Sujet: wealth chose me. (wren) Ven 11 Juil - 20:35
Charles-Alexandre Wren Goldsmith FEAT. JON KORTAJARENA
âge →26 ans Né(e) à→ new york le → 01/01/1988 Métiers → présentateur & chroniqueur. Études → bac + 3 L, études en MCC. Statut → célibataire. Orientation →hétérosexuel. Groupe → playboys
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Wren est marquant. Marquant de son physique, son style vestimentaire, son éloquence et son petit sourire charmeur qui excuse son sarcasme à sa droiture impeccable du cheveu à l’orteil, son assurance intouchable et imperturbable. Pour Wren, la seule vérité générale est que tout se joue au niveau de l’apparence, raison pour laquelle il est presque constamment présentable, ses vêtements sont un véritable reflet de sa personnalité, on sait dès les premiers abords qu’il est assez fermé. Quand il parle, il a la plupart du temps le regard fixé dans les yeux de son interlocuteur, une main dans sa poche ou entrain d’effectuer des gestuelles plus grandes les unes que les autres. Il est allergique à la noix de coco et à l’ananas, mais ne surveille suffisamment pas ce qu’il ingurgite, en réalité, il se soucis très peu de son alimentation, contrairement à ce que ses parents – qui demeurent malheureusement très protecteurs – ne cessent de lui rappeler. Il se pince les lèvres en signe de désapprobation et passe exagérément la main dans les cheveux lorsqu’il est gêné, un peu comme tout le monde en fait.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Répondre ici à la question ci-dessus ... Parlez ici du caractère de votre personnage. Comment se comporte-t-il avec les autres ? Est-il du genre fleur bleue, rancunier, tenace ? Bref, tout ce que vous estimez important de savoir sur son caractère. Quinze lignes minimum. Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Les cheveux au vent, robustes comme trois lions, on se croyait rois et invincibles du haut de notre immeuble. Les pseudos-commandants devenaient fourmis, Paris était à nous, le monde aussi. La puberté, elle, venait juste de s’installer paisiblement dans nos pupilles, elle nous montait à la tête avec ses odeurs d’ammoniaque, elle nous crevait les neurones. Mais je l’aimais, putain que je l’aimais cette puberté pourtant si précoce. J’aimais entendre ma voix s’enfler de rochers de jours en jours, jamais fixer chaque matin ce rasoir tranquillement posé sur le lavabo, et puis me dire « bientôt, bientôt. ». On s’ouvrait vraiment au monde, tout là haut, sur notre incroyable piédestal. En regardant Paris, j’avais cette putain d’impression de marcher sur les nuages, personne ne pourra jamais me la voler, cette impression, ce sentiment qui me remplissait l’âme même si j’aurais de loin préféré être rempli par la présence des belles jeunes filles, des belles fleurs qui a cet âge se pavanent, attendent patiemment qu’une abeille vienne les butiner. Mais… Je suis pas une abeille, j’arrive pas à être une abeille, voilà le problème. Florian c’est une abeille, c’est la pire que je connaisse. Je me fascine à l’observer duper les belles petites avec sa barbe qui pointe le bout de son nez. Florian c’est mon idole. Florian c’est mon modèle. Il y a Océane. Ah, Océane c’est pas une fille, c’est pas une fleur en tout cas, c’est un cailloux. Elle blesse avec les mots, elle se renifle les aisselles, elle rote. C’est pas une fille. C’est une perle rare, sûrement, un truc du genre, mais c’est pas une fille, en plus, elle aime Florian. Personne n’aime Wren. Triste vie.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → #WHOLESATANIC, Malika, 17. Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'ai suivi quelqu'un. Ce personnage est-il un double compte ? → Négatif monsieur. Présence sur le forum → 5j/7 Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé. Crédit images → starchild, tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
affamée et abandonnée sous les pieds insouciants des autres, les trains hurlent leur désarroi et supplie la pauvre petite fleur d’aller vaquer à d’autres occupations blafardes. se lamenter sur son sort, c’est une perte de temps qui vous enfourne dans un cercle vicieux à tout jamais. et il ne faut pas tomber dans le cercle. il faut vaquer à d’autres occupations. se lever devenait brutalement pénible. elle allait affronter les regards de ces autres aux idées absurdes, qui jugent sans connaître et qui offensent sans compatir. ils disent « faut pas les regarder, ceux sont des voyous » ils vous pointent de leurs doigts, et sans aucune discrétion, vous fusille comme on fusille un condamné. imbéciles et inconscients. voilà comment les épines de la fleur qui nous semble si belle décrit son entourage, à ce moment précis, alors qu’elle tremble et que bientôt ses os vont craquer sous le poids du monde qu’elle tient sur ses épaules flétries. elle n’est pas comme ça, la ondine qu’on connaît, il y a le sourire indispensable et étouffant qui a disparu, emporté par l’armée de la solitude infinie. félix l’avait laissée là, dans le trou, sous vos pieds, inconsommables parisiens ! ondine, ressaisi toi, tu vas où là ? c’est cette voix qui vous agace tellement, des fois. qui vous libère, d’autres fois. celle qui vous jetait dans le gouffre et qui vous repêchait quand vous vous y enfonciez trop. il y avait l’âme de la vraie ondine au fond du gouffre, merde, dure à repêcher celle-là. elle se lève et se retient de soupirer face à tous ses démons qui la regardent qui se moquent en se frottant les mains. elle va retomber, elle va retomber dans le trou, c’est clair. ondine devient folle, plus folle qu’elle ne l’est déjà, quand théotime la laisse seule. et quand il revient, elle n’a plus la force d’expliquer la chute et le repêchage : c’est trop long. trop crasseux. trop effrayant. c’est trop « trop ». elle marche. doucement. trop doucement. on la regarde, on croit qu’elle va tomber, elle s’arrête, elle souffle. et puis devinez… elle sourit. bouh. elle est revenue, comme ça, d’un coup, c’est étrange. ça fait peur. c’est ce papillon là-bas, qui vole, qui est libre. c’est la flamme des souvenirs qui résiste au temps et qui refuse de s’éteindre, et elle brûle de joie, envahissant les cœurs qui croisent son chemin. ce sont eux qui rappellent l’âme d’ondine à son fourreau de squelette. elle sait où elle va, elle va le voir, lui. son mécano, le guérisseur des moteurs, et des cœurs. de son cœur à elle surtout. c’est l’errance de la solitude qui l’a menée jusqu’à lui, et depuis on ne sait combien de temps, elle le regarde soigner les générateurs. c’est un héros. il soigne, comme ça, de quelques tours de beaux instruments dont elle ignore bien les appellations. elle aimerait être comme lui, oh dix mille fois. se rendre utile. soigner. soigner tout ce que ses petites mains recouvertes de bleus – c’est ça, quand on est un voyou – sont capables. il est là. elle se cale dans son coin. normal qu’il soit là. elle connaît ses heures, son emploi du temps. c’est naturel, puisqu’elle est amoureuse de ses moindres mouvements. elle aussi elle est là, la ondine qu’on connaît. elle le regarde, émerveillée, et se tait de peur. de peur d’enrager un sursaut et de tuer l’innocent patient. oui, parce qu’elle voit les choses comme ça, elle. ou peut-être est-ce la peur d’être rejetée ? la société d’aujourd’hui n’accepte point les fous, voilà la peine. ondine, elle rêvait d’amour secret quand elle le regardait bouger là, comme ça. qu’il était beau, oh qu’il était spécial. il la chatouillait de loin quand il se nettoyait du revers de la main, comme une caresse timide qui murmurait, viens… et son cœur, son être, son âme même chaviraient, faisant horriblement trembler ses chevilles sans chair. la renaissance. elle mourrait dans ses bras, et renaissait dans un ailleurs merveilleux, plus vivante que jamais. ça devrait être interdit, de faire chanter les morts et brutaliser les vivants insensibles, de cette manière. ça devrait même être puni. le même scénario, la même soumission observatrice, décalée, amoureuse. il en fallait plus, maintenant. comment tu t’appelles, qu’elle aimerait lui glisser délicatement. mais et si toutes ses splendides apparences se montraient trompeuses et qu’il la chassait, avec des mots violents, comme ils ont l’habitude de faire, ces malades associables torturés de parisiens, par les parisiens. elle enfonça ses poings dans les poches percées de sa robe veuve. veuve de cette ondine du passé dont on s’empressait de se débarrasser, celle-là même qui une fois théotime disparu, agonisait dans la pénombre du métro et mourrait à petit feu lourd. elle se cala contre son mur, souffla un bon coup, frottant le ciment méchant. « aaaïe. » elle s’écroule rapidement sur le sol, dur et amer. t’es trop fragile. c’est grillé, ondine, mais trop, tu devrais prendre la fuite, cours. mais non. elle court pas, la pauvre fille, déboussolée et affaiblie de ses os brisés. ça devait pas se passer comme ça, elle pourra plus jamais venir, elle a perdu son halo d’espoir, c’est fini. les rêves épileptiques, bancals, au revoir, au revoir. et à bientôt, j’espère. la conscience persévérante vient la gifler de plain fouet, fatiguée et peinée par la paresse. partisans du moindre effort, ondine ! qui ne tente rien n’a rien, hein. elle se décide à se lever, ça doit faire quelques secondes seulement, mais les idées déchues alourdissaient les temps. et puis faut pas croire qu’il allait pas venir l’aider non plus. la dernière chance, l’heure du jugement. et comme il la regarde, sans trop se cacher maintenant, elle s’approche, doucement, comme un plume poussée par le vent, hésite longtemps, ouvre la bouche, la referme. c’est lourd, cette phrase qu’elle dirait si facilement au simple inconnu dans la rue, lui tendant la main. devant lui, ça devenait comme sacrilège. « je m’appelle ondine. » j’voudrais partager tes nuits c’est fait. ouf. sa voix douce, pleine de couleur, secouant, réveillant les sentiments enfouis, qu’on croyait partis mais qui s’étaient cachés sous le tapis, avait enfin explosée, jusqu’à caresser les tympans. intrusion ratée. adieu discrétion ! on s’attardera pas à décrire ce qu’elle ressent la maintenant, espion découvert, risquant l’exil forcé, d’un amour inexplicable se transforme en fleur rare espérant se faire garder. faussement sans gène, elle s’approche du héros et l’explore du regard, débite de ces mots même pas utiles : je m’appelle ondine. c’est pas important, ce n’est qu’un de ces noms blancs, écrits en noir sur un papier extravagant. d’ailleurs, ça sert à rien. si ça ne tenait qu’à ondine, elle portait d’autres mots sur elle, elle serait pleine de coton ou de laine, répondrait à tous les beaux noms : mon amour, ma douceur, mon cœur, mon jour. et aux autres mots sans douleurs, sans peurs. son cœur, venant à peine de reprendre sa place alors qu’elle le regardait de grâces tenaces, venait de retomber des son estomac vide. littéralement vide. enfin, la faim maintenant s’envolait comme un oiseau au petit matin, la passion pudique emplissant déjà toutes les moindres parties du corps décharné, dans l’attente presque chagrinante d’une réponse aimante. « c'est... c'est vraiment un beau prénom. » les papillons s’envolent très vite, il trouve ça beau. beau, beau, beau. ça tombait bien comme mot, c’était même son préféré. il lui rappelait quand elle s’inquiétait, qu’il y avait des belles choses dehors là-bas, qui n’attendait qu’elle pour démarrer le spectacle de pureté et réparer les âmes abimées. elle l’adulait encore plus maintenant, ce qui normalement était humainement impossible. justement, elle était plus de ce monde, c’est comme s’il l’attrapait par les hanches et la tirait, volant de ses ailes blanches, jusqu’aux cieux. et ils redevenaient anges, comme à la naissance. elle le fixe, les yeux grands ouverts, mais il n’ose pas la regarder, il fixe le sol, lui. c’est bien mignon tout ça, mais elle voudrait bien voir ses yeux et s’y perdre, alors elle change pas de position attendant la vision de ses yeux qu’elle devine être rivière, ou mer. « moi, c'est nohaa. » ça y est c’est le naufrage, il la regarde. ah. rivière et mer, les deux à la fois, ça en fait presque peur, c’est clair qu’on risque de s’y perdre et de s’éprendre trop rapidement de tendresse folle. alors elle écarquille ses yeux, à côté de mer et rivière perdent toute leur valeur – elle en valait l’impression en tout cas. et puis elle recule d’un tout petit pas, intimidée. elle était trop proche de toute façon, ça en brisait la pudeur. « avec deux a. » n o h a a. ça donnait comme l’envie de se jeter dans le palais de ses bras et de se laisser bercer d’encore plus d’amour. nohaa écrit comme ça, ça faisait vraiment rêver. « c’est plus beau qu’ondine. » c’est ce qu’on pensait quand on rencontrait l’être parfait et qu’il nous déshumanisait. parce que l’humain, c’est un monstre barbare sans art ni harmonie. et les rêveurs étaient de ceux qui décollait vers d’autres horizons merveilleux. elle avait un air de plus rien, quand elle se mesurait à lui. il avait tout de mieux qu’elle. ainsi voit on les choses quand on a la chance de porter les lunettes de l’amour. oh, encore un amour sur sa liste d'amoureux. catégorie merveilles, à côté des papillons. il s’est retourné, a brisé le doux contact visuel qui la faisait trébucher de l’intérieur, à multiples reprises. « je… c’sont des princes. » des princes ? ah, elle aimait pas trop ces trucs industriels, ondine. avant, la cuisinière de la maison lui faisait des gâteaux, des vrais, des merveilleux, des onctueux, presque spiritueux. mais c’était de lui. comme une offrande divine, elle pouvait pas être plus heureuse. ou peut-être que si. son cœur insolent ne tenait même plus en place, dansant, gigotant. elle comprenait pas trop le geste, elle lui avait pas tendu la main, pas de détresse ni rien. ça l’intriguait, cette pitié si différente, ça l’effrayait même. « non… j’peux pas… je… à part l’amour moi j’ai rien en échange. » amour. amour. elle était tombée en amour de ce quelqu’un qu’elle semblait connaître depuis longtemps, à qui elle parlait à travers le ciel et les nuages. mais qui lui était tout de même un bel inconnu « je pourrais… t’appeler… ciel ? » voilà. elle foutait déjà tout en l’air. son monstre intérieur lui faisait croire qu’il allait prendre la fuite, apeuré. visiblement, elle n’était pas mieux guérie que ceux de sainte-anne. quel honneur, d’être folle et de pouvoir voir et revoir le monde sous son meilleur profil, jusqu’à l’éternité, la vie après la mort. « non, pardon… tu dois… trouver ça con. » pourtant, ça t’irait très bien. trop de morceaux de paroles ravalés, par timidité, presque par honte. entre-temps, elle avait faim, elle les prendrait bien finalement, ces princes.
- Désolée ma plume est assez lourde dans ce rp en particulier.
Dernière édition par Wren C.-A. Goldsmith le Ven 18 Juil - 17:04, édité 6 fois
Hahah l'homme dont je ne sais jamais prononcer le nom, du coup je lis Jon Cartonjara Bienvenue à toi néanmoins et bon courage pour la rédaction de ta fiche !
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Coucou mon coeur , Bon j'aimerais bien t'annoncer de bonnes nouvelles mais au lieu de ça, je t'annonce qu'il te reste jusqu'à samedi soir pour faire ta fichounette ma caille. Si t'y arrives, promis t'auras un gros bisous sur le fesse. Mais tu sais, elles ne dorent pas au soleil donc quittes le un peu pour ne pas trop te dorer la pilule. Je t'en supplie pour moi, pour nous et pour la paix dans le monde. C'est important. Bon pour te motiver, je te fais un bisou sur le nez enfin imagines que je t'en fais un *-* ! Bisous -surlenez- !
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wealth chose me. (wren)
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