York est rugueux. En ce qui concerne mes petits tics, mes petites habitudes. J’arrive toujours dix minutes en avance à un rendez-vous, j’ai horreur d’être en retard. Bien souvent je force mon accent français quand je m’adresse à la gente féminine. Au fil du temps, j’ai remarqué que c’était terriblement efficace, allez savoir pourquoi. J’ai également la fâcheuse tendance de vouloir faire de l’humour dans n’importe quelle situation, ce qui peut s’avérer quelques fois très déplacé. Je laisse toujours échapper un léger rire lorsque je suis nerveux. Et bien d’autres choses encore…
★Quel est le caractère de ton personnage? → Si je devais utiliser un adjectif – rien qu’un seul – pour me décrire, je pense que je dirai que je suis un homme d’honneur. Ou plus précisément, un homme de parole. Je crois que c’est ma qualité première, je tiens toujours mes promesses, je ne donne pas ma parole à tort et à travers, lorsque je le fais, vous pouvez être sûr que je ne vous décevrai pas. Je considère cela comme extrêmement important, comment les gens peuvent avoir confiance en vous si vous ne tenez jamais vos promesses, si vous trahissez votre propre parole à tous les coups. Néanmoins, cela ne veut pas pour autant dire que je suis gentil tout le temps, que je n’hésiterai pas à faire un coup tordu lorsque c’est nécessaire. Non, ambitieux, je sais me donner les moyens de réussir. Je n’accepte pas l’échec, l’excellence sinon rien. J’ai toujours été comme cela et je pense que ce n’est pas un hasard si aujourd’hui j’ai monté ma propre entreprise, si j’ai décidé de devenir mon propre patron. Mais ne vous y méprenez pas, au fond je suis quelqu’un de très attentionné, de très protecteur avec mes proches, peut-être même un peu trop. Je suis prêt à toutes les folies lorsqu’il s’agit de mes proches, il n’y a rien que je ne serai pas capable de faire pour eux. On me considère également comme un boute-en-train, toujours le mot pour faire rire, toujours la petite phrase pour détendre l’atmosphère, même dans des circonstances qui ne s’y prêtent pas. Je parie que je pourrai être capable de lancer des blagues et de faire rire les gens lors d’un enterrement.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → open wound, vingt-deux ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → par connaissances. ★Ce personnage est-il un double compte ? → non. ★Présence sur le forum → cinq sur sept. ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario. ★Crédit images → twisted lips & lj icon.
Mon exemple de RolePlay:
→ A bien y réfléchir, je crois que l’erreur que j’ai fait avec Aurore est la première d’une longue série. Une très longue série d’erreurs qui m’ont amené à être celui que je suis aujourd’hui : un type perdu, qui n’a plus grand monde autour de lui, qui envoie tout valser, qui ne sait plus où il en est, qui ne sait plus qui il veut devenir, bref, un échec. Année après année, j’en ai bavé, la vie ne m’a pas fait de cadeaux, mais en portant une vue d’ensemble sur mon parcours, je ne peux m’empêcher de penser qu’il y a certaines merdes que j’ai vraiment mérité. Alors peut-être que je n’ai pas mérité de recevoir une balle, peut-être que je n’ai pas mérité d’avoir une petite amie dont j’étais fou amoureux devenir amnésique et ne plus me reconnaître, peut-être que je n’ai pas mérité d’avoir une énième personne mourante dans mon entourage. Oui, peut-être, mais le reste, je ne l’ai sûrement pas volé, je n’ai jamais prétendu être un saint, mais des gens, j’en ai blessé bien plus que je le voulais, j’en ai trahi sans m’en rendre compte, j’ai mal agi et j’en avais très certainement payé le prix. Non, je n’avais pas été une si bonne personne que je le prétendais. Mais aujourd’hui, j’avais parfaitement conscience d’avoir changé, je savais pertinemment que j’agissais mal, je ne me voilais plus la face, je préférais être ce connard que les gens méprisaient plutôt que d’essayer d’être gentil pour recevoir à nouveau ce retour de bâton, pour souffrir en retour. Aurore était une des rares personnes qui me donnaient envie d’essayer de me racheter, une des rares personnes envers qui j’avais indéniablement des pensées positives, peu importe la personne que j’avais décidé de devenir. Je ne pouvais m’en empêcher, mon comportement de l’époque me hantait toujours. Peut-être était-ce parce que je n’avais jamais été pardonné pour ça, peut-être qu’un simple pardon me donnerait la conscience tranquille, peut-être qu’il s’agissait de bien plus que ça, de sentiments, de sensations bien plus profondes, bien enfouis au fond de mon être. Bizarrement, elle émettait une allusion quant aux facilités que ma supposée fortune m’avait offerte pour intégrer les iotas. Or, elle le savait bien – m’ayant connu enfant – je n’avais pas grandi dans le luxe, loin de là, j’en avais chié pour arrivé jusqu’à Berkeley, pour décrocher cette bourse sportive. « Il est vrai que l’argent fait des miracles. Mais tu as la mémoire courte Hemingway, dois-je te rappeler que lorsque j’étais adolescent j’étais le seul à subvenir aux besoins de ma famille ? Ma situation à certes changé depuis, mais je n’ai pas eu besoin de payer quoi que ce soit pour intégrer la confrérie, je n’oublie pas d’où je viens. La haine obscurcirait-elle ton jugement à ce point-là ? » J’avais enlevé les gants. J’en avais fini de m’excuser encore et encore. J’étais las de la supplier, j’étais las d’essayer. Bien évidemment que je souhaitais la voir changer d’avis, mais je n’étais pas complètement idiot, m’excuser ne changeait rien, ne changerait rien, ce n’était pas de simples excuses qui allait me rendre mon amie d’enfance, cette fille avec qui – l’espace d’une nuit – j’ai partagé un beau moment, avant de paniquer et de m’enfuir, la laissant seule, trop seule, dans les draps. C’est après l’avoir fait arrêtée sur ses patins qu’elle me le dit de but en blanc. Aucune excuse ne changera ce qu’elle pense de moi, je me suis excusé bien trop de fois pour qu’une énième tentative ne fonctionne. Mais je ne souhaite pas me résigné à ça, me dire que j’ai essayé et c’est déjà bien. Non, essayer n’est pas suffisant, je veux réussir, ceci n’est pas une option, mais une obligation. Je veux l’absolution, je veux que mon erreur soir effacée, après toutes ses années, je veux que cette personne à qui je tiens réellement me dise que ce n’est que du passé, que tout va bien maintenant… mais cela n’arrivera malheureusement pas, car cela n’est pas le cas. Non, tout ne va pas bien, cela se voit sur son visage, elle m’en veut, elle m’en voudra probablement toujours et je l’ai mérité… Mes beaux discours, aussi sincères soient-ils ne change rien. Aurore campe sur ses décisions, elle l’a toujours fait et le fera probablement toujours. C’est une guerre perdue d’avance que je mène, un combat contre quelque chose que je ne peux pas battre, une mission suicide. « D’accord, je comprends, les discours ne te feront pas de changer d’avis. Dis-moi, tu aimes les fleurs ? » lâchais-je ironiquement. Une énième tentative pour parvenir à son but. Mais ce n’est sûrement pas l’humour qui m’aidera dans ce genre de situation. Aurore ne voulais plus rire, plus avec moi en tout cas. J’étais devenu persona non grata, toutes mes tentatives étaient rejetées les unes après les autres, sans même avoir été considéré. Comme si la situation n’était pas assez compliquée comme ça, elle me notifia la présence d’une personne qui me regardait fixement depuis quelques instants. Mon dealer. Lui dire la vérité et aller le voir au risque de passer pour une période encore plus détestable aux yeux de la iota ou l’esquiver, ne peut récupérer ce que j’avais commandé et risquer qu’il vienne m’interpeller et qu’Aurore découvre par sa bouche qui il était. Cette journée était définitivement merdique. « Non, connais pas. Qui sait, peut-être que je l’ai laissé en plan après sa première fois lui aussi. » Raté, gros raté. S’il y avait bien une chose sur laquelle je ne devais pas déconner avec elle, c’était probablement sur cela. Mais la nouvelle conduite que je m’étais dicté faisait peu à peu surface, j’enfilais ce costume de connard, las de m’excuser, las de tenter encore et encore de gagner son pardon. « Je pense pas être le seul mec qui soit parti comme ça, au petit matin, sans dire un mot. Alors pourquoi tu m’en veux autant à moi, alors que tu t’en fous probablement pour les autres. Qu’est ce que j’ai fait pour recevoir ce traitement de faveur ? » La réponse était toute simple, du moins, je me l’étais imaginé des milliers de fois. Mais je devais aussi en avoir le cœur net, je voulais l’entendre de sa bouche, même si elle allait probablement encore plus se braquer contre moi après ceci, c’était un risque que j’étais prêt à prendre. Après tout, je ne voyais pas comment notre relation pouvait se dégrader davantage…
Dernière édition par Maxence Ducret le Mar 25 Fév - 0:23, édité 7 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: le bonheur est dans les choses simples, pourquoi l'amour est-il si compliqué ? (maxence) Ven 21 Fév - 19:49
Well... It's my story...
Cher journal, Le seul fait d’écrire ces mots me fait me sentir ridicule. J’ai toujours considéré que les journaux intimes n’étaient faits que pour les jeunes adolescentes, aussi loin que je m’en souvienne, j’ai toujours trouvé cela débile. Mais aujourd’hui, c’en est trop. J’ai ce besoin d’exprimer mon ressenti, de relâcher un peu de la pression qui ne fait que s’accumuler sur mes épaules. Toujours être, ou plutôt paraitre, parfait, toujours chercher à ne pas décevoir mon entourage, être cette épaule sur laquelle on peut se reposer, cet ami sur lequel on peut compter, tout cela m’use. Aujourd’hui, j’ai cette nécessité de mettre par écrit ce surplus d’émotions qui m’envahit. Entre le stress qui accompagne la création de mon entreprise, la constance inquiétude qui m’accompagne depuis un moment désormais quant il s’agit de ma sœur et la frustration d’une vie amoureuse désastreuse, je n’en peux plus. Je n’en peux plus de prétendre que tout va bien alors que ce n’est pas le cas, de sourire alors que je n’en ai pas envie. Je ressens ce besoin de me confier, et c’est le biais de ce journal que j’ai décidé de le faire. Je souhaite me retrouver, redevenir ce gars marrant, qui amuse la galerie, je veux arrêter de broyer du noir, je veux de nouveau croquer la vie à pleines dents.
Ce n’est qu’une mauvaise passe, une mauvaise passe qui va vite se stopper. Du moins, c’est ce dont je souhaite me convaincre, que tout cela ne durera pas. Je déteste être mélancolique de la sorte, ce n’est pas moi. Je suis le type qui transpire la joie de vivre, pas celui qui déprime chez lui, seul le soir. Je crois que depuis que ma sœur a traversé toutes ces épreuves, le décès de Tyler, la cure de désintoxication, j’ai perdu un peu de cette bonne humeur qui me caractérise tant. Je ne cesse de m’inquiéter pour elle, j’ai peur qu’elle replonge, j’ai peur qu’elle ne retrouve jamais vraiment goût à la vie. Alors bien sûr, elle va mieux, mais cela ne veut pas pour autant dire qu’elle va bien. Je serai prêt à tout pour elle, prêt à tout pour qu’elle aille bien, vraiment bien. Elle est ma jumelle, celle qui compte le plus à mes yeux, je ne supporterai pas de la voir s’installer dans une morosité. Son bonheur est ma priorité, le reste n’est que secondaire. Alors pour éviter de m’inquiéter à son sujet, je noie mes soirées dans le travail, occupé par cette start-up que je viens de monter et que j’espère bien faire prospérer. Mais en agissant de la sorte, je mets complètement de côté ma vie sentimentale, je remets mes relations à plus tard, ne répondant plus aux messages, souhaitant faire le vide. Une petite pause ne peut sûrement pas me faire de mal, je n’arrive pas à trouver une fille qui m’intéresse réellement, à quoi bon forcer. Celle que je convoite secrètement est inaccessible.
Enfant, j'étais bercé par l'insouciance, toujours le sourire aux lèvres, je ne pouvais imaginer une vie plus agréable. J'avais des copains géniaux avec qui je faisais toutes les conneries possibles et imaginables. J'avais une famille formidable sur laquelle je pouvais toujours compter et surtout, avec qui je m'entendais à merveille. Et puis j'avais Lucie, ma p'tite amoureuse d'enfance, celle avec qui j'échangeais aussi bien mes goûters que mes premiers baisers. Alors quand mon père nous a annoncé que l'on déménageait, que l'on changeait de pays, ça a vraiment dur à encaisser. Du moins, au début. Quitter tout cela n'était pas facile, et, intérieurement, j'en volais un peu à mon père de nous emmener si loin de notre foyer. Mais la rancœur s'effaça au fil des semaines. Bordeaux c'était chez moi, j'adorais cette ville, traîner Place des Quinconces avec les copains, mais New York, c'était un cran au-dessus, sans aucune contestation possible. Ici, tout était plus grand, tout était plus beau. Je n'ai pas vraiment eu de problèmes d'adaptation. Même au niveau de langue, je la maîtrisais assez rapidement, à ma plus grande surprise. Il n'y a que pour la gastronomie que j'ai vraiment eu du mal. La nourriture ici n'était pas comparable avec ce que l'on mangeait en France, dans le mauvais sens du terme. Heureusement, maman nous cuisinait encore des bons plats typiquement français. Je crois que je n'aurai pas pu survivre sinon. Je n'exagère qu'un peu.
Et puis, l'adolescence a finalement montré le bout de son nez et les hormones ont commencé à travailler. Je n'arrivais pas à rester célibataire plus de quelques semaines. C'était comme une nécessité d'avoir une copine. J'ai donc eu plusieurs relations, des sérieuses comme des plus platoniques, mais cela m'allait, je ne me plaignais pas, bien au contraire. Je me complaisais dans ce rythme sentimental effréné que je m'imposais. Des chagrins d'amour, j'en ai causé, mais j'en eu ma dose aussi. Toute cette petite histoire a continué jusqu'à Serena, jusqu'à ce qu'elle me repousse, jusqu'à ce que je n'arrive pas me la sortir de la tête. Je pensais avoir déjà eu des sentiments pour plusieurs ex petites amies, mais ici, je voyais la différence. Pendant un moment, il ne pouvait se passer un jour sans que je pense à elle, bien que je savais pertinemment que cette relation était impossible, que jamais, elle ne me donnerait ma chance... Aujourd'hui, tout cela me manque. L'insouciance de mon enfance, la vie sentimentale bien remplie de mon adolescence, mais aussi et surtout ses sentiments que j'éprouvais, ses sentiments que je veux revivre. Je veux retrouver tout cela, retrouver toutes ces petites choses qui font de la vie un magnifique terrain de jeu. Cher journal, j’espère ne plus jamais avoir à t’écrire de nouveau, je me sens tellement naze, j’me fais pitié.
Dernière édition par Maxence Ducret le Mer 12 Mar - 22:27, édité 5 fois
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Sujet: Re: le bonheur est dans les choses simples, pourquoi l'amour est-il si compliqué ? (maxence) Ven 21 Fév - 19:52
Bienvenue parmi nous! Maxence est un excellent choix de scénario.
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Sujet: Re: le bonheur est dans les choses simples, pourquoi l'amour est-il si compliqué ? (maxence) Ven 21 Fév - 19:55
Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche
Elsa J. Shadow
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Sujet: Re: le bonheur est dans les choses simples, pourquoi l'amour est-il si compliqué ? (maxence) Ven 21 Fév - 20:37
Open wound ? ça me dit quelque chose Bienvenue en tous cas et encore merci de tenter mon Maxence
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: le bonheur est dans les choses simples, pourquoi l'amour est-il si compliqué ? (maxence) Ven 21 Fév - 20:49
Jolis avatars + choix de célébrité et de scénario. Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: le bonheur est dans les choses simples, pourquoi l'amour est-il si compliqué ? (maxence) Ven 21 Fév - 20:50
le pseudo me dit aussi quelque chose & Chace Bienvenue chez nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: le bonheur est dans les choses simples, pourquoi l'amour est-il si compliqué ? (maxence) Ven 21 Fév - 21:05
merci à tous
pour le pseudo je peux pas vous dire j'ai déjà été inscrit mais jamais très longtemps, donc je pense pas avoir marqué mon empreinte et je publie rarement mes avatars sur bazzart, so
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: le bonheur est dans les choses simples, pourquoi l'amour est-il si compliqué ? (maxence) Ven 21 Fév - 21:09
chace + le prénom
Bienvenue & bonne continuation pour ta fiche
Elsa J. Shadow
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