William ⚡ Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux
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Sujet: William ⚡ Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux Jeu 20 Mar - 3:43
FEAT. DANIEL CRAIG
William O’CONNEL
41 ans → Né à Belfast le 01/11/1972 → Agent au MI6 et professeur d’économie-sociologie-management célibataire → pansexuel → membre des Outsiders.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → William est un homme doté d’un charisme impressionnant. Pourtant, il ne représente pas la beauté. Il n’est pas hideux, il n’est pas beau non plus. Il possède un physique particulier qui empêche de le caractériser d’une manière ou d’une autre. Lorsqu’on l’observe, ça passe ou ça casse. Mais ce qui est certain, en revanche, c’est que son charme ne passe pas inaperçu et il le sait. Voilà pourquoi il possède une si grande confiance en lui-même. Blond aux yeux d’un bleu acier non-comparable, William est un homme très propre sur lui-même. Il entretient sa forme physique, par plaisir ainsi que par obligation. De ce fait, malgré ses quarante-et-un ans, son corps est bâti par une masse musculaire imposante, sans être dans l’excès. En revanche, on ne le différenciera pas sur sa taille. Il mesure à peine un mètre soixante-dix huit. De ce fait, s’il possède une taille normale, il est souvent le plus petit d’un groupe sans que ça ne soit choquant. Côté vestimentaire, on le verra habillé sur son trente-et-un les trois quarts du temps. Son métier d’agent l’exige. Son métier de professeur à l’université l’exige. Les costumes sont donc de mises, les chemises, les cravates et les chaussures italiennes le sont aussi. Parfois, on peut le croiser dans une tenue décontractée durant ses jours de repos. Là, on pourra le voir dans un look plus casual, sans tomber dans le « mal fringué ».
★Quel est le caractère de ton personnage? → William est un personnage difficile à cerner. Si nous pouvons utiliser le mot « personnage », c’est parce qu’il est capable de jouer un jeu avec une crédibilité déconcertante. Ainsi, comment savoir ce qui est sincère ou non ? L’irlandais a appris à s’améliorer dans l’art de la manipulation. D’ailleurs, il le fait sans trop de scrupule. A ses yeux, ça représente un jeu. La vie est un immense terrain de jeu. Il ne se préoccupe pas des conséquences, agit de façon sanguine et impulsive. Il fait ce que bon lui semble, quand il veut et où il veut. Des personnes pourront bien chercher à l’arrêter, il s’en fichera. Ce qui est sûr en revanche, c’est qu’il est conscient que la vie est courte et que l’on est maître de sa propre personne. Inutile donc de laisser quelqu’un d’autre vous dicter ses lois. On pourrait trouver cela étrange de la part d’un homme qui a intégré dés sa majorité le service de renseignement extérieur du Royaume-Uni, là où les règles sont strictes et aucun écart n’est accepté. Cependant, même dans cette vision des choses, William n’en fait qu’à sa tête. S’il peut être docile, il aime rappeler que personne n’a la main mise sur lui. Il est tel un animal sauvage que l’on a arraché de son milieu, qui montre quelques espoirs de soumission pour mieux surprendre en attaquant. L’irlandais, au final, n’est que le reflet de son passé. Son caractère s’est forgé au fil des années avec les grands évènements qu’il a pu vivre. Rien à voir donc, avec le William qui avait cinq ans. Aujourd’hui, il est devenu un homme libre, insouciant, qui aime le risque, joueur, sûr de lui, charismatique, rassurant et séducteur. Il sait également faire preuve d’un entêtement certain et d’une arrogance qui le qualifie si bien. Les sarcasmes sont toute sa vie. En somme, cherchez-le, vous le trouverez facilement.
Dernière édition par William O'Connel le Jeu 20 Mar - 12:29, édité 8 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: William ⚡ Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux Jeu 20 Mar - 3:43
Well... It's my story...
Le couple O’Connel vivait dans l’un des quartiers pauvres de Belfast. Si lui travaillait en usine et elle dans un restaurant en tant que serveuse, la vie restait trop chère pour leur maigre salaire. Cela ne les empêchait pourtant pas d’être heureux. Ils donnèrent d’ailleurs naissance à William le 1er novembre 1972. Un blondinet aux yeux bleus et à la joie de vivre marquée. Enfant, le petit irlandais croquait la vie à pleines dents. Il ne se passait pas une journée sans qu’il ne profite au maximum. La pauvreté de sa famille n’atteignit jamais son moral. Après tout, comment regretter quelque chose que l’on n’a jamais eu ? A l’école, William se montra très intéressé et sérieux contrairement à la majorité des enfants de son milieu. Si beaucoup était déjà démoralisé à l’idée que l’ascension sociale restait rare, ils ne voyaient pas l’intérêt de s’embêter avec des devoirs en sachant qu’ils finiraient aussi fauchés que leurs parents. Ce ne fut pas le cas du jeune O’Connel qui prenait réellement plaisir à étudier. Un enfant sage, sérieux et très joueur.
Son petit monde parfait pris soudainement fin lors de ses dix ans. Belfast n’a jamais été une ville sereine, mais plutôt victime de nombreuses tensions. En 1982, tel était le cas. Les émeutes, les attentats et les forces de l’ordre patrouillant dans les rues, restaient monnaie courante. Un jour où il fut à l’école, une bombe fut déposée sur heure de pointe dans le restaurant où travaillait sa mère. Son père avait prévu de venir la chercher ce jour là car enfin, on lui avait accordé son après midi. Seulement, il n’eut pas le temps d’en profiter. L’attentat fit de nombreux morts, dont le couple O’Connel. Quelques heures plus tard, on vint chercher William en classe pour lui apprendre qu’il n’était désormais plus qu’un orphelin de Belfast.
En vue de son âge, le jeune irlandais fut placé dans un orphelinat de la ville. Toute sa vie venait de changer. Son comportement également. William devint un petit garçon renfermé sur lui-même. Il ne prononça pas un seul mot les trois premiers mois, si bien qu’on crût qu’il avait perdu la parole. Il ne chercha pas à s’intégrer aux autres orphelins de l’établissement. A dix ans, le garçonnet avait quitté son monde parfait pour devenir l’un des enfants les plus sombres. Quand il commença à peine à s’ouvrir aux autres jeunes, ce fut pour se battre. Il devint aussi violent qu’incontrôlable. Et lorsqu’il se retrouvait enfermé dans sa chambre, seule une multitude de livres l’aidaient à s’évader. Un beau jour, deux ans plus tard, un sénateur d’Angleterre visita l’orphelinat avec sa femme, ce dernier faisant l’objet de sa campagne. On briefa les gamins pour qu’ils se comportent bien. Ce ne fut pas le cas de William. La première fois qu’il attira l’attention de Monsieur et de Madame Andrews, il venait d’envoyer un coup de poing dans le visage d’un autre garçon qui, pour l’embêter, s’était amusé à détruire le bouquin qu’il lisait tranquillement jusque là. Le couple d’anglais fut intrigué par ce jeune irlandais, si bien que malgré leur prestance, ils cherchèrent à créer un contact avec lui. Un contact au début difficile. William se laissa à peine approché et plus il les repoussait, plus ils semblaient vouloir faire davantage sa connaissance. Et un jour, ils comprirent qu’ils avaient les cartes en main pour changer la vie de ce gosse. Ils débutèrent donc une procédure d’adoption.
A douze ans, William passa de la misère de Belfast à la richesse de Londres. Désormais, il était un Andrews, bien qu’il ait mis un point d’honneur à garder le nom de ses parents. Là, il se retrouva dans une famille composée de trois enfants. Deux fils aînés, et une fille de son âge. Les premières semaines furent difficiles. William ne se sentait pas chez lui, que ce soit au point de vue de cette famille adoptive que de la présence de toute cette richesse. Une femme d’intérieur et un majordome furent à sa disposition. Il ne l’accepta que difficilement. Si le couple Andrews l’accueillit avec plaisir, on exigea bien vite de lui qu’il se plie aux règles de politesse ainsi qu’à la bonne éducation. Il mit près d’un an à seulement accepter certaines choses. Avec le temps, il se rapprocha davantage de sa sœur adoptive, Abby. Une complicité s’était formée assez rapidement et la fillette l’aida beaucoup dans son changement de vie radicale.
A l’adolescence, William devint ce parfait anglais de bonne famille. Rien à voir avec le gamin qu’il avait pu être avant ou après le décès de ses parents. Il était devenu un jeune homme bourré de politesse et de bonnes manières. Il intégra le meilleur lycée de Londres, peuplé d’étudiants de bonnes familles. Cependant, jamais il n’oublia ses racines, ni ce qu’il était. C’est certainement la raison pour laquelle il garda une relation très sérieuse avec l’argent. Il ne dépensait rien de travers malgré les ressources que souhaitaient lui offrir ses parents adoptifs. Il resta très proche des domestiques des Andrews et se trouva très complice avec le père du sénateur. Pourtant, malgré cette vie qui semblait lui sourire, William nourrit au fil des années une véritable rancœur. Il en voulait toujours au monde entier pour ce qui lui était arrivé et se promit qu’un jour, il retrouverait les auteurs de cet attentat de Belfast.
Lorsqu’il eut son diplôme en poche, il fit la connaissance d’une femme qui l’attendait patiemment dans le salon de ses parents adoptifs. Il s’agissait de la directrice du MI6. Si William ne comprit pas pourquoi on venait s’intéresser à lui, tout sembla s’éclaircir au fil de cette longue discussion. On recherchait des personnes à peine sorties de l’adolescence, avec un passé douloureux pour ne plus rien avoir à perdre, afin d’intégrer le service d’informations du Royaume-Uni. De plus, comme l’irlandais était devenu le fils d’un sénateur anglais de grande renommée, il semblait correspondre mieux que quiconque pour devenir agent. On lui promit également qu’en intégrant leur rang, il pourrait venger sa famille en combattant les terroristes et qu’avec un peu de chance, un jour, il mettra la main sur ceux qui ont conduit sa famille à être décimée de la sorte. Il ne fallut pas plus que cet argument pour le convaincre. A peine diplômé, William intégra le MI6 pour une longue formation dans le but de devenir, quelques années plus tard, un jeune agent des services secrets.
Au fil des années, O’Connel devint de loin l’un des agents les plus prometteurs du MI6. Il enchaina les missions avec succès malgré une arrogance et un manque de discipline certain. William avait tendance à faire ce qu’il voulait, quand il le voulait et où il le voulait, détournant les ordres qu’on lui donnait pour agir avec instinct. Et si cela porta souvent ses fruits, il se fit tout de même remonter les bretelles à plusieurs reprises. Durant son temps libre, il continua ses études à domicile dans un cursus d’économie, de management et de sociologie. Cela le conduisit d’ailleurs à posséder quelques diplômes supplémentaires. Il trouvait le temps pour beaucoup de choses. Ses missions le conduisirent dans de nombreux pays et il fit ainsi la connaissance d’un bon nombre de personnes, y comprit d’autres agents des services secrets étrangers. C’est ainsi qu’il fit la connaissance de Kate, une jeune agente des Etats-Unis. Avec elle, une relation amoureuse et tumultueuse s’était établie. Ils furent terriblement amoureux, se déchirèrent pour mieux se retrouver, se déchirèrent à nouveau et se retrouvèrent encore une fois. Kate finit par tomber enceinte de William. Cependant, elle lui cacha sa grossesse car leur relation était trop compliquée. Il apprit qu’il venait d’être papa le jour de la naissance de Roxanne. Ce fut un immense choc pour l’homme. Il en voulu terriblement à Kate de lui avoir caché cet évènement, si bien que s’il accepta de reconnaître l’enfant, il refusa de tisser un lien avec elle. Quelques années passèrent, puis Kate et William se retrouvèrent à nouveau durant une mission. Leur idylle reprit. Ils firent des projets. L’irlandais accepta de rencontrer sa fille. Malheureusement, agent est un métier à risque. Leur durée de vie reste courte et Kate fut la première à partir, laissant William dans un désespoir non feint. Cela le coupa dans l’envie de connaître sa fille et cette dernière partit vivre avec ses grands-parents maternels.
William se plongea dans le travail afin de faire son deuil. Il s’assombrit une fois de plus et continua à n’en faire qu’à sa tête. Seulement, son métier semblait être ce qu’il avait de plus cher au monde, désormais. Il s’y investit totalement et accepta toute les missions. Un jour, on lui donna un dossier concernant un homme de la mafia russe. Tout un réseau blanchissait l’argent pour investir dans des actions tenues par des terroristes. Un de ces réseaux qui, finalement, les finançait volontairement. L’homme qu’il se devait de pourchasser su parfaitement se cacher des services secrets. Cependant, au fil du temps, on apprit que cet homme possédait un fils du nom de Roméo Northman, habitant à New York. Dans l’état actuel des choses, le russe n’aurait pas tardé à retrouver son fils pour l’aider dans ses affaires. William fut donc charger d’endosser une couverture de professeur à l’université de New York et de faire en sorte de devenir un proche de ce fameux Roméo. Ce jeune homme, à l’époque, n’était qu’un vagabond. O’Connel chercha à créer le lien en calculant chacun de ses gestes. Il se laissa voler son portefeuille par le new-yorkais et en le rattrapant, il put établir le premier contact. Dans la mesure où William est un séducteur né, il fit tout pour séduire Roméo. Il le manipula sans scrupule et fit en sorte qu’il tombe amoureux de lui. Le but était simple : quand son père prendra contact avec lui, l’irlandais se verra offrir l’homme sur un plateau.
Cependant, au fil du temps, un facteur s’ajouta à toute l’opération : William tomba amoureux de Roméo. Terriblement amoureux. Là, il se retrouva pris entre deux feux. D’un côté le MI6, là où il devait remplir sa mission ; et Roméo, l’homme qui était devenu son compagnon. D’ailleurs, le blondinet finit par découvrir son véritable métier. Cependant, il ne su jamais rien de la mission à long terme de William. Ce dernier se tenu bien de le lui dire, de peur de le perdre. C’est donc pour cette raison qu’un jour, il tourna le dos au MI6, démissionnant pour ne plus avoir à utiliser Roméo comme une marionnette derrière son dos. Les deux hommes firent des projets ensemble, ils récupérèrent Roxanne et ils s’installèrent même dans une maison de banlieue. Seulement, un jour, Roméo mit la main sur le dossier de William à son sujet. Là, il comprit chacune des attentions de son compagnon. Il ne lui laissa qu’un vague mot sur l’oreiller, puis mit les voiles.
William fut très affecté par ce départ. D’un côté, il comprenait la réaction de Roméo et c’est justement parce qu’il la craignait qu’il ne lui avait jamais rien révélé. D’un autre côté, il le haïssait pour être parti volontairement sans jamais chercher à donner de nouvelles. Lui qui pensait que leur amour était plus fort que toutes ces histoires, il venait de tomber de haut. Il partit bien à la recherche du jeune homme, mais jamais il n’arriva à le trouver. Il n’avait plus aucun moyen de le joindre. Il devait désormais se faire une raison : il ne verra plus jamais l’homme dont il était amoureux. Ce fut une véritable épreuve. Si William avait commencé à s’attendrir en partageant sa vie avec le blondinet, il était désormais redevenu cet ours mal léché. Il vira mal, reprit sa vie de Don Juan avec les femmes et son poste au MI6, tout en conservant son métier d’enseignant à l’université d’Harvard afin d’assurer une stabilité à Roxanne, également très affectée par le départ du jeune russe. Parfois, il imaginait des retrouvailles avec Roméo. Et à chaque fois que ça arrivait dans son sommeil, William lui envoyait un coup de poing en pleine face avant de sentir son cœur se déchirer à nouveau. Aujourd’hui, il détestait Northman. Il le haïssait de l’avoir ainsi détruit.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Répondre ici. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Eikho, 22 ans ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop ! ★Présence sur le forum → Presque tous les jours ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Bazzart
Mon exemple de RolePlay:
- T’as vraiment besoin que tes crêpes ressemblent à un animal ? - Pas n’importe quel animal ! A un chat ! - Ca les rendra meilleures, vraiment ? - Ba oui !
J’arquais un sourcil en tournant la tête vers Roxanne qui, curieuse, observait mon œuvre d’art dans la poêle. Visiblement, les crêpes n’étaient pas à la hauteur de ses espérances. Sérieux ? Pourquoi je me fais chier de la sorte ? Elle va les manger une fois pour toutes ses crêpes, sinon je les luis fais avaler de force. Que l’on me prenne la tête ainsi dés le matin, clairement, ça m’exaspère. Mais j’imagine que je peux bien faire des efforts. Quoi qu’ils ont leurs limites…
- Roméo, il aurait réussi, lui.
Gros silence dans la cuisine. Roxanne relève la tête et semble comprendre qu’elle a dit la parole qu’il ne fallait pas. Je prends une profonde inspiration. Ne t’énerve pas, Will, ne t’énerve pas… Ah ? Trop tard.
- JE NE SUIS PAS ROMEO, METS TOI CA DANS LE CRANE ! IL EST PARTI, D’ACCORD ?! ALORS ARRETE DE LE REMETTRE SUR LE TAPIS ! C’EST PAS POSSIBLE, PUTAIN !
Les joues rougies par l’énervement, Roxanne finit par abandonner l’idée d’obtenir ses crêpes et pars se refugier en vitesse dans sa chambre. Les mains posées à plat sur le plan de travail, je baisse la tête en fermant les yeux, tentant de contrôler ma haine. Ce n’est pas l’image que je dois donner à ma fille. Malheureusement, elle est la première spectatrice de mon malheur. Je relève le visage quelques minutes plus tard et comprends que tout ce qui se trouvait dans la poêle a fini par cramer. Enervé, je l’attrape et la balance violemment dans l’évier en donnant un coup de pied dans le placard juste en dessus. Mes mains glissent dans mes cheveux blonds. Je serre les dents. Je déteste Roméo.
¤¤¤
Une heure plus tard, je suis en ville. Je viens de déposer Roxanne à l’école et comme d’habitude, je lui demande pardon pour m’être emporté, en lui promettant encore une fois que ça n’arrivera plus. Elle comme moi savons que c’est faux, mais nous faisons semblant de croire que tout s’arrangera. Je l’ai embrassé sur la joue puis l’ai observé s’éloigner pour rejoindre ses copains et copines dans la cours de récréation. J’étais ensuite passé à l’université afin de récupérer un dossier. Cependant, là où j’aurais dû avoir cours, je repartais. Les troisièmes années, que je devais avoir toute la matinée, étaient en voyage pour une semaine. J’avais donc ma journée puisqu’en temps normal, j’avais mon après midi de libre à ce moment-là.
Vêtu d’un pantalon de costume noir, d’une cravate de la même couleur contrastant avec une chemise blanche, et un trench coat sombre, je venais de m’acheter un café. Une cigarette à aux lèvres, je lisais un journal. Finalement je relevais les yeux en entendant un homme interpeller un jeune qui venait de le bousculer en l’interpellant « Hey ! Mais faites attention ! ». Mes sourcils se froncent et mes pupilles bleus balayent l’endroit du regard pour découvrir le fautif. Là, je découvre un blondinet en compagnie d’une touriste qui cherche visiblement son chemin. Mon sang se glace. Ce blondinet, c’est Roméo. Ses yeux se plantent dans les miens. Je suis tellement tétanisé et choqué que le gobelet de café me glisse des mains. Heureusement, il s’écrase sur le sol et pas sur moi, m’évitant une brûlure stupide. Le jeune russe a déjà tourné les talons pour s’éloigner en courant. Mon cœur bat la chamade et pris dans l’adrénaline, je m’élance à sa poursuite. S’il court vite, c’est également le cas pour moi. Les passants nous observent avec curiosité et surprise. Je fais en sorte de ne pas perdre Roméo du regard. Là, je le vois grimper sur la façade d’un immeuble. Putain ! On est le matin, arrêtez ça ! Cependant, je m’élance à mon tour et remercie mon travail dans le MI6 pour me permettre d’être capable de monter sur le toit d’un immeuble sans aucune sécurit et ce, sans grande prise de risques.
Une fois en haut de l’immeuble, je sens mon cœur louper en battement. Ce n’est pas tant la montée en quatrième vitesse qui me met dans cet état, mais plutôt d’avoir Roméo à quelques mètres de moi. Je ne sais pas réellement pourquoi je l’ai suivi jusqu’ici. Il est évident qu’il ne veut plus me voir, et il est évident que le simple regard échangé fait naître en moi un sentiment de haine intense, de même ampleur que l’amour que je peux lui porter. Je l’observe là, en face de moi. Mes joues sont rougies par la colère. Pourtant, je reste silencieux. Je dois me contrôler et me calmer dans l’immédiat…
Dernière édition par William O'Connel le Dim 23 Mar - 14:33, édité 3 fois
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Sujet: Re: William ⚡ Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux Jeu 20 Mar - 4:40
Well, re-bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: William ⚡ Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux Jeu 20 Mar - 4:50
oh my re-re-re bienvenue parmi nous alors bon courage pour ta fiche !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: William ⚡ Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux Jeu 20 Mar - 5:01
Sujet: Re: William ⚡ Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux Dim 23 Mar - 21:32
Validé !
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Sujet: Re: William ⚡ Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux
William ⚡ Je fais ce que je veux, quand je veux et où je veux
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