FEAT. Astrid Bergès-Frisbey

Sanja Saber Dagoreau  

25 ans → Née à Sandefjord (Norvège) le 28/07/1989 →Étudiante en histoire de l'art → célibataire → hétérosexuelle → membre des Outsiders.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
 → Tics,phobies ou Manies:
D’une certaine manière, ce qu’elle fait comme gestes aux quotidiens est un partage entre les trois critères au-dessus. Lors d’une simple promenade sur les trottoirs son attention sera tristement attirée par la force de la loi.  Devenant nerveuse, son regard fuyant, elle est infectée par la peur. Une nouvelle note a son dossier criminel. Dans la nervosité, elle changera de chemin.  Un tic ou bien une manie, on verra une main dans sa nuque lui masser. Un massage établi par son propre corps. Son corps peut réagir de diverse manière, lorsque son postérieur se dépose sur les bancs de l’université, on la voit jouer avec tout ce qui se retrouve sous les mains.


  → Une apparence blessante:
La beauté est une perception différente d’une personne à une autre. Si votre regard remarque la grande brunette dans les rues de New York, la première chose que vous remarquerez est sa minceur. Un peu en sous poids, elle se  décrit elle-même en souffrance.  Ce n’est pas dû à son alimentation ou des problèmes de santé. Sanja pourrait dévorer de la mal bouffe sans prendre un gramme de graisse. Son organisme la perturbe et la blesse. Complexée par ce côté d’elle, nous la verrons donc se revêtir d’habits amples et lousses.

→ Les addictions:
Il n’y pas que les hommes qui peuvent absorber le liquide du péché.  Malgré le fait que ses petites dépendances soient mauvaises pour la santé. Il est hors de question de participer à quelconque groupe des AA (elle n’est pas si alcoolique, je vous rassure) ou un concours pour arrêter la cigarette.  Tous les vendredis, samedi une bière (ou plus) est la bienvenue. Cependant, sont foie peu bien approuvé ce liquide gouteux et fort.  Si son corps approuve cette boisson alcoolisée, le fumé d’une cigarette ou son petit joint ne devrait pas être racheté par celui-ci. Une dépendance qu’elle ne pourrait perd. Fumeuse compulsive (cigarette). Ce petit bout de papier cylindrique diabolique est son repas ou un dessert bien accueilli. Si ce n’était que la santé … Portant un jugement sur les accessoires de mode, elle ne se gênera pas à mettre quelques billets pour un sac à main, des lunettes ou bien des bijoux. Il faut comprendre que la femme devant vous et justement une fille.

→ La marque:
Aimant la simplicité et l’exotique des iles tropicales, on retrouvera un tatouage ayant la longueur de la majorité de son pied. Aussi crédible que soit sa raison de cette empreinte permanente, un lézard tirant la langue pourra vous taquiner.

★Quel est le caractère de ton personnage?
Les sentiments sont la perception d’une vibration envoyée par le cerveau. Elles se dirigent comme un filament électrique. Dansant sur chaque ligne de notre bout de muscle. En ressentant ses nombreuses électrocutions continues, le corps humain vient à développer des sensations qui se transforment en des émotions pouvant être décrites comme un caractère bien à l’âme.  Un caractère qui définit la personne dont la conversation est échangée. Dans bien des définitions, Sanja correspond à sa propre personne.  D’une nature qui peut être comparée par le trait de caractère lunatique aux troubles de bipolarité. Son impulsivité due à ce petit problème mental ne lui vient que tard dans la vie. Ressentant la nécessite de jouer un rôle qui ne lui correspond aucunement, elle développe une nuance négative qui sera du a une relation amoureuse du passé. Ressentant en elle un besoin de s’exprimer, mais de s’endurcir. Saber créera une carapace protectrice qui aura bien attendu des failles évidentes.  Toutefois, sa gaité de la vie et son besoin naturel d’étudier ce qui l’entoure lui fera prendre un aspect convoité : la curiosité. Recherchant constamment l’originalité, le savoir, l’aventure et la sagesse son cheminement apportera à sa vie des caractéristiques variées. Expressive bien attendue, mais ouverte d’esprit on prendra en note que sa mentalité est celle d’une femme mure, mais ce qui se cache derrière l’aspect angélique de la jeune Norvégienne est bien différente de celle qu’on aperçoit. Sa possessivité, sa nervosité constante et ses paroles directes semblent nuire à son apparence de petite fille du paradis. Bien qu’elle entretienne avec elle-même une imagine fidèle, il ne sera pas rare de la voir entreprendre le rôle d’une dominante impulsive. Ce côté d’elle qui recherche souvent la bagarre quand on recherche son côté noir. Viens à surprendre l’entourage. Ce qui fait fuir ainsi la gent masculine. En amour, elle prendra un rôle différent de sa petite sourdine ‘’je suis la maitresse’’.  Devant soumis dans les relations intimes, sa perception de la vie se cachera derrière un voile blanc. Possessive et jalouse soi-disant, on peut tout de même lui porté fidélité. Ne pouvant tromper celui qui emprisonnera son cœur.  Cette idée qui semble toute droite sortie du dictionnaire de l’idiotie est bien réelle.  Malgré les avertissements qu’on lui donnera, amis ou familles, elle poussera vos commentaires sous un tapis (image fictive).  Bien que ce côté d’elle correspond à cinquante pour cent des gens sur Terre. Sanja semble en faire partie. Il ne faut pas cacher que son énergie dynamique apportera un surplus à son travail et ses études. Le fait d’être attiré par la socialisation, elle deviendra attentive à vos commentaires sans vous jugés.  Est-ce cela fait d’elle une bonne personne ? Est-elle classée dans les audacieuses et persévérantes ? NON ! Ce n’est qu’une immigrante rêvant du rêve américain.

Well... It's my story...

Il y a un moment dans notre vie que le doute s’installe. Se faufilant dans les recoins d’âme en trouvant les fissures qui n’ont jamais pu guérir. C’est à ce moment que nous avons le sentiment que la bienveillance n’est pas présente en nous. Sans ce sentiment de sécurité, notre corps devient aussi fragile qu’une plume. Nous voyageons comme elle en nous laissant porter dans la danse du vent en voyant devant nos yeux la souffrance que notre destin nous avait réservée depuis notre premier respire. Un respire qui se terminera un jour par un sommeil éternel. Somme nous capable d’affronté la trilogie de notre vie ? Si seulement, notre vie était celle d’un libre ouvert. Mon enfance aurait emprunté un chemin la brique jaune et non celui de la noirceur.  Les ombres, la noirceur, le silence voilèrent ce que nous devons une fois qu’une partie de notre trésor se fait voler. Si, si seulement, le destin pouvait avoir une chance d’être changé. Cependant, le fameux dicton qui nous est offert n’a pas été transcrit ne jamais se transmettre. Nous pouvons changer un destin, mais la vie elle peut toujours prendre un virage. Si toutefois, nous avons la force en nous pour cette étape. Je souris à cette vertu qui a été confiée par la femme ayant souffert lors de ces quinze heures. Une magnifique brune aux yeux de jade et au sourire de déesse.  Je demande chaque jour pourquoi nous avons dû passer par ce chemin maudit. Si la douleur m’aurait touché que moi afin d’épargné l’ange de ma vie. Au St-Père, protégé cette femme des douleurs supplémentaires. Disgrâce protéger sa vertu et son cœur de l’histoire qui se déroule ici-bas.  Ces femmes qui ont un destin de devenir maman ne devrait jamais au grand jamais connaitre les blessures de perde un soutien continu. Dieu, faites-leur connaitre du moins un amour !




Telle que des simples notes venant d’une touche de piano, ma voix ne se rendait à ses oreilles que dans de très rares moments. Ses grands yeux bleus, son sourire charmeur et sa beauté masculine exprimaient tout d’un prince. Il n’avait rien d’un homme riche, mais ce qui avait trouvé au bout d’une pêche intermittente fut le plus pur diamant. Une femme d’une taille fine aux courbes alléchante. Son visage qui ne porte la trace d’une douleur qu’elle conte.  L’homme de dieu et la fille d’une aux yeux de jade. Ils n’ont rien en commun sauf la douce flemme qui venait de s’allumer. Elle bougeait doucement en laissant la cire fonde graduellement au bout de la connaissance.  Un souffle s’approchant en laissant descendre ne troisième rang.  Un troisième filament qui se fit un chemin entre les deux qui s’arrêtait un moment pour l’attendre. La tige ne cessait de vibre en laissant une chaleur pendant neuf mois. Neuf fois de chaleur venant de ce bout si faible.  Elle disparut un soir d’été en laissant derrière elle une vie.  Une étoile parmi tant d’autres, mais celle-ci avait en elle une petite étincelle que ceux brillants ne pouvaient avoir. Celle de ne porter un nom qui ne peut être offert à aucune autre. Sanja Saber Dagoreau. Sous les regards de personnes, l’étoile fut accueillie dans cette famille comme nouveau-née. Sous des cris et des pleurs abondants, l’enfant posa ses deux petits yeux sur les visages qui l’observaient. L’amour sortit d’eux en se dirigeant dans la gamine. De si petits pieds, de petites mains et deux petits yeux qui allaient dévoiler leurs couleurs dans les prochains moins. La nouvelle famille qui avait succombé aux nouveaux sentiments de fierté parentale ne put refuser ce qui leur était tendu. Le diamant et le pécheur avaient maintenant l’étoile de la vie.  Ce qui était devenu une banalité quotidienne allait se transformer en péripétie. De premiers rhumes, les premières dents, les premiers sourires, les premiers rires, les premiers mots.  

La vie nous réserve des surprises sans que nous ayons le temps de prendre conscience de ce qu’elle nous offre avec les bras grands ouverts. Dans de telles situations, nous n’avons plus qu’un procéder soit de réfléchir aux pour et aux contre.  Ces les actes que nous avons la chance commettre dans le futur qui risque de bonne comme de mauvaises consternations.  La réponse de nos actes est la pire des solutions.

Dans cette histoire qui avait si bien commencé par l’arrivée de la jeune Sanja allait être interrompu par l’interruption de quatre étoiles. Chacune d’être elle avait une brillance différente.  Cependant, lorsque la cinquième arrivait telle une étoile filante, son arrivée allait créer un faussé entre les deux gardiens. Les parents qui avait aimé, partagé allait se voir brisé. Le pécheur allait briser le diamant. Ce caillou qui est incassable se voit brisé en petite pierre retombante.


Dans le creux de son ventre, une masse qui n’avait jamais apparu commençait à  se présenter. Tournant doucement sur elle-même. Un sentiment qui ne devrait être connu des enfants, celle que nous pouvons surnommer l’amertume était après doucement dévorer  la pureté de Sanja. Son petit visage maigrissant ne laissait aucune trace de son sourire séduisant et épanouissant.  Une tristesse qui se transformait graduellement en une émotion aussi noire qu’un bout de charbon. Ses yeux innocents se déposaient sur l’homme qui avait autre fois été le premier amour qu’elle avait ressenti. Son cœur, ce petit bout de muscle qui battaient a deux reprises, lui ordonnait simplement d’oublier celui ayant participé à sa venue sur Terre. Seulement, si l’âge de l’injustice comprend les mineurs cette beauté n’y écharpait malheureusement pas.  Obliger, forcer, contrainte d’avancer vers un avenir inconnu. Il n’y avait beau n’avoir aucune injustice dans ce bas monde. La Norvégienne devra vivre dans cette catégorie. L’homme qui ne porterait plus le nom de père marchait vers le taxi sans jamais se retourner tandis que les larmes des enfants se versaient. Alors, que tous pleuraient, deux petites lèvres s’ouvrirent en lançant d’un cri forcé : j’espère que tu mourras !  D’une fragilité le petit corps de Saber grelottait comme en hiver.  Est-ce un bien fait ?  La nervosité et la douleur l’encombraient.  Un tel gâchis ! Une mauvaise solution qui ne  la laissait dans un néant. Un tel trou noir qui fit découvrir en elle un comportement qui à présent n’avait présenté son nez que dans des rêveries sombres.  Cette aventure allait marquer en elle une nouvelle page. Un début d’adolescence qui ne lui porterait les charmes des séries américaines ni des films.


Un avenir si charmeur se pourrait-il ? Vivre,  pour ceux qui font battre notre cœur est-ce une bonne solution d’entraide ? Se laissé détruire sans jamais recevoir un merci, la vie en veut-elle bien la peine alors ? Des questions qui circulent telles qu’une voiture tournant en rond afin de retrouver son chemin. Depuis, la séparation quoique la disparition de son père, la beauté européenne avaient pris une route qui ne charmait peu le voisinage. Sa grande carrure, ses traits fins et ses grands yeux verts charmaient plus d’un homme. Cependant, son indépendance lui résonnait toujours en tête. Une indépendance qu’elle avait le soir étendue dans son lit en fixant le plafond. Ce n’est qu’entre quelques respirations sinistres que cette demoiselle pouvait vivre sa vie. Ses nuits de repos ne contenaient peut-être que quatre heures, mais elles lui étaient bénéfiques. Dès que le soleil se levait, Sanja montrait son bout de nez dans une cuisine trop petite pour y préparer les six repas de la famille. Elle voyait dans une tristesse accombante sa  mère sortir en se laissant mener par ses propres enfants. Ne mangeant qu’une barre d’énergie, notre Saber quittait ce lieu macabre pour retourner au travail. Un travail qui lui déplaisait. Servir dans les cafés le jour et une fois que la lune montait doucement dans le ciel, les portes de l’alcool lui firent connaitre une autre aventure. Ne pouvant continuer les études sous peine de famine familiale. D’un entêtement immense, elle avait tout laissé. Une histoire de sottise. Au petit matin, on la voyait prendre le même chemin que les matins avant de rentrer chez elle. S’assoyant à sa commode, sa main mis à écrire sur des pages une histoire qui lui trottait en tête.  Voilà ce qui lui sauvait constamment la vie, les histoires et les romans qu’elle appréciait. Une rêverie constante de pouvoir s’échapper la soutenait invisiblement. Elle ne vit que pour les autres en développant une appartenance bien à elle. Un caractère distant, froid, sérieux qui ne correspondra jamais.



Ce n’était rien de romantique, rien d’aussi extraordinaire.  Il s’agit d’un premier amour qui lui avait tout enlevé. Il avait tout pour lui, mais la perle qui avait capturé allait tomber dans un nuage blanc poudreux.

Ne pouvant plus supporter la lourdeur de ses responsabilités. Elle choisit de partir loin. Il n’y avait plus rien qui pouvait la retenir sauf celle qui lui avait humblement tout enseigné. Son cœur qui se brisait en mille morceaux cas pensé à cette idée. Une idée d’abandonner sa mère qui était tout pour elle.  Elle quitta son univers rempli de secrets et mystères pour voyager et découvrir ce qui est caché dans les bras de notre planète.  Chaque économie qui avait été placée disparut pour son voyage d’un an. Un an de bonheur et de séduction exotique. Tout ce qu’une femme seule pouvait rêve. À son retour, on lui prévenait d’une voix lourde : ne reviens plus ici ! Tu ne seras plus la bienvenue, mais appel moi quand tu voudras. On lui refusait refuge, mais le pire on la laissait vagabonder dans les rues.  Sous des larmes et le froid de l’été, un mouvement de collision la fit reculer de quelques pas. Ses deux yeux se déposeraient sur un homme au charme princier. De longs cheveux tombant en boucle, de magnifiques yeux, une mâchoire recouverte d’une barbe naissante. Son cœur explosa en laissant ses larmes descendre. L’homme l’invita à prendre un café et laissait ses oreilles servirent d’appuis pour les malheurs de Sanja.  Ce qui se passa après n’avait aucun sens. Il la raccompagne chez lui, la porte se fermait et de tendre lèvres sures posèrent sur les siennes pour laisser le campe des trois premiers rendez-vous et même de premier prendre la fuite.  L’échange corporel dura toute la nuit avant de s’effondrer un contre l’autre. Un amour, non ! Il avait été présent et le sentiment d’abandons avait pris le dessus.  Ne voulant que fuir le matin, Maddox lui demandait de rester pour la semaine. Une relation absurde fit son apparition. Elle gouta à ce qui était interdit et fut puni. Traité comme une reine, une princesse, mais une employée. Elle lui mangeait dans la main et lui vendaient ce qu’il lui ordonnait.  On lui ne cessait de l’avertir, mais ce qui la rendait aveugle n’allait pas lui rendre la vue aussi facilement. Dans une tristesse, elle découvrit que sa malchance ne fit que continuer.  Elle qui avait été maltraitée par ses camarades de classes, qui savait fait mettre à la porte, qui avait connu le grand amour se brisait de nouveau en voyant les lumières  de la loi. Un choix, une loi, une ordonnance, un dossier. Voilà qui la préparait  la fameuse route de brique jaune.


Ce qui avait été sa vie ne pouvait continuer ainsi. Entre l’arrêt de ses études, ses voyages et sa reprise des cours en journaliste alors que l’amour la consumait. Sa vie avait pris un virage. Se laissant distraire et forcé d’une manière ses études en journaliste et lettres, le cœur dans les mains, elle comprit qui n’avait plus rien pour elle. Retournant dans ses voyages, bossant la nuit. Son soutien n’avait rien de celle d’une demoiselle de son âge. Du haut de ses 24 ans, la dureté de sa vie avait bien capturé les traits de son visage. La carapace qu’elle prit avec plaisir lui rendait service. Travaillant le soir dans deux bars très différents, on lui accordait des commentaires ou regards qu’elle reprit avec plaisir sous la violence ou en jouant la carte de l’idiotie. Rien de magnifique, mais si seulement la lettre qu’aujourd’hui elle avait découverte dans sa boite aux lettres pouvait changer quelques choses.

Elle s’approchait de son comptoir en déposant son postérieur sur celui-ci, dans un mouvement de doigts délicat. Le papier se déchira en vaguant. Sous un bruit de frottement, un bout de papier fit son apparition en focalisant son attention. Dans un mouvement de main nerveuse, la feuille se dépliant en se faisant examiner par deux petits yeux verts. Se baladent de haut en bas, de gauche à droite leur largeur normal prient une forme irrégulière. Dans la surprise la plus totale, sa vue s’embrouillant et de petites larmes se tassèrent un long chemin. Ses petites pommettes trempées prirent une forme changeante et contraire à la tristesse. Une joie, une poussée et des sauts. Criant et riant. On pouvait apercevoir sur ce mystérieux bout de papier : Mademoiselle Dagoreau, nous sommes honorés de vous annoncer que la demande de pré-bourse a été approuvée. Nos sommes donc heureux et fier de vous accueillir dans la prestigieuse université de New York. Pour plus d’information vouliez consultez les pages suivantes…



Un bruit sonore attirait prévenance, une faible lumière rouge indiquant une action de sécurité qu’elle entreprit. Dans un mouvement de baisse fessant, ressentir un atterrissage prévint. Un petit bond lui indiquait que le sol n’avait plus rien de sa petite Norvège, mais celle de la grosse pomme.  Telle une pomme mure, elle ne pouvait déclarer que sa vie changerait a jamais.  Suivant, comme un troupeau de moutons, les passagers vers la sortie. Elle y retrouva mine valise, son regard distinguait facilement ce qui lui appartenait. Deux grandes valises en vieux cuirs. La honte la consumait. Que dire en voyant tourner en rond ceux de la luxure.  L’environnement dont son grade de vie avait classé sa personne était loin de la gloire et la richesse. Si au moins elle pouvait un jour devenir  critique artistique ou bien devenir chercheuse en art historique. Sa vie pourrait changer.

Arriver dans sa providence, au creux de son bas ventre une création naturelle s’attraperait.  Dans des battements d’ailes, une forme imaginaire de nervosité, des milliers de papillons  vaguaient avec nostalgie. Une crainte, un affrontement de nouveauté, un mélange d’émotion qui l’occupe. Serrant fermement la poigner de ce qui lui restait de sa vie passer. Dans un pas de lenteur, Sanja quitta cet immense aéroport en regardant derrière ces portes automatiques.  

Des secondes, des minutes, des heures, des journées, des semaines et une longue année avaient écoulé. Une vie étudiante capturait sa vie quotidienne. Entre ses livres et ses travaux à remette, sa vie de petite nouveau-née new-yorkaise avait pris un chemin différent de ceux qu’on apercevait dans la série téléviser.  Ne consacrant que peu de temps à une vie entièrement donnée à l’université. Elle se présentait donc rarement le bout du nez hors des murs. Dans les moments de libertés, son bénévolat pour le musée de l’art prenait son temps. Ce qui devient injurieux.

Une année savait écouler. Repérant les heures commises  l’année dernière, elle ne pouvait se permettre de vire sans un revenu fixe. Les économies qu’elle avait économisées peu à peu savaient laisser partir au vent. Trouvant au bout d’une recherche remplie d’espoir, sur un bout de journal une offre alléchante ne lui glissait pas sur le nez. Dégotant un poste chez bloomingdale’s comme assistante-gérante, l’argent s’empilait sous son nez.  Les bouts de papier à grandes valeurs, lui permettait enfin de voir une certaine clarté au bout de la ligne.   Pouvant enfin sortir, Saber toucha doucement la vie dont elle rêve. Cependant,  la difficulté et les couts de cette ville ne cessent de la ramener à la réalité. S’obligeant à réduire ses dépenses, ses yeux aperçois la véritable difficulté de survive dans ce bas monde de New York.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Mana et 23 belles années =D
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Top site obsession.
★Ce personnage est-il un double compte ? → x
★Présence sur le forum → 3-4 jours
★Personnage inventé ou scénario ? → Tout chaud tout frais!
★Crédit images → Shiya

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astrid
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& bon courage pour ta fiche

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Edit:

J’ai terminé ma fiche. Si vous trouvez des corrections qui doivent être appliquées, je corrigerais.
Un simple avis de mon côté : je suis incertaine pour la section ‘’quelles sont les tes caractéristiques’’. Je le trouve assez vaste. Alors, ne soyez pas gêné de me dire de rajouter un surplus merci d’avance.

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   Émilia ! J'aime tellement ton choix d'avatar !   

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après lecture de ta fiche, je te demanderai dans un premier temps de bien vouloir modifier ton pseudo, il doit y avoir un espace entre le point derrière l'initiale et le nom de famille tu peux rectifier cela toi-même dans ton profil
ensuite, je te demanderai de repasser ta fiche entière (caractéristiques, caractère et histoire comprises) sous Word ou BonPatron, car il reste pas mal de fautes à corriger
lorsque ce sera fait, merci de bien vouloir reposter dans le sujet des fiches terminées

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Bon choix d'avatar, cette fille est vraiment trop cute.   

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