[Fiche terminée] La French touch aux States - Louis.
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Sujet: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 0:56
Louis Valentin de Chablis FEAT. Clément Chabernaud
âge →23 ans Né(e) à→ Paris le → 30/03/1991 Métiers → Etudiant Études → Ecole de Commerce Statut → Célibataire Orientation → Bisexuel Groupe → Populars
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Est un descendant d’aristocrates français qui ont fait fortune dans le vin blanc éponyme à son nom de famille. → N’aime aucun animal, excepté les chats, pour leur prétendue fourberie. → Est imberbe. → Garde son accent français lorsqu’il parle anglais – ou toute autre langue étrangère. → Soigne quotidiennement son apparence, quitte à dépenser des sommes astronomiques en cosmétique, manucures et épilations des sourcils. → Paradoxalement, n’aime pas les filles trop maquillées, « pot-de-peinture ». → Suit telle une brebis la mode vestimentaire. → Ne s’habille uniquement qu’avec des vêtements de marque, profitant de l’argent des parents. → Fait de la musculation presque quotidiennement. → N’écoute pas de musique postérieure à 1900. → Ne regarde que des films français, et uniquement ceux antérieurs à 1985, quelques exceptions sont toutefois faites. → Voue un culte à Victor Hugo. → Est allergique à l’encre des tatouages. Lorsqu’il est en contact avec celle-ci, ses joues se mettent à enfler et des boutons apparaissent partout sur son corps. → Aime uniquement la cuisine française et italienne. → Boit, fume, se drogue, et pense parfois à la prostitution, pour la postérité. → Paradoxalement, est facilement saoul ou shooté. → Vit tout nu chez lui.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→Louis rassemble à peu près tous les traits de caractères les plus détestables qu'il puisse être, faisant parfois de lui un asocial ou un marginal pourtant bien intégré dans la société. Son visage, froid et inexpressif, retire généralement - les premières fois toutefois - l'envie des autres de s'approcher ou d'engager quelconque conversation avec lui. A vrai dire, il ne fait rien en retour pour discuter avec ces mêmes personnes, et n'est aucunement gêné de ne pas parler toute la journée, ses pensées étant de loin son meilleur ami, avec lequel il peut s'entretenir de longues heures sans jamais en être lassé, peut-être parce qu'elles sont assez dignes pour lui parler. Il ne sourit jamais - ou très rarement, pour ne pas laisser s'échapper quelque émotion qu'il soit. Son ton est toujours monotone, accentuant davantage la froideur, et ne laisse aucun sentiment s'échapper de ses propos, à tel point que l'on pense souvent de lui qu'il est incapable de ressentir tout émotion ou tout sentiment.
Quiconque parvient à engager la conversation avec lui découvre, derrière ce visage froid, un homme détestable et désagréable au plus haut point. Ses propos sont bien souvent provocateurs, et laissent transparaître son cynisme assumé qui a bien souvent choqué plus d'une personne. Irrespectueux envers ceux qu'il considère comme « inférieurs » à lui - de par la condition sociale, qu'il juge principalement sur le style vestimentaire -, il n'hésite point à être insolent et faire comprendre qu'il est supérieur aux autres, laissant transparaître également un côté hautain. Egalement narcissique et égocentrique, il essaie par tous les moyens d'être le centre des discussions, qu'on le critique ou qu'on fasse son éloge ; et n'a cure des autres. Son bien-être est son seul problème, et n'éprouve aucune pitié face aux malheureux, loin s'en faut.
Le paroxysme de l’homme désagréable et antipathique est probablement atteint grâce – ou à cause – son côté misogyne, sinon bien souvent misanthrope. Il voue généralement une haine à la femme, trop émotive et sentimentale à son goût, incapable d’être – à son sens – rationnelle, sans pour autant apprécier davantage les hommes, certainement car ceux-ci aiment les femmes. Cependant, énième paradoxe, il a souvent eu des relations avec des femmes et des hommes, préférant toutefois ces derniers, pour leur virilité principalement.
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
A l’instar du Roi-Soleil, non pas la troupe musicale mais le monarque grâce auquel sa famille avait accédé au rang de noble, Louis aurait pu se prénommer « Dieudonné ». Ce dernier était le fils espéré de la famille de Chablis, et même plus, puisqu’il s’agissait de l’enfant espéré. Ses parents avaient en effet longuement, et vainement, tenté d’avoir une descendance, moult tentatives qui furent toutes des échecs, sans réellement que l’on sache pourquoi, finalement. Ce n’est que vers trente-trois ans que sa mère, Valérie-Anne du Charolais, fut enceinte de Louis, après plus de six années d’essais avec son époux, Charles de Chablis. La richesse, aussi importante soit-elle, ne permettait pas pour autant de procréer comme ils le désiraient pourtant.
L’enfant – et héritier – tant attendu naquit le trente mars mille neuf cent quatre-vingt-onze, dans l’un des hôpitaux du seizième arrondissement, là où résidaient ses parents. Il eût une enfance relativement normale, comparée à celle des autres personnes de son âge – et toutes classes sociales confondues –, toutefois avec une éducation davantage « bourgeoise », principalement axée sur la retenue, qui n’était pas sans déconcerter certains de ses camarades à l’école, probablement la cause de son sentiment de supériorité vis-à-vis des autres. Une maîtrise de soi qui lui sera d’ailleurs fort bien utile à l’avenir, et ce notamment pendant le collège, période pendant laquelle ce côté « bobo » lui causera de nombreux problèmes.
Ses premières années d’adolescent furent marquées par un renfermement sur soi-même, lié à la découverte d’une bisexualité qu’il ne parvenait pas à assumer aux yeux des autres, développant par la même occasion une certaine agoraphobie dont il lui faudra des années avant de s’en échapper, bien qu’il garde à l’heure actuelle encore quelques séquelles de celle-ci, malgré les apparences. Ce furent également les premières relations avec des filles d’abord, les premiers amours, puis au fur et à mesure, des garçons, qui, peu à peu, s’introduisirent dans la vie du jeune bourgeois, le troublant toutefois légèrement. Comme pour beaucoup, cette période fut celle de nombreux changements dans le caractère et le comportement de Louis, qui devint alors plus froid et plus distant vis-à-vis des autres, changements qui persistent encore aujourd’hui.
Vers l’âge de quinze ans, à sa sortie du collège, plusieurs évènements vinrent bouleverser les habitudes de la famille. En effet, alors que les affaires familiales prospéraient bien en France, notamment grâce à leur domaine sis sur le Chablis, terre ancestrale depuis plusieurs siècles maintenant, le couple décida de quitter la République française afin d’émigrer vers les Etats-Unis, et notamment la capitale économique et financière de ces derniers, à savoir New York, principalement pour des raisons économiques, premièrement l’expansion du marché américain des vins blancs français, mondialement réputés, dont ceux en provenance de Bourgogne ; mais aussi à cause des impôts sur le revenu, la fortune et les sociétés qui devenaient de plus en plus lourds à supporter, en bref, un exil fiscal motivé par de nouvelles perspectives économiques.
Ce déménagement, imprévu, troubla plusieurs mois durant le jeune Louis, qui connaissait peu l’anglais et la culture américaine, sinon par les diverses séries qui passaient à la télévision. Les amitiés passées, en France, disparurent et laissèrent seul durant toute cette période le bourgeois parisien. Renouer des liens avec les autochtones fut pour lui difficile, notamment à cause des différences culturelles qui existent entre les deux pays, mais aussi – et tout simplement – à cause de la langue. Bien qu’il étudia au lycée français de New York, bon nombre de ses camardes étaient anglophones, et il ne portait guère en estime une partie des francophones présents.
Mais New York, une fois l’adaptation de Louis faite, fut source de renouvellement pour le jeune homme, qui y découvrit notamment la mode – quoique Paris est également réputée pour être la capitale de la mode. Le Chablis commença alors à s’épanouir, dans les magasins de vêtements de luxe, comme Prada, Louis Vuitton, etc., mais aussi dans les quartiers chics de la Big Apple, nouant dans ces derniers quelques relations, avec lesquelles l’homme a un comportement totalement différent qu’avec les autres personnes en général. Une fois les études au lycée achevées, il s’inscrit et fut admis à une école de commerce, dans l’optique d’exercer la profession très controversée et critiquée de banquier, dans les années à venir.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Louis, 16 ans. Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Sur un annuaire de RPG. Ce personnage est-il un double compte ? → Nope. Présence sur le forum → Autant que possible, plus de précisions avec la rentrée. Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. Crédit images → Tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
Tiré d'un RP Moyen-Age sur un autre jeu, avec quelques petits anachronismes totalement assumés.
La vapeur avait envahi la pièce entière dans laquelle la chaleur était presque étouffante pour quiconque arrivait dedans, mais bien plus supportable pour celui qui était à l’intérieur depuis plus d’une heure déjà et qui, peu à peu, sentait l’agréable augmentation de la température. Celui qui était à l’intérieur de cette pièce, située dans l’Aile Est de l’hôtel, ce n’était autre que le propriétaire de celui-ci, César. Il s’agissait des termes qu’il avait fait aménager dans sa demeure sitôt qu’il s’en était accaparé, il y a quelques semaines de cela déjà, refusant d’aller dans les publics dans lesquels se côtoyaient généralement nobles, bourgeois et gueux, ce qui pouvait paraître invraisemblable au premier abord, mais la noblesse semblait devenir de plus en plus gueuse, au grand dam des valeurs qu’elle était censée représenter.
Il était à son habitude seul à l’intérieur, alors que ses domestiques et esclaves s’attelaient à leurs tâches quotidiennes. Le connétable nageait tranquillement, d’un bout à l’autre de la cuve qui mesurait deux toises de longueur, pour trois de largeur, c’est-à-dire près de vingt-trois mètres carrés remplis d’eau, qui devaient être continuellement chauffés à bonne température pour le plus grand bonheur de l’héritier du Duc, qui se prélassait au moins une fois tous les deux jours dedans, tôt le matin ou tard le soir, avant de commencer une dure journée de labeur ou pour se décontracter d’une qui vient d’être achevée ; ou parfois même par pur plaisir comme actuellement. Cela avait un coût, certes, exorbitant même, quoi qu’il serait davantage élevé si Belley n’était point une ville forestière et qu’il pouvait par conséquent avoir du bois à moindre coût. Le luxe était cher.
Le di Leostilla, alors adossé contre un rebord et assis sur l’une des marches en pierre lice se laissa doucement glisser dans l’eau, les yeux fermés. Il se laissait emporter lorsque soudainement, et cela était habituel, la porte fut ouverte par l’un de ses domestiques, qui manqua de s’évanouir par la température qu’il faisait dans la pièce, venant de prévenir de l’arrivée du capitaine de Savoie. Les cloches de l’église avaient sonnées, il les avait à peine entendu, alors qu’il avait une réunion de prévue avec son collègue, tout droit venu du Languedoc qui avait une certaine chance tout de même d’avoir un tel poste alors qu’inconnu de par la quasi-totalité des savoyards ; avec qui s’était nouée une certaine amitié entre les deux hommes qui n’hésitaient point à faire quelques complots tous les deux sur des cibles bien définies, tels de vrais politiques, sans jamais réellement se soucier des conséquences que cela pourrait avoir sur les autres.
« - Mais faîtes-le entrer dans l’hostel, coquebert ! Ne le laissez point dehors, et faîtes-le patienter dans l’une des pièces ! Ne soyez point stupide, voyons ! »
À son habitude, le di Leostilla éleva la voix. Il trouvait généralement une certaine ressemblance entre ses nègres de maison, ainsi que ses domestiques, avec les différents membres du parti Sabaudia - et dernièrement sa sous-liste, Savoie Sans Mensonge -, à la différence prêt que ces premiers restaient bien plus obéissants et utiles que ces derniers. Sans cesse, le fils du Duc était obligé de répéter les mêmes ordres, alors qu’ils devraient finir par les connaître, théoriquement, s’ils étaient dotés un cerveau un peu plus massif que celui des ennemis politiques susnommés. Mais il n’en était rien, et il perdait un temps conséquent, chaque jour. Le pire devait certainement être les esclaves d’Afrique du nord, qu’il avait acquis il y a quelques temps déjà, et qui trouvaient bon de se montrer en public en venant ouvrir aux visiteurs, ce qui ne manquait généralement pas de les effrayer.
L’homme se hâta de sortir de la piscine, dans laquelle il était pourtant si bien, se ruant sur quelque serviette en soie, importée d’Asie par ses propres soins, grâce à un marchand de soie oriental, afin d’essuyer son corps avant de se revêtir pour être un peu plus présentable devant son ami que s’il venait l’accueillir nu, assurément. À peine fut-il essuyé, bien que ses cheveux restaient quelque peu humide, qu’il enfila sur le champ ses vêtements : chaussures, braies pourpre, chemise de soie blanche, une petite veste de couleur pourpre, également, avec son mantelet d’apparat, fourrure de vison ; et sa toque à plume. Une tenue imaginée pour les riches et puissants nobles et portés par ces derniers, l’une des préférées de César, à vrai dire, qui appréciait de loin transpirer le luxe, refléter par ses vêtements la puissance, la richesse et la gloire.
César vint accueillir Nikolaï, qui avait été convié dans ce qu’il surnommait la salle pourpre, l’un des salons de l’aile ouest donnant sur les jardins de l’hôtel, dans laquelle divans et fauteuils étaient installés, ainsi que de petites tables auprès de chacun sur lesquelles pouvaient aisément tenir un plateau de victuailles ainsi qu’un verre, sur une petite planche située juste en dessous. Les imposantes fenêtres étaient entourées par d’immenses draperies en soie de couleur pourpre, ornées de fines décorations de couleur dorées sur les extrémités, qui rejoignaient les innombrables tapis qui recouvraient le sol, alors qu’une cheminée avait été mise là, entourée de deux colonnades en marbre. Les murs, quant à eux étaient comblés par chandeliers et tableaux des illustres ancêtres du di Leostilla, mais aussi des blasons et des armes de son auguste famille. Bref, vous l’aurez compris, ça pue la richesse ici, c’est la Savoie bling bling qui n’hésite pas à manger au Fouquet’s au soir d’élections victorieuses et à passer ses vacances sur un yacht en bois sur la Méditerranée.
« - Sois le bienvenu céans, mon ami. J’espère que tu as fait bon voyage depuis Chambéry. Je t’en prie, prends place sur l’un des divans, et n’hésite point à te servir en nourriture. »
Le di Leostilla fit un geste de la main pour accompagner ces quelques propos, après lui avoir fait l’accolade de coutume entre les nobles, et s’installa sur l’un des divans, s’allongeant tout en regardant son ami, ne manquant pas d’esquisser d’un sourire.
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Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 1:05
Oh qu'il est beau le frenchie Clément Bienvenue
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Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 1:34
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 1:56
Bienvenue
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Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 3:28
Bienvenue J'ai beaucoup aimé lire ta fiche ton personnage m'a l'air intéressant! Je te pré-valide donc et une admin passera t'ajouter à ton groupe.
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Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 3:50
Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 11:51
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validé !
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Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 12:53
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 13:59
Bienvenue
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Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 18:02
Héhé, merci beaucoup à vous tous !
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Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis. Jeu 24 Juil - 19:49
Je te l'ai dit sur la CB déjà mais bienvenue
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Sujet: Re: [Fiche terminée] La French touch aux States - Louis.
[Fiche terminée] La French touch aux States - Louis.
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