Sujet: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 16:27
FEAT. HENRY CAVILL
Piers Henry RICHARDS
33 ans → Né à Los Angeles le 19/05/1981 → Médecin généraliste marié, en instance de divorce → homosexuel, non assumé → membre des Workaholics.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Piers n'est pas vraiment quelqu'un qui aime se démarquer des autres, bien au contraire. Il a toujours voulu rentrer dans le moule et cela passait par une manière de s'habiller plutôt banal. Adepte de la chemise et du jean, il aime se détendre en short et en tee-shirt le week-end. Plutôt musclé, il n'aime pas particulièrement exposé ces derniers aux yeux de tous. Il n'a aucun piercing mais a un tatouage au niveau de ses côtés, représentant un dragon. Il l'a fait suite à un pari avec des amis lors de ses années au lycée, résultant sur un des sermons les plus virulents de la part de son père. A noter, que Piers a été pendant un temps végétarien après avoir regardé une émission à la télévision sur le massacre des poulets mais a finalement retrouvé une alimentation normale. Il est allergique au soja, aux graminées et aux cacahuètes. Il a une peur bleue des serpents et il n'est pas très à l'aise lors des vols en avions
★Quel est le caractère de ton personnage? → Piers n'a jamais été quelqu'un de difficile à vivre, tout du moins jamais personne n'est venu se plaindre. Ayant reçu une éducation stricte mais juste, il a l'image du parfait gentleman auprès des femmes et du gendre parfait pour les parents de ces dernières. Malheureusement, derrière le sourire qu'il porte en permanence, se cache un homme en plein conflit intérieur. Piers est du genre à se poser des questions, beaucoup de questions, trop de question... Il déteste ne pas comprendre les choses ou les gens et il peut passer du temps à bloquer sur un geste, une parole... Têtu, personne ne semble capable de lui faire changer d'idées. Plutôt indépendant, il déteste avoir quelqu'un sur son dos, à lui dire ce qu'il doit faire. Malgré tout, il reste un compagnon plutôt agréable et un ami dévoué. Piers n'hésitera pas à se lever en pleine nuit pour venir en aide à quelqu'un auquel il tient. Par contre, il en attend de même de la part de ces personnes si c'est lui qui se retrouve dans la panade. Exigeant, il l'est autant avec lui même qu'avec les autres. Pour lui, si on fait quelque chose, on le fait à fond ou on ne le fait pas. Curieux, il l'est autant par rapport à la vie de ses proches que dans la vie de tous les jours. Richards est avide de connaissance, et aime passer de longues soirées d'hiver au coin d'un feu avec un livre à la main. Beaucoup le considère comme courageux mais il peut se montrer particulièrement lâche dans certains situations - Comme celles concernant son mariage - Il n'en reste pas moins un garçon plutôt agréable malgré son boulot. Mais son récent divorce et le fait d'accepter son homosexualité risque d'avoir un impact sur le jeune homme. Positif ou négatif ? L'avenir nous le dira mais une chose est sûre, Piers Richards s'en relèvera !
Well... It's my story...
Avoir un enfant est le plus beau cadeau de la vie ! Voilà ce que 90% des gens sur cette planète pense au moment de la naissance de leur premier enfant. Le destin aura décidé que Piers naîtra dans une famille faisant partie des 10% restant. Ce n'était un secret pour personne que les Richards ne voulaient pas avoir d'enfants. Voisins, familles, amis... Tous étaient au courant de cette prise de position plutôt drastique ce qui décupla l'effet de surprise lorsqu'ils apprirent qu'Helen et Henry Richards allaient devenir les parents d'un petit garçon. Les symptômes avaient été là dés le début mais aucun des deux n'avait voulu croire que l'impossible était arrivé. Et pourtant, en ce matin d'avril, Helen accoucha d'un beau petit garçon. Beaucoup avait pensé que le petit garçon serait un enfant de plus maltraité par ses parents, en manque d'amour. Un de ses enfants que l'on retrouverait plus tard, à l'adolescence, en train de voler l'épicerie du coin ou en train de voler une voiture. Mais, chez les Richards, rien ne se passait comme prévu. L'arrivée de Piers bouleversa la famille, tant au niveau de leur vie quotidienne que dans la perception de leur vie. Deux ans après son arrivée, des jumeaux vinrent rejoindre la fratrie et deux ans plus tard une petite fille. Âgée de plus de quarante ans, Helen mit au monde un dernier enfant, un petit garçon cinq ans après la naissance de Piers. Dire que la vie des Richards était devenue un parcours du combattant quotidien serait un euphémisme ! Helen, responsable commerciale dans une entreprise de cosmétique, avait arrêté de travailler pour se consacrer à l'éducation de ses enfants. Le père, architecte, travaillait d’arrache-pied pour nourrir toute sa famille, effectuant des heures supplémentaires à gogo pour subvenir à tout leur besoin. Piers a donc eu une enfance que beaucoup qualifierait d'heureuse. Le petite garçon n'a jamais manqué de rien et surtout pas d'amour. Étant l'aîné, sa mère lui a rapidement laissé le champ libre dés que son âge le lui en a permis. Piers était un petit garçon turbulent mais affectueux au possible. Cette qualité lui a, d'ailleurs, permis d'échapper à un grand nombre de punitions. Au contraire de beaucoup d'enfants, le petit garçon n'a jamais montré le moindre signe de jalousie lors de l'arrivée de ses frères et sœurs. Il semblait même plutôt heureux de voir arriver des partenaires de jeux. Bien que cette vie là, il ne la voulait pas, sa mère n'a eu de cesse de répéter depuis qu'elle n'aurait changé ses enfants contre rien au monde.
Le passage à la vie d'adulte est un des moments les plus délicats de la vie d'un homme. Le moment où on décide de voler de ses propres ailes, de se détacher définitivement de la protection que peut offrir le foyer familiale. Piers reconnaît sans honte qu'il avait été plutôt soulagé le jour où il a passé la porte de la maison qu'il avait habité pendant dix huit ans. Ses cadets étaient en pleines crises d'adolescence et la vie chez les Richards était parfois à la limite du vivable. Si couper le cordon ombilical ne posait pas de problème, trouver sa voie sur cette Terre était autre chose. Bon élève, il ne s'était jamais attardé sur les possibilités d'avenir qui s'offraient à lui. Insouciant, il s'était contenté de vivre sa vie d'adolescent normal. C'est donc dans la panique que lorsqu'il se retrouva à quelques semaines d'être diplômé le jeune homme commença à postuler dans différentes universités. Le fait de s'y prendre en retard lui referma de nombreuses portes malgré un dossier impeccable. Il fallût l'intervention de son père, ancien étudiant de l'Université de Berkeley et ami proche du doyen pour que le jeune homme trouve une place dans cette prestigieuse Université. Une question restait en suspend : Qu'allait-il étudier ? Après mûre réflexion, Piers choisit la médecine sous le regard méfiant de ses parents. Ce choix sortait de nulle part et aujourd'hui encore, le médecin avouait que c'est le destin qui avait décidé pour lui. Les premières années furent difficiles, entre l'intégration dans la confrérie Alpha-Thêta et l'acclimatation à un nouveau rythme de vie. Il réussit néanmoins à passer la première année puis la deuxième. Ses parents, qui s'étaient attendus à un changement de cursus, étaient circonspects de voir que leur aîné semblait avoir trouvé sa voie. Les années défilaient au rythme des cours, des révisions, des soirées arrosées, des réveils au côté d'inconnues... Jusqu'à ce que le brun ne commence à entamer les stages et que sa vie, plutôt banale, jusque là prenne une tournure un peu plus dramatique.
« Et si on se mariait ? » Le restaurant était noir de monde, à croire que tous les gens du quartier avaient décidé de prendre leur pause déjeuner en même temps. Piers était assis dans un coin de la salle, occupé à venir à bout de ses spaghettis tout en discutant d'un de ses patients avec une de ses collègues, et accessoirement petite amie quand la bombe fût lâchée. Voilà presque six ans qu'ils se connaissent, trois ans et demi qu'ils sont ensemble et bientôt deux ans qu'ils vivent tous les deux dans le même appartement mais l'idée du mariage ne lui avait jamais traversé l'esprit. Bien que les bruits des verres et des couverts se percutant étaient forts, Piers avait l'impression d'être devenu sourd, n'entendant que cette question sortie de nulle part raisonner dans son cerveau encore fatigué par la garde qu'il avait effectué la nuit même. Relevant la tête de son plat de spaghettis, il croisa le regard de la jolie brune, ce sourire aux lèvres, ses yeux remplis d'espoirs. Inconsciemment Piers se mord la lèvre inférieure, signe de nervosité chez lui mais qu'elle n'a jamais semblé remarquer avant. « Se marier ? Je pensais que tu voulais attendre qu’on ouvre notre propre cabinet médiacal pour ça ? » Il espérait que son ton ne trahissait pas son manque d'envie flagrante mais son interlocutrice ne sembla pas s'en apercevoir. « Je sais mais nous deux, c'est du sérieux non ? Je ne me vois pas faire ma vie avec quelqu'un d'autre que toi. Pas toi ? » Piers détestait parler de ça, elle le savait très bien. Il l'avait déjà entendu se plaindre auprès de ses amies du fait que son petit ami n'était pas très loquace quand il s'agissait de parler de sentiments mais il n'y pouvait rien. Il aimait la jeune femme, tout du moins il essayait vraiment de l'aimer. Parce qu'il savait au fond que ce n'était pas le cas mais Piers ne se sentait pas capable d'assumer ce qu'il était vraiment. Il savait qu'elle attendait une réponse mais il ne pût s'empêcher de la faire languir un peu comme si cet apport de spaghettis allait l'aider à trouver le courage de surmonter ce que son cœur lui criait de faire. « Bien sûr, mais ce n'était pas vraiment comme ça que j'aurais cru que tu verrais ta demande... » S'il y a bien quelque chose qu'il aimait chez lui, c'était son sens de la répartie. Il tenait ça de sa mère et il ne pourrait jamais la remercier assez de le lui avoir légué... Sa réponse sembla satisfaire la jeune femme, dont le sourire s'agrandit au point où le jeune Richards avait l'impression que la mâchoire de sa petite amie allait se décrocher. « Je voulais simplement m'assurer qu'on était bien sur la même longueur d'ondes. Mais, je te rassures, je compte avoir ta demande officielle dans les règles de l'art, un jour ou l'autre. » Le téléphone de la jeune femme sonna, signalant la fin de leur pause et de la discussion. Regardant celui-ci, elle sourit légèrement et se leva avant de déposer un baiser sur les lèvres de Piers. « Surprends moi honey ! On se voit ce soir ! » Et sans dire un mot, elle s'éclipsa. Perplexe sur ce qu'il venait de se passer, Piers posa sa fourchette et repoussa son assiette. Son malaise était grand, mais i le fût encore davantage quand il croisa le regard d'un autre client, un de ses patients. Son cœur se mit à s'emballer comme à chaque fois et lorsqu'il vit la peine dans son regard, il détourna les yeux. Qu'était-il sensé faire ?
« Écoutes, on a vraiment plus rien à se dire, ça dure depuis trop longtemps et cette fois-ci, tu ne m'auras pas avec tes belles phrases tout droit sortie d'une comédie romantique à la con » Les bras croisés, l'épaule soutenu par une étagère, Piers regarda son patient se lever de sa chaise. Il savait que ce moment finirait par arriver, il le savait à la seconde où toute cette histoire avait commencé, il y a cinq ans de cela. « Bordel, ça fait cinq ans ! Cinq ans !!!!!!! Cinq ans que j'attends que tu fasses quelque chose, que tu acceptes ce que tu es mais là, j'en peux plus. » Il le laissait déverser sa rage parce qu'il savait qu'il le méritait et qu'il en avait besoin. Le poing du jeune homme s’abattit sur le bureau, provoquant un léger sursaut chez le médecin. « Mais je t'aime... » Il savait que c'était minable comme défense, que c'était vraiment inapproprié et lorsque le brun se retourna pour lui faire fasse, il savait qu'il venait d'appuyer sur le mauvais bouton. « Tu m'aimes ? Tu m'aimes au point de me faire subir tout ça ? Tu n'as aucune idée de ce que j'ai traversé pour toi... Je t'ai vu épouser cette femme, j'étais présent durant cette putain de cérémonie à te voir lui promettre fidélité et amour alors que je savais très bien que tu ne perdais pas une seconde pour venir me rejoindre dans une chambre d’hôtel. J'ai refusé les avances de dizaines de mecs et de femmes parce que j'étais naïf au point de me dire que tu finirais par faire ce que tu me promettais à chaque fois : Quitter ta femme ! Mas je me suis trompé et maintenant, c'est fini » La veste sur les épaules, il passa à côté de Piers qui lui agrippa le bras pour le retenir. « Tu ne peux faire ça, tu ne peux pas nous faire ça... » Se dégageant, son amant le poussa contre l’étagère et Piers ferma les yeux s'attendant à recevoir un coup. « Comment oses-tu me dire ça ? Regardes toi dans une glace avant de parler, je t'en supplie ! Restes dans ta petite vie pleine de mensonges mais quand un jour, tu décideras d'enlever ce bandeau que tu as sur les yeux, je ne serais plus là pour t'accueillir... » Frappant sur le mur d'à côté, il s'écarta de nouveau et Piers rouvrit les yeux. Le regardant s'éloigner, il le regarda alors qu'il s'apprêtait à ouvrir la porte de son cabinet. « Qu'est ce que je dois faire ? » Croisant le regard du brun, il le vit secouer la tête. « Ce n'est plus mon problème mais je crois qu'être honnête envers toi, ce serait déjà un début ! Et l'être avec ta femme aussi... Désolé, je vais être en retard ! J'ai un rendez-vous ce soir ! » Déglutissant, il sentit un poignard lui transpercer le cœur à ces mots. C'était donc pour ça qu'il avait eu le courage de tout arrêter ? Il avait trouvé quelqu'un d'autre ? Baissant les yeux, il sentit une larme couler le long de sa joue. La ressuyant d'un geste, il sortit de la pièce. Prêt à continuer cette mascarade qui durait depuis trop longtemps. La question était : Jusqu'à quand allait-elle durer ? Au vu de la tournure des évènements, pas très longtemps…
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Timmy, vingt quatre ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par Bazzart. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → Trois jours pas semaine. ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé. ★Crédit images → RPGgifs hunter & BADASS HEARD.
Mon exemple de RolePlay:
→
C'était toujours la même rengaine et pourtant, à chaque fois elle lui promettait qu'elle ne pleurerait pas « Je suis désolée, c'est juste que c'est dur de te savoir si loin, tout seul ! Avant y avait Dante... » Il y a encore quelques temps le blond aurait sûrement mal pris le manque de tact de sa mère mais il avait enfin compris que ça ne servait à rien de vivre dans le passé. Il n'oublierait pas Dante pour autant mais il allait continuer à vivre pour lui. Il avait mis beaucoup de temps à se rendre compte de ça, alors que tout le monde n'avait cessé de lui répéter. Prenant sa mère dans les bras, il la sentit sangloter encore alors qu'un sourire se dessinait sur ses lèvres. « Je sais Maman mais bon, tu ne voudrais pas que je perde mon boulot hein ? Et puis, je reviens dés que je peux ! Sûrement pour l'anniversaire des jumeaux... » Les deux intéressés lui tapèrent dans le dos alors que TJ les prit tour à tour dans ses bras. La plus jeune des Springfield se laissa porter comme un poids plume en lâchant un rire sonore. « Fais attention à toi, sœurette ! Et te laisses pas faire par ton Dylan... Les garçons, je compte sur vous ! » Une nouvelle fois, les deux intéressés se mirent au garde à vous alors que leur cadette semblait s'exaspérer par l'attitude protectrice de ses aînés. Son père était le dernier, comme toujours. C'était le moins démonstratif de tous mais TJ savait à quel point il détestait voir le plus grand de ses fils à l'autre bout de la planète. Le prenant dans ses bras, TJ eût l'impression de retourner en arrière, lorsqu'il était enfant. Un moment de nostalgie qui s'arrêta quand il se dégagea non sans que son père lui murmure de faire attention. Hochant la tête, le vol pour Los Angeles était prêt à partir et TJ donna un signe de tête à sa famille, essayant d'immortaliser leurs visages. Il détestait ce moment mais il ne pleurerait pas. Il avait pleuré pour toute une vie, lors de ces trois dernières années et c'était fini. Donnant son billet, il était sûrement un des derniers passagers à embarquer. Et il fit un signe de main à sa famille avant de tourner le dos à ces derniers et à sa terre natale.
Entrant dans l'énorme Boeing qui le ramenait sur le sol américain, une hôtesse lui indiqua sa place. L'avion n'était pas vraiment bondé, l'heure matinale avait surement dissuadé les vacanciers de réserver ce vol. TJ n'avait pas eu le choix, il avait une escale à Los Angeles avant de reprendre un avion pour Cleyn. C'était déjà un miracle que cette petite ville où il avait posé ses valises aient un aéroport. Beaucoup de places étaient libres mais la chance avait voulu qu'il se retrouve avec un voisin déjà installé. Un voisin tout à fait charmant, même très charmant. Lui offrant un sourire poli en s'installant, il attacha rapidement sa ceinture alors que le commandant de bord, annonçait la durée du trajet et l'heure approximative. Plus de 15 heures de vol, presque une journée de perdue. Mais si c'était pour voire sa famille, TJ était prêt à tous les sacrifices. L'avion ne tarda pas à prendre son envol, le temps pour TJ de se crisper un peu. Il détestait ce moment... Une fois que le personnel de bords les autorisa à détacher leur ceinture, il pensa immédiatement à dormir quand son voisin l'interpella. Un peu surpris, il le regarda et remarqua immédiatement qu'il n'y avait pas que le physique qui était séduisant. Il était américain, pas de doute et il avait des yeux à tomber et cette barbe de trois jours lui donnait un air plus viril que jamais. « Bonjour ! Et non, je suis venue pour rendre visite à ma famille... Je ne les avais pas vu depuis longtemps ! » Offrant un léger sourire, il détourna les yeux et chercha des écouteurs dans son sac. Peut-être devrait-il continuer ? Par simple politesse et parce qu'ils allaient passer quinze heures l'un à côté de l'autre et que l'avion n'était pas assez rempli pour trouver d'autres interlocuteurs. « Et vous ? Vous êtes américains, je l'entends à votre accent ! Voyage d'affaire ? » Simple mais il ne voulait pas se montrer trop envahissant, pour le moment...
Dernière édition par Piers H. Richards le Dim 2 Mar - 20:38, édité 4 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 16:27
Bienvenue sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 16:29
Bienvenue parmi nous, super choix d'avatar & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 16:31
Rebienvenue ?
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 17:00
Bienvenue gay + cavill =
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 17:06
Excellent choix. Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 17:39
bon choix bienvenue &courage pour ta fiche!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 17:44
Bienvenue beau brun Bon courage pour la présentation
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 17:48
Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 21:55
bah oui c'est celui qu'on que qu'il est Jilly, enquêtrice de choc XD
sinon, j'ai adoré ta fiche Tout est parfait, donc j'ai rien à redire Je te pré-valide donc en attendant qu'un admin t'ajoute à ton groupe. Rebienvenue à la maison
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 23:43
Bienvenue à toiiiii !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Dim 2 Mar - 23:46
Merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Lun 3 Mar - 2:09
c'est un retour il me semble, non ? bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Lun 3 Mar - 12:58
Bienvenue parmi nous.
Ton personnage a l'air franchement intéressant pour ce que j'en ai lu. Pis Henry quoi.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: when things don't go right, go left. (piers) Lun 3 Mar - 13:47
Validé !
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when things don't go right, go left. (piers)
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