GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus.
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Sujet: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Ven 25 Avr - 2:14
FEAT. TYLER POSEY
Charles Thomas Hugo Grey
23 ans → Né(e) à Beloeil le 08/11/1990 → Il fait actuellement des études en graphisme et en informatique afin de devenir designeur pour une boîte de jeux de vidéos. célibataire impossible → hétérosexuel → membre des Ordinaries.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → il adore les marvels ainsi que les dc comics, autant en ce qui concerne les films, les BD ainsi que les jeux. + la plupart de l'argent qu'il économise va pour acheter une nouvelle console ou un nouveau jeu. + c'est un geek assumé. + il porte souvent des lunettes (il est myope), sinon il porte des verres de contact. + il est allergique aux kiwis et fait une intolérance au lactose. + il ne boit que des cafés dans les « urgences », soit quand il est atrocement épuisé. + charles a deux chats ; l'un s'appelle Pythagore et l'autre Descartes. + il porte souvent des chemises et des jeans + parmi les dix paires (de jeans) qu'il a, il doit sûrement en mettre seulement deux, parce qu'elles sont ses préférées. + il est l'aîné de sa famille, ce qui ne veut pas dire qu'il donnait toujours le meilleur exemple. + il n'a aucun talent en cuisine. + il a souvent dans les pieds une paire de converse, usée, très usée. + il est le genre à tomber souvent malade, une santé de merde, quoi. + il aime le techno. + il n'a aucun piercing, ni de tatouages. + il a une phobie des hauteurs et des rats.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Charles peut être extrêmement difficile à saisir. Il a plusieurs nuances à l’intérieur de son caractère, ce qui fait de lui quelqu’un de ni noir, ni blanc, mais beaucoup plus complexe que cela. Très intelligent, il n’a jamais eu une quelconque difficulté à l’école. Assez timide lorsqu’il était plus jeune, il éprouvait surtout des misères de communication avec la gente féminine – qui avait tendance à le stresser ou à lui faire peur, plutôt que de l’intéresser – et préférait passer des heures devant sa console et sa télévision, plutôt que d’aller jouer avec des amis au hockey dans la rue. Il avait une poigné d’amis et ils ont grandis, surtout, avec Smash Bros, ou Mario Galaxy. Mais il a grandi. Et la vie vous force, parfois, à développer votre caractère sociable, sans que le vouliez particulièrement, et qui l’a rendu, comme il est, aujourd’hui. De nature extrêmement sociable, il est étonnant, lorsqu’on le connaît, que jusqu’à l’âge de dix-sept ans, il avait de la difficulté à parler aux femmes. Surtout, que maintenant, il leur lance des pick-up lines sans aucune gêne. Il a eu quelques relations, ne dépassant jamais, ou presque le un an. De nature assez instable, il ne sait pas répondre à une question du type « où te vois-tu dans x année ? », il en sera complètement incapable. Il peut parfaitement dire à une fille qu’il l’aurait présenté à sa mère, mais jamais il ne pourra lui dire qu’elle pourrait être la mère de ses enfants. La peur de l’engagement ? Non. La peur de se poser. De passer à côté de quelque chose. C’est comme s’il voudrait tout essayer. Très tactile, très intense, il n’aime pas les choses futiles, le superficiel, il est passionné et met souvent tous les efforts possibles et imaginables dans les choses qu’il aime. Cependant, ça fait de lui quelqu’un de pas reposant. Ça fait quelqu’un qui est assez stressant et à qui, on demande beaucoup d’adaptation. Mais lui, s’il vous a adopté, ce n’est pas pour la vie, mais très proche. Il n’est pas très colérique, ne se met pas souvent en colère, mais il peut être agaçant. Il peut être excessif et parfois, même si ça peut être drôle, ça peut très bien taper sur le système. Il a un humour assez particulier, jouant souvent avec le sarcasme et avec ses connaissances en jeu vidéo, alors il faut connaître le background, ou tout simplement le connaître bien, lui, parce que ce n’est pas comme s’il avait un long répertoire varié de blagues. Elles ne sont pas nombreuses, avouons-le. Mais ça reste quelqu’un d’énormément attachant, qui demande beaucoup de patience. Incroyablement, même.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → naomi & 19 yo, bientôt 20. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → par le train. ★Ce personnage est-il un double compte ? → non, mais c'est un changement de personnage. ★Présence sur le forum → je viens à peu près tous les jours et je suis capable de poster assez rapidement, surtout que je tombe en vacances bientôt. ★Personnage inventé ou scénario ? → personnage inventé. ★Crédit images → avatar (teenage dream) icon (izzy)
Mon exemple de RolePlay:
→
C’était officiel (quoi qu’il l’ait mentionné à plusieurs reprises depuis son arrivée en tant que professeur à Poudlard), il détestait cette partie réservée au personnel du château. Il devenait rapidement claustrophobe dans cette (immense bordel) chambre. Incapable de se concentrer, il avait l’impression que chaque phrase que son cerveau lisait, que son cerveau pensait, qu’il marmonnait se répercutait sur chacun des murs comme une danse effrénée à le rendre cinglé. Ce qui expliquait sans doute le pourquoi que lorsqu’on le cherchait, c’était sans nul doute le dernier endroit à regarder. Mis à part la nuit, où il dormait comme un loir, sans ne se poser aucune question (bien que ça lui était arrivé à quelques reprises de se réveiller la tête sur son bureau, les vêtements tous plissés et des cernes incroyables sous les yeux). Mais en vérité, il préférait se retrouver partout, que là. Parce que c’était inévitable ; comme lorsqu’il était à Londres, pendant les vacances d’été, il pensait, re-pensait et réfléchissait encore plus à tous les nombreux scénarios qui auraient pu se déroulés, si sa vie avait été autrement. Dans un premier temps, le nombre de disputes (connes) qu’il aurait eu sur des questions de ménage. Et dans un deuxième temps, le nombre de fous rires qui auraient accompagnés ces fameuses disputes. Et franchement, ça le rendait nostalgique pour rien, de ressasser le passé, de se faire des scénarios, de se demander SI ça avait été comme ça. Les SI n’avançaient à rien. Et disons-le, ça le rendait mélancolique, alors qu’au final, il n’en avait rien à faire. Elle était partie. Que pouvait-il faire de plus ? Se mettre à écrire des lettres remplies de flafla et de romantique (vous savez, celui qui donne envie de gerber, tellement c’est pathétique) afin qu’elle revienne ? Ce n’était pas lui, ça. Et là, il était vanné. Il laissa tomber sa plume (qui fit une énorme tâche d’encre), se fit un massage avec ses doigts sur ses tempes, grogna légèrement, vu le dégât qu’il avait provoqué sur la copie du devoir qu’il venait de corriger. Parfois, il se demandait si les travaux faisaient plus travailler les élèves ou les professeurs. De toute façon, ce n’était pas grâce pour la grosse tâche, la copie était d’une nullité extrême. Comment quelqu’un – même sans avoir vécu avec un(des) moldu(s), ou de minimalement intelligent – pouvait se tromper à l’intérieur des moyens de transports moldus. Il lui semblait que franchement, ça ne prenait pas un QI de 156 pour connaître la différence entre une automobile et un avion. Il eut un soupir de découragement. Sa matière était prise à la légère, tournée en ridicule constamment. On ne s’appliquait que très rarement, alors que franchement, à ses yeux, afin d’assurer une cohabitation exemplaire, il fallait comprendre le minimum du mode de fonctionnement moldu. Ce n’était malheureusement pas partagé par tous les sorciers, de sangs purs surtout. Il entassa les parchemins dans une pile, avant des classer en ordre alphabétique tout en annotant la note que ce devoir de quinze centimètres valaient. Puis, les déposa sur son parchemin avant de tout simplement sortir de son bureau et barrer la porte. Léo ne regarda que très peu où il marchait, l’heure étant assez tardive il ne rencontra personne, mis à part deux chats qui avaient dû être oubliés par leur maître. Ce qui lui fit penser que son persan noir – capricieux – devait sûrement être quelque part afin de chasser une souris (il oubliait trop fréquemment de le nourrir). Il s’avança lentement dans le salon, qui était au centre des appartements des professeurs, ne voyant absolument pas la personne cachée par le dos du sofa, qui était devant lui. « Toi aussi tu vas m’abandonner ? Je ne suis pas assez bien pour toi c’est ça ? » Il s’arrêta sèchement, dans son pas, un sourcil arqué par l’incompréhension. À vrai dire, il était dans une position où la seule personne présente ne pouvait même pas le voir. Alors à qui elle parlait, bordel ? Léo recommença à marcher et posa ses mains sur le dossier du sofa, tout en faisant attention de ne pas tirer une mèche de la chevelure brune. « Hm, non. Je ne t’abandonnerai pas. Surtout si tu me donnes une coupe de vin. » Humour. Il ne se voyait pas réellement rassuré quiconque sur n’importe quel sujet. Il s’avança pour être à la portée de vue, un sourire tracé sur son visage. Kaithlyn. Franchement, il ne savait pas réellement qui elle était, l’avait vu quelques fois, lui avait adressé des sourires et l’avait salué, mais sans plus. Mais c’était suffisant pour savoir qu’elle était jolie (ou aurait aussi pu la qualifier de cute, mais ça venait presque d’un défaut, chez une femme, d’être complimentée comme une petite fille de cinq ans, alors il évitait). Et ses yeux remarquèrent assez rapidement le manque de pantalon chez la jeune femme (évidemment), son sourire s’agrandit légèrement. « Bonjour, Kaithlyn. » Il croisa ses bras contre sa poitrine, tout en arquant de nouveau les sourcils. « Ça serait déplacé, si je te demandais qu’est-ce que tu fais là ? » De toute façon, même si ça serait déplacé, je veux le savoir quand même et je vais m’y intéressé. Voilà.
Dernière édition par Charles T.H. Grey le Dim 11 Mai - 3:18, édité 11 fois
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Ven 25 Avr - 2:14
Well... It's my story...
BELOEIL (QUÉBEC, CANADA) – JANVIER 1990 « Je suis enceinte. » Sophie se pressa les mains contre son ventre, comme si elle voulait le cacher, comme si le fœtus qui était dans son ventre pouvait être perçu de la population et qu’elle risquait de se le faire enlever. Elle releva le regard, timidement, trop peur de ce qu’elle verrait dans les yeux de Pierre. Ça faisait deux mois qu’ils étaient ensemble. Il lui dirait sans doute qu’elle aurait pu faire attention. De se faire avorter. Qu’il n’en voulait pas. Mais au contraire, il lui prit la main, l’enleva de l’étau qu’elle faisait subir à cette dernière, pour tout simplement lui dire un bref « d’accord ». Elle avait dix-neuf ans et lui vingt et un ans. Ils n’avaient aucun plan d’avenir, si ce n’est que des études de commencer. Et ils auraient un enfant. Ils étaient déjà handicapés pour leur avenir et handicapait celui de leur enfant. Ça, le père de Sophie l’avait répété à maintes reprises, jusqu’à temps qu’il comprenne qu’elle s’en fichait. Elle le voulait. Parce qu’elle aimait Pierre. Parce qu’elle était certaine que c’était l’homme de sa vie. Parce qu’elle voulait savoir ce que ferait une fusion d’elle et de lui. Même après deux mois. Elle savait qu’elle donnerait tout pour cet enfant. À cause de tout cela. Et ça, elle ne considérait pas cela comme un handicap. Elle considérait que c’était un avantage. De naître dans l’amour.
BELOEIL – 8 NOVEMBRE 1990 « Est-ce qu’il va bien ? » Pierre voulait arracher l’enfant des mains du médecin, voulait prendre son fils dans ses bras, voulait tout simplement s’assurer par lui-même que son cœur battait. Sophie était incapable de parler tellement elle avait souffert par l’accouchement, elle était épuisée, anxieuse et voulait, elle aussi, qu’on lui remette son fils. Ils se regardèrent, brièvement, comme pour remplacer une étreinte ou des paroles. « Il est en parfaite santé. » Le médecin passa devant le nouveau père, comme s’il avait été un vieux bibelot faisant parti de sa collection, plein de poussière, pour remettre le nouveau-né dans les bras de sa mère. Elle prit aussitôt l’enfant et renifla légèrement afin d’éviter de fondre en larmes. « Charles. » Il n’avait peut-être pas une tête de Charles, mais il lui accorderait le monde entier. Alors, pour lui, c’était oui.
MONTRÉAL – 1998 Ils avaient déménagé à Montréal, au début dans un petit bloc appartement, assez serré, assez étouffant. Mais correct. Et un prix assez abordable, pour qu’ils puissent se le permettre. Sophie pouvait finir plus facilement son baccalauréat en finances, à l’UQAM, tandis que Pierre continuait son barreau. C’était très loin, d’être évident. Mais ils ne faisaient presque aucune nuit, passait par-dessus la vingtaine, vénérait les petites filles, qui en échange de 20$ gardait votre enfant (et qui avait l’air assez sage pour ne pas passer à la télévision dans catégorie « tueuse »). Mais ils réussirent quand même à avoir une vie professionnelle outre le fait d’avoir un enfant. Charles grandit avec toutes les consoles et avec Pokémon, Digimon et Mario Bros. Dans ses premières années de vie, il avait une meilleure relation avec sa grand-mère et des inconnues de douze ans, qui le gardait que ses parents. Mais il ne fut pas attardé pour autant ou en manque d’affection. Ça se replaça. Parce que bon, le petit couple était fabriqué de volonté et ne voulait qu’une seule chose, le meilleur pour leur petite famille. Et ils réussirent. Lorsque Charles eut cinq ans, ils déménagèrent dans une maison dans le quartier de Pointe-aux-trembles, à Montréal et y construisent leur nid familial. Elle fut engagée dans une banque, alors que lui grimpa les échelons du mieux qu’il put afin de devenir avocat. Et trois ans plus tard, ils eurent des jumeaux : un garçon et une fille. Charles avait huit ans et adora ses nouveaux petits frères et sœurs. Il aida même sa mère à trouver les noms. Il ne voulait pas être mis de côté et jura à ses parents qu’il voulait en tout temps les protéger. Comment ne pas fondre devant une telle bouille ? La seule chose qui inquiétait le couple était bien sûr les difficultés sociables et l’énorme timidité de Charles. Sinon, ils avaient l’impression d’avoir mis au monde un enfant parfait. Il était facile à vivre, était intelligent… Était presque premier de classe… La seule chose était qu’il avait très peu d’amis et passait le plus clair de son temps sur sa manette. Mais ça lui passerait. Il en était certain.
MONTRÉAL – 2007 Ce n’est qu’à dix-sept ans que Charles eut son premier boulot : dans une épicerie, commis aux fruits et légumes. La force des choses fit en sorte qu’il dû perdre un peu de timidité, il dû commencer à parler à ses collègues de travail et aux clients. Il n’eut pas le choix de perdre un peu de sa timidité. C’est comme ça qu’il commença à devenir un peu le Charles d’aujourd’hui. À la fin de son secondaire, il alla à son bal avec une de ses collègues de travail, qu’il fréquenta le temps de l’été. Rien de bien sérieux. Car, il n’y a jamais rien de bien sérieux avec Charles. Sa demande au CÉGEP envoyée en Sciences Humaines (sans mathématiques) au collège Dawson, il grandit énormément durant cette année. Se forgea son véritable caractère, mais ne délaissant jamais les personnes qu’il avait auparavant aimé de tout son cœur. Il ne délaissa aucun de ses amis, malgré l’état de crise qu’il ressentait. Impertuable, il restait toujours ce geek. Il restait toujours un fond de ce qu’il avait fabriqué depuis. Sauf qu’on évolue, on se modifie, on rencontre des gens, qui nous font grandir. Plus que l’on voudrait l’avouer.
NEW-YORK – 2014 Sept années. Sept années durant lesquelles, il finit son pré-universitaire (sciences humaines) en trois ans, à Dawson. Mais il ne savait pas plus quoi faire, dans quoi s’en aller à la fin de ses études. Il prit donc une année sabbatique. Charles travailla à temps partiel dans une boutique de jeux vidéo et à temps partiel dans un restaurant Subway, tâchant le mieux qu’il pouvait d’arriver et surtout d’économiser. Il eut quelques relations amoureuses qui n’aboutirent à rien… Trois petites amies « sérieuses » avec qui ça ne fonctionna tout simplement pas. Parce qu’il était trop indépendant, parce qu’elles étaient trop énervantes, parce qu’elles piquaient des crises lorsqu’il préférait son XBOX 360 à elles, parce qu’il était trop lui et elles, trop elles. Ce ne fut qu’en 2011 qu’il décida d’envoyer une demande d’admission à l’université McGill en informatique. Il adora, mais la branche dans laquelle il était, n’était pas réellement sa place. Ce qui l’amena, l’hiver d’ensuite, à l’envoyer à l’université de New-York. Sur un coup de tête, en graphique informatique. Il ne pensa jamais être accepté. Mais franchement, s’il voulait percer là-dedans, ce ne serait pas ici, au Québec, qu’il réussirait. Et son anglais était irréprochable. Il était certain de ne pas être accepté, mais malgré lui, se surprit à espérer. Et il fut accepté. Il demanda un visa, sa mère pleura sans doute toutes les larmes de son corps devant le fait que son bébé allait la quitter « pour de bon » et prit un appartement (minuscule) dans le Bronx et s’appliqua à étudier, du mieux qu’il put. Ça va faire bientôt deux ans qu’il est à New-York. Qu’il vit en quelque sorte son rêve. Qu’il se sent à sa place. Qu’il vit avec le fait de se sentir loin de toute sa famille, de tout ce qu’il connaît. Mais il adore ce qu’il fait. Alors, il n’a aucun regret. Et s’applique seulement à réussir. Et parmi les meilleurs. Tout en ayant un minimum de plaisir et en restant lui-même.
Dernière édition par Charles T.H. Sabourin le Dim 11 Mai - 1:14, édité 2 fois
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Ven 25 Avr - 2:15
re-bienvenue
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Ven 25 Avr - 4:02
Tellement beau! Bref, rebienvenue parmi nous!
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Ven 25 Avr - 6:45
merciiiiiii
cet homme est juste trop
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Ven 25 Avr - 9:33
Re-Bienvenue
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Ven 25 Avr - 10:03
Un deuxième Théo Re-bienvenue parmi nous
Mackenzie J. Howard
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Lun 28 Avr - 22:05
Welcoooome
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Mar 29 Avr - 22:17
oh, Effie re-bienvenue alors bon courage pour cette nouvelle fiche ! : l:
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Jeu 1 Mai - 0:24
Un autre membre tentant Théo James a terminé sa fiche, de ce fait, il te reste 3 jours pour terminer la tienne. Au bout de ce délai, l'avatar sera accordé à la meilleure présentation. Merci de ta compréhension
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Jeu 1 Mai - 2:42
Non mais ton avatar quoi. Bienvenue sinon.
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Ven 2 Mai - 11:05
Re-bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Sam 3 Mai - 4:16
bienvenue sur le forum & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Dim 4 Mai - 16:52
Le délai pour finir ta fiche étant dépassé, nous avons accordé Theo James à une des deux autres personnes qui le tentaient et qui avaient fini leur fiche. Si tu as besoin d'aide pour trouver un nouvel avatar n'hésite pas.
Aksel E. Moriarty
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i'm a survivor.
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Lun 12 Mai - 11:58
Validé !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant ici:
Have Fun !
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus. Lun 12 Mai - 12:05
Non mais le titre quoi J'adore la métaphore
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus.
GREY (+) parfois t'es le pare-brise. d'autres fois, l'insecte qui s'écrase dessus.
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