FEAT. CARA DELEVINGNE

June RHODES

23 ans → Né(e) à New York - Manhattan le 30/05/1991 → Dirigeante d’une boutique.
célibataire → lesbienne → membre des Beauty Queens.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ June a une passion pour la mode depuis toujours, pourtant elle n'aime pas arborer les derniers vêtements sortis par les plus grands couturiers. Bien au contraire, elle aime s'habiller d'une manière forte décontracté et surtout, par-dessus tout, loin du féminisme. C'est pour cela que lorsqu'on la croise dans la rue, hormis sa prestance et son charisme incroyable, son accoutrement ne démontre pas la quantité de son compte en banque. ◊ Si elle n'aime pas montrer sa supériorité au niveau vestimentaire, ce n'est pas vraiment la même chose concernant son comportement. June a de la puissance et elle le sait. Elle n'hésite pas à être autoritaire, à explorer son côté leadeuse à l'extrême et de l'assumer sans aucune gêne. ◊ Ah, la gêne. Ca, c'est un mot qui n'existe pas pour June. C'est peut-être un défaut à force, mais elle assume quasiment tout, surtout ce qui déplaît aux gens. A part peut-être ses relations sérieuses, qu'elle a fini par bannir de sa vie. ◊ Et oui, June ne trouvait pas son bonheur dans les relations sérieuses, c'est pour ça qu'elle s'accommode à présent des coups d'un soir qu'elle aime collectionner et dont elle aime se vanter. L'amour et elle ne s'entendent pas trop, ils ne se comprennent pas. Mais cela n'a rien de définitif, même si June aime dire qu'elle n'aimera jamais d'un amour sincère et durable. ◊ June est blonde et a toujours été blonde, se colorant uniquement les sourcils en brun qu'elle aime entretenir avec soin. ◊ June ne porte que du parfum d'homme. Elle ne peut pas se considérer comme féminine. Même si elle se maquille et qu'elle aime porter une robe de temps en temps, ce n'est pas sa nature. L'odeur d'un homme la fait sentir elle-même. Et puis, ça plaît toujours aux femmes. ◊ June n'aime ni les tatouages, ni les piercings, en tout cas pas sur elle. Pour elle, le corps et la peau ont une beauté et une pureté inégalable et elle ne peut s'imaginer avec quelque chose d'étranger ancré en elle.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Décalée et charismatique sont sûrement les deux grands traits qui font de June ce qu'elle est. Elle n'a jamais aimé le sérieux, elle trouve ça dégradant et étrangement prétentieux (elle qui ne loupe jamais une occasion de se prendre de haut.) Alors, elle opte pour une façon d'être qui est complètement ironique. Sa personnalité est à prendre aux quatre centième degrés tant elle ne peut rester sérieuse. Parfois même on se demande si elle n'a pas un problème psychologique lorsqu'elle se permet des ironies douteuses lors de ses rendez-vous d'affaire. Mais ce sont dans ces moments-là que son charisme rattrape ce manque de sérieux qui pourraient lui coûter cher. Elle n'a aucun mal à imposer ce dont elle a envie, grâce à ce charisme mêlé avec à son âme de leadeuse qu'elle a toujours eu. Elle doit tenir ça de son père, sans aucun doute. Mais, ceci ne serait-il pas un masque qui cache des souffrances inavouées ? Pas du tout. C'est ce qu'elle est. A part peut-être concernant son conflit sincère avec l'amour. Prononcez-lui ce mot et vous verrez ses poils s'iriser de peur. Pourtant, elle a toujours eu un entourage aimant, peut-être trop. Entourage qui l'a gavé de choses mielleuses qu'elle rejette aujourd'hui. Que les sentiments concerne l'amitié ou l'amour, June les rejettes tous. June n'a jamais eu de meilleurs amis, ni aucune relation extrêmement sérieuses, l'infidélité étant son principal défaut. C'est malgré tout quelqu'un d'attentionné qui ne trahit jamais un secret. Le commérage, elle déteste cela et lorsqu'on se confie à June, on peut être sûre qu'elle sera aussi muette qu'une tombe, même si l'on vient seulement de la rencontrer. Son coeur est plein d'amour et sait le donner à sa manière, elle met juste des limites quand elle sent qu'elle n'a plus le dessus. Foutu caractère de leadeuse. Mais s'il y a bien une chose pour laquelle on peut l'admirer, c'est son honnêteté. Peu importe ses actes, June les assume et les avoue, qu'ils soient positifs ou négatifs, elle ne laisse jamais quelqu'un dans l'ignorance et elle est allergique à l'hypocrisie. Elle a donc un caractère bien trempé où la douceur a rarement sa place. Si vous avez un peu de chance, elle prendra peut-être le temps d'être douce avec vous. Mais n'y comptez pas trop.

Well... It's my story...

Trente mai mille neuf cents quatre-vingt-onze. Linda Rhodes souffrent de courbatures intenses qui dureront plusieurs heures et qu'elle aura beaucoup de mal à gérer, refusant la péridurale. Carl Rhodes, riche homme d'affaire n'est pas auprès de sa femme lorsque celle-ci accouche d'une petite fille. C'est donc seul qu'elle décide de la nommer June, à l'approche du mois de juin qui sera le tout premier de son enfant.

C'est ainsi que les premières minutes de June se déroulèrent dans ce monde étrange, dans une clinique luxueuse de Manhattan où une femme courageuse avait décidé d'encaisser la douleur plutôt que la fuir. Serait-ce geste qui donnera toute la force à June de grandir avec une ambition et une ténacité sans précédent ? Quoi qu'il en soit, l'enfance de June ne fut pas vraiment rose. Entourée de meubles chics, dans une maison gigantesque, l'enfant n'avait que ses peluches et ses jouets pour oublier les querelles quotidiennes de ses parents. Malgré tout, les cinq premières années de June furent embellies par une nourrice qu'elle aimait beaucoup, une femme noire qui lui enseigna les bases de l'éducation, la mère de la jolie blonde étant trop occupée à son travail d'avocate. Mais rapidement, la vie de June prit un tournant inattendu. La vie de couple de ses parents n'existait plus depuis plusieurs mois et chacun vivait sans faire attention à l'autre et ce qui devait arriver, arriva donc. Sans prendre la peine d'annoncer les choses et de divorcer, Carl Rhodes prit ses affaires, laissa un chèque contenant la totalité de son compte en banque sur la table de salon et partit, sans dire un mot, ayant un poste important qui l'attendait à Dubaï. C'est anéanti que l'avocate appris la nouvelle, le soir de Noël, en rentrant du travail. June ne comprit pas ce qu'il se passait. Elle voyait son père très rarement et n'avait aucun lien avec lui. Sa mère, elle, se contentait de lui dire bonne nuit chaque soir. Ceci ne ressemblait en rien à une famille, alors elle ne pouvait pas comprendre la déchirure qui venait de se créer entre ses parents.

Ce jour-là, tout changea pour June. Si vous croyez que c'est le divorce de ses parents qui perturba son âme d'enfant, détrompez-vous, c'était le cadet de ses soucis. Peu lui importait que son père était parti à jamais, peu lui importait que sa mère pleurait chaque jour sa solitude, peu lui importait qu'elle n'avait plus une famille. La seule chose qui perturba son équilibre fût le renvoie de Zoë, sa nourrice, celle qui lui avait appris à parler, à marcher, avec qui elle avait imaginé les histoires les plus folles lorsqu'elle jouait et qu'elle avait aimé comme sa mère, plus que tout. Agée de cinq ans et sans ressources pour affronter le premier obstacle de sa vie, June regarda sa nourrice partir, celle-ci relayée par sa mère biologique, mais incompétente dans le rôle de maman.

Les années passèrent et la jeune fille grandit seule. Sa mère se battait très peu pour elle, se contentant de lui payer tout ce dont elle avait envie, pensant que l'argent était le maître mot d'une bonne éducation et de l'épanouissement d'un enfant. June n'a jamais rien réclamé de plus, ne voulant rien attendre de celle qui avait renvoyé sa mère de coeur. L'enfance se passa sans soucis majeurs et l'adolescence fit son apparition. Au début, ce ne fut pas facile de voir son corps évoluer sans avoir d'explication à cela. Mais le plus difficile fût ses deux premières années au collège où on lui marcha dessus, parce qu'elle n'avait aucune connaissance de la méchanceté et de la supériorité dont chaque être humain était capable. Elle finit par comprendre que pour ne pas se faire marcher dessus, il fallait être plus que ceux qui la martyrisée, il fallait être supérieure... Il fallait dominer. C'est ainsi, qu'avec la tête haute, June se mit à devenir dominatrice et ça, sans beaucoup d'efforts, se rendant compte que c'était un potentiel qui sommeillait en elle. Bientôt, elle eut sa propre petite bande de larbins et elle n'était plus embêtée par qui que ce soit. Elle se dit que c'était ce comportement-là qu'elle devrait avoir toute sa vie, pour pouvoir tout maîtriser.

Vers ses quatorze ans, sa mère l'emmena dans une soirée inaugurant la nouvelle collection d'un grand couturier. June s'en foutait pas mal, mais sa mère emmenait sa fille partout pour être sûre que celle-ci ne sorte jamais avec ses copines. Cette soirée fût pourtant une révélation. Lorsqu'elle s'installa pour admirer le défilé, June n'avait aucune idée de ce qui l'attendait et c'est pourtant les yeux pleins d'étoiles qu'elle ressortie de cette soirée. La beauté de ce qu'elle avait vu dépasser tout ce qu'elle avait pu voir, mais ce qui lui plaisait le plus dans le défilé, c'était l'expérimentation, la liberté. Un couturier était libre de prendre un bout de tissu et d'en faire ce qu'il en voulait, quelque chose de beau, de loufoque. Ce jour-là, la blonde sut qu'elle ne ferait rien d'autre de sa vie, que de créer des vêtements aussi dingues qu'elle pourrait l'imaginer.

A partir de là, les choses bougèrent beaucoup pour June. Elle ne réclamait plus rien à sa mère, elle claquait à peine des doigts que tout lui arrivait comme par magie devant elle, rien qu'en suggérant ce qu'elle désirait. Elle se mit, seule, à expérimenter la couture, le dessin et pondu des choses importables mais intéressantes, qui la formait et lui donnait envie de continuer de créer. Son imagination était en plein foisonnement et pendant plusieurs années elle resta coincée chez elle à s'exercer. Puis, à ses dix-sept ans, elle eut enfin l'autorisation de pouvoir sortir de chez elle, hors des heures de cours. La vérité était que sa mère avait rencontré un nouvel homme et qu'elle ne pouvait pas se permettre de continuer à embarquer June partout. La liberté s'annonça alors pour la jeune fille. C'est à cet âge qu'elle se mit à fréquenter les bars, puis les boîtes de nuits. La fréquence commença par une soirée par semaine, puis trois ou quatre nuits et ensuite toutes les nuits, passant en parallèles ses journées à travailler. Elle dormait très peu et encaisser ce rythme à merveilles. Boire lui donner l'inspiration et à force de travail et de patience elle fut repérée par un couturier qui lui offrait un stage. Démontrant des capacités et un esprit créatif exceptionnel, elle se vit confier son poste comme travail définitif, grâce aussi à quelques sous. L'université ne lui serait donc même pas utile, le diplôme lui serait légué à la fin de son « stage. »

Lors de ses soirées, June fut abordée par plusieurs hommes qu'elle remit à sa place à chaque fois, sans trop savoir pourquoi. Ce n'était pas son intention en venant danser tous les soirs, elle n'avait pas envie de connaître le sexe, ni même l'amour. A 18 ans, June n'avait toujours pas roulé de patins à qui que ce soit et cela ne semblait pas la déranger. C'est lors d'une soirée improviser -comme toujours- dans une boîte de nuit lesbienne que June se sentit étrangement mal à l'aise. Non pas parce que ce milieu lui semblait contre-nature, mais bien parce qu'elle s'y sentait mieux que nulle part ailleurs. Les femmes qui s'embrassaient face à elle l'a laissé bouche-bée, devenant curieuse du plaisir physique pour la toute première fois. N'ayant plus envie d'aller ailleurs jusqu'à trouver des réponses à ses questions, June collectionna les soirs dans cette boîte, restant discrète pour la première fois de sa vie, à observer et s'imaginer des choses avec chaque femme ou couple qu'elle voyait. Le corps d'une femme était un mystère terriblement attirant pour la jolie blonde. Jusqu'au jour où l'une d'entre elle l'aborda et l'emmena chez elle ensuite. Les choses allèrent très vite, comparer à ce que l'on raconte sur la première fois, soit disant « magique ». June était maladroite, mais cela ne l'empêcha pas d'aimer cela et d'y trouver un plaisir monumental, plus fou que dans n'importe quel autre moment de sa vie. Et, sans se poser de question, elle accepta cette attirance qu'elle avait mûrit pendant de longues semaines lors de ses soirées, en silence, dans son coin. Elle se sentait prête à assumer cette différence, qui ferait d'elle ce qu'elle est simplement. C'est à partir de là qu'elle se mit à coucher avec n'importe quelle femme qui voulait bien. Avec le temps, elle acquit une technique de drague sans faille qui faisait tomber toutes les minettes comme des mouches. Même les hétérosexuelles elle arrivait à les faire flancher et ça, pour son plus grand plaisir.

A dix-neuf ans, June avait créé sa première collection et avait réussi à obtenir la promotion de celle-ci grâce à l'homme qui lui avait tout appris, qui l'avait engagé. Roberto. Il lui avait payée un appartement, appris les bases de la mode et les codes de celle-ci. Il était comme un père pour elle. Et grâce à lui, elle était là, dans un studio d'un grand magazine pour démontrer qu'elle avait du talent et de l'ambition, deux ans après son entrée dans le monde du travail. Ce jour-là, elle fut une rencontre qui la marqua au plus profond d'elle-même, au plus profond de ses retranchements. Elle s'appelait Erika, c'était une jeune photographe aussi très talentueuse. June craqua pour elle, directement, comme sur aucune autre femme qu'elle avait pu croiser. Le soir même, elles se retrouvèrent pour passer une nuit incroyable, qui était différente des précédentes. Quelque chose de spécial s'était passé pendant qu'elles couchaient ensemble, Erika n'était pas comme les autres. Elle avait ce goût, cette odeur, cette douceur qui semblait magique tant c'était inespérée. Elles entamèrent alors une relation amoureuse, une grande première pour la belle blonde qui n'y connaissait pas grand-chose. Mais rapidement, malgré son amour pour Erika, les choses lui échappèrent et elle commença à ressentir le manque de la diversité, les autres femmes lui manquant, la fête et le désir s'éteignant à cause de sa relation. Un soir, sans réfléchir, elle sauta sur une femme qui l'avait plus ou moins poussé à bout et elle trompa sa copine. Elle recommença plusieurs fois, finissant par tout avouer à Erika, qui la quitta évidemment. Mais ceci ne brutalisa pas la jeune femme, pas du tout même. Elle était plutôt contente de reprendre sa vie avec son travail et toutes les femmes qu'elles pouvaient croiser. C'était le rythme de vie qui lui correspondait. Erika restait dans sa mémoire, mais comme tout ce qui lui arrivait, elle acceptait. Ou alors, elle éteignait la lumière, rangeant cette expérience dans un coin mort de son cerveau, pensant que ça suffirait à l'effacer de son coeur.

Aujourd'hui, à vingt-trois ans, June a acquis une popularité plutôt étonnante pour une jeune adulte et elle a sa propre boutique, avec son mentor Roberto qui est toujours derrière elle pour l'aider lorsqu'elle en a besoin. Elle rend visite à sa mère, de temps à autre, pour parler de la pluie et du beau temps dans une extrême froideur qui a toujours existé, restant en contact avec elle par simple principe. June continue de collectionner les conquêtes, mais elle a retrouvé Erika, qui l'a pardonné, avec qui elle lie une amitié qui semble se transformer. C'est sa relation la plus proche et la plus extrême aussi, car il n'y a pas de juste milieu entre elles. Soit tout est rose, soit tout est noir. Et cela doit être à cause de cet amour qui les lient et qui n'a jamais voulu se transformer en bête amitié. June a eu tord de croire que le coeur était un organe contrôlable. L'attirance est toujours présente entre elles, mais June tente de l'ignorer, pensant à son travail, ses soirées et ses conquêtes. Cela lui suffit amplement pour vivre une vie riche d'expériences. Et puis, surtout, elle ne se sent pas prête à se donner à quelqu'un, ayant trop peur de la déception.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Asz ; 19 ans.
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Grâce à une charmante amie qui m’a fait part de ce RPG au moment où j’étais en quête d’un nouveau RPG   
★Ce personnage est-il un double compte ? → Pas du tout !
★Présence sur le forum → Un RP par semaine, environ.   
★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario d’Erika.
★Crédit images → Tumblr.

Mon exemple de RolePlay:

j'ai archivé ta première fiche car tu as posté ta présentation en deux exemplaires Bienvenue à nouveau

Bienvenue
Bon courage pour ta fiche

Je suis vraiment désolée pour le gros bug, mais il semblerait que le forum fasse galérer mon pc !  
Merci en tout cas, et encore désolée pour le petit faux pas !  

bienvenue sur nycl

je suis juste tellement contente que NYCL t'ait plu à ce point !
bienvenue officiellement dans ton nouveau chez-toi

Oh merci beaucoup Ju' !   Ca me fait plaisir aussi de débarquer ici, surtout grâce à toi !
Merci, j'espère vite trouver ma place.   

(Ici le QC d'Erika)

D'abord encore merci à toi de tenter June, ça me fait vraiment trop plaisir. & surtout, bienvenue sur le forum :laura:
Cependant avant de te pré-valider, je vais te demander de corriger tes fautes d'orthographe s'il te plait, tu peux passer facilement ta fiche sur Bonpatron par exemple. Quand tu aura fini, tu pourra reposter dans les fiches terminées

tu es vraiment chou
je suis sûre que NYCL va te plaire, ça va devenir ta deuxième maison

Bienvenue parmi nous

bienvenue parmi nous, super choix de scénario
j. est la meilleure

Merci à vous !
En effet Joan, ce scénario m'a tapé dans l'oeil directement !   

Bienvenue chez toi! =D

J'ai sorti Erika rien que pour toi

Tout est bon maintenant, je te pré-valide donc avec plaisir. Un admin viendra t'ajouter à ton groupe d'ici peu, bon jeu sur le forum

Ahah, Margot merci pour cette douce attention ! Et puis oui je compte bien m'amuser !   
YOUPI merci, je vais mettre ça à jour très rapidement !