Sujet: David Everdeen "Nous empilerons vos têtes et ferons la fête" Dim 30 Mar - 15:13
FEAT. DAVE FRANCO
David Louis EVERDEEN
23 ans → Né(e) à Sligo le 01/05/1991 → Difficile de trouver du boulot pour un ex tolard célibataire → Bisexuel → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Cet homme à la peau blanche de nature mesure un mètre quatre vingt et pèse soixante dix kilos. Oui, il est très mince, mais après avoir été accroc à la drogue, son organisme se remet peu à peu des mutilations. Il a un corps comme on pourrait dire, très attrayant aux premiers abords. Du genre bad boy, ses nombreuses bagarres sont l'auteurs de ses cicatrises sur le corps ainsi que le visage et ce qui accentue la force de ses bras, de ses jambes... Il est aussi bien bâti que les sportifs de l'université. Pour lui, son physique est important et il veux s'assurer d'être quelqu'un de désirant. Ses yeux, d'un marron profond, s'éclaircissent au soleil pour laisser place à une teinte noisette, presque orangée. Parlons maintenant de sa pilosité, point important chez un homme, mine de rien. David ne peut pas se plaindre d'avoir des poussées subites n'importe où. Pour vous préciser un peu plus, vous ne trouverez aucun poil sur son torse, dans son dos, sur ses épaules... Oui, les abus n'ont jamais prit place chez lui, et ce n'est pas lui qui va s'en plaindre, étant dégoûté par la pilosité parfois excessive chez certains mâles. Au niveau des vêtements, David est généralement assez simple. Il n'a pas de style particulier, il peut mettre un sweat comme il peut mettre un costume. Peu importe ce que l'on pense, il se plaît ainsi. Souvent élégant, David fait pourtant attention à son allure. Il existe certaines fantaisies chez lui, ces dessins que l'on appelle tatouages. A commencer par celui sur ses omoplates, représentant de simples ailes d'aigle. Et enfin, celui sur l'intérieur de son poignet droit, une phrase. La phrase que lui avait dite son ex fiancé avant sa mort. "Ton amour est la seule chose qui me rendras immortelle"
★Quel est le caractère de ton personnage? → David est un être particulièrement difficile à cerner, du moins, depuis quelques années. Laissez moi d'abord vous parler de ce qu'était ce jeune homme avant de sombrer dans les méandres de la drogue, la violence et autres conneries. Tout d'abord, un garçon ouvert, souriant, toujours prêt à aider son prochain. La solidarité avait été son mot d'ordre, si bien qu'il faisait passer le bien être des autres avant le sien, il ne voyait pas l'intérêt d'être égoïste s'il pouvait se nourrir du bonheur de son entourage. Sa famille, et ses plus proches amis étaient comptaient plus que sa propre vie, si bien qu'il avait été compréhensif envers tous. Ouvert d'esprit et indulgent, David ne jugeait jamais quiconque par son apparence ou par des quelconques rumeurs. Il aimait se faire des amis, et sa facilité à communiquer y jouait pour quelque chose. Il lui suffisait d'un sourire, de quelques paroles rassurantes, et voilà qu'une conversation s'engageait, sans aucun souci. Il élargissait son cercle social à mesure du temps, mais cela ne l'empêchait pas de négliger ses amis, bien au contraire : il faisait toujours tout son possible pour garder des liens soudés avec tous, passer du temps en leur compagnie, et surtout, les écouter lorsqu'ils en avaient besoin. David n'aimait pas parler de ses propres problèmes, et se voyait plus utile à conseiller les autres, à les consoler lorsque c'était nécessaire. On l'avait souvent remercié pour ça, mais il était resté modeste, en toutes circonstances. Tant que ses proches étaient heureux, il l'était. C'était un homme gentil, amoureux,doux et tout ça grâce à son fiancé.
Seulement voilà, les temps ont changé, et la personnalité de David aussi. Son fiancé est mort d'un cancer et David se console dans l'alcool et la drogue. David préfère opter pour la violence et l'arrogance. Il n'a plus d'amis, ou tout du moins, ils sont très peu. Il se réfugie dans la solitude et la prétention, il se pense supérieur à beaucoup, et n'hésitera pas à jouer d'une certaine vanité pour le prouver. Son égoïsme le perdra sûrement, à partir de maintenant, il pense à lui, et les autres peuvent aller se faire voir, en toutes circonstances ! Il est de plus en plus violent, paranoïaque, et est persuadé que le monde lui veut du mal, si bien qu'il se met à user de la force physique pour régler ses problèmes. Il est brutal, vulgaire, méchant, froid... tous les défauts lui collent à la peau, mais il se fiche pas mal de la vision qu'il donne au monde extérieur. A partir de maintenant, c'est chacun pour sa gueule, et la sienne passera avant toutes choses sur cette planète. Il se venge de la mort de son fiancé, pensant que c'est sa faute sur les autres. Après sa libération en prison, David se calme et se laisse de nouveau approcher par l'être humain. Il n'est plus paranoïaque. Bon...il reste arrogant et un peu violent mais il fait des efforts inhumain pour être à la hauteur. Hauteur de quoi ? De qui plutôt...
Well... It's my story...
poste d'en dessous
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Catnip 15 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → top obsession. ★Ce personnage est-il un double compte ? → non ★Présence sur le forum → 5/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Invente ★Crédit images → Bazzart
Mon exemple de RolePlay:
→ANCIEN RP :
Juin 2312, Capitole.
Depuis que cette lettre m’était parvenue, il y a maintenant quelques jours, je n’arrivais plus tellement à penser à autre chose. C’était une surprise totale que Noa me contacte ainsi, sachant qu’il était resté discret depuis assez longtemps. Et vous connaissez le dicton, « pas de nouvelles, bonnes nouvelles »… du coup, j’avais commencé à m’inquiéter. Pourquoi voulait-il qu’on se voie ? Pour discuter de quoi ? Le pauvre diable n’était pas des mieux vus par le Capitole et je craignais un peu que ce qu’il avait à me dire tournerait autour de ça.
Mais bon… inutile de se monter des films dans la tête pour rien, pas vrai ? Haha… plus facile à dire qu’à faire… c’était mal me connaître, moi qui pensais tout le temps, du matin au soir, qui observais les comportements de chacun et qui analysais constamment ce qui se passait autour de moi, je ne pouvais décemment pas « mettre de côté » le fait que l’un de mes amis les plus chers allait débarquer chez moi du jour au lendemain. Mélange d’impatience et d’appréhension dans mon cœur. J’avais une envie folle de retrouver ce gamin rebelle de dix-neuf ans à peine pour le prendre un coup dans mes bras et lui frotter un poing sur le sommet de sa tête, mais en même temps, quelque chose me disait que c’était peut-être la dernière fois que je pourrais le faire. Heh, t’es un comique, mon Tywin… n’était-ce pas « peut-être la dernière fois » lors de chaque rencontre ? Dans le monde actuel, il était difficile de savoir qui vivrait un jour de plus et qui tomberait sous la main du jugement, raison pour laquelle nous évitions tous de trop nous attacher les uns aux autres, histoire de limites les dégâts émotionnels en cas de perte d’un être cher.
Néanmoins, à mes yeux, Noa était une exception qui était parvenue à se glisser derrière mes barrières de protection. Hélas. Il était maintenant trop tard pour ne plus le considérer comme l’un de mes proches, alors par conséquent, je n’avais VRAIMENT pas envie qu’il se fasse tuer, lui aussi. Je ne l’aurais sans doute pas supporté. Devoir dire adieu à Lilas et à Siegfried, qui m’avaient tout deux été reportés comme étant morts avait déjà constitué une épreuve suffisamment pénible comme ça, je n’avais pas envie que ça continue. Je ne savais pas quelles étaient les limites de mon mental à encaisser les décès successifs, mais je sentais que j’atteignais le bord du vase et qu’avec un cadavre en plus sur la conscience, j’allais vraiment avoir de la peine à faire semblant de ne pas être affecté par tout ça devant les gens du Capitole. Déjà maintenant, je n’avais aucune idée de comment je parvenais à continuer à rire ou même à fonctionner normalement devant ces types, quand bien même il y avait une dépression bien présente qui alourdissait toute une partie de mon esprit, à la manière d’une tumeur. Mais non. Je ne laissais rien voir. C’était indiscernable, même lorsqu’on croyait me connaître. Rien que pour ça, je crois que je méritais un Oscar pour mes qualités d’acteur.
* * *
J’étais littéralement plongé dans la lecture d’un scénario pour mon prochain tournage lorsque quelqu’un toqua à la porte. Aussitôt, ma tête se redressa et je sentis ma poitrine se gonfler d’excitation. Espérons que ce n’était pas une nana qui voulait m’inviter à « sortir diner ce soir », ou autrement dit, à passer la nuit avec elle.
Je me suis rapidement levé du canapé pour aller ouvrir et miracle te voila: il ne s'agissait de personne d'autre que de mon "frangin". En une fraction de seconde, un immense sourire des plus sincères, s’est affiché sur mon visage. « Oh ho ho… mais toi alors… » J’attrapais Noa par l’épaule, puis le tirais à l’intérieur sans grand ménagement, avant de jeter un coup d’œil dans le couloir pour vérifier qu'il n'avait pas été suivi, puis refermais la porte avant de pivoter sur mes talons pour faire face à mon pote. « Bon retour au Capitole, lover boy ! » Le ton de ma voix comportait un enthousiasme de loin pas nécessaire, mais j’étais toujours comme ça au premier contact. Toujours… tellement discret et inhibé.
Dernière édition par David L. Everdeen le Mar 1 Avr - 19:52, édité 6 fois
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Sujet: Re: David Everdeen "Nous empilerons vos têtes et ferons la fête" Dim 30 Mar - 15:13
THIS IS THE STORY OF MY LIFE
01. La vie est un poison. Je n'ai jamais connu mon père. Cet homme qui aux dires de ma mère était un homme bon et plein de compassion. Étrange d'entendre toutes ses qualités émaner de la bouche de ma tendre mère tout en sachant qu'il est mort d'un accident de voiture en état d'ébriété. Était-ce un alcoolique notoire ? Je ne le saurais sans doute jamais. Tout ce que je sais c'est qui l'a lâchement abandonné ma mère après avoir tiré son coup. Pour moi ce n'était qu'un connard parmi tant d'autres. Mon enfance j'ai su la vivre sans mon paternel. Les autres gosses pouvaient bien se foutre de moi, ma mère était là pour ramasser les pots cassés jusqu'à ce qu'un autre type ce pointe du jour au lendemain aux bras de ma mère. Difficile pour moi d'imaginer un autre homme dans cette demeure misérable où j'ai vécu plus de treize ans seul avec ma mère. J'ai toujours su me débrouiller malgré les emmerdes. Mais le voilà, lui avec son sourire hypocrite, son visage presque difforme et ses mains baladeuses divaguant sur le corps de ma mère. J'ai envie de gerber. J'ai envie de le frapper Malheureusement, je n'ai pas mon mot à dire dans cette histoire. Je ne suis qu'un gosse en plein début de l'adolescence. Mon esprit ne cesse de m'envoyer des signaux d'alertes. Ce type est le mal incarné mais ma mère est bien trop captivé par lui pour réagir. Ma vie c'est de la merde, la sienne aussi mais voilà que tu plonges avec elle dans l'enfer. 02. Ton désespoir contre le sien.
Je ne suis même plus capable de pleurer. A force d'entendre les hurlements de ma mère ainsi que les supplications qu'elle lui murmure aux oreilles face à la brutalité de ses coups. Il la frappe sans ménagement et moi je suis impuissant face à tout ceci. J'ai déjà eu l'audace de me mettre devant pour la protéger mais celle-ci me menace de ne plus le faire. Elle aime cet homme à en crever même plus que son propre fils malgré les coups et la dureté de ses paroles. Je me bouche les oreilles, cherchant la moindre issue à cette vie plus que misérable. Mais il frappe tellement fort que les hurlements de ma mère sont assez perçants pour que les voisins appellent les flics. Deux jours qu'il n'est plus l'a. Deux jours qu'il se trouve en garde à vue. Deux jours ou ma chère mère me supplie de trouver un moyen de le libérer. Deux jours ou le visage de ma mère te donne la gerbe. Deux jours ou je ne penses qu'à tuer ce type. Deux jours ou je rêves du sang de ce monstre sur mes mains. Je ne comprends pas vraiment la loi de ce pays, ni comment les flics peuvent être aussi cons mais le voilà de retour chez moi. Ma mère sort de sa torpeur et l'enlace. Je crois rêver mais j'ai plus l'impression de voir la connerie humaine sous mes yeux. Genre la victime amoureuse de son bourreau. J'ai dix-huit ans. C'est comme un déclic chez moi. J'ai envie qu'il disparaisse. Qu'il crève pour ce qu'il a fait subir durant toutes ces années à ma mère. Alors, dans son sommeil je le poignarde. Je vois son visage horrifié par la surprise et la déchirure de sa peau sous les coups de couteau. Et je ris. Putain je ris tellement, tellement fort.Je trouve cela tellement jouissif de le voir crever sous mes mains et je continue à le poignarder sans me rendre compte des dégâts que je provoque sur mon corps. Ma mère hurle mais je continue. C'est pire que dégueulasse dans la chambre. Une vraie boucherie mais je suis tellement euphorique. Je reviens à moi et je regarde ma mère, effrayé. Je la regarde pour la dernière fois je crois. Je m'enfuis avec la voiture de ce connard, aux sons des alarmes de polices. J'ai pété un plomb mais j'ai tué cet enculer. Ce monstre qui frappais ma mère. Malheureusement, c'est moi le monstre et pas lui. C'est du moins ce que je lis dans les yeux de ma mère. C'est à cause d'elle que je me retrouve en prison trois ans plus tard. Sa trahison me fais mal. Moi qui étais prêt à tout donner pour elle. Mais j'y reviendrais. Je vais vous parler de mes deux ans avant mon arrestation. 03. Tu l'aimes à en mourir.
Je me suis enfuit à New York et je me suis pris un petit appartement. J'ai vécu simplement en commençant des études d'art. Je rencontre Flynn, un jeune artiste de mon âge. Nous devenons très proche puis il m'avoue être amoureux de moi. N'assumant pas être homosexuel, notre relation devient assez compliqué. Un soir que je n'avais pas le moral, Flynn m'embrasse et je tombe amoureux de lui. Nous nous installons ensemble et nous nous fiançons. Il fait de moi un homme libre, heureux et j'arrive même à devenir sociable et agréable avec les autres. Gentil, je suis à l'écoute et ma vie est simple. Il me fait oublier mon meurtre, mais notre idylle s'achève rapidement. Flynn est diagnostiqué et on nous annonce qu'il a un cancer des poumons. Proche de la mort, ma vie se résume à néant. Je tombe doucement dans la drogue et l'alcool pour essayer d'éviter sa mort proche. Alors qu'il souffre, je sors chaque soir et devient peu à peu ce monstre arrogant et sans coeur qui résout ses problèmes par la violence et la drogue. Flynn a besoin de moi, il a besoin que je sois près de lui sur cette épreuve, mais je me contente de l'ignorer et sombrer peu à peu dans une dépression sérieuse. Flynn meurt dans l'année. Je suis à son chevet lors de sa mort et je m'excuse de toutes mes erreurs. "Ton amour est la seule chose qui me rends immortelle" sont ces dernières paroles que je me fais tatoué le jour suivant son enterrement. Flynn est un ange et sa mort me rend pire qu'avant. Lors d'une bagarre des plus violentes, je me retrouve à l'hôpital et on retrouve mon nom. La police m'arrête et le tribunal m'envoie en prison durant trois ans 04. Ta faiblesse. Trois ans d'emprisonnement. Trois ans de souffrance. Je ne suis plus trop sûr de vouloir survivre. Pourtant je me bat chaque jour dans cette foutue cage pour Flynn. Pour lui faire honneur là haut. Je ne veux pas périr. Alors je frappes le premier venu qui ose se confronter à moi. Le problème c'est qu'avec lui c'est totalement différent. Lui ? C'est un gars dans la prison, un jeune homme séduisant qui n'a rien à faire là, du moins à son apparence. J'ai l'impression que son comportement me pousses à le confronter sans cesse. Je détestes les types dans son genre. Ce mec arrogant, trop narcissique pour ouvrir sa grande gueule. Sauf qu'un jour j'ai joué au plus malin et je me suis pris un coup de poing tellement violent que j'ai eus du mal à m'en remettre. J'ai voulu me venger, lui faire bouffer toutes ses dents parfaites, malheureusement il était bien trop fort pour moi. Je ne suis pas vraiment sûr de vouloir donner un nom à cette relation. Elle est bien trop spéciale, universelle pour la définir. J'ai voulu jouer avec le feu, me voilà perdu. Je n'ai jamais cherché à vouloir lui plaire mais à force j'ai pris goût à ce jeu diabolique. Trois ans durant lesquels je n'ai cessé ce jeu de séduction dont je pensais être le plus rusé. Je n'ai jamais réellement douté que c'était lui qui me menais par le bout du nez. Lui, qui me rendais dingue à chaque réplique. Ma peine d'emprisonnement s'est finalement terminée mettant fin à ce jeu puéril jusqu'au jour où je tombé sur lui dans la rue. Je ne suis pas certain de vouloir savoir ce qui avait bien pu se tramer dans mon d'esprit mais étrangement je n'étais plus prêt à jouer le joyeux Pacha, sûr de lui. Après tout, il était le vainqueur dans cette partie. Sauf, que les choses ne s'oublient pas et lui il ne m'a guère oublié. J'ai essaye doucement d'oublié Flynn. C'est peut être lui qui me oublié Flynn. Et c'est peut être pour ça qu'il me plaît autant. 05. La liberté à un prix. La vie est loin d'être belle pour moi surtout à New York. Certains souvenirs refont surface. Mais je survis un peu chaque jour. Ma mère est morte en se suicidant lorsque j'étais en prison. Elle n'est jamais venue me rendre visite. De toute façon, j'étais à ses yeux le fils indigne qui à supprimer l'homme de sa vie. L'homme qui lui défigurait le visage à chaques coups. Je ne saurais jamais non plus si elle est morte de culpabilité pour t'avoir foutue en prison en me dénonçant ou bien par le vide sentimental de cet homme assassiné. Je suis libre maintenant. Libre de hurler sous tous les toits que je suis dérangé. Libre de baiser qui j'ai envie . Libre de vivre ma vie. Libre de tout. J'ai finit mes études d'art et je peins beaucoup. J'exprime ma colère, mon manque, mon amour, ma rage sur mes toiles. Je gagne ma vie comme je peux. J'ai besoin de contenir cette violence qui me bouffe chaque jour sur des toiles. Je rêve encore de Flynn, mais peu à peu son visage se change en celui du jeune homme de la prison...coïncidence...je ne pense pas.
Dernière édition par David L. Everdeen le Mar 1 Avr - 20:03, édité 5 fois
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Sujet: Re: David Everdeen "Nous empilerons vos têtes et ferons la fête" Dim 30 Mar - 15:15
Sujet: Re: David Everdeen "Nous empilerons vos têtes et ferons la fête" Dim 30 Mar - 17:55
le mini Franco Bienvenue
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Sujet: Re: David Everdeen "Nous empilerons vos têtes et ferons la fête" Dim 30 Mar - 17:57
Ooooh merci les filles
SHALIMAR: Si tu me veux je suis à toi mon chou ELSA : OH MY GOD AMANDA JEL'AIMED'AMOURDELOVE
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Sujet: Re: David Everdeen "Nous empilerons vos têtes et ferons la fête" Dim 30 Mar - 18:14
ta fiche est bien écrite, mais il reste pas mal de fautes d'orthographe çà et là, je te demanderai donc de relire tout ce que tu as écrit et de le repasser sous Word, s'il te plaît lorsque ce sera fait, merci de bien vouloir reposter dans le sujet des fiches terminées
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Sujet: Re: David Everdeen "Nous empilerons vos têtes et ferons la fête" Dim 30 Mar - 18:44