âge →00 ans Né(e) à→ ville le → 00/00/0000 Métiers → ici Études → ici Statut → ici Orientation → ici Groupe → ici
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Au creux de son poignet se trouve un oiseau, l'ombre d'une hirondelle. Symbole de liberté. ▲ Musicien, il maîtrise le violon, le piano et un peu la guitare. En ce moment, il se met au saxo. ▲ Autodidacte, il n'aime pas dépendre des autres, alors il apprend seul. ▲ Torturé, il supporte mal les situations qu'engendre sa maladie. ▲ Fumeur, il se doit d'apaiser ses nerfs au risque de faire une nouvelle crise. ▲ Son animal préféré est le loup, pour son côté fier. ▲ Des tas de carnets s'accumulent chez lui, où il griffonne tout ce qui lui passe par la tête. ▲ Très éloigné du cliché italien, il assume son côté doux. ▲ Lorsqu'il se sent en danger, il utilise le sarcasme à défaut de sa force physique. ▲ Il n'a pas d'animal, mais un chat errant vient très souvent chez lui. Une relation étrange est née entre les deux compères. César est son surnom. ▲ Il parle couramment sa langue maternelle, l'italien. ▲ D'ailleurs son accent anglais est souvent écorché par ses racines méditerranéennes.▲ Il adule les grands paroliers français. ▲ Bohème, il rêve de parcourir le monde. ▲ Noctambule, il passe beaucoup de ses nuits à contempler la lune. ▲ Leonardo est la seule preuve de son enfance passée sous le soleil italien. ▲ Seule sa famille l'appelle « Léo ».
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Octave est l'exemple parfait de la complexité humaine. Atteint de ce fameux syndrome qu'est la « personnalité bordéline » sa vie est sous entrave. Ses yeux bleus océan oscille entre calme plat et tempête meurtrière. Hyperémotif, il peut donner la sensation de ne rien ressentir. A contrario, il décline ses émotions en une palette complète, effrayante pour le commun des mortels. Dévoré par le monde qui l'entoure, il crève de peur. L'abandon est son plus grand démon. La morsure froide qu'elle procure le paralyse. Agressif, il préfère donc fuir. Fuir pour ne pas souffrir. Logique insensée. Distingué, il sait accueillir et se comporter en société même si ça ne lui plaît pas. En vérité sa politesse n'est que le reste de son attachement aux traditions familiales. La ville lui pèse lourd sur l'estomac, en retard, il se pose des questions sans jamais trouver de réponse. Pour lui, le jeu n'en vaut pas la chandelle, l'égoïsme de la vie urbaine n'est pour lui qu'une pathétique chimère. Rêveur, il se nourrit des nuages, sa couverture est formée d'étoile. Amoureux. Galant. C'est un jeune homme fait pour l'amour. Il ne demande que ça. Entiché du Beau. Entiché de l'Art. Lascif devant un sourire. Touché par un regard. Sa vie c'est trois notes de pianos, un équilibre risible. Quelque chose qu'il ne contrôle pas vraiment. Porté par la torpeur qu'engendre le monde, il prend la main des autres, un peu naïvement. Poupon innocent.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Raphaël, 17 yo. Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Qui ne connaît pas ce forum ? Je suis d'ailleurs content qu'il soit de nouveau ouvert . Ce personnage est-il un double compte ? → Nop. Présence sur le forum → Autant que je peux. Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. Crédit images → Disaster ▲ Pathos ▲ Tumblr
Mon exemple de RolePlay:
Un, deux, trois, tu es coincé. Un, deux, trois, entre le ciel et la terre. Marelle maudite. La lune reprenait son rôle, douce reine de la nuit. Tandis que ses sujets, les étoiles, se dispersent autour d'elle dans une chorégraphie lumineuse. Toi, angelot, tu aimes ce spectacle. Enfantin, tu relis les boules de gaz pour que naisse un dessin. Un visage. La température redescendait, la douce morsure du froid que tu engendrais poussait les mortels à rentrer. Dormir. Consommer leur mariage. Lire. Vaguer à leurs occupations futiles. Du haut de ton immeuble, toi, noctambule, tu regardes d'un œil bienveillant la ville sombrer dans les bras de Morphée. Le vent jouait avec tes cheveux, tandis qu'attiré par un bruit peu commun tu te penchais dans le vide. « SDPD ! Les mains sur la tête ! » Simple arrestation des autorités de ce monde. Ridicule et inutile à ton goût. Enfin, assis sur le bord du bâtiment, les pieds dans le vide, tu contemples avec amusement la fameuse scène. Le fugitif quel qu’il soit est bien plus rapide que le trentenaire armé qui lui court après. Fusil en avant, sa maîtrise des événements lui échappe. Ton âme chevaleresque te pousse à descendre de ton perchoir, d'un bond élégant et silencieux, tu atterris dans un coin sombre, véritable coupe-gorge cette ville. Dans la pénombre environnante, seuls tes yeux azur sont perceptibles. L'épaule écrasée contre le mur tâché d'une saleté sans nom, tu te laisses bercer par le bruit des pas réguliers du fugitif. Celui de sa respiration trahissant sa peur. À chaque seconde, il se rapproche de toi. Inconscient, il pense naïvement pouvoir échapper aux autorités. Au moment où il passe devant ton repère, tu l'attrapes d'un geste vif. Tes doigts enserrant l'arrière de son col, tu le soulèves, ses pieds à la recherche du sol. Ses supplications ne t'effleure pas, la justice avant tout. S'il se retrouve dans cette situation c'est que son esprit n'est pas dénué de toute culpabilité. Tu balances doucement la tête en arrière pour le regarder, te perdre au fond de tes pupilles. Et lentement, il s'apaise, ton aura bleuté, invisible à ses yeux, repend en lui un sentiment de béatitude non ordinaire pour un criminel. Ce semblant d'équilibre fut rapidement brisé. Ce fameux trentenaire n'avait rien d'humain. Hormis l'enveloppe. Son odeur nauséabonde te prenait aux tripes. Dégoût. Un prince. Un foutu prince. Tête baissée, il arrive vers vous. Déstabilisé par ton manque de jugement, tu ne sens pas ta proie se défaire de ta prise. La panique le prend et il repart. Tes mains de nouveau au fond de tes poches, tu tentes de garder un minimum de contenance face au regard accusateur du démon. Au final, tu aurais dû rester perché angelot. Te mêler des histoires des autres ne t'attire que des ennuis. Car, oui, tu comprends bien que ta nuit vient de commencer. (C'était du fantastique donc si vous comprenez pas tout, c'est normal )
Dernière édition par L. Octave Acanthe le Jeu 17 Juil - 20:25, édité 2 fois