Sujet: noah ► the best is yet to come. Mar 12 Aoû - 22:49
Noah Jasper Lieben-Weiss FEAT. BEN BARNES
âge → 30 ans. Né à→ Boise, Idaho. le → 10/08/1984. Métiers → pédiatre. Études → achevée depuis un moment. Statut → divorcé. Orientation → hétérosexuel. Groupe → workaholics
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Il a des origines allemandes et autrichiennes. → Son père est d’ailleurs né à Vienne. → Il a lui-même vécu durant cinq ans dans la ville natale de son paternel après le divorce de ses parents. → Il est toujours souriant, il trouve que c’est important de l’être puisque la vie lui paraît déjà bien assez difficile pour que les gens en rajoutent en tirant toujours la tronche. → Deux semaines par an, il prend des vacances pour se rendre dans sa ville natale où il se sent toujours merveilleusement bien. → Après une longue journée de travail, il aime se détendre en buvant un bon verre de vin en écoutant une petite musique tranquille. → Il parle couramment l’anglais, le français et l’allemand. → Il a toujours voulu être pédiatre et malgré les longues études, il n’a jamais eu envie de baisser les bras. → Noah a les dates 24.02.1991 et 5.12.1993 tatouées à l’intérieur de son bras ; ce sont les dates de naissance de sa sœur et son frère. → Il est très proche d’eux, et ne supporte pas l’idée qu’on puisse leur faire du mal. → Noah a été marié pendant cinq ans. → Sa femme l’a trompée avec un ami qu’ils avaient en commun et depuis, il ne fait plus franchement confiance aux femmes qu’il fréquente. → Il est officiellement divorcé depuis une petite année ; il a vécu cela comme un vrai soulagement. → Il se consacre entièrement à son travail et bosse même un peu trop parfois. → Noah fume de temps en temps, mais n’est pas dépendant à la nicotine pour autant. → Il joue au tennis depuis de nombreuses années et fait des matchs avec des collègues certains week-end. → Il ne rate jamais les tournois de tennis. → Il est un grand fan de Djokovic. → Il aime aussi le basket-ball et le football. → Il a d’ailleurs fait la fête seul après la victoire de l’Allemagne lors de la dernière coupe du monde. → Il souffre parfois de la solitude, mais il préfère vivre ainsi qu’avec une personne qui ne le respectait pas. → Il aime faire la cuisine, mais ne se considère pas comme un cordon bleu, d’autant qu’il a souvent la flemme de se mettre derrière les fourneaux.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Sympathique, charmant, à l’écoute, généreux, fiable ; les qualités sont nombreuses autant que les défauts qui vont suivre. Noah est quelqu’un de simple qui déteste vraiment les prises de tête et qui aime encore moins être au milieu d’une dispute ou en être la cause. Il évite les conflits, il préfère les fuir comme la peste. D’un naturel sympathique et avenant, il n’est pas difficile au jeune homme de se faire des amis ou tout du moins, de nouvelles rencontres qui se transforment rapidement en de vraies amitiés. Il faut dire qu’il est du genre fidèle et qu’il déteste les personnes qui trompent les autres - que ce soit amicalement ou amoureusement -. Il a lui-même subit une telle trahison et ne souhaite en aucun faire la même chose. Attentif et à l’écoute des gens, il est une oreille très attentive et une épaule sur laquelle on se repose facilement ; il ne laisse jamais les personnes qu’il aime seules dans la souffrance, il ressent toujours le besoin de comprendre et en faire en sorte de les apaiser par des mots ou des attentions. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard s’il est pédiatre puisqu’il rassure toujours énormément les parents qui viennent et qui s’inquiètent pour le moindre petit problème de leurs enfants. Noah écoute vraiment bien et prend sans cesse le temps d’expliquer les choses correctement. Souriant et charmant, sa mère dit souvent de lui qu’on lui donnerait facilement le bon Dieu sans confessions. Il faut dire que son sourire met de suite en confiance et il est vrai qu’on ne résiste que très difficilement à sa belle gueule. Mais Noah ne possède pas que des qualités qui font de lui un homme parfait et sans problèmes. Il arrive aussi qu’il se montre distant lorsqu’il en ressent le besoin et il n’aime pas qu’on le dérange ou qu’on le questionne dans ces moments-là. Si il peut être un grand bavard, il sait aussi faire silence durant des heures si il n’a pas envie d’ouvrir la bouche. Il ne se justifie que très rarement et estime parfois à tort qu’il n’est pas nécessaire qu’il le fasse. Noah possède également un esprit assez critique et il arrive que les mots dépassent ses pensées ; il peut être blessant mais ne le fait jamais de manière volontaire. Il préfère de loin les sourires aux larmes.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → WS - Ingrid - 23 ans. Comment es-tu arrivé(e) ici ? → houlà, ça remonte ! je suis une vieille branche now. Ce personnage est-il un double compte ? → un TC, même. et un changement aussi. Présence sur le forum → régulière. Personnage inventé ou scénario ? → inventé. Crédit images → tumblr et bombshell.
Mon exemple de RolePlay:
Il est un peu plus de quinze heures lorsque je sors enfin de mon rendez-vous si important et je suis plutôt satisfait des discussions et du contrat que nous avons signés. Cela faisait déjà pas mal de temps que j’étais en discussion avec des gens qui voulaient que je fasse une émission culinaire, mais ils n’y connaissaient pas grand-chose en cuisine et je n’aime pas l’idée de parler avec des gens qui ne comprennent rien et qui veulent faire une émission à la con. Je voulais que mes idées soient entendues et surtout, qu’on respecte mon travail parce que c’est ma passion et toute ma vie. Du coup, il a fallu que je me rende en Californie où se trouve le grand patron qui voulait cette émission et nous avons eu un feeling, je suis plutôt content parce qu’il comprend mon point de vue et le respecte vraiment. C’est tout ce que je voulais. Je n’ai pas envie d’être un pantin entre les mains de ces gens ; j’ai un avis, des idées et une grande gueule qui s’exprime toujours plus que nécessaire, mais c’est aussi pour cela qu’on m’apprécie je pense. Lorsque j’étais dans l’émission, je faisais le show et c’est aussi ce qui plaît à ce type.
Je rejoins finalement Santiago dans l’hôtel où nous restons pour le week-end. J’avais envie de partager un moment pareil avec un membre de ma famille et je me suis rendu compte que je ne passais plus autant de temps que je le voulais avec mon cousin, donc c’était une occasion toute belle pour le faire. Même si j’ai toujours été plus proche de Sandro – qui fait actuellement un road trip -, je me sens tout aussi proche de Santiago tout comme de mes autres cousins et cousines. Nous sommes une grande famille et nous le prouvons toujours un peu plus tous les jours. Enfin, j’entre dans la chambre et affiche un large sourire de parfait imbécile heureux.
« Hey ! Devine qui va de nouveau avoir sa gueule à la télévision ? »
J’écarte les bras, signe que c’est bien moi et me marre comme un idiot. Je ne prends pas la grosse tête pour autant, je sais trop d’où je viens et tous les efforts accomplis pour faire ce que je fais actuellement et franchement, je suis trop fier du parcours que j’ai fais depuis toutes ces années. Et tout ça, c’est grâce à ma grand-mère qui m’a transmis sa passion de la cuisine, sans elle, je ne serai probablement pas là où j’en suis actuellement. Je lui dois tout. Et je dois tout à ma famille qui me soutient depuis toutes ces années. Je fais aussi tout cela pour eux. Je vais gagner encore plus d’argent et je pourrais offrir un avenir plus confortable à mes parents.
« Pour fêter ça, je propose qu’on aille sur la plage, qu’on se paye des bons p’tits cocktails et qu’on drague des gonzesses ! » je marque une petite pause, je me tourne de nouveau vers Santiago et me marre. « Euh nan, nan, je retire… J’avais l’habitude de dire ces conneries-là à Sandro. » un nouveau rire m’échappe avant que je ne prenne des affaires pour me changer et être plus confortable. « Tu vas rien draguer du tout. » et surtout pas des meufs puisqu’il est gay et en couple – ah ah trop con le Juanito -.
Ça va, je sais que parfois je dis des conneries, mais ce n’est pas de ma faute, c’est la force de l’habitude. Je balance toujours des phrases dans lesquelles il est question de draguer des gonzesses, je ne peux pas faire différemment.
« Je me change et on y va ! »
Je vais jusqu’à la salle de bain et me change rapidement, j’ai trop hâte. Je suis trop en pleine forme, je vais le tuer avec mon énergie le cousin, mais c’est que du bon et on n’a pas toujours l’occasion de faire la fête comme ça. Donc la plage durant l’après-midi, on sirote des cocktails et ce soir on bouge aussi. Faut qu’on profite, la vie est courte !
Dernière édition par Noah J. Lieben-Weiss le Mer 13 Aoû - 18:04, édité 5 fois
Sujet: Re: noah ► the best is yet to come. Mar 12 Aoû - 22:49
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Je n’ai pas grand-chose à dire de mon enfance. Je suis né à Boise, dans l’Idaho, d’un père Autrichien et d’une mère Américano-Allemande. Tous les deux plutôt aisés, je ne manquais de rien et je n’avais pas à me plaindre des conditions dans lesquelles on vivait à l’époque – d’autant qu’on restait dans un endroit calme et j’étais un enfant plutôt heureux et épanouit. Je passais beaucoup de temps avec ma mère parce qu’elle restait plus souvent à la maison alors que mon père voyageait beaucoup dans le cadre de son travail. C’est d’ailleurs probablement la cause du divorce de mes parents. Je n’avais que quatre ans lorsqu’ils ont mis un terme à leur mariage ; je ne comprenais pas grand-chose, mais je savais que mes parents n’allaient plus vivre ensemble. Cela ne m’empêchait pas franchement d’être heureux puisque je les voyais tous les deux ; j’étais chez l’un et l’autre une semaine sur deux et puisqu’ils vivaient encore dans la même ville, cela facilitait grandement les choses.
Deux années plus tard, ma mère avait refait sa vie avec un autre homme. Je ne m’entendais pas très bien avec lui, je le trouvais trop autoritaire et il souhaitait prendre une place qui ne lui appartenait pas : celle de mon père. Je ne voulais pas qu’il se prenne pour lui puisque j’avais déjà un père et je n’en souhaitais pas un second. Je n’arrivais pas à être bien en sa présence alors je passais plus de temps chez mon père tentait de faire comprendre à ma mère que ce n’était pas évident pour moi, mais elle semblait trop se plaire dans son petit paradis. J’avais sept ans lorsque ma sœur est venue au monde et peu après avait suivi mon petit frère. Ils étaient certes, mes demis frère et sœur, mais cela n’avait aucune importance à mes yeux, je les aimais malgré tout. Mais cela ne s’arrangeait absolument pas avec mon beau-père qui s’en prenait sans cesse à moi pour la moindre raison. Ce qui avait fait déborder le vase aux yeux de mon père fut la gifle qu’il m’avait donné ; après cela, il ne voulait plus que je reste chez ma mère a même obtenu ma garde exclusive. J’avais donc neuf ans lorsque nous sommes partis ensemble en Autriche, dans son pays natal.
J’avais du mal à me faire au changement, mais heureusement, je parlais la langue puisque j’avais appris avec mon père et ma mère. Je ne la maîtrisais pas encore à la perfection, mais je faisais des progrès. J’avais un professeur particulier et j’allais à l’école, comme tous les autres enfants. Cela me semblait tellement différent de la vie aux Etats-Unis que j’avais eu du mal à me faire de nouveaux amis et quelques repères, mais après quelques semaines, tout allait pour le mieux. J’étais plus heureux loin de mon beau-père, mais ma mère me manquait autant que mes frère et sœur. Je rentrais à Boise lors des vacances et je faisais abstraction de la présence de mon beau-père qui, d’ailleurs, semblait s’être calmé. Il avait du comprendre que ma mère ne lui passerait pas une deuxième fois un tel geste envers moi.
Ces années en Autriche m’avaient fais le plus grand bien, mais j’étais heureux lorsque nous avons repris l’avion définitivement pour les Etats-Unis. Certes, j’allais vivre à New York, mais cela me convenait très bien. J’avais quatorze ans lorsque nous sommes revenus et je crois que je n’avais jamais été aussi heureux de toute ma courte vie. J’allais dans un collège privé parce que mon père voulait que je réussisse à tout prix, il mettait un point d’honneur à ce que je sois parmi les meilleurs et si je pouvais être le premier, c’était encore mieux à ses yeux. Je voulais vraiment qu’il soit fier de moi parce qu’inconsciemment, il est vrai que je voulais toujours son approbation et ses félicitations. J’étais souvent impressionné par lui, par sa carrière et par la façon dont il gérait ses affaires : il ne laissait jamais rien au hasard. Mais ce n’est pas pour autant que je voulais suivre ses traces, non, moi je savais que je voulais être médecin.
« Chirurgien ? » m’avait demandé mon père. J’avais dis non, que je ne voulais pas être chirurgien, mais pédiatre. J’avais lu la surprise dans ses yeux. Je ne savais pas ce qu’il allait en dire, mais je savais déjà que ma mère était heureuse et fière de mon choix. Je m’étais rapproché d’elle depuis mon retour et comme ils vivaient à présent dans le Maine, on se voyait plus souvent. Mais quoiqu’il en soit, mon père m’avait regardé longuement avant de sourire et hocher la tête en me souhaitant bonne chance. J’avais été soulagé qu’il le prenne ainsi, je ne voulais pas qu’il veuille autre chose pour moi ou qu’il me force à prendre une autre direction dans mes études. C’était important que mes deux parents soient fiers de moi.
Pendant mes études, j’avais fais la rencontre de Judith de qui j’étais tombé fou amoureux en peu de temps. Il faut tout dire qu’elle avait tout pour plaire et qu’elle me semblait presque comme étant la femme parfaite. Elle me semblait sérieuse et on avait de nombreuses passions communes, ce qui faisait qu’on était encore plus proches au fil des semaines et des mois. Je l’aimais de plus en plus et je sentais que c’était réciproque. Parfois, on n’avait pas besoin de mots, on se comprenait facilement d’un simple regard. Cela n’avait étonné personne lorsqu’on avait annoncé nos fiançailles. Nos proches et amis étaient ravis pour nous, ils disaient qu’on formait un couple parfait et qu’on allait être heureux ensemble… Ouais, je le croyais aussi.
Vingt-trois et j’étais déjà marié. Cela avait eu le don d’en surprendre quelques uns, mais je m’en fichais royalement. J’étais sûr de moi et convaincu que j’allais faire ma vie avec Judith. Mes études se passaient merveilleusement bien, je ne voulais rien d’autre. Cela suffisait à ce que je sois heureux. Alors oui, il arrivait parfois que j’ai des baisses de moral et de motivation, mais je ne lâchais jamais rien, je ne pouvais pas me le permettre. J’avais un but et je comptais bien atteindre mes objectifs.
Les années suivantes avaient été moins heureuses. Si dans mes études tout allait au mieux, ma vie personnelle n’allait pas aussi bien. Judith me reprochait d’être sans cesse absent (elle avait abandonnée ses études et était donc bien plus libre que moi avec les horaires) et moi, j’avais besoin qu’elle comprenne que c’était important pour moi de réussir tout ce que j’avais entrepris. On avait tout le temps des disputes et elle m’énervait plus qu’autre chose, donc forcément, je préférais être loin plutôt que chez nous… Je me disais parfois que j’avais peut-être fais une connerie en l’épousant si rapidement.
Et ça avait été confirmé. J’étais heureux parce que j’étais enfin pédiatre et j’avais le droit d’exercer : objectif accomplit ! Ma carrière allait prendre un tournant que je voulais et j’avais fêté la nouvelle avec tous mes proches, mais le reste n’allait pas aussi bien. Judith avait une liaison avec un ami qu’on avait en commun et le pire dans l’histoire, c’est qu’elle ne le cachait pas franchement, à croire qu’elle se fichait de tout, même de moi. Lorsqu’on avait abordé le sujet, elle m’avait tout avoué, parce que je ne voulais pas complètement y croire, idiot que je pouvais être. « Je suppose que tu veux divorcer ? » m’avait-elle demandé, d’une voix assez détachée. « Tu suppose bien. » avais-je répondu de la même manière. Je ne voulais plus être lié à cette femme.
L’année suivante nous étions divorcés et je me sentais soulagé. C’était bien mieux ainsi, je le savais. À présent, je me consacre entièrement à mon travail, j’y passe même beaucoup de temps, mais c’est ce que j’aime faire donc je me donne à fond, peu importe le temps que j’y passe. J’essaie quand même de me reconstruire malgré tout cela et j’apprends de nouveau à faire confiance aux femmes, même si ce n’est pas si évident que ça en paraît.
Dernière édition par Noah J. Lieben-Weiss le Mer 13 Aoû - 18:11, édité 1 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: noah ► the best is yet to come. Mar 12 Aoû - 22:54
Je te fais ça
Re-Bienvenue Très bon choix (comme toujours )
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: noah ► the best is yet to come. Mar 12 Aoû - 22:58
Shiloh!
Re-bienvenue parmi nous! J'adore le choix d'avatar et de pseudo!
Sujet: Re: noah ► the best is yet to come. Mer 13 Aoû - 18:14
merci toi
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: noah ► the best is yet to come. Jeu 14 Aoû - 12:40
Oh le charmant garçon que voilà Rebienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: noah ► the best is yet to come. Jeu 14 Aoû - 15:53
j'aime le perso prévalidé, tu connais la maison
Katerina M. Lehtonen
Empire State of Mind
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▌INSCRIT LE : 15/04/2012
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▌CÉLÉBRITÉ : Demetria Devonne Lovato.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: noah ► the best is yet to come. Jeu 14 Aoû - 16:43
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validé !
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Sujet: Re: noah ► the best is yet to come.
noah ► the best is yet to come.
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