Sujet: Esther - coming from the sky Dim 9 Mar - 14:11
FEAT. SIENNA MILLER
Esther O'Hagan
27 ans → Né(e) à Wexford le 11 décembre 1986 → Danseuse professionnelle célibataire → hétérosexuel(le) → membre des artist.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? Esther est irlandaise d'origine, elle y a vécu jusqu'à ses seize ans. Cela explique son accent prononcé. Il y a cinq ans, elle s'est faite tatoué dans la nuque des petits chaussons de danse en noir et blanc. Esther mesure 1m65, ce qui est la moyenne des femmes occidentales. Ses cheveux sont naturellement blonds, bien qu'elle les fasse éclaircir régulièrement chez le coiffeur. Ses yeux sont d'un bleu intense et profond qui vous transpercent. Esther aime s'habiller simplement, trainer en jean et chemise avec des baskets aux pieds. Mais elle n'est jamais contre une belle paire d'escarpin et une petite robe sexy. En tant que danseuse, elle est pleine de grace, de sensualité et de féminisme. Bien qu'elle puisse paraître un peu garçon manqué à l'occasion. Esther a commencé à fumer dès son arrivée aux USA à l'âge de seize et ne s'est jamais arrêtée.
★Quel est le caractère de ton personnage? Esther est une jeune femme incroyablement forte qui en a vu des vertes et des pas mures. Elle a traversé énormement de chose et a toujours su se débrouiller pour s'en sortir. Elle est courageuse, forte, débrouillarde et terriblement optimiste. Elle fait partie de ceux qui pensent qu'à chaque problème il y a une solution. Elle voit toujours le bon côté chez les gens. Elle passe la majeure partie de son temps à sourire, aux inconnus dans la rue, à ses amis, ses ennemies, a à peu près tout le monde sauf à elle même. Car au fond d'elle elle souffre terriblement de son passé et de son histoire. Esther est une véritable bout-en-train, toujours prête à rigoler, à faire des plaisanteries, à tester de nouvelles choses. Elle est une ferrue d'aventure et de nouveautés, elle est franche et déteste par dessus tout les mensonges. C'est un modèle de vertu de ce côté là. Impulsive, Esther est aussi une grande romantique qui rêve de l'amour avec un grand A et d'histoire chevaleresque qui pourrait être romancée. Esther ne se met que rarement en colère, il faut l'avoir cherché pour connaître sa mauvaise humeur. Ou l'avoir réveillée de bonne heure. Elle ne se préoccupe guère de ce que les gens peuvent penser d'elle, du moment que ce qu'ils disent ne lui porte pas préjudice, elle s'en moque royalement. Elle a un travail, une bonne situation, comparée à ce qu'elle a pu connaître, et du moment qu'elle se sent heureuse dans sa peau, alors rien ni personne ne peut la blesser. Pourtant Esther est aussi quelqu'un qui aime charrier et taquiner autrui, elle est caustique et caractérielle. Pas susceptible pour un sou, si un homme veut lui plaire il doit lui rentrer dedans. Esther s'anime de toutes ces passions et s'en sert pour rendre sa danse incroyablement bonne, émotive et vivante. Elle s’extériorise à travers son art, comme beaucoup d'artiste.
Well... It's my story...
L'Irlande
Tout à commencé il y a vingt sept ans. Vingt sept ans. Je me sens vieille rien que de le dire. Bref, c'était donc il y a vingt sept ans dans une petite chambre d'hôpital de Wexford en Irlande. Ma mère a passé seize heures en salle de travail, autant vous dire que ma jolie petite frimousse a été bien attendue et ce, douloureusement. Vous savez ce que veut dire « travail » ? Le mot « travail » vient du latin « tripalium » qui désignait au Moyen-Age un instrument de torture. En ancien français le travail signifiait « souffrance ». Pour celles et ceux qui n'ont pas eu à accoucher, je vous laisse imaginer ce à quoi « salle de travail » fait implicitement référence. Ca donne envie. Par ailleurs, ma mère me l'a assez souvent répété. Je l'entend encore geindre « De tes deux frères et toi, c'est toi la crevette qui m'a le plus déformé le vagin ! Seize heures ! J'espère pour toi que jamais ça ne t'arrivera jamais ! ». Mes parents étaient agriculteurs dans une petite ferme d'Irlande, j'ai grandi avec mes deux frères aînés à tondre les moutons et à planter les pommes de terre. C'est le grand rêve irlandais. Autant vous dire que si jusqu'à mes douze ans j'adorais la vie à la campagne, l'adolescence m'a totalement guérie de cette drôle de plaisance. Mes parents n'étaient pas riches, ils n'étaient pas pauvres non plus mais vivaient un peu au jour le jour et n'avaient pas un sous de côté. Quand j'eus huit ans, ma mère tomba gravement malade, un cancer du sein et ne s'en sorti pas. Suite à cela, mon père sombra dans l'alcool et un an après, il eut un accident de voiture. La ferme servit à couvrir les dettes de mon père et mes frères et moi sommes allés vivre chez un oncle dans le nord de l'Irlande, en Grande Bretagne. Notre oncle vivait également à la campagne, il était pasteur dans un petit village. Et quel pasteur. Du genre à vraiment aimer qu'une gamine de dix ans vienne vivre sous son toît et parfois même dormir dans son lit... Mes frères n'en surent jamais rien. N'allez pas leur répéter, ils s'en voudraient de n'avoir rien vu. A l'âge de seize ans, j'ai mis quelques sous-vêtements, un jean, un pull et une photo de mes parents dans un sac à dos, je suis allée voler l'argent que mon oncle cachait sous son matelas et j'ai pris un billet d'avion pour les Amériques. On aurait dit une voleuse en cavale, et c'est ce que j'étais. Je suis arrivée à l'âge de seize ans à New-York avec pour toute économie quelques livres sterling qui ne représentaient pas plus de trente dollars américains. J'ai cherché à trouver un job, mais à seize ans et sans papiers, dans la ville qui ne dort jamais, c'était comme impossible. Je suis donc montée dans un bus et je suis allée jusqu'à Las Vegas.
Las Vegas
Le trajet m'a coûté quinze dollars, il me restait la même somme pour manger et boire un peu. Je suis arrivée à Las Vegas, Nevada, vers cinq heures du matin et j'ai été subjuguée par cette ville. Il y avait des lumières partout, comme à New-York mais en plus grandiose encore. J'ai marché à travers la ville pendant presque quatre heures avant de m'arrêter dans un café pour boire un chocolat chaud, qui m'a coûté quatre dollars (reste 11$) et me rafraîchir aux toilettes miteuses du café. Je peux dire que j'ai eu de la chance car en me changeant dans les toilettes mixtes du café, j'ai rencontré Franck, un gars très sympa d'une trentaine d'année qui a bien vu que je faisais une fugue. Il ne m'a rien demandé et m'a offert le petit déjeuner, moi qui mourrais de faim. En échange, je devais venir voir avec lui pour un emploi dans un bar. Sur le coup, j'ai trouvé le plan idéal. Le bar en question était un réalité un club de strip tease. J'avais seize ans, j'étais innocente et je trouvais que rien ne pouvait être pire que e que j'avais vécu en Irlande. Pour danser en me déshabillant devant des inconnus et parfois faire quelques « after », j'avais un salaire. 200$ par semaine, plus les pourboires, soit environ 1000$ par mois. Je me suis trouvée un petit studio miteux qui me coûtait 300$ par mois et ainsi, je pouvais commencer mon rêve américain... La situation a duré ainsi pendant cinq ans. Une fois ma majorité américaine obtenue, et quelques économies réalisées, j'ai voulu voir le monde. Mais Franck n'était pas d'accord, et il menaçait de me dénoncer au service de l'immigration si je quittais son club. Mais j'ai pris mes couilles entre mes mains et j'ai quitté Las Vegas sans rien dire un matin de bonne heure après mon service. J'ai pris mes économies, ais fourré le maximum de mes affaires dans mon sac à main et ais laissé mon appartement en plan, pour faire croire au moins le temps de quitter la ville que j'étais juste partie faire des courses.
Los Angeles
Au final je ne suis pas allée très loin. Je suis allée me terrer à Los Angeles et c'est là que ma vie a réellement commencé. J'ai obtenu un emploi de serveuse à mi-temps dans un café, ais trouvé un petit studio qui ressemblait beaucoup à celui de Las Vegas en plus cher. Mais l'avantage c'était que le café où je travaillais était au rez-de-chaussée. Pratique. Le reste de mon temps je le passais à faire des ménages chez des gens plutôt aisés qui ne demandaient rien. C'est ça qui m'a permit de prendre des cours de danse le soir et de rencontrer Rafaello. Rafaello, c'est un espagnol émigré aux Etats-Unis depuis dix ans pour ses études. Il avait vingt huit ans quand je l'ai rencontré, soit sept ans de plus que moi mais j'en suis tombée amoureuse dès l'instant où je l'ai vu. Il avait de grands yeux bleu, la peau mate, des muscles bien dessinés et un sourire à tomber à la renverse. Il était parfait avec sa barde de trois jours, parfait avec ses t-shirt près du corps et son accent latino. Il venait aux cours de danse du soir car, paradoxalement, il ne savait pas bouger. Mais cela ne m'a pas déranger, au contraire, j'ai trouvé ça mignon un espagnol au sang chaud qui était droit comme un piqué. Là où j'ai déchanté, c'est quand il m'a dit que sa fiancé lui avait demandé de prendre ces cours pour leur mariage. J'ai essayé de résister, de l'oublier, mais je le voyais trois fois par semaine pendant une heure, et il m'appréciait, alors nous allions souvent boire un café après les cours de danse et nous restions là, assis sur les marches de l'école de danse avec notre café infâme de la machine automatique du hall de l'école, à discuter pendant plusieurs heures. C'est ainsi que j'ai appris qu'il avait obtenu une bourse à l'age de dix-huit ans pour venir étudier le droit américain, et qu'il travaillait depuis un an dans un prestigieux cabinet d'avocat de la ville où il avait rencontré sa fiancé, la fille de son patron, à l'un des gala organisé par l'établissement. Elle était journaliste et partait souvent aux quatre coins du pays pour ses reportages. Comment, moi petite serveuse et ex strip teaseuse, je pouvais rivaliser avec une grande journaliste... C'est lors de ces discussion le soir sur les marches de l'école que j'ai appris qu'il était aussi photographe amateur et qu'il avait toujours eu envie d'en vivre, mais qu'il n'était pas assez courageux pour tout abandonner, surtout que maintenant il y avait le mariage à payer. C'est l'un de ces soirs également, qu'il m'a avoué que je l'intriguais beaucoup, et qu'il aimerait me prendre en photo car mon regard était perçant et triste à la fois, comme s'il racontait une longue histoire. Je ne lui ai jamais raconté mon histoire, il savait juste que je venais d'Irlande. Ne connaissais rien à l'histoire de mon oncle ou à Las Vegas. Je ne voulais pas qu'il sache. Je préférais être son européenne mystérieuse. C'est ainsi que j'ai commencé à poser pour lui. Au début c'était timide, mais au fur et à mesure que nous passions du temps ensemble, les séances de photographies étaient meilleures. Nous nous retrouvions chez lui quand sa fiancé était en voyage, après les cours de danse et parfois même les midis pour faire des photos. Un jour, il m'a demandé si ça me dérangeait de poser nue. J'ai répondu que non, et la séance a été magique. Moi qui avait l'habitude d'avoir le regard des hommes posés sur moi et mon corps nu, j'étais pudique et gênée que ce sois le siens. Il a essayé de me détendre, de me mettre à l'aise et finalement j'ai été séductrice, artistique, sensuelle. A la fin de la séance, il était presque deux heures du matin et je me suis approchée de lui lentement et tout en plongeant mon regard dans le sien, j'ai passé mes mains sous son t-shirt. Puis, délicatement, je l'ai embrassé. Il s'est laissé faire, a posé son appareil photo et m'a embrassé fougueusement. Nous avons fait l'amour passionnément. C'était magique. C'était la première fois que je faisais l'amour véritablement et c'était à la hauteur de mes espérances. Suite à cela, Rafaello n'est plus jamais revenu en cours de danse le soir, j'ai tenté de l'appeler mais il ne répondait pas. Un jour, j'ai reçu une lettre. Elle était de lui. Il m'expliquait qu'il était fou amoureux de moi, mais qu'il était déjà engagé auprès d'une autre et qu'il ne pouvait pas abandonner ses obligations car sinon il perdrait également son travail et qu'il serait renvoyé en Espagne. Cette lettre m'acheva. Nous avions vécu un an d'amour courtois, intense mais courtois. C'était le plus bel et même le seul amour de ma vie, mais je n'étais pas assez bien pour lui. J'ai attendu une semaine, puis je suis allée le trouver à la sortie de son bureau. Nous nous sommes dévisagé en silence. Il m'a prit délicatement la main et m'a conduit jusqu'à sa voiture. Nous avons roulé en silence jusqu'à son appartement où nous avons refais l'amour. Nous avons passé deux jours au lit à s'aimer comme peu de gens s'aiment au cours d'une vie. Il était prêt à s'enfuir avec moi. Mais je n'étais pas prête à le laisser sacrifier sa vie de rêve pour moi. Un jour ou l'autre, il m'en aurait voulu. Je suis partie en pleurant alors qu'il me suppliait de rester. Et une fois de plus, j'ai déménagé.
New-York
J'avais vingt trois ans quand je suis arrivée à New-York, pour la seconde fois de ma vie. Je l'ai tout de suite senti, qu'il était possible que la chance me sourisse enfin dans cette ville. Je me suis trouvée un emploi de serveuse dans un café, un appartement deux pièces sur Brooklyn, et j'ai passé plusieurs auditions un peu partout pour danser les soirs. J'ai débuté dans un cabaret comme serveuse et doubleuse les soirs. Puis j'ai obtenu un passage tous les soirs. Le début de la gloire. Finalement, j'ai fais un sacré bout de chemin et aujourd'hui il ne se passe pas un instant sans avoir de contrat pour un spectacle. Je n'ai jamais plus rencontré l'amour jusqu'à ce jour. J'ai eu quelques histoires mais rien d'aussi intense qu'avec Rafaello...
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → dolsoung - 20 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Top site. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 4/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé ★Crédit images → bazzart
Mon exemple de RolePlay:
Il arrive un moment dans la vie, où nous ne pouvons juste continuer à avancer sans se risquer à quelques changements. Parfois, il faut choisir. Et nous ne pouvons choisir la facilité sous prétexte que c'est difficile, car même si cela implique des concessions, cela témoigne de notre maturité, de notre capacité à être adulte. Il n'y a pas de bon ou de mauvais choix, tout dépend de votre philosophie et de vos valeurs. Tout ce que je sais, c'est que choisir amène à quelque chose de nouveau, de particulier. Cela faisait à présent 6 mois 8 jours et 14 heures que Susannah était arrivée dans la ville qui ne dort jamais. C'était seulement la seconde fois qu'elle quittait le Laos et la première qu'elle allait vivre sans son père, dans une autre maison que celle où elle avait grandit. Et autant dire que dès son arrivée, New-York l'a éblouie. Il était 19heures et la nuit était déjà tombée, toutes les lumières brillaient plus fort et étaient plus belles que nulle part ailleurs, chaque rue avait son charme et chaque passant semblait plus heureux qu'il n'aurait pu l'être. Assise sur la banquète arrière du taxi la rammenant de l'aéroport jusqu'à son nouveau chez elle, Susannah était emerveillée par Time Square, les maisons, les voitures, ... . Son père l'avait accompagné pour son installation mais il ne restait qu'une petite semaine. Durant tout ce temps, elle l'avait découvert sous un nouvel angle. En costume toute la journée, avec de vieux amis à lui portant de l'eau de Cologne très cher et en trop grande quantité, à se comporter comme si ce monde était le siens. Mais ce, parce-que finalement, ce monde était le siens. Il l'était davantage que sa vie d'entrepreneur au Laos a tondre les chèvres pour passer le temps. Pendant cette courte semaine, elle avait apprit combien cette vie de new-yorkaise pouvait être stressante pour les actifs, mais cela ne l'avait pas découragé pour autant. Adossée au mur de sa cuisine toute de bois blanc, une tasse de thé vert bouillante entre les mains, Susannah repensais à sa vie au Laos, si tranquille et tellement différente de celle qu'elle vivait ici. Elle avait tellement de mal à s'adapter aux autres, à ces nouvelles valeurs et parfois elle se demandait si elle ne ferait pas mieux de retourner vivre là-bas. Heureusement, elle avait fait pas mal de rencontre, plus qu'elle n'aurait pu espérer et certaines lui était vraiment utiles. A l'université, elle n'avait as beaucoup d'ams, mais elle s'en moquait quelque peu, ne passant que les matinées là-bas et travaillant sur quelque chose qui la passionnait. Elle qui avait été coupée de la technologie pendant les vingts premières années de sa vie elle comptait en apprendre quelque chose et devenir réalisatrice si elle le pouvait. Il était 9 heure du matin et elle n'avait pas cours aujourd'hui, c'est pourquoi elle comptait en profiter pour lezarder. Après avoir pris une douche bien chaude, avoir enfilé un jean et une veste, Suzie partait à l'aventure dans les rues allentours chez son vendeur préfèré, le vidéotecaire. Elle lui loua ainsi cinq films d'Audrey Hepburn et deux de Woody Allen. Une fois rentrée chez elle dans son appartement du West New-York, situé face à Central Park, Sue s'installa devant son poste de télévision et regarda Breakfast at Tiffany's, un classique. Lheure et demi passée, il était quasiment midi quand elle reçu un appel sur son téléphone. C'était Tony, Tony Carlson. Elle le considèrait comme un ami, car il l'aidait à s'adapter dans sa nouvelle vie et était toujours gentil avec elle. Il l'appelait pour lui proposer de sortir le soir même, dans "un petit endroit sympa" se situant à Greenwich Village. L'après - midi passa très rapidement, elle regarda un autre film puis décida de faire un effort et mis un léger coup de mascara sur ses cils avant de sortir. Susannah ne ressemblait en rien aux femmes de la ville, elle ne se maquillait quasiment jamais et quand elle le faisait elle ne mettait que le minimum. Ses cheveux étaient longs, noirs et ondulés. Elle n'en prenait pas particulièrement soin et n'était pas adepte du coiffeur préférant ses propres produit 100% naturels importé de son pas d'origine. Il était bientôt huit heure et Susannah attendait Tony, elle en profita donc pour appeler son père qui lui manquait horriblement. Finalement, le plus difficile n'est pas de choisir, mais de ne pas regretter.
Dernière édition par Esther O'Hagan le Mar 11 Mar - 13:06, édité 14 fois
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
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▌INSCRIT LE : 14/01/2012
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▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
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Sujet: Re: Esther - coming from the sky Dim 9 Mar - 14:14
Bienvenue chez nous !
Sienna ayant 32 ans il faudrait monter l'âge de ton personnage à 27 ans pour respecter la règle des 5 ans s'il te plait
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Esther - coming from the sky Dim 9 Mar - 14:15
bienvenue parmi nous bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Esther - coming from the sky Dim 9 Mar - 14:19
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Esther - coming from the sky Dim 9 Mar - 14:38
Waooo ça faisait longtemps que je n'avais pas vu une Sienna Miller ici
Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Esther - coming from the sky Dim 9 Mar - 15:03
Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Esther - coming from the sky Dim 9 Mar - 16:08
Bienvenue sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Esther - coming from the sky Dim 9 Mar - 16:13
Miller. Bienvenue parmi nous.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Esther - coming from the sky Dim 9 Mar - 16:18
Sujet: Re: Esther - coming from the sky Mar 11 Mar - 11:36
Bonjour Il faudrait modifier quelques points à ta fiche pour pouvoir être alidée: nous n'acceptons qu'un maximum de cinq ans d'écart entre l'age du perso et de la célébrité, or Sienna est de 1981 donc Esther devrait être de 1986 maximum. Ensuite il faudrait que tu rajoutes l'àge dans ton profil. Et pour finir, le caractère doit faire 15 lignes (hors le petit cadre du code) donc il faudrait rajouter quatre ou cinq lignes.
Voilà, une fois les modifications faites, tu peix reposter dans les fiches terminées
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Esther - coming from the sky Mar 11 Mar - 13:06
Voilà j'ai rectifié tout ça, j'espère que ça vous conviendra
Sujet: Re: Esther - coming from the sky Mar 11 Mar - 23:14
Validée !
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Sujet: Re: Esther - coming from the sky
Esther - coming from the sky
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