âge →25 ans Né(e) à→ New Hampshire, USA le → 04/07/1989 Métiers → Danseuse dans un club de strip-tease et Call Girl de temps en temps Statut → Célibataire Orientation → hétérosexuelle curisuese Groupe → populars
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ fière de sa couleur de cheveux naturelle ✰ fume très régulièrement malgré le fait qu'on lui répète d'arrêter ✰ elle prend des drogues de temps en temps mais rien de régulier ✰ phobique des insectes elle est capable de ne pas se doucher tant que l'araignée qui se trouve sur le plafond au dessus d'elle n'est pas partie ✰ s'est fait refaire les seins mais ne le dit pas ✰ n'a jamais eu d'expérience avec une fille, mais n'est pas certaine de sa sexualité ✰ elle a pour habitude de faire un bisou sur la joue de chaque personne qu'elle apprécie dès qu'elle les voit, ce qui ne plaît pas à tous.. ✰ elle aime traîner dans les rues de nuit. certes elle évite les ruelles, mais on lui a souvent dit qu'elle devrait rester chez elle. elle a d'ailleurs déjà fait des rencontres bizarres là-bas. ✰ à côté de ça, Elsa aime chanter, même si personne ne le sait vraiment. Avant de partir en cacahuète au lycée, elle faisait partie de la chorale et même si elle n'était pas une nouvelle Christina Aguilera, elle était plutôt douée. ✰ elle est une réelle nymphomane depuis qu'elle a à peu prêt 16 ans. Au début elle pensait qu'il ne s'agissait que de la puberté, mais elle s'est vite rendue compte que c'était une maladie. ✰ elle est connue dans le monde de la nuit sous le pseudo de "Shae". Elle trouve ce prénom très sensuel et aime qu'on l'appelle ainsi. Il s'agit cependant d'une malédiction selon ses parents... ✰ Elle est issue d'une famille très riche et a toujours pris l'argent que ses parents lui donnaient pour acquit.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Fière, Elsa est une jeune femme qui n'aime pas perdre ou avoir tord, et même si c'est le cas, elle maintiendra le contraire. Elle est donc de mauvaise foie. → Infidèle, en amitié presque autant qu'en amour. Elle n'a été amoureuse qu'une seule fois et même si l'amour de sa vie est décédé, elle lui reste tout de même loyale. En amitié, son seul port d'attache est constitué de ses quelques meilleurs amis les plus proches. Les autres, bien qu'elle les apprécie, elle serait tout à fait capable de les descendre pour arriver à ses fins. Elle n'assume cependant pas être proche de quiconque. Elle estime pouvoir se débrouiller toute seule sans avoir d'amis pour lui dicter sa conduite. Elle agira donc comme une amie sans l'avouer. → Ancienne fille à papa, elle a toujours obtenu ce qu'elle voulait. Chose qui n'est plus franchement d'actualité puisqu'après ses nombreuses descentes en enfer et ses tentatives ratées de revenir parmi eux, ses parents n'ont plus confiance en elle et ils ne se voient quasiment plus, ne prenant des nouvelles que par l'intermédiaire de Maxence, son frère jumeau. → Hypocrite, Elsa est la meilleure menteuse que vous n'ayez jamais connu. Elle n'a aucun scrupule à duper les gens pour arriver à ses fins ou simplement pour s'amuser. → Calme, elle craque rarement: vous la verrez froncer les sourcils et lancer un regard noir mais jamais crier. → Captivante, elle joue de sa chevelure et de son regard de biche pour attirer quiconque dans ses filets. → Franche, elle vous dira toujours ce qu'elle pense de vous. → Rancunière, elle ne donne pas sa confiance facilement, et si on détruit cette confiance, elle s'en souviendra à jamais et le fera payer ! → Meurtrie, depuis la mort de son ex, elle ne vit plus que pour leurs souvenirs à tous les deux. On a alors pu voir un énorme changement de comportement de sa part. Elle s'est donc renfermée sur elle. Elle a du mal à cacher cette dépression cependant et il est rare de la voir vraiment heureuse..
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
“ Elsa Jules Fitzgerald „
J'aime pas les jours de neige. Je l'ai toujours dis. On a beau dire « La neige c'est beau, c'est blanc, c'est pure » mais moi j'ai toujours dis que ça provoquait des ennuis à la ronde ! Rien que quand on est petit ! Les jeunes enfants aiment à se rouler dans la neige, à faire l'ange ou à se lancer des boules. Et comme tout jeune enfant, j'aimais aussi le faire. Seulement un jour, je l'ai largement regretté. C'était à l'école, j'avais quelque chose comme 8 ans et mon ami Étienne avait entreprit une bataille de boule de neige. Tout se déroulait très bien jusqu'à ce que je reçoive une boule de neige dans le nez. Ça aurait pu ne pas être grave si la boule de neige ne comportait pas un gros caillou et qu'elle ne m'avait pas assommée. Sous le choc du caillou, je trébuché et comme par magie, une plaque de verglas apparut sous mon pied. Ce qui fit que je m'étalai de tout mon long sur le béton de la cours. Heureusement la combinaison de neige que je portais amorti la chute et je ne me fis pas plus mal mais mes instites eurent extrêmement peur. C'est ainsi que je finis à l'hôpital. Je me suis donc cassé le nez à 8 ans et depuis cet accident, il m'arriva une merde à chaque hiver où il y avait de la neige ! Et cette année-là, ça ne loupa pas !C'était la fête des 16 ans de George, un garçon très populaire qui sortait avec une fille très populaire. George, faisant parti d'une famille extrêmement catholique, avait été éduqué dans les règles de bienséance, et c'est ainsi qu'il avait invité pratiquement tout le lycée dans lequel nous étudions tout les deux. Il y avait donc une centaine d'invité étant donné que la ville dans laquelle je vivais étaient assez petite et le lycée était en proportion. Je fus donc invitée en compagnie de mon ami Étienne. La fête avait lieu dans une grande maison juste à côté de la mienne -parce qu'en plus d'être dans mon lycée, George était mon voisin- il ne me fallut donc pas plus de deux minutes à arriver. J'avais suivis tout au long de l'après-midi la préparation de la fête et j'avais aussi beaucoup entendu les cri de Lemon, la petite amie de George. Ces deux-là étaient fait pour être ensemble. Ils se ressemblaient tellement qu'on aurait pu croire qu'ils étaient frère et sœur. Ils étaient tous les deux toujours très bien habillés, avec jamais un cheveu qui dépasse. Ils allaient à la messe tous les dimanche en compagnie de leur parents et étaient en quelque sorte l’emblème de la jeunesse dans notre ville. Et moi, j'étais absolument l'opposé d'eux. C'est pourquoi je ne les appréciais pas tant que ça, mais je me devais de venir à cette fête rien que pour m'amuser un peu.Avec Étienne, nous devions se retrouver devant chez moi vers 20h00 et comme d'habitude, il était extrêmement à l'heure. « Alors, t'es près à t'amuser ce soir ? » J'avais un air malicieux et Étienne soupira : il avait compris que j'avais un petit plan. « Oh non, Elsa qu'est-ce que tu nous a préparé encore ?! » Je lui fis un clin d’œil et je commençai à me diriger vers la maison de George. A peu près la moitié des invités étaient arrivés et la maison était déjà assez rempli. Lorsque nous sommes entrés, les gens étaient tous debout, un verre de panaché à la main. C'était comme un énorme cliché. On aurait pu prendre une photo, et l'accrocher dans un salon, au-dessus de la cheminée ça aurait été parfait. Tout le monde avait essayé de s'habiller pour la conséquence. Il y avait donc les fils de riche chez qui ça rendait plutôt bien étant donné qu'ils avaient les moyens. Et il y avait les autres. Ils avaient due piquer des vêtement à leur grand-parents ou quelque chose comme ça. Mais de toutes les manières, ils avaient l'air absolument ridicules. Même Étienne avait enfiler un costume -mais lui était sexy-. Quant à moi, j'étais en jean et chemise. Mais attention ! Un jean slim avec des chaussures à talons quand même ! Lorsque nous sommes entrés dans le salon, Étienne et moi, on vit Lemon s'approcher de nous. Elle me toisa en premier avec un léger air de dégoût et ensuite elle reluqua Étienne sans retenue. J'étouffai alors un rire ce qui la fit réagir. Elle afficha alors un grand sourire -hypocrite- et nous souhaita la bienvenue à tous les deux. On lui répondit en cœur « Merci ». Puis elle s'éloigna, le menton étonnement haut. Je me tournai alors vers Étienne « Bon passons au plus intéressant ! Aide-moi à trouver la réserve d'alcool ! ». Il souffle puis me suit avec peu d'entrain. Voulant donner bonne impression auprès de toute la ville, George avait décidé de ne pas servir d'alcool à sa fête. Néanmoins, on savait que certaines personnes avaient emmené avec eux une petite flasque de vodka à verser dans leur jus. Moi je trouvais encore plus drôle de chercher l'alcool sur place. Je me dirigeai donc en premier vers la cuisine. C'était une très grande pièce avec de grands placard et des tas de petits bocaux pleins de trucs bizarres. Je me dis immédiatement que ce n'était pas la peine de chercher dans les coins les plus visibles étant donné que George et ses parents auraient tout fait pour que l'alcool ne soit pas à portée de main. C'est Étienne qui me montra une porte à côté du frigidaire que l'on emprunta alors et qui donné sur une salle plutôt sombre mais qui avait l'air très cool. Cette salle c'était genre l'opposé de tout le reste de la maison. Il y avait un billard, un baby-foot, des canapés rouges et au fond, un mini bar. « Jackpot ! Étienne t'as un don c'est pas possible ?! » On visite un peu les lieux puis je farfouille dans le bar. Une tonne de bouteilles d'alcool étaient conservées là. C'était vraiment la découverte de la soirée ! Fière de moi j'ouvre une bouteille de vodka et m'en sert un verre que je bois cul-sec. Étienne me rejoint. Il avait finit de faire la tête et décide enfin de s'amuser un peu. Au bout d'une petite heure, nous sommes tous les deux un peu fait, et après quelques parties de billard, on décide de partir. Chancelant et hilares, on quitte la maison en faisant un sacrée vacarme. Étienne me rejoint jusque devant ma porte. Je lui sourit. « Dis donc beau gosse, tu voudrais pas entrer ? Mes parents sont de sortis ». C'est l'alcool qui parle. Je passe mon doigt sensuellement le long de son col de chemise avec un regard de séduction. C'est l'alcool qui agit. Étienne me surprend alors. Il prend ma tête entre ses mains et m'embrasse langoureusement. Je rigole. On entre et on monte dans ma chambre avec quelques difficultés. On se laisse plus ou moins tomber sur le lit et il commence à me déshabiller. Je fais de même. C'est à ce moment qu'on entend la porte se fracasser contre le mur et la lumière s'allumer. « ELSA ?! Mais qu'est-ce que tu es en train de faire ?! Mais c'est pas possible rhabille-toi immédiatement ! Et toi enlève tes sales pattes de ma filles ! Et je ne veux plus jamais te revoir dans cette maison ! Je vais en toucher deux mots à tes parents on va voir ce qu'ils vont en penser ! » C'est mon père. Je dé saoule immédiatement. Et je me rend également compte de ce que je suis en train de faire. Je me rhabille donc et Étienne s’enfuit en courant. Ma mère arrive juste derrière mon père. « Oh mon dieu ! Ma petite fille. A 16 ans.... Tu veux finir comme ta sœur c'est ça ?! Enceinte à 17 ans ? Tu n'es qu'une inconsciente ! » Je vois mon père qui ouvre grand les yeux et qui se tourne vers ma mère comme si elle venait de dire quelque chose qu'elle n'aurait pas due. Elle-même met la main devant sa bouche et après un silence, comme pour se justifier, elle marmonne. « Mon seigneur qu'a-t-on fait pour avoir deux filles comme ça....». Les choses se mettent alors en place dans ma tête. J'avais une sœur -je dis bien « j'avais »-, Jaizlynn qui avait 7 ans de plus que moi. Mais lorsqu'elle avait 17 ans, il a fallut qu'elle quitte la maison. Elle ne m'a jamais dit pourquoi et ce fut la pire chose qui me soit arriver. Ma sœur était comme moi. Elle avait été élevé dans la même ville catholique mais tout comme moi, elle n'avait jamais vraiment adhéré à la religion. Ma sœur c'était mon modèle, et depuis qu'elle était partie de la maison, mes parents m'avaient interdis de la voir. Je ne savais pas pourquoi mais selon eux c'était ainsi. Et quand j'entendis les paroles de ma mère ce soir-là, j’eus un retour d'images du passé en tête. Je comprenais maintenant pourquoi elle n'était plus jamais revenue.
“ Flashback „
A l'époque j'avais 10 ans. Ma sœur en avait 17 et bien que la nature voudrait que nous nous chamaillions, elle était tout pour moi. C'était à elle que je me confiais, avec elle que je rigolais, à elle que je demandais des conseils. Ce qui pouvait être déconcertant pour ma mère surtout que ma sœur n'aimait pas suivre les règles à la lettre comme le voudrait notre religion catholique, et elle voyait bien que j'en prenais également le chemin. Elle a donc toujours essayé de me dissuader de suivre l'exemple de ma sœur mais c'était hors de question que je me plis à cette demande. Après tout, jusque là Jaizlynn n'avait encore jamais fait de grosses bêtises alors je ne voyais pas où était le problème. Seulement, un soir, je compris que ses manquements aux règles l'avait menée dans une impasse plutôt mauvaise. C'était un samedi après-midi et alors que j'étais dans ma chambre à lire un bouquin, j'entendis des cris survenir d'en bas. Curieuse de nature, je descend les escaliers sur la pointe des pieds. « ….et comment tu crois que tu vas t'en sortir ? » Jaiz était assise à la table du salon et papa et maman étaient tous les deux installés face à elle. Ils avaient l'air très en colères et Jaiz n'avait pas l'air triste ni intimidée. Elle avait plutôt l'air confiante et c'était comme si elle les défiait avec son regard. Je ne savais pas ce qu'il se passait mais ce qui était certain, c'est que c'était important ! Je n'avais encore jamais vu mes parents dans cet état et Jaiz n'avait encore jamais vraiment tenu tête aux parents. « Mais c'est pas comme si j'avais tué quelqu'un ! Je ne pense pas que ça soit si terrible que ça ! Je peux gérer la situation... » Je vis ma mère qui tournait le regarde dans ma direction. « Elsa remonte vite dans ta chambre ma chérie ! » J'obéis. Quelques semaines plus tard, alors que je regardais la télévision, ma mère s'approcha de moi « Ma chérie nous allons chez le médecin avec ta sœur elle est malade. Nous revenons dans quelques heures je peux te laisser toute seule ? » Acquiesçai avec entrain. J'avais toujours attendu que mes parents me laisse toute seule à la maison. Je pourrais alors faire ce que je voudrais ! J'étais tellement excitée que je ne fis pas attention à Jaiz qui pourtant était en pleure. Les heures passèrent et je m'amusais toute seule dans la maison. J'étais monté dans la chambre de maman et j'avais essayé à peu près la moitié de sa garde robe, me prenant pour une star. J'avais aussi tenter de me maquiller et j'avais plus l'air d'un clown qu'autre chose. Puis papa et maman rentrèrent. Quand ils me virent la figure peinturlurée, ils ne prirent même pas la peine de me fâcher. Ils avaient l'air décomposés et moi qui m'attendais à une bonne fessée, j'étais toujours aussi contente. Et en plus de ne pas me gronder, mes parents me dorlotaient. Ils me chuchotaient des mots doux, comme si j'étais leur unique fille. C'était agréable. Et je ne fis pas attention que Jaiz n'était pas rentrée. J'entendis cependant les cris de mes parents pratiquement toute la soirée ce qui m'empêcha de m'endormir assez vite. C'est le lendemain que je me rendis compte que Jaiz n'était pas rentrée dormir. Nous avions un rituel avec Jaizlynn. Tous les matin, elle venait me réveiller avec un gros câlin. De temps en temps même elle m'emmenait le petit déjeuner au lit. Et ce matin-là, elle ne vint pas me réveiller. Je me levai donc et entrai dans sa chambre. Le lit était encore fait. Elle n'avait pas dormi là cette nuit. Je descendis donc prendre mon petit déjeuner. Je demandai alors à mes parents où étaient Jaiz. Leur comportement fut totalement différent de celui de la veille. « Elsa tu poses trop de questions ! Fini ton petit déjeuner et monte dans ta chambre. » J'obéis à nouveau. Quelques heures après, alors que j'étais dans ma chambre, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, puis quelqu'un monter les escaliers et enfin entrer dans la chambre de Jaiz. Elle devait être rentrée. Je m'apprêtai à sortir lorsque j'entendis qu'on frappait à ma porte. Jaiz entra. Elle me rejoins sur mon lit et me prit dans ses bras. Je compris définitivement que quelque chose n'allait pas. « Qu'est-ce qui se passe Jaizy ? Maman et Papa n'arrêtent pas de se disputer depuis hier, et tu n'es pas rentrée. » Elle se détache légèrement de moi et en me caressant les cheveux. « Elsa, c'est vraiment très compliqué... Je vais devoir partir un moment. » Je sens alors les larmes me monter aux yeux. Je m'y attendais en fait. Inconsciemment. « Mais on se verra aussi souvent qu'avant, je te le promets. J'ai eu une grosse dispute avec Maman et Papa, je vais aller vivre ailleurs le temps que ça se calme. Tu comprends ? » Mais je ne peux rien y faire après tout. Je hoche la tête. « Mais on se téléphonera tous les jours. Et tu me raconteras ta journée d'école en détails. Et puis tu pourras venir chez moi pendant les vacances, tu sais ? On se fera des soirées entre filles. » Je sais pertinemment qu'elle ne reviendra pas. Je n'ai pas vraiment compris ce qu'il s'était passé, mais je savais que c'était très grave et que je ne devais pas espérer la revoir de ci-tôt. On reste dans les bras l'une de l'autre pendant un petit moment puis elle s'en va. Ce fut la dernière fois que je la vis avant l'hiver de l'anniversaire de George.
“ fin du flashback „
« Ah je comprend mieux maintenant toute cette histoire autour de Jaizlynn ! C'est parce qu'elle est tombée enceinte, que vous l'avez obligée à avorter et que vous l'avez virée de la maison ! Et vous m'empêchez même de la voir ou de lui parler ?! Vous avez peur que je fasse la même chose qu'elle c'est ça ? Mais vous avez toujours eu peur que je suive la même voie qu'elle ! Simplement parce qu'elle ne suivait pas vos règles à la con ! Elle avait bien raison ! Et je ne dis pas que tomber enceinte était une bonne chose mais vous auriez quand même pu la soutenir ! Pas être aussi indignes et la laisser tomber ! Vous imaginez comme elle devait être anéantie ?! Non vous imaginez pas hein ! Vous ne vous êtes pas fait avorter et virer de la maison par vos parents avant même d'être majeurs n'est-ce pas ?! Vous êtes des monstres ! Vous aviez pas le droit ! Vous m'avait enlevé ma sœur ! La personne qui m'importait le plus ! J'vous déteste. » Tout était sorti d'un coup. Des flots de larmes coulaient le long de mes joues. Mes parents étaient toujours face à moi, bouche baie. Quelques secondes passèrent le temps que je reprenne mes esprits. Puis je me levai, pris mon sac sur la table et quittai la maison. Je me mis à courir le long de la rue et je vis la silhouette d’Étienne au loin. Je me mis alors à courir encore plus vite et à crier son nom. Il se retourne, je me jette dans ses bras et j'éclate à nouveau en sanglots. « Je t'en pris me laisse pas. J'ai besoin de toi ». Il me caresse les cheveux. « Shhh Elsa calme-toi.. Tout va bien se passer. Tu m'entends tous va s'arranger. » Et nous sommes aller chez lui. Je me suis endormis dans ses bras.Après onze bonnes heures de sommeil, je me réveille dans son lit. Il n'est pas là. Je me lève et me dirige donc vers sa cuisine. Il est aux fourneaux, en train de préparer des pancakes. Je m'assied à la table et pose ma tête dans mes mains. Il dépose un baiser sur ma tête, je relève les yeux. « Chuis dans la merde Étienne. » Il s'assied et me prend la main. « Tu dois retrouver ta sœur. Je ne pense pas que tes parents comprennent tout ce que tu leur a dit hier soir. Ils doivent être furieux et ils vont certainement agir comme avec Jaizlynn. Tu as besoin d'elle. Pour mieux comprendre. » « T'as raison. Je vais la trouver ». Je sortis alors mon portable et lui envoya un message « Grosse dispute avec les parents hier soir, donne-moi ton adresse j'arrive. » Sans même me demander plus de détails, elle m'envoya sa nouvelle adresse. Je récupérai mes affaire chez mes parents et Étienne m'aida à trouver un train et tout le binze. Il ne voulu cependant pas venir avec moi. C'est ainsi que nous nous vîmes pour la dernière fois sur le quais de la gare et que nous scellions notre relation d'un baiser. Une fois arrivée devant chez Jaizlynn, je frappe fébrilement à la porte. C'est l'hiver et il fait froid. Mes gants étouffe le bruit du toc toc et j'ai l'impression de ne pas avoir frappé. Elle ouvre la porte. Elle est magnifique. Elle a changé. Elle est belle. Je fond en larme et me jette dans ses bras. « Je sais tout Jaizlynn je suis tellement désolée. » Elle réussi étonnement à me convaincre de retourner voir les parents, discuter et apprendre qu'effectivement, je devais apprendre un certain nombre de chose à propos de toute cette histoire. Les croyances de mes parents ont finis par déteindre sur moi. Seulement, d'une façon pas très claire. Je suis, ce que les gens appellent injustement, une fausse sainte nitouche. C'est-à-dire que d'apparence, je respecte la religion de ma famille, je suis sage sans jamais faire de faux pas. Mais il m'arrive parfois, souvent dans la nuit, je craquer et dépasser les limites que je me suis moi-même fixée. Devenue un peu bitch, j'aime jouer de ça. Comme on dit YOLO ! You Only Live Once ! D'ailleurs j'en vis même.
Je me suis auto diagnostiqué un syndrome de nymphomanie. Ou quelque chose comme ça, je ne suis pas très certaine. J'aime le sexe. De toutes les formes où il se présente, je l'aime. Je ne peux d'ailleurs pas m'en passer, ce qui prouve la maladie. Je joue de mon corps de rêve et de mes talents en la matière pour en vivre d'ailleurs, et ça fonctionne plutôt bien ! Je danse dans une boîte de strip-tease très connue de New-York où l'ont m'appelle Shae avec ma perruque en carré court rousse. J'utilise également ce nom pour rendre des visites assez spéciales à des homme riches qui ont besoin de s'amuser un peu hors du lit conjugale.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → madder red, Agathe, et 20 ans Comment es-tu arrivé(e) ici ? → yéséplou Ce personnage est-il un double compte ? → un triple en réalité Présence sur le forum → trop présente ! Personnage inventé ou scénario ? → inventé Crédit images → tumblr
Mon exemple de RolePlay:
Gemma avait littéralement laissé tomber son colocataire pour partir avec son patron. Qu'est-ce qu'elle pouvait être une mauvaise amie à ce moment même ! Mais au final elle n'en avait rien à faire. Elle voulait passer le plus de temps possible avec Ben, quoiqu'il advienne ! Elle avait d'ailleurs expliqué qu'elle était venu avec lui à Ben, mais ne s'été pas vraiment étendue sur leur relation. En premier lieu elle n'avait pas vraiment l'envie de le faire à ce moment même, mais c'était car elle pensait que c'était plutôt inapproprié étant donné ce qu'elle ressentait pour son patron. Elle ne savait pas vraiment comment lui expliquer qu'en réalité il s'agissait de son ex, qu'ils été sortis ensemble il y a maintenant un tas d'année, et qu'après une rupture certes saine, mais tout de même douloureuse, ils avaient décidé de devenir de simples amis, et plus encore, des colocataires. Ça n'était pas des choses qui arrivaient très souvent selon la jeune femme, et elle n'était pas certaine que Ben comprenne la situation. Et même s'il arrivait que quelque chose se passe entre les deux, elle n'était pas certaine de vouloir expliquer cela.
En tous cas la jeune femme était à des années lumières de penser à ça en cet instant. En effet elle était tout simplement dans les nuages. Ce voyage prenait un virage auquel elle ne s’attendait tellement pas qu’elle vivait simplement le moment à fond, mais était certaine que plus tard elle n’en reviendrait pas. Elle était en train de servir une coupe de champagne à son patron dans une suite de rêve au Mexique. Que demande le peuple ? Et Ben avait l’air plutôt ravi également. Il trinqua en même temps que la jeune femme, levant son verre au Mexique. Et les deux jeunes gens se mirent à boire leur breuvage en se regardant dans les yeux. C’était terriblement romantique, et semblait complètement irréel. Gemma tentait de percer les pensées du jeune homme dans ses pupilles bleu/gris. Et elle voyait bien qu’il y avait une pointe de malice. Elle ne rêvait peut-être pas finalement. Il avait quelque chose pour elle, c’était évident ! A moins que ses intentions ne soient pas si pures que celles que Gemma aurait espéré –du moins pour un premier soir-, mais ça elle ne le saurait certainement pas de si tôt.
Il fallait donc passer à la vitesse supérieure et c’est ainsi que Gemma avait proposé d’inaugurer le jacuzzi qui leur été offert sur la terrasse. Et encore une fois, Ben était totalement pour. Gemma remonta encore d’un cran dans l’échelle des nuages. Il lui proposa de prendre la chambre le temps de se changer pendant que lui prendrait le petit salon. Elle n’eut pas le temps de répondre que l’homme s’empara de sa valise pour la lui déposer prêt du dressing à côté du lit. Gemma pouvait réellement fondre à cet instant. Il était tellement parfait ! Elle garda tout de même un minimum de contenance et tenta de ne pas faire la grosse gamine de base. « ouah ! merci monsieur ! » Et elle lui offrit son plus beau sourire. Il se dirigea alors dans le salon et fermant la porte qui séparait les deux pièces. A peine Gemma avait-elle entendu le click de la serrure qui se verrouillait qu’elle se lâcha complètement, se mettant à danser comme une débile. Elle perdait à peu prêt 20 ans à ce moment-même, mais elle avait besoin de faire sortir tout ça, sinon elle ne parviendrait pas à tenir face à lui.
Elle finit tout de même par reprendre ses esprits. Si elle mettait trop de temps, il allait certainement se demander ce qu’elle pouvait bien faire là-dedans et si elle n’était pas une de ces névrosées qui passe trois plombs à se préparer, trop soucieuses de leur apparence. Elle farfouilla donc dans sa valise, voulant trouver le meilleur maillot de bain. En effet elle en avait emmené plusieurs, histoire d’avoir de la rechange si besoin. Elle se hâta de choisir un maillot deux pièces plutôt simple, noir avec quelques ficelles jaunes pour donner de la couleur. Elle ne voulait pas en faire trop tout de suite, même si en réalité elle n’avait pas emmené de pièces trop extravagantes ou vulgaires. Quelques minutes plus tard, elle l’entendit toquer à la porte lui demandant si elle était prête. « ouiiii tu peux entrer je suis pas toute nue ! » raaaah ! Un simple « oui » aurait largement suffit, mais il fallait qu’elle en rajoute… Elle se désespérait des fois. La porte s’ouvrit donc sur Ben. Un Dieu. Et sans exagération en plus ! Il était exactement comme Gemma l’avait imaginé, les abdos parfaits, les pecs dessinés mais pas trop, les bras musclés mais pas trop. C’était un peu comme s’il avait été photoshopé. Ils se dirigèrent finalement vers la terrasse.
Ben alluma le jacuzzi. Gemma n’était pas une grande habituée de ce genre d’engin, et elle ne pu s’empêcher d’être agréablement surprise par la chose. Il commençait à faire de la lumière, des bulles, et à chauffer également. Elle avait hâte de s’y plonger. Le jeune homme entra à en premier, tendant la main pour qu’elle s’y appuie. Elle posa alors un pied sur le rebord, manqua de s’étaler mais sa rattrapa de justesse sur Ben. Sa maladresse la perdrai certainement un de ces jours. Elle finit par s’assoir sur un renfoncement du jacuzzi qui était certainement fait exprès pour, sentant la pression de jets d’eau dans son dos. C’était terriblement agréable et relaxant. Elle se laissa aller, allongeant alors ses jambes qui finirent par toucher celles de son patron. Un frisson remonta alors le long de sa jambe jusqu’à son ventre –en passant par son bas-ventre– venant lui donner quelques petits papillons. Avec l’eau chaude qui la portait, c’était une sensation parfaite.
« On pourrait peut-être en faire installer un dans les backstages du club ? » Quelle bonne idée avait-elle eu là ? Un jacuzzi rien que pour l’équipe du club ça serait le paradis. Mais cela impliquerait certainement beaucoup moins de concentration pour le staff de Ben.. Ce dernier lui demanda si elle avait quelque chose de prévu ce soir. « Non, j’ai l’intention de vivre ce petites vacances au jour le jour. » Cette phrase pouvait tellement contenir de sous-entendus qu’elle ne s’en été même pas rendue compte. Mais ce qu’elle disait était vrai. Elle voulait profiter de ce voyage pour s’amuser et être un peu spontanée pour une fois. Cette petite résolution commençait plutôt bien après tout ! « D’ailleurs il me semble qu’il y a une soirée organisée pour l’accueil des arrivants. Quoique je restera bien dans cette merveille toute la nuit.. » Après tout on était en fin d’après-midi, le soleil ne tarderai pas à se coucher et après le long voyage qu’elle avait eu, la jeune femme avait juste envie de se relaxer. Elle pencha la tête en arrière, la posant sur un espèce de coussin installé à cet effet. Qu’est-ce qu’on était bien.
Ben lui proposa alors de lui servir un nouveau verre de champagne. Proposition à laquelle elle ne dit pas non bien évidemment. Elle lui tendit alors son verre. Mais au lieu de prendre celui-ci, Ben s’avança vers elle. Leurs jambes se touchaient plus que jamais et les papillons dansaient de plus bel. Gemma affichait un sourire timide. Elle n’avait pas l’habitude de se retrouver si proche d’un homme en si peu de temps, surtout de celui sur qui elle avait des vues depuis plusieurs mois et qui s’avérait être son patron. Il lui rendit alors son verre à nouveau remplit. Perturbée, Gemma le laissa glisser entre ses doigts et il se vida alors à moitié sur le torse de Ben. « oh zut, pardon ! » Elle redressa son verre d’une main tandis qu’elle portait l’autre sur le torse de son patron. Elle entreprit alors de retirer le champagne qui de toute façon s’écoulait déjà dans l’eau du jacuzzi. Son opération tendait surtout à en étaler partout, mais elle était trop confuse pour agir normalement. En plus de ça, elle rigolait bêtement alors que le visage de Ben se trouvait à quelques centimètres du sien. Elle releva alors la tête, rigolant doucement. « Promis, je ne suis pas si maladroite quand il s’agit de servir les clients ! » Elle le regardait dans les yeux, et leurs visages étaient maintenant si proches qu’elle pensait vraiment qu’il allait l’embrasser à cet instant.
C’est pile à ce moment-là qu’ils entendirent frapper à la porte d’entrée de leur chambre. « Room Service ! » Gemma leur indiqua alors d’entrer. La jeune femme qui avait frappé à la porte leur apporta alors un chariot carrément avec plusieurs plats dessus. Voyant qu’ils se trouvaient tous les deux dans le jacuzzi, elle laissa le chariot là, repartant aussi vite qu’elle était arrivée. Gemma se décolla alors un peu de Ben à son grand malheur. « Chouette, à manger ! » Elle sorti alors du jacuzzi, passant par la même occasion presque par-dessus Ben, afin de voir de plus prêt ce qu’ils venaient de recevoir. Il s’agissait de plusieurs plats visiblement mexicains qui avaient l’air tous plus délicieux les uns que les autres. Mais son regard se porta sur un énorme saladier de fraises bien rouges accompagné d’un bol contenant un chocolat encore chaud. Elle s’empressa alors de s’en emparer et les apporta au bord du jacuzzi. « Devine ce que j’ai trouvé ! » Grande sourire, elle déposa les deux plats à côté de la bouteille de champagne avant de replonger dans le jacuzzi. Mais cette fois, elle se planta directement tout à côté de Ben, retrouvant l’agréable sensation de ses jambes contre les siennes. Elle s’empara alors d’une fraise qu’elle plongea dans le chocolat avant d’en croquer un bout. Elle dégusta le fruit quelques secondes. Elle n’avait encore jamais mangé de fraises aussi bonnes. « hmmm, c’est une merveille ! Tu devrais gouter ! » Elle s’empara alors d’une seconde fraise qu’elle trempa également dans le chocolat et la porta à la bouche de Ben. Et alors qu’il croquait dedans, Gemma se plongea à nouveau dans ses magnifiques yeux. Le moment était magique, elle n’aurait jamais pu rêver de mieux.
Dernière édition par Elsa J. Shadow le Dim 13 Juil - 15:47, édité 3 fois
Aksel E. Moriarty
Empire State of Mind
i'm a survivor.
▌INSCRIT LE : 21/07/2013
▌MESSAGES : 2361
▌AGE DU PERSO : 24
▌ADRESSE : 5200 blackstone avenue #202, the bronx.