Sujet: (chloé) tu veux rester en vie, alors commence par arrêter de croire que tu n'es pas seul Jeu 8 Mai - 16:50
FEAT. NASTYA SHMAKOVA
Chloé Hemingway-Jones
17 ans → Née à new york, harlem le 08/05/1997 → fugueuse déscolarisée célibataire → probablement hétérosexuelle → membre des rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → avant-dernière d'une famille de huit enfants, au dernier comptage → enceinte de huit mois passés → assez capricieuse pour s'être prostituée à plusieurs reprises afin de pouvoir s'acheter ce qui lui plaisait → n'a toujours connu que la junk food mais son métabolisme l'a toujours très bien assimilé → pickpocket et voleuse à l'étalage hors pair, elle ne se fait jamais repérer → fille d'une alcoolique chronique et d'un queutard qui a fui devant la première échographie de sa mère → avait commencé un apprentissage en cuisine → n'utilise presque jamais les transports en commun la journée, elle préfère marcher → sait que sa sœur aînée est partie habiter en Europe et lui en veut de les avoir laissés ici → grignote n'importe quoi n'importe quand mais depuis le début de sa grossesse elle affectionne tout particulièrement les kebabs avec sauce blanche noyant une énorme part de frites → déteste qu'on la regarde avec pitié → elle économise les poignées de dollars qu'elle arrive à voler pour se payer un billet d'avion qui lui permettra de partir le plus loin possible → devient agressive quand on essaie de toucher son ventre, et n'a aucun suivi médical à cause de ça → n'a aucune notion de prudence vis à vis de son bébé → allergique à l'aide que les autres essaient de lui apporter → le reste est à découvrir par vous mêmes
★Quel est le caractère de ton personnage? → Chloé est une gamine particulière et surprenante qui possède un certain mystère ... Soit parce qu'elle demeure secrète, soit parce que son apparence extérieure tranche avec son image intérieure. Soit encore parce qu'elle est originale et peu conformiste. Elle est dotée d'une grande séduction naturelle et l'on pourrait facilement penser que c'est une femme légère ou superficielle alors qu'en réalité elle est profonde et tend à l'introspection. Il est vrai qu'il existe un contraste frappant entre son activité apparemment débordante et sa recherche d'authenticité, qui est accompagnée d'un besoin de réflexion personnelle... En fait, elle est excessivement nerveuse et peut exprimer certaines tensions dans une activité trépidante. Cela peut la conduire à s'éparpiller et à se disperser, comme si elle voulait tout embrasser à la fois en saisissant toutes les opportunités qui s'offrent à elle. Elle peut effectivement commettre des actes impulsifs lorsqu'elle est dominée par ses émotions, ses sentiments ou sa curiosité. Mais elle est aussi capable de pondération à d'autres moments. Précipitation et réflexion coexistent paradoxalement chez cette adolescente au caractère cyclothymique. Lorsqu'elle est en confiance ou dans une période faste, elle devient capable du meilleur, charmante, efficace et spirituelle. Or, si l'ambiance ne lui paraît pas idéale elle se repliera sur elle-même en fuyant le monde, se montrant presque asociale. Par ailleurs, elle est facilement attirée par ce qui sort de l'ordinaire, l'original, l'inédit, l'hétérodoxe et peut avoir tendance à ne pas suivre des voies traditionnelles.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → old fashioned kiss, manon, une vingtaine et quelques de bougies ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → christian a tenu à me faire faire mes premiers pas ici, et serena la belle rouge a dit oui donc après avoir longuement hésité sur plusieurs personnages je viens m'incruster parmi vous ★Ce personnage est-il un double compte ? → ça m'étonnerait que j'aie le temps de devenir schizophrène, mais on verra bien plus tard ★Présence sur le forum → c'est mon premier rpg donc aucune idée, je verrai comment j'arrive à gérer ça en plus de ma vie réelle ★Personnage inventé ou scénario ? → complètement archi-inventé ★Crédit images → wild heart & sugar slaughter
Mon exemple de RolePlay:
→ Enceinte. Comme si il ne m’était pas encore arrivé assez de merdes dans ma vie, voilà qu’en plus je me retrouvais avec ce gosse qui grandissait en moi et attirait tous les regards. Fait chier. Présentement, il appuie sur ma vessie et me fait grogner : New York, la ville aux millions d’habitants, et zéro toilettes disponibles gratuitement ; je sors du quatrième bar qui refuse que j’utilise l’espace réservé si je n’ai rien consommé avant. Je ne demande que ça – ça doit faire deux mois que j’ai pas goûté au plaisir d’un bon café brûlant recouvert de mousse à la vanille – mais est-ce que j’ai vraiment l’air d’avoir de l’argent à jeter par les fenêtres ? Je soupire et lève la tête vers le ciel, vers ce soleil qui me réchauffe le visage, et pendant une seconde je crois que finalement le fait d’avoir une abominable envie de pisser n’est pas la pire chose au monde. La chaleur me cajole comme ma mère aurait dû le faire pendant dix-sept ans. M’arrache un sourire. Un fin trait de sourire qui me fait sûrement paraître moins maigre, moins fatiguée, et doit me rendre moins pitoyable pour ces centaines de new-yorkais qui courent presque dans les rues surdimensionnées : est-ce seulement possible qu’un d’entre eux prenne le temps de vivre ? Au moins une journée. Ça leur sortirait le balai qu’ils se sont fichés là où je pense – ne dites pas qu’ils ne sont pas coincés, faut être connement naïf ou masochiste pour pas s’en rendre compte. Comme eux se rendent forcément compte qu’une ado enceinte se traîne sans savoir où aller … Parce qu’en fait c’est exactement ça : j’ai profité du balancement des métros pour pouvoir dormir tranquillement cette nuit, mais aux premières heures du jour il a fallu commencer à bouger et trouver de quoi m’occuper. Suffisamment pour oublier que j’ai rien à manger. Que j’ai de l’argent, mais que si je veux une vie un peu moins minable, je peux pas le dépenser n’importe comment ; faut que je m’en aille loin de cette pomme qui a pourri. Trop de soleil sans doute. Ça leur a tous bousillé la cervelle, la ville n’a plus personne d’intéressant à te présenter, juste des imbéciles toujours trop pressés pour se rendre compte qu’il existe d’autres choses que leur petit nombril. Je trouve ça énorme. Décevant. Au moins autant que mon bide qui me donne l’air d’un éléphant constipé. Désolant. Le passage piéton semble condamné, on est déjà une foule à attendre une autorisation de traverser signalée par ce petit bonhomme vert inventé pour nous soumettre à une volonté mécanique, alors que les voitures ne s’arrêteront même pas pour nous laisser passer de toute façon. Soupir. Je roule des yeux et ceux-ci s’accrochent à une poche fumante dépassant presque à moitié du caddie plein de courses d’une pauvre vieille fripée comme un bouledogue, trop occupée à se plaindre au grand brun à côté d’elle pour prêter attention à l’inévitable bruit de froissement lorsque j’attrape le sac en papier encore chaud. Il suffit de le serrer. Le soulever légèrement. Elle traverse, et le sac me reste dans les mains ; possible qu’elle m’ait vu, je cours m’abriter sous l’auvent d’une boutique encore fermée, un peu plus haut dans la rue et attends une petite minute. Mais personne ne vient : c’est gagné. Le sac est plein de beignets qui portent un doux parfum de victoire. Ils sentent bons et sortent probablement du four, leur odeur envahit mes narines et réveille un appétit que j’essaie de mettre en veille depuis plusieurs jours. Je mords allègrement dans le premier, un beignet fourré à la banane et recouvert de paillettes sucrées, et ferme les yeux alors que le plaisir de manger redevient réconfortant, familier, fait courir dans mes veines une dose d’euphorie qui pousse ce sale môme à me donner des coups. Retour à la réalité. Je fronce les sourcils et rouvre les yeux, appuyant sur mon ventre rond. « Ça suffit » Je soupire en m’essuyant la bouche avec la manche de mon sweat. Ce bébé est une plaie. Impossible de déguster un petit déjeuner – tardif – tranquillement, sans qu’il m’en veuille de je sais pas trop quoi. « Tu peux pas me frapper chaque fois que je mange, saloperie. Tiens-toi tranquille » Une ombre. J’arque un sourcil, et lève la tête en découvrant avec énervement la personne qui empêche le soleil de me réchauffer comme il le faisait jusqu’à présent. Le parfait exemple du Made in New-York : café à la main, sourire absent, regard éteint et inintéressant … Pour un peu ça serait à moi de me sentir de trop. « Quoi ? T’as jamais vu une fille manger ? »
Dernière édition par Chloé Hemingway-Jones le Jeu 8 Mai - 18:01, édité 2 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: (chloé) tu veux rester en vie, alors commence par arrêter de croire que tu n'es pas seul Jeu 8 Mai - 16:50
Well... It's my story...
Je ne sais pas trop pourquoi je suis née. Je suis née, voilà tout. Ma mère a écarté les cuisses pour la belle gueule insignifiante d’un queutard qui l’a baisée dans tous les sens du terme : d’abord littéralement, ensuite en la foutant en cloque, enfin en l’abandonnant sans assumer sa connerie. Il n'a jamais été question de rien d’autre que de parties de jambes en l’air et en fait, elle me l’a toujours fait sentir à moi aussi puisqu’elle n'a jamais su m’aimer. Bref. Je suis venue au monde il y a exactement dix-sept ans aujourd’hui, à Harlem, dans un appart’ tellement miteux que les pompiers qu’elle a appelé pour venir la chercher quand elle a perdu les eaux ont failli fuir en voyant un rat de la taille d’un chat – et je ne parle pas d’un rat domestique. Ça sentait sûrement le bourbon au rabais. Elle adore s’en imbiber, et si on en croit le médecin qui m’a suivie régulièrement quand j’étais en primaire elle buvait sûrement quand elle était enceinte ; parce qu’en fait ça expliquerait que je sois si petite, et que mon organisme soit aussi faible et mal foutu. Et que je sois née à vingt-neuf semaines. Hé ouais. Une super prématurée, et si j’avais su tout bébé à quoi ressemblerait ma vie peut être que j’aurais laissé mon cœur lâcher quand j’étais dans ce foutu bloc en plastique en soins intensifs. Ma vie commençait comme elle allait l’être par la suite : j’étais déjà dans une sacrée merde, pas très loin de la chute, là où il serait facile d’abandonner – et vu la génitrice, ce que tout le monde me pardonnerait.
Au lieu de ça je me suis battue. Elle m’a ramenée dans ce deux pièces crasseux et insalubre où braillaient déjà sept enfants, tous de pères différents – à part deux, des jumelles – et sales à en croire qu’elle les lavait en les enfermant dehors quand il pleuvait. Mal élevés. Gueulards. Insupportables, bagarreurs … Bref c’était pas l’idéal pour un bébé. Ni pour une petite fille en fait : j’ai grandi en voyant mes frères dealer et collectionner les gardes à vue, mes sœurs faire le ménage la journée et les putes la nuit. Enfin. Une d'elles a toujours démenti et prétendu « ne faire que des strip tease en privé » histoire de ne pas trop donner une mauvaise image d’elle ; mais on sait très bien qu’en privé, les clients sont plus généreux s’ils peuvent avoir la bite baladeuse. Enfin. J’crois que je ne lui en ai jamais voulu, en fait, de me mentir : manquerait plus que ça que la petite dernière sombre aussi. Normalement les parents ont le devoir d’entretenir leurs enfants. Chez nous, c’est les enfants qui entretiennent la mère : à quatorze ans j’ai moi aussi commencé des petits boulots dans l’immeuble (baby sitting, ménage principalement) pour essayer de ramener de quoi aider mes frères et sœurs à payer les factures que ma mère jetait sur la table sans les lire. Évidemment ça n'a jamais été reluisant. On avait à peine de quoi payer tout ça, éponger ses dettes, et éviter de crever de faim ; alors en plus quand elle piquait dans les économies pour se payer de quoi se saouler … Le pire je crois c’est que les services sociaux sont passés quatre fois, et qu’ils sont toujours repartis sans rien faire. Mais au moins le message était clair personne n'en a rien à faire de huit pauvres gosses … On avait qu’à se démerder seuls.
Je me rappelle d’une soirée l’an dernier, chez une pote de cours de maths. Il y avait plusieurs étudiants. Des amis de son frère, je crois ; et parmi eux il y avait un blond. C’est genre je crois … Le style de mecs que les filles remarquent et veulent tout de suite. Il aurait pu avoir n’importe quelle culotte mouillée ce soir-là et je ne sais pas pourquoi c’est avec moi qu’il est venu flirter. Enfin flirter … Disons plus clairement qu’il m’a taxé une cigarette et m’a embrassée, avant de m’emmener dans une chambre pour qu’on puisse « s’amuser » un peu plus tranquillement. Ma première nuit avec un mec. J’ai compris pourquoi les filles du lycée étaient toutes excitées d’en parler, c’était quelque chose d’intense. De bon. Je crois que je commençais à m’endormir quand il s’est rhabillé en jetant cent dollars près de moi. Là, c’est sûr au départ je me suis sentie … humiliée dans un sens. Puis après j’ai vu le côté pratique de la chose : vous n'avez jamais rêvé d’être payé pour passer votre temps à regarder vos séries préférées avec des pots de nutella ou de glace à volonté ? C’était pareil. Sauf que la friandise en question était plus … Carrément plus dégueulasse que ça. Je n’en ai pas parlé, bien sûr. Mais petit à petit Maël m’a fait un vrai réseau de clients parmi ses relations, et mes tarifs ont augmenté : si ils voulaient absolument se faire une mineure sans qu’elle aille voir les flics, fallait y mettre le prix. Et ils mettaient le paquet autant le dire ! Je gardais précieusement tous ces petits billets verts dans un sac, dans mon casier, fermé à clef par une combinaison que je changeais tous les trois jours – sans aucune suite logique histoire que personne ne comprenne le code, tôt ou tard. J’ai hésité à ramener tout ça chez moi, ça aurait pu aider tout le monde mais Casey, la plus grande, a pris toutes ses économies et s’est barrée en Italie. Aller simple. Alors j’ai compris : c’était chacun pour sa gueule. Ça l’avait toujours été. J’ai donc gardé mon argent pour moi, et pour ce que je voulais. Fringues. Smartphone à la mode. Places de ciné. McDo à volonté. C’était pas « la belle vie » mais ça améliorait carrément le quotidien – étant en apprentissage, douze heures par jour en cuisine, j’avais bien le droit à un peu de détente sur mon temps libre. Bien sûr plus je m’envoyais en l’air plus mon quotidien semblait pouvoir s’éloigner, puisque moi-même j’allais bientôt pouvoir m’éloigner de New York. Quoique. J’ai été naïve sur ce coup là. Qui dit multiplication de doses de sperme dit surtout multiplication de risques de grossesse, et j’avoue je ne l’avais pas senti venir même si c’était juste la suite logique des évènements. Ça m’a refroidie d’un coup. Je suis rentrée chez moi après ce foutu test de grossesse positif et – comme le Destin m’adore – bien sûr il a fallu que ma mère soit assez sobre pour m’entendre avouer à ma sœur qu’un bébé me poussait dans le bide, et qu’elle le crie sur tous les toits. Et elle qui a eu son premier gosse à quatorze ans s’est permise de me traiter de salope. Faut le faire quand même. Mais le pire pour moi ça a été quand mes frères et sœurs l’ont suivie dans ses jugements à la con : j’ai vidé mon sac de cours, pris le minimum vital, leur ai craché tout ce que j’avais sur le cœur … Et je suis partie. Sans nulle part où aller. Mais rien ne pouvait être pire que ce trou à rats de toute façon.
Ça fait un mois que je vis dans la rue, et même ça ça semble plus facile que supporter l’autre pochtronne et sa bande d’avortons – de qui je pensais pouvoir recevoir un minimum de soutien, mais non. Magnifique, l’esprit de famille. En fait à la télévision ils vous rabattent toujours avec le sort de ces pauvres sdf démunis mais si on est débrouillards ou qu’il nous reste plus de deux neurones, vivre dehors n’a rien d’ingérable. Je ne vais pas mentir et vous dire que tout ce que je fais est légal : voler est toujours plus facile que fouler son ego pour faire la manche, baiser au détour d’une ruelle moins humiliant que courir à l’hôpital en leur avouant que je saurai jamais m’occuper d’un môme – je le déteste déjà en plus. Si vous saviez le nombre de coups que ça donne, un gosse, et comme ça vous plombe le moral. Sérieusement. J’accouche d’ici deux semaines et vous ne pouvez pas savoir à quel point il me tarde de m’en débarrasser. A quel point ça va me libérer. Se débrouiller est quand même plus simple, quand vous disposez de toute votre énergie et que vous n’avez pas envie de pisser toutes les minutes – ou minutes et demi. Mais à part le fait que je risque d’accoucher en pleine rue et que ça va entraîner des complications que j’aimerais moi-même m’épargner, j’vous assure : votre pitié je n'en ai pas besoin alors mettez-vous la plutôt où je pense.
Dernière édition par Chloé Hemingway-Jones le Sam 10 Mai - 12:59, édité 2 fois
Sujet: Re: (chloé) tu veux rester en vie, alors commence par arrêter de croire que tu n'es pas seul Ven 9 Mai - 0:14
Bienvenue
Pandorà M. Mendez
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Sujet: Re: (chloé) tu veux rester en vie, alors commence par arrêter de croire que tu n'es pas seul Ven 9 Mai - 11:28
WELCOMMMME MA BELLE ♥ Je viens de faire la lecture de ta fiche *-* Du coup, je vais juste te demander de relire un petit coup car il y a un soucis au niveau des négatives. Par exemple : Vous pouvez pas savoir (vous ne pouvez pas savoir). Ce n'est pas grave comme erreur dans un sens car bon ♥ ça arrive puis c'est ton premier forum du coup. J'ai remarquée aussi quelques petits soucis comme "Elle a appelés" mais c'est elle qui a appelée les pompiers xD ! "Une a toujours démenti et prétendu" aussi étant au féminin. Je ne note que celles-ci mais j'en ai vue quelques autres *-* mais pas énormément et un peu dans les deux "parties" ! Je te rassure surtout qu'on ne voit pas toujours nos propres fautes ♥ ! Moi-même aussi. Et pour une première fiche, je trouve ça génial personnellement ♥ !
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Sujet: Re: (chloé) tu veux rester en vie, alors commence par arrêter de croire que tu n'es pas seul
(chloé) tu veux rester en vie, alors commence par arrêter de croire que tu n'es pas seul