Sujet: I'm just lucky with my genes #Jer Jeu 3 Avr - 0:36
FEAT. Jamie Dornan
Jeremiah Orwell
29 ans → Né à Londres le 21/09/1984 → Acteur/réalisateur célibataire → hétérosexuel → membre des Artists.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Je suis un bel homme, je le sais. Mais j’ai aussi des petites caractéristiques qui ne passent pas inaperçus. Déjà, je déteste être sans ma petite barbe. Elle me correspond, elle correspond à ma personnalité et j’y tiens. Alors quand pour un rôle je dois la raser, cela m’est un peu difficile mais je le fais car je veux travailler et montrer que je suis capable de tout. Lorsque je suis nerveux, il m’arrive de passer ma main derrière la nuque tout en me mordant la lèvre. Et oui je peux aussi avoir mes faiblesses. Lorsque j’étais plus jeune, je me suis fait tatouer sur l’index droit le mot « respect », une erreur de jeunesse m’avait dit mon père, mais je voyais plus ça comme un acte de rébellion. Finalement je ne sais plus vraiment pourquoi je l’ai fait mais il est là et je n’ai pas envie de le faire retirer. Je déteste ma façon de marcher, mais ça personne ne le sait tant je montre que j’ai de l’assurance mais regardez d’un plus près et vous verrez bien de quoi je parle !
★Quel est le caractère de ton personnage? → Je suis une personne très calculatrice, en somme je n’aime absolument pas perdre mon temps avec des choses futiles. Je n’aime pas les gens faibles, je ne veux être entouré que de personnes du même caractère que moi ou bien même plus fortes que moi. Je ne veux dans mon cercle d’amis que des personnes qui pourront toujours me faire avancer tout en gardant mon identité. Je peux être très agréable à vivre mais je peux aussi être très froid, surtout lorsque je ne connais pas la personne afin de la tester et voir si elle digne de confiance. Je ne le cache pas, je suis quelqu’un de très manipulateur, je veux qu’on aille dans mon sens bien que je peux aussi avoir mes petites failles. Il ne faut pas croire que je ne suis qu’un homme méchante et avide de tous sentiments, car j’ai aussi un cœur et je peux me montrer particulièrement doux avec les personnes auxquelles je tiens. Je peux me montrer aussi très protecteur, surtout envers ma sœur, ma petite sœur que j’aime plus que tout. Bien que j’adore faire la fête, je ne bois que très peu d’alcool même si je ne me prive pas de quelques petits verres de temps en temps. Je suis aussi 100% hétérosexuel et j’aime donc draguer tout ce qui bouge. Je suis un homme à femme, et je ne m’en cache absolument pas. J’aime m’amuser et ne jamais regretter ce que j’ai bien pu faire et avec qui. C’est simple on me verra le plus clair de mon temps en présence de femmes, j’ai beaucoup plus d’amis femmes que d’hommes. J’apprécie beaucoup plus facilement la compagnie d’une femme. Je suis travailleur, professionnel et j’aime que tout soit bien carré. Je ne veux pas perdre mon temps, je veux avancer et toujours travailler un peu plus. Je suis du genre fonceur. Je n’aime pas les futilités. Et si les gens ne m’aiment pas, tant pis, je m’en fiche.
Well... It's my story...
This is the beginning… C’est le 21 Septembre 1984 à Londres que j’ai enfin vu le jour. Mes parents qui avaient hâte que j’arrive, n’avaient pas eu envie de savoir par avance le sexe du bébé. Ils furent donc ravis de voir qu’ils avaient un fils pour premier enfant. Mon père, Martin, est un avocat de renom, quant à ma mère, Miranda, elle fait partie du conseil d’administration d’une grande compagnie qui fait que notre famille est l’une des plus riches de Londres et des alentours. Mon père est tout le temps très demandé, ma mère aussi d’ailleurs et c’est donc avec regret que je ne les vois que très rarement. Je grandis entouré de nourrices, de professeurs particuliers qui veulent déjà tout m’apprendre alors que j’ai 2 ans. Bébé nageur, j’ai appris rapidement à nager en compagnie de ma nourrice, moi qui aurait voulu apprendre à nager avec ma mère, non j’avais le droit à une jeune française comme maman de substitution. Rarement là pour moi, même s’ils me disaient sans cesse vouloir être présents et m’aimer, j’étais seul et m’ennuyais déjà beaucoup. Je voulais avoir une petite sœur, pourquoi pas un petit frère ? Je n’en sais rien, disons qu’une petite sœur c’est mieux car je peux encore mieux jouer mon rôle de protecteur et de grand frère. Mais j’étais seul, encore et encore et mes parents jamais là. Peu à peu je me renfermais sur moi-même, me laissant complètement aller à la froideur d’un enfant qui aimerait simplement pouvoir avoir ses parents à ses côtés. Je voyais les autres enfants, heureux d’avoir leurs deux parents, ou bien un des deux toujours présents… alors que moi… c’était toujours la même chose « désolé mon chéri nous ne pouvons pas venir te voir aujourd’hui au spectacle de l’école… » me disait ma mère à chaque fois. Je détestais tellement ça, que je me suis forgé un caractère, et ce n’est pas facile pour un petite garçon de mon âge. Heureusement, peu après mon cinquième anniversaire, le 01er Décembre, j’eus enfin le droit de faire la connaissance de ma petite sœur. Elle était tellement belle, on aurait dit un vrai petit ange. Un petit bout tout mignon que j’aimais déjà de tout mon cœur. Mes parents avaient décidés de lui donner le prénom de notre grand-mère maternelle… pas certain que ce soit une bonne idée mais le prénom lui allait bien… Amélia. Amélia était son prénom et ce serait aussi celui que je préférerais toute ma vie. Ma petite sœur, mon sang, celle que je m’étais déjà promis de protéger quoiqu’il arrive. Je me sentais tout d’un coup déjà tellement moins seul et j’avais hâte de pouvoir la chouchouter, lui offrir tous les cadeaux possibles et lui donner tout mon amour. Je n’avais peut-être que 5 ans mais je lui donnais le biberon, j’aidais mes nourrices et je faisais tout pour montrer que j’étais content qu’elle soit à la maison. Avec elle, j’étais quelqu’un d’autre. Elle n’avait pas le droit à ma froideur. Elle avait le droit à mon amour, ma chaleur, elle était spéciale. C’était ma petite sœur.
New-York, New-York. Alors que nous nous apprêtions à fêter mon 8e anniversaire, je suis couvert de cadeau mais je ne m’attendais surement pas à avoir dans une enveloppe un billet d’avion sans retour à destination de New-York. Mes parents nous apprîmes alors que nous allions déménager aux USA dans quelques jours et qu’il fallait rapidement faire les bagages. Je ne savais pas si je devais rire ou bien pleurer mais 15 jours plus tard, nous étions dans la grosse pomme. Je n’avais pas beaucoup d’amis, du coup il m’avait été bien plus facile de quitter Londres mais la capitale me manquait déjà beaucoup. Il ne me restait plus que mon accent british et rien d’autre. A New-York, les choses avaient pris de l’ampleur, je n’avais plus de nourrices mais deux filles au-pair. Deux françaises, une pour moi, une pour ma sœur. Comme si je ne pouvais pas m’occuper d’elle. Quoiqu’il en soit, je suis toujours là pour Amélia, elle le sait et elle use toujours de son charme de sœur pour m’avoir à chaque fois mais je ne peux pas lui en vouloir. Notre relation est fusionnelle, elle se confie toujours à moi malgré nos 5 ans d’écart. Et j’adore l’écouter même si parfois écouter des petits soucis de fille alors que j’ai 15 ans, non merci ! Mais c’est ma petite sœur ! Je suis bon en cours, je travaille bien même si j'aime aussi m'amuser. Je suis très populaire, je ne sais pas si c'est mon accent anglais qui fait que je suis populaire, mais je prend plaisir à l'être en tout cas. Et puis, grâce à cela, j'ai pas mal de filles à mes pieds et ça c'est bien. Malgré tout, je ne veux pas m'entourer de personnes qui ne me sont pas utiles, je veux avancer dans la vie, et je peux donc me montrer assez cruel si une personne ne m'intéresse absolument pas. J'ai beaucoup d'ambition, de l'assurance même si parfois, il m'arrive aussi d'avoir mes faiblesses. Les faibles me barrent la route et je veux atteindre à chaque fois la victoire. Je n'ai besoin de personne. J'ai peut-être un tas d'amis, mais j'aime jouer dans des pièces de théâtre, j'aime être quelqu'un d'autre et pouvoir m'exprimer devant un public. J'aime beaucoup aussi jouer de la guitare. En tout les cas, je sais que devenir avocat n'ait pas mon souhait. Très peu pour moi. Mais je ne vous ai pas raconté le plus important…
Ma rencontre avec elles. Grâce à mon père j’ai fait la connaissance de deux petites filles. Elles changèrent complètement ma vie. A croire que je n’ai besoin que de femmes dans ma vie… Ailynn Bburberry, est la fille d’un riche et puissant avocat qui connait très bien mon père depuis des années. Cheyenne Pearson, sa meilleure amie. J’ai eu le coup de foudre dès la première rencontre avec les filles. Le feeling est tout de suite passé, et nous ne pouvions plus nous quitter. Nous étions devenus les trois mousquetaires. Pour le meilleur et pour le pire...
Ailynn. Nous ne sommes pas pareils, nous n’avons rien en commun ou presque et pourtant. Elle m’inspire, elle est plus jeune que moi et pourtant… je la sens tellement proche de moi. Nous n’avions finalement que la richesse de nos parents pour nous rapprocher et pourtant elle avait tant de choses qu’elle pouvait m’apporter dans la vie que je ne pouvais absolument pas me passer d’elle. Une fois entrée, elle ne pouvait plus quitter ma vie. Nous avons cette chose en commun, ce dégout de ce monde superficiel, les gens riches et célèbres autour de nous alors que nous aspirons à bien plus de choses que tout cela. La jolie blonde est un équilibre indéniable pour moi, une bouffée d’oxygène à chaque fois que je la vois rire aux éclats. Et son regard… J’avais toujours eu le rôle du grand frère pour elle, nous étions trois, et nous le resterions. Mais c’était sans compter l’adolescence et toute cette puberté qui pouvait nous être traitre. Les hormones en ébullition surement… Mais mon amitié s’était très vite transformée en sentiments bien plus profond, ce qui rendait les choses tellement compliquées qu’au départ je n’avais rien voulu exprimer de mon côté à la jeune femme. Je ne savais pas si elle ressentait la même chose que moi bien que je me batte intérieurement pour le savoir, je ne pouvais guère lui demander. Je ne voulais pas briser cette amitié que nous avions tous les trois, je les aimais toutes le deux comme un grand frère, du moins c’est ce que je voulais montrer en apparence, car finalement, j’aimais Ailynn d’une toute autre façon. Malgré tout, je n’ai pas pu résister alors que je fêtais mes 20 ans et que la jeune femme en avait 17 ans. L’alcool, l’euphorie de la fête entre amis et la musique à fond, je ne pus me résoudre à ne rien faire. Il fallait que je fasse quelque chose. Un baiser. Un autre baiser plus langoureux, un autre encore bien plus sensuel encore… Tout cela avait rapidement entraîné l’inévitable, puisque nous avons finis par coucher ensembles. Ce moment, je l’avais tellement attendu, mes sentiments s’étaient alors décuplés. Malgré cet acte, nous nous promîmes de ne rien dire à Cheyenne et surtout que cela ne se reproduirait plus jamais. J’avais envie d’hurler et de lui dire que je voulais tellement que tout cela se reproduise, que je l’aimais, que j’avais envie d’elle mais j’avais donné ma parole par respect envers notre amitié et notre trio infernal. Alors que j’étais toujours à l’université, la jeune femme m’annonça qu’elle partait. Je n’en cru pas mes oreilles mais elle voulait visiblement faire le tour de l’Europe. Je la trouvais étrange mais je lui fis promettre de me tenir au courant tout de même et de me dire si elle voulait que je la rejoigne… visiblement, elle n’avait pas eu besoin de moi. Elle revint un an plus tard, changée, mais toujours celle dont j’étais tombé sous le charme.
Cheyenne. Les trois mousquetaires. Elle avait trouvé le meilleur des noms pour notre trio. Je l’adorais, elle était tellement douce, affectueuse, et c’était une vraie amie. Toujours à l’écoute et prête à faire les 400 coups en trio. Ils étaient pareils. Tous les trois se complétaient toujours avec leurs trois caractères, leurs idées, leurs différences. Et Cheyenne ne dérogeait pas à la règle. J’étais toujours là pour elle, j’étais son ami, son frère, son confident, son alter-égo. Je l’aimais, elle m’était essentielle, tout comme Ailynn. Nous n’étions jamais l’un dans l’autre. Personne n’était jamais laissé de côté. J’avais été là pour elle lors de l’attentat du 11 Septembre 2011 à New-York. Cheyenne avait appris que son père avait péri lors ce tragique évènement alors qu’il était présent dans l’une des tours jumelles. Je n’avais même pas attendu son appel, que j’avais filé tout de suite la rejoindre pour la soutenir dans cette terrible épreuve. Je la pris dans mes bras, la réconforta comme je le pouvais. Je la serrais aussi fort que je pouvais afin de lui montrer que j’étais là pour elle et que je le serais toujours. Je ne savais pas si j’avais les bons mots, mais je ne voulais plus qu’elle pleure. Je voulais qu’elle rit de nouveau aux éclats, qu’elle soit pleine de vie et qu’elle soit la jolie ado que j’avais toujours connu. Je l’appréciais réellement beaucoup, j’avais aussi quelques sentiments pour elle, mais j’étais amoureux d’une seule personne… Ailynn. Cheyenne faisait partie de ma vie, et je ne voulais pas qu’elle en sorte non plus. C’était tout aussi un pilier dans ma vie et sans ce pilier je ne pouvais pas avancer correctement. Aujourd’hui, nous sommes toujours aussi inséparables, complémentaires, et elle m’accompagne de temps en temps à des auditions que ce soit moi qui cherche un rôle, ou que ce soit moi qui soit à la recherche d’un talent pour un film. J’ai l’impression que je vois plus qu’une amitié mais ça n’a aucune importance. Il y’avait pourtant des regards, des instants, des petites choses qui me faisaient toujours penser que peut-être nous serions bien plus que des amis… Laquelle des deux choisir ? Cheyenne ? Ailynn ? Aucune ? …
Aujourd’hui J’ai poursuivi ma passion pour le théâtre tout en faisant des études pour ne pas trop décevoir mon père qui n’aimait pas trop que je veuille choisi cette carrière-là. Peu importe, je voulais faire ce que je voulais et heureusement j’avais toujours le soutien d’Amélia, ma belle petite sœur qui était devenue une magnifique jeune femme aujourd’hui. J’allais avoir 30 ans, elle allait en avoir 25. Elle était amoureuse, et vivait même avec son petit-ami. J’avais bien évidemment joué les grands frères et je le ferais toujours. Je serai toujours là pour elle. Quoiqu’il arrive. Je suis devenu un acteur reconnu, mais pas seulement, j’ai aussi voulu faire des études dans le cinéma pour pouvoir devenir producteur. J’ai donc l’immense bonheur de pouvoir faire un double métier et d’être devant mais aussi derrière la caméra. Je ne laisserais tomber pour rien au monde. J’ai de l’argent, je suis heureux et j’ai vraiment tout pour moi. Sans trop me vanter. J’ai deux femmes dans ma vie, Cheyenne et Ailynn, elles seront toujours les deux femmes les plus importantes après mon lien du sang, Amélia. Mon père vient aussi de m’apprendre que je suis l’heureux héritier d’un large empire, je n’ai donc aucun soucis à me faire concernant l’argent. Mais l’argent fait-il réellement le bonheur ?
Coup de théâtre… Alors que mes deux mousquetaires étaient partis toutes les deux, un accident d’avion avait failli me les enlever. Aujourd’hui, Cheyenne a perdu la mémoire, et Ailynn m’a appris que j’étais papa… moi ? Je n’ai pas su comment réagir, comment avait-elle pu me cacher cette vérité si lourde ? J’avais eu besoin de digérer la nouvelle et étais parti un mois loin de New-York, loin de tout pour pouvoir réfléchir. Aujourd’hui, je ne sais pas quoi faire, je ne sais pas où j’en suis mais je tiens toujours autant à Ailynn…
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → E. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Qui ne connaît pas NYCL ★Ce personnage est-il un double compte ? → Noah t. Heisler. ★Présence sur le forum → Tout le temps, dès que j'ai un moment de libre (a). ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario. ★Crédit images → http://fuckyeahbeautifulmanjamiedornan.tumblr.com/
Mon exemple de RolePlay:
→ Loan ne donnait pas sa confiance facilement et pourtant lorsqu’on repartait plus de 5 ans en arrière, la jeune femme n’aurait jamais imaginé l’a donné à Keenan. Elle avait simplement en tête ses études, le droit, pour faire plaisir à son frère et ne jamais l’oublier mais lorsque Keenan s’était mis sur sa route, tout avait changé. La vie de la jeune femme avait finalement basculé et elle s’était retrouvé emprise dans un bonheur sans fin. Elle croyait aller loin avec lui, elle se voyait déjà en dehors du campus, elle avait même des perspectives d’avenir avec lui et elle ne se doutait pas qu’un jour tout puisse s’effondrer sans qu’elle n’y soit préparée. Elle était tombée amoureuse alors même qu’elle n’était pas prête à s’ouvrir à quelqu’un mais Keenan avait réussi à lire en elle tellement facile que son cœur s’était laissé faire sans même lui demander d’efforts. L’amour pouvait faire perdre la tête, et on ne savait jamais quand ça pouvait arriver. Depuis plus de 5 ans, Loan vivait le parfait amour, elle avait entière confiance en son petit-ami et elle se mettait toujours à nue, lui seul la comprenait parfaitement, lui seul pouvait lui rendre le sourire et savoir lorsqu’elle n’allait pas bien. Il avait un don, et elle ne se voyait pas vivre sans lui. Elle avait parfois l’impression que tout allait vite, ou bien qu’elle était stupide de penser de la sorte et de se dire qu’elle se voyait vivre à ses côtés pour le restant de ses jours et pourtant, elle ne pouvait pas penser autrement.
Elle ne l’appelait jamais par son prénom, du moins pas en public, il lui avait dit de ne pas le faire car il n’aimait pas son prénom et pourtant, elle, elle l’adorait. Que n’aimait-elle pas chez lui de toute manière ? Il avait tout pour lui et on pouvait lui dire ce qu’on voulait, pour lui, elle pouvait être complètement aveugle. Elle le prenait pour un étudiant comme elle, un étudiant avec des parents riches, comme les siens mais elle ne lui avait jamais rien demandé. Loan était curieuse mais elle préférait que les gens lui parlent d’eux-mêmes. Elle n’aimait pas tirer les vers du nez et elle acceptait ce qu’on lui disait. Elle n’était pas non plus naïve, elle vivait simplement son petit bout de chemin tranquillement sans se prendre la tête. Elle avait déjà bien assez de choses à penser pour en plus ne pas faire confiance à son petit-ami. N’ayant pas de nouvelles, elle se demandait si son voyage en Irlande se passait comme il le souhaitait, elle essayait tant bien que mal de ne pas se faire du mal en pensant à mal mais c’était parfois difficile de ne pas s’imaginer le pire lorsqu’elle n’avait pas de nouvelles de son petit-ami. Elle avait toujours été sincère avec lui, lui seul la connaissait telle qu’elle était vraiment. Il connaissait ses faiblesses, ses points forts, toutes ses qualités mais aussi tous ses défauts et elle avait même peur que tout ça se retourne contre elle une fois que tout pourrait se terminer. Et pourtant, elle n’imagine pas le pire, elle n’imaginait toujours que le meilleur.
La journée fut un peu plus belle lorsqu’elle eut enfin des nouvelles de Keenan, elle n’avait pas remarqué que le ton de sa voix était étrange tant elle était euphorique à l’idée de pouvoir enfin le retrouver. Elle avait envie de l’embrasser mais surtout de se faufiler dans ses bras afin de se sentir en sécurité et de retrouver l’équilibre qu’elle avait perdu lorsqu’il était parti en Europe. Il ne savait peut-être pas mais la jeune femme se sentait complètement perdue lorsqu’il n’était pas là et elle se sentait tellement seule quand il partait plusieurs jours qu’elle avait l’impression qu’elle vivait dans un rêve. Elle le vit au loin, il semblait complètement perdu, était-ce le décalage horaire ou bien autre chose ? Elle allait très vite le savoir. Mais, en premier lieu, la jeune femme avait envie de sentir la chaleur de son petit ami. Elle déposa un baiser sur ses lèvres, retrouvant alors ce contact perdu pendant plusieurs jours. Elle sentait bien que quelque chose ne tournait pas rond mais elle ne savait pas quoi et la curiosité était en train de l’emporter ainsi que son inquiétude grandissante. Il avait l’air complètement perdu et elle commençait sérieusement à paniquer à son tour. Loan plissa les yeux, elle lui avoua qu’il lui avait manqué, mais ça, il le savait très bien, elle le lui disait à chaque fois qu’il partait. Elle sourit timidement essayant de décrocher quelque chose de son compagnon mais rien n’y faisait… Il ne répondit même pas à ses propos, préférant l’attirer vers lui afin de l’embrasser longuement et passionnément. Loan répondit à ce baiser plaçant alors ses mains dans la nuque de ce dernier. Elle n’avait plus de souffle et elle sentait qu’il allait mettre fin à leur relation. Jamais, il ne l’avait embrassé de la sorte et elle le sentait de plus en plus distant. Les larmes n’allaient pas manquer de lui monter aux yeux s’il continuait à agir comme ça. « Que se passe-t-il ? Tu es étrange et tu me fais peur… » murmura Loan alors que la tristesse l’envahissait de plein fouet alors qu’elle ne savait pas ce qu’il se passait dans la tête du jeune homme. « Non je n’ai rien, je n’étais pas là lorsque la tornade est arrivée. J’étais partie en Californie voir des amis… Je vais bien. Mais toi ? » Elle se fichait d’elle, elle voulait savoir ce qu’il se passait dans la tête de Keenan et elle avait de plus en plus peur. N’étant pas présente lors de la tornade, la jeune femme n’avait pas pensé à lui dire que tout allait bien, se concentrant toujours sur lui. Il passait toujours avant elle. Loan plissa les yeux, elle perdit par la même occasion son sourire, sentant son cœur battre un peu plus fort que d’ordinaire. « Tu … tu es quoi ? Je ne comprends pas Keenan... Pourquoi m’as-tu caché une telle chose ? En 5 ans tu n’avais pas confiance en moi pour me le dire ? Et … enfin ça veut dire que tu vas devoir partir pour l’Irlande c’est ça ? » Elle se sentait défaillir en pensant déjà au pire.
Dernière édition par Jeremiah Orwell* le Dim 6 Avr - 22:32, édité 15 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: I'm just lucky with my genes #Jer Jeu 3 Avr - 0:48
Très vite repris celui-là
Très bon choix, bienvenue Bon courage pour ta fiche
Sujet: Re: I'm just lucky with my genes #Jer Jeu 3 Avr - 12:25
Hehehehehe merciiiiii beaucoup Votre scénario me plait vraiment pas mal et puis il faut dire que le titre "les trois mousquetaires" m'a eut direct hehe