frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right?
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Sujet: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Mer 1 Oct - 23:33
Frey Evan TRASH FEAT. ASHTON IRWIN
âge →19 ans Né(e) à→ Londres le → 05/06/1995 Études → Études en musique, mais finalement ne fait pas grand chose. Statut → En couple avec Charles-Henri Orientation → Homosexuel Groupe → Rebels
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Quand on te voit dans la rue, tu passes presque inaperçu. T’as rien de vraiment particulier, si ce n’est ton bandana ou ton bonnet. Rares sont les fois où tes cheveux sont à l’air libre. Si, cependant, ils le sont, alors ils sont doucement ondulés, voire en fait, carrément bouclés. Tu portes quelques fois des lunettes car tu es myope, mais comme c’est très léger, tu les portes que quand c’est vraiment utile. Tu les aime pas, tu trouves que ça te donne un côté bon garçon que t’es pas. Sinon, on peut te voir trainer dans la rue de temps à autre à rien faire. T’as souvent des écouteurs dans les oreilles, et t’écoutes du rock’n’roll, mais pas seulement. Tes goûts en matière de musique sont assez étranges. Y’a un époque où tu écoutais Tokio Hotel, mais où tu écouter Rammstein en même temps. Les gens ont jamais compris, mais bon, tu t’en fous. T’as un tatouage sur le dos. C’est petit, voire minuscule. Un tout petit truc. Un petit oiseau. Il est pas coloré. Mais tu l’aimes beaucoup. T’as envie de t’en refaire d’autres, celui-là te suffit.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Une chose est sure, t’es pas un grand fan des autres en général. A part Charles, tu traines pas avec grand monde. Ou plutôt si, mais c’est des personnes à qui tu t’es jamais réellement intéressé. T’es pas trop du genre à parler à tout le monde en mode le grand social. T’es plutôt le mec qu’est dans une bande, mais sans rien connaître des gens qui y sont. Tu souris rarement, ou alors tu t’y obliges. T’aimes pas pardonner aux gens qui t’ont fait du mal. Tu crois pas à la phrase qui dit pardonne et oublie, toi, c’est plutôt pardonne pas, et oublie jamais. Cela dit, t’aimes pas l’idée même de la vengeance. Tu l’as aimé autrefois, au début, mais maintenant, t’as trouvé ça lassant. Alors quand des gens te font du mal, tu laisses passer. Tu oublies pas, t’es froid, méchant, mais tu te venges pas. Tu fumes pour essayer d’oublier tes problèmes passés. T’es pas attentif, t’arrives jamais à te concentrer sur un truc. T’as la bougeotte, tu peux pas rester sans rien faire, et quand c’est le cas, tu tapes le rythme de ta musique avec ton pied, parce que ça te fais bouger. Sinon, basiquement, t’es plutôt sympa comme mec. T’aimes bien aider les gens. Tu vas aider une petite fille à retrouver sa mère, mais t’iras pas chercher pourquoi elle s’était perdue de base. T’es comme ça. T’essayes rarement de comprendre ce qu’il se passe dans la vie des gens puisque t’as déjà bien assez de choses à comprendre dans ta propre vie. Certaines personnes diraient que t’es drôle. C’est vrai, t’es un clown. De temps à autres. T’aimes bien faire rire les gens quand t’es de bonne humeur. Seulement t’es hyper lunatique. Tu peux être super heureux à un moment, et la minute d’après être renfermé sur toi-même sans vouloir parler à personne. Et t’as toujours été comme ça. Alors les rares personnes qui te connaissent font avec, et les autres sont surpris. Mais tu t’en fous. Parce que une des choses qui te caractérise le plus, c’est que l’opinion des autres, toi tu t’en fous.
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Des fois, comme ça, ça t’arrives, t’es plongé dans tes pensées, assis sur le rebord de la fenêtre, en attendant que Charles rentre du boulot. Tu sais pas ce qu’il fait, et t’aimerais lui demander, mais au final tu passes toujours à autre chose, t’oublies de lui en parler. La musique dans les oreilles, tu ressasses comme quasiment une fois tous les jours comment t’es arrivé ici. Tu te rends compte que sans Charles, tu serais pas là aujourd’hui, et même si tu t’en veux de penser comme ça, tu te demandes si ce serait pas mieux. T’as jamais parlé à Charles de ça, de tes doutes. T’as jamais voulu lui dire que même si ton beau père était un affreux enfoiré, ta mère l’aimait. Tu baisses la tête et te replonges dans le souvenir du moment où t’as appris que ton père, celui que t’aimais et qui t’aimait, est mort.
« Maman, maman, c’est qui les messieurs ? » Ta mère pleure, et sans trop savoir pourquoi, t’as soudainement envie de pleurer aussi. Ta mère pleure jamais. Jamais. Et qu’elle pleure là, c’est que quelque chose de mal est arrivé. T’as cinq ans à l’époque, mais t’es pas con. Pourtant, même si t’as envie de pleurer, tu souris, parce que tu comprends pas bien pourquoi des gens tout habillé de kaki viennent se pointer chez toi. A bien y réfléchir, tu penses même pas à tout ça. T’as cinq ans, et ta mère t’a toujours appris à être gentil avec les gens qui venaient vous voir. Donc tu souris et tu dis bonjour d’une voix toute mignonne. Les deux hommes, d’environ l’âge de ta maman te souris et se mettent accroupis face à toi. « Frey ! Tu m’as manqué ! Ça fait combien de temps hein ? Deux ans ? » Tu hoches la tête toujours un sourire aux lèvres, même si tu te souviens pas de la dernière fois où tu l’as vu. Mais ta mère pleure toujours et ça te fait bizarre. Alors finalement, tu demandes « Dit, tu sais toi pourquoi elle pleure ma maman ? » L’homme qui venait de parler fronce les sourcils. Il semble chercher ses mots. Il ouvre plusieurs fois la bouche pour finir par la refermer. Alors tu penches la tête et fronce les sourcils aussi. Il rigole doucement et toi aussi. T’as toujours réussi à faire rire les gens quand ils étaient tristes. Probablement parce que t’as une bouille bien plus mignonne que la moyenne des petits garçons de ton âge. Mais son sourire se fade vite et il se relève pour parler à ta mère. « On peut entrer ? » Ta mère se pousse pour leur laisser le passage, et toi tu lèves les bras. L’un des deux hommes, celui qui t’as parlé te prend dans ses bras pour te porter. Tu te souviens l’avoir déjà vu une ou deux fois, un peu plus de fois que t’as vu ton papa. Mais toi, tu le connais sous le nom de parrain. Il s’assoit avec toujours l’autre, mais qu’a rien dit depuis tout à l’heure et te mets sur ces genoux. « Expliquez lui moi je…je peux pas. » Ton parrain regarde ta maman bizarrement et secoue la tête. « T’es décourageante Fanny. T’es sa mère, t’es celle qui doit lui dire ça. » Tu vois ta maman baisser les yeux et monter les escaliers, te laissant seul avec ton parrain et un total inconnu. Lui, il a regardé ta maman monter, et t’as décidé à ce moment- là que tu l’aimais pas. T’étais franc à l’époque, alors tu lui as dit. « Je t’aime pas. » Ton parrain a rigolé et t’as chuchoté à l’oreille « Personne ne l’aime. » L’homme un peu plus vieux que ton papa et parrain lève les yeux au ciel et finit par te regarder. « Ton père est mort gamin. » Tu hausses les sourcils. T’es pas trop sûr de comprendre le concept de ce mot. Mais ton parrain réagit au quart de tour. Il te pose sur le canapé et se lève « MAIS T’ES PAS BIEN TOI !!! SORT D’ICI ! » L’homme à un sourire en coin et te fais une révérence avant de sortir de chez toi. Bon débarras. Tu regardes ton parrain qui s’assoit à côté de toi, et qui semble triste. « Frey, ton père… Il s’est fait tuer lors d’une mission. » « Mais il revient quand ? » « Il reviendra pas. »
Tu souffles, quand t’y repenses, t’aurais probablement jamais dû lui dire que tu l’aimais pas. Enfin t’avais cinq ans, et tu savais pas ce que tu disais à cette époque. Il aurait jamais dû t’en tenir rigueur. Mais pourtant, lorsqu’il est arrivé, quatre ans plus tard, à tes neuf ans, les yeux malicieux et la bouche en cœur, t’as compris que la vie chez toi serait plus jamais la même. Tu baisses les yeux, regardant ce qu’il se passe dehors par la fenêtre et tes souvenirs affluent. Et c’est pas la meilleure partie de ta vie.
« Mais maman, tu comprends pas ! » Ta mère t’écoutes pas pourtant. Elle est au chevet de cet homme dont elle est ‘amoureuse’ et elle vient de t’annoncer que dès qu’il sortira de cet hôpital, ton beau-père, Rodney et elle t’emmèneront dans une maison de correction. C’est pas de ta faute si t’as finit par repousser ton cher beau-père et qu’il est tombé dans les escaliers quand même si ? Enfin c’est pas comme si il avait toujours été parfait et gentil avec toi. Ah ça non, c’est carrément l’inverse même. Depuis qu’il a débarqué dans ta vie, il s’amuse, dès que ta mère est absente, à te frapper, à t’obliger à faire la vaisselle. Alors évidemment, le jour où il est venu te chercher avec un tablier de fille et qu’il t’as demandé d’aller faire le ménage, bah ouais, t’as pété un câble. Mais ce jour-là, il est tombé, et il a fait une très mauvaise chute. Et bien sûr, maintenant qu’il est réveillé, il te met tout sur le dos, en oubliant de préciser à ta mère la vraie raison de ta chute. « Écoute moi bien Frey, que tu le veuilles ou non, tu iras en maison de redressement. Tu as failli tuer ton père. » « CE MEC N’EST PAS MON PERE ! » Il hausse les yeux au ciel, et secoue la tête, mais ça évidemment, ta mère ne le voit pas. « Frey… » Elle essaye de te raisonner. « Non maman. Lui, lui c’est un ancien collègue à mon père. Mon père est mort en se battant, en nous défendant, pas seulement toi ou moi, mais l’Angleterre. Lui ? Lui il a déserté ! Et tout ça pourquoi ? Pour rendre notre vie insupportable. » « FREY CA SUFFIT MAINTENANT ! » C’est à ton tour de secouer la tête, et tu sors de ta chambre. Elle est surement choqué que tu sortes quelque chose comme ça à ton âge, mais voilà, t’y peux rien. C’est quelque chose que tu lui as suffisamment répété dans tes rêves, et que tu as écrit tellement de fois que tu l’as récité sans même t’en rendre compte. Une fois dehors, tu tombes contre le mur et tu t’y tapes le dos de la tête plusieurs fois. Tu lèves les yeux et voit Jimmy devant toi, un sourire triste aux lèvres. « J’suis désolée Frey, ta mère m’a dit. Si j’avais pu la faire changer d’avis… Mais pourquoi tu l’as poussé du haut des escaliers ? » Tu essayes de te justifier. « Je l’ai pas poussé. Enfin si mais… » Tu dis rien d’autre et tu rebaisses la tête. De toute façon lui, comme les autres, il te croira pas, et ce même si c’est ton parrain super cool. « Mon chéri ? » « Sérieux maman ? Sérieux ? T’es un peu lunatique non ? » Elle souffle et rentre de nouveau dans la chambre de son cher et tendre. Tu relèves les yeux vers Jimmy qui secoue la tête lui aussi. « Rah Frey, toujours aussi borné hein ? » Même si la situation n’y est absolument pas propice, tu lâches un petit rire. C’est vrai que t’es borné. Tu finis par garder ce sourire sur les lèvres, et tu vois ton parrain se lever. Il te tend la main et tu la prends. « Jim ? » « Ouais ? » « Pas vrai qu’il est pas malade Rod ?! » Tu sais pas trop si c’est une question ou pas. « Ah ça croit-moi qu’il l’est pas non. » Tu le savais. Tu lèves les yeux au ciel et tu te prépares à rentrer dans la chambre de ton « beau-père » et à lui balancer ses quatre vérités en face, mais ta mère sort à ce moment-là. « J’ai… Et bien, trouvé une maison de redressement qui pourrait parfaitement te convenir. Rodney l’a choisi, et je pense qu’elle est parfaite. » « Bah voyons. »
Ça a été la dernière conversation réelle que t’as eu avec ta mère. A suivi la rencontre avec Charles, et vos longues discussions sur ta vie, sa vie. Ont suivis les sentiments, mais ont aussi suivis la peine de savoir que vous allier être séparés presque aussi vite que vous vous étiez rencontrés. Un sourire triste se forme sur ton visage et tu relèves les yeux lorsque tu vois la voiture que tu connais si bien, celle de Charles, arriver du coin de la rue. Tu fermes les yeux, et te replonges dans un des moments les plus beaux de ta vie.
« Je t’aime » Ton cœur bat particulièrement fort, et tu lui en veux. Enfin t’aimes bien ce sentiment, le sentiment d’amour qui te fait fondre. Alors tu lui souris, et tu poses doucement ta main sur sa joue. « Je t’aime aussi. » Et il t’embrasse. Et il s’en va. Et tu pleures. Ce soir-là, tu restes seul. Dans ton coin, à bouder. Les gens qui viennent te parler, qu’essayent d’être gentils, tu les envoies bouler. Et t’as même pas honte. Charles est parti depuis quelques heures et il te manque déjà atrocement. La soirée passe lentement, à une vitesse d’un extrême ralenti. Et tu te prépares déjà à passer le reste de l’année comme ça. A t’ennuyer, à attendre que ta mère accepte que tu sortes de là. Parce que depuis deux semaines, la seule personne qu’est venue te voir, c’est Jim. Et il te donnait des nouvelles. Ta mère va se marier. Youpi ! Tu te couches sur ton lit, et t’essayes de dormir. Mais t’y arrives pas. T’arrives pas à fermer les yeux. Et alors que tu sombres, t’es réveillé. Et quand t’ouvres les yeux, tu penses que tu dors au début. Parce que Charles est là, et qu’il est censé être parti, mais que c’est pas le cas. Et il te dit qu’il t’embarque et que tu pars avec lui. Et tu souris, et tu lui sautes dans les bras. Tu mets quelques affaires dans un sac, c’est léger, t’as rien de personnel ou d’intéressant à prendre. Tu le suis, et vous partez. Et à ce moment-là, tu l’as jamais autant aimé. Tu réfléchis rapidement à ce que tu laisses derrière, parce que tu sais qu’après ça, plus jamais tu devras reprendre contact avec ta mère ou avec ce cher Rodney. Mais Jim, il va te manquer. Et ça, t’en as pas parlé à Charles. Parce que personne est au courant de son existence à Jim, même pas Charles, même pas celui à qui t’as tout dit.
Tu vois la voiture se garer, et tu refermes les yeux. Charles sort de la voiture et tu souris en le voyant. L’image terrifiante, malsaine, mais pourtant excitante de ton homme rentrant au motel et qui vient de commettre un meurtre te revient en mémoire. Il avait tué Rodney, sans hésitation pour toi, et cette même nuit, tu lui en avais été reconnaissant. Le lendemain matin, le cauchemar et l’adrénaline avait pris place dans ton corps et tu faisais la première page des journaux. La folie du voyage avait alors commencé. Sud de la France, puis, au bout d’un moment, avec l’envie de voyage, la bougeotte qui vous caractérise, Charles et toi, l’amérique. New York.
Depuis que t’es arrivé, tu fais pas grand-chose. T’as insisté pour reprendre tes études, tu veux absolument devenir musicien. Mais finalement, tu vas quasiment jamais en cours. Et tu mens à ce propos à Charles. Comme tu lui as menti en disant que tu te sentais bien mieux sans ta mère. Comme tu lui mens, depuis quelques semaines maintenant, en lui disant que t’es heureux.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → PUDDING MORPHINA, 20 yo. Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par Charles-Henry, il m'a presque trainé XD Ce personnage est-il un double compte ? → Nope Présence sur le forum → Euh, ça dépendra de mes cours. Normalement je passerais tous les jours. Personnage inventé ou scénario ? → Scénario mais pas encore officiel (?) Crédit images → Oula, euh Hollfeather pour l'avatar, l'icon, c'est google, et le gif tumblr.^^
Mon exemple de RolePlay:
Tu te sens mal, t’as la nausée, tu comprends pas pourquoi t’as réagi comme ça. Tu comprends même pas d’où sont sortis les mots, tu sais juste que tu les pensais. Oui, tu les pensais et c’est ce qui importe non ? Pourtant t’en es plus sur. T’avais tellement confiance en les lui disant. Mais maintenant, ta confiance a laisser place à un tout autre sentiment : la peur. La peur du rejet. T’as peur qu’il se foute de ta gueule, et qu’il s’en aille, te laissant seul, te brisant le cœur. Et pourtant, c’est lui qui a commencé non ? C’est lui qui a prononcé les mots décisifs le premier non ? Alors pourquoi t’as peur ? Bah c’est simple. Et si c’était un piège ? Et si il avait fait ça pour pouvoir te blesser encore plus. C’est ça dont t’as peur. Tu baisses la tête lorsqu’il détourne la sienne. Oh non. Ca y est, tu vas le perdre pour de bon. Tu te traites de tous les noms, et t’as qu’une envie, de pleurer, et de partir le plus loin de lui, et de la souffrance que tu vas endurer quand il va te dire que tout ça n’a toujours été qu’une blague pour lui. Ca y est, des frissons te parcourent le dos, et c’est pas des frissons de froid, c’est de la peur, pure et simple. Tu t’apprêtes à partir, mais tu t’attends absolument à ce qu’il te réponde. Et pourtant il le fait, il te répond. Il te dit des mots réconfortants, mais qui te brisent le cœur en même temps. Ce n’était pas un jeu. Ça n’a jamais été un jeu pour lui. Est-ce qu’il dit vrai ? La petite voix d’Enzo te dit que non, bien évidemment, mais celle de ta raison, pour la première fois en trois ans, se range de ton côté. Peut-être que finalement, quelqu’un sur cette planète t’aime toi, et ce n’est pas seulement pas pitié. Pourtant, il ne sait pas exprimer son amour. Et ce n’est pas un amour comme toi. Il ne te le dit pas mais te le fais comprendre en ne répondant simplement pas à l’affirmatif, en ne répondant pas quelque chose d’aussi simple que « moi aussi. » Comme s’il se sentait incapable de te dire qu’il t’aime. Tu mords ta lèvre pour pas pleurer, et tu le regardes plus. Finalement, ça aussi ça fait mal. Pas autant que tu le pensais, parce qu’il t’aime quand même. Et puis, il reprend. Il sait pas comment aimer. Et que tu le veuilles ou non, ce qu’il te dit te mets mal à l’aise. Tu te sens nul, parce que finalement, y’a pas que toi qu’a eu une vie de merde, lui aussi. T’as envie de taper ta tête contre les murs en te traitant d’idiot. Et t’arrives presque à comprendre Dobby dans ton film préféré. L’envie de prendre une lampe de chevet et te cogner la tête avec te devient de plus en plus plaisante.
Et là, il te finit. Il te parle de son passé. Alors lui aussi il a vécu un amour qui a mal fini. Il se compare à toi. Et tu sais qu’il fait référence à l’épisode avec Enzo, mais tu regardes toujours par terre, n’osant pas regarder son visage, que t’imagine triste. T’as aucune envie de le voir triste. Il mérite pas d’être triste. Il mérite d’être heureux. Tellement heureux. Et tu doutes, tout d’un coup, encore. Tu te dis qu’il sera jamais heureux avec toi, jamais. Tu sens les larmes monter doucement, mais surement jusqu’à tes yeux. Et elles sont sur le point de tomber quand tes yeux se posent sur vos mains. Oh vos mains. Tu ne lui as pas lâché, et il n’a rien fait non plus pour se dégager. T’aimes ce contact. T’as envie de dire qu’il est innocent, ou peut-être t’as envie de te dire qu’il ne l’est pas, mais pour le moment, t’essayes même pas de chercher la signification parce que tu te rends compte que t’aimes juste le moment présent. « Mais t'es pas juste un ami... Parce que je n'ai jamais eu envie de faire ça à un ami, Ash'. » Tu relèves automatiquement la tête, et tu vois qu’il la relève lui aussi. Alors il regardait aussi vos mains ? T’essayes d’assimiler le sens de ses mots, mais t’as pas le temps, parce que tu le vois approcher. Ton souffle s’accélère, ta raison cri victoire et ton cœur fait une danse de la joie. Mais à côté de ça, t’as toujours la voix d’Enzo, qui cri au scandale. Et, c’est avec joie que ta raison et ton cœur l’envoient valser le plus loin possible de ce qu’il se passe. Oh t’es pas naïf, tu sais qu’il reviendra. Sa voix et lui en personne d’ailleurs, mais maintenant tout de suite, t’as que cet homme devant toi, que t’aimes, qui s’avance vers toi, dangereusement. Quand ses lèvres se posent enfin sur le tiennes, c’est doux, c’est gentil, c’est quelque chose dont tu as l’impression que tu voudrais vivre tout le temps. Tu ressens de l’amour dans ce baiser, un sentiment éclaté entre vous. Un besoin l’un de l’autre. Plus que de parler avec l’autre, tu ressens le besoin de contact, le besoin de chaleur humaine. Il passe doucement une de ses mains sur ta nuque et t’approches encore plus de lui, comme s’il voulait en sentir le plus possible. Et vos langues commencent un ballet doux. Personne ne recherche la dominance, il n’y juste que lui et toi. Tu ne sais pas ce qu’il se passe autour et tu n’essayes pas de savoir. Il t’embrasse et tu es bien heureux de répondre.
Lorsqu’il rompt enfin le baiser, tu te rends compte qu’il ne l’a pas fait trop tôt, ni trop tard. Il l’a fait pile au bon moment. Mais à peine tes lèvres loin de les tiennes que t’as envie d’y gouter de nouveau. T’as envie de retoucher ses lippes que tu ne veux que pour toi. T’as une nouvelle confiance en toi. Alors que normalement, tu devrais avoir plus peur, mais non. Il te fixe dans les yeux et te souris. Il tient à toi, tu le sais maintenant. Tu lui souris aussi, une jolie couleur rosée sur tes joues et tu t’approches de nouveau. T’as envie de le ré embrasser, mais t’as peur qu’il ne veuille pas, qu’il te repousse. Alors tu poses la tête au creux de son cou, passant tes bras autour de sa nuque, pour le serrer contre toi, t’as pas envie qu’il s’en aille, t’as pas envie qu’il te laisse, t’as trop besoin de lui. Il t’a sous son charme, t’espères qu’il ne brisera jamais ça. Tu lèves la tête, jusqu’à ce que tes lèvres touchent ses oreilles « Alors tu m’aimes aussi ? Comme moi ? » L’insécurité se sent dans ta voix. Et t’espère juste que cette fois ci, sa réponse sera un peu plus clair.
Dernière édition par Frey E. Trash le Mar 14 Oct - 0:22, édité 17 fois
Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Mer 1 Oct - 23:49
oh il fait cutie pie lui bienvenue sur nycl & enjoy la rédaction de ta fiche
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Mer 1 Oct - 23:51
Ahah oui, il a un petit côté on a envie de lui bouffer les joues ! Merci
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Jeu 2 Oct - 0:09
Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Jeu 2 Oct - 8:29
Merci
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Jeu 2 Oct - 8:59
Bienvenue parmi nous & courage pour ta présentation
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Jeu 2 Oct - 9:21
:laura:
(et le meilleur pour la fin)
MA GALETTE DE RIZZZZZZZ Je suis trop trop content que tu aies accepté de venir me rejoindre ici tu verras, les gens sont trop kiouuuuuuuuls damn', t'es trop la meilleure ;
un titre qui déchire + un avatar trop de ouf' + notre rp comme exemple =
j't'ai pas trainé ici, hein ou peut-être un peu. Bon courage pour ta fiche et si t'as besoin, harcèle moi hein
Mackenzie J. Howard
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Lun 6 Oct - 18:51
Bienvenue
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Mer 8 Oct - 14:42
Bienvenue !!
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Mer 8 Oct - 18:02
Merci
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Jeu 9 Oct - 1:58
bienvenue. :laura:
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Jeu 9 Oct - 23:00
bienvenue & bon courage pour ta fiche
Pandorà M. Mendez
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Dim 12 Oct - 18:37
Coucou mon cœur, Bon j'aimerais bien t'annoncer de bonnes nouvelles mais au lieu de ça, je t'annonce qu'il te reste jusqu'à samedi soir pour faire ta fichounette ma caille. Si t'y arrives, promis t'auras un gros bisous sur le fesse. Mais tu sais, elles ne dorent pas au soleil donc quittes le un peu pour ne pas trop te dorer la pilule. Je t'en supplie pour moi, pour nous et pour la paix dans le monde. C'est important. Bon pour te motiver, je te fais un bisou sur le nez enfin imagines que je t'en fais un *-* ! Bisous -surlenez- !
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Mar 14 Oct - 0:23
Merci à vous deux !
Panda, j'ai finis ma fiche personnellement ♥ Cela dit, comme c'est plus ou moins un scéna de Charles, je vais lui demander son avis avant de les mettre dans les fiches terminées
Melody L. Dashwood
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Jeu 16 Oct - 4:48
n'hésites pas à prévenir dans le sujet dés que tu as son avis
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Ven 17 Oct - 21:13
Je passe en coup de vent depuis mon téléphone pour dire que c'est PARFAIT !!!!! J'adore
Me réjouis de reprendre le rp avec toi. T'es la meilleure
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Dim 19 Oct - 23:21
Bon, et bien j'ai fini ma fiche moi ♥ *___*
Aksel E. Moriarty
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right? Mer 22 Oct - 14:09
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validé !
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Sujet: Re: frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right?
frey :: yeah, i lived a hell, seems like it's over though... right?
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