Sujet: Tel un phoenix il renait de ses cendres Lun 20 Oct - 16:03
William Alex Slayers FEAT. JENSEN ACKLES
âge →30 ans Né à→ Manchester ( Etats-Unis ) le → 29/09/1984 Métiers → Gérant d'un night club " le dream ", Flic en congé sabatique Études → Il a étudier les sport à Columbia et il a fait l'école de police en Australie. Statut → Célibataire Orientation → 100% hétéro Groupe → playboys
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Il aime les Fast food Ϟ Il ne tient pas la tequila Ϟ Il aime le vieux rock comme Ac/DC, Métallica Ϟ Il sait faire une seule chose en cuisine : des crêpes. Ϟ Ses dessins animé préféré sont la Belle et la bête et le roi lion Ϟ Sa boisson favorite au p’tit dej’est le Cappucino avec un max de chantilly Ϟ Il n’a jamais vu le film Titanic Ϟ Il adore le Mexique et a un ami d’enfance qui y vit. Ϟ Il adore les soirées karaoké Ϟ Il déteste le féminisme Ϟ Son passe temps favoris : ne rien faire ! Ϟ C’est un grand fan du magazine playboys Ϟ Il aime avoir le dernier mot Ϟ Le rouge est sa couleur préféré. Ϟ Il passe une main dans ses cheveux quand il est stressé. Ϟ Il conduit une Audi cc décapotable rouge ( et non pas de chevrelet impala xDDD ) Il a un tatouage dans le cou, c'est un code barre.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→William est un homme loyal. Il se sert de l’humour comme moyen de défense pour ne pas dire ce qu’il ressent. Il n’aime pas parler de lui et raconté sa vie. De nature optimiste il voit toujours le verre à moitié plein. Il n’est pas du genre à se laisser abattre. Une chose est sûre avec lui on ne s’ennuie pas, il a toujours le mot pour rire. Charmant et charmeur, nul doute qu’il plait aux femmes mais il est beaucoup plus sérieux que pendant son adolescence. C’est un passionné, un impulsif qui marche au coup de cœur et qui serait prêt à tout pour les gens qu’il aime. C’est quelqu’un de courageux et de fidèle. Espiègle, malicieux, il a toujours gardé son âme d’enfant et il ne se prend pas du tout au sérieux. Fier, sûr de lui, voilà des traits de caractère qui le caractérise également. Ironique, sarcastique, il sait également manier les mots. Il a un grand sens de la famille, c’est important pour lui et la famille ce n’est pas seulement une histoire de sang. Il est rancunier et il a du mal à pardonner quand il est blessé. Il est têtue, jaloux, rusé, attentionné, innocent et un peu naïf. Il n’a pas peur de travailler dur pour obtenir ce qu’il veut. C’est un homme droit. Il s’est longtemps fait passer pour plus bête qu’il ne l’est.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Aurore, psycotgirl, 27 ans Comment es-tu arrivé(e) ici ? → NYCL est un trés vieux forum, tout le monde le connait Ce personnage est-il un double compte ? → non Présence sur le forum → 4/7 Personnage inventé ou scénario ? → inventé. Crédit images → Swan ( artiste de bazzart )
Mon exemple de RolePlay:
Lorsque Kennedy ouvrit les yeux elle avait terriblement mal à la tête. Impossible pour elle de se souvenir de ce qu’elle avait fait la veille. La Canadienne porta sa main à son front pour essayer de minimiser le pic vert qui essayait de percer un trou dans son crane. Elle se sentait affreusement nauséeuse et son estomac était carrément en vrac. Sa main droite devant sa bouche, elle se retint de vomir. Elle observa l’endroit où elle se trouvait – ce n’était pas chez elle ! – et ne tarda pas à reconnaitre la chambre de son meilleur ami, William. Elle eut d’ailleurs un sursaut en réalisant que son meilleur ami se trouver là, jusqu’à côté d’elle, le coude appuyait sur le lit et la regardant avec intérêt. « Bonjour femme de mes rêves » lui dit-il avec une voix séductrice qu’il n’avait pas en se présence. Elle se raidit dans le lit et ramena le drap vers elle, réalisant qu’elle était en sous vêtement. William quand à lui se trouvait en caleçon. Elle le regarda surprise et elle essaya de se rappelait de ce qui s’était passé. Mais rien ! Absolument rien ! C’était le vrai trou noir ! Est-ce qu’ils avaient… ??? « Pourquoi tu stress ? C’était super ! J’ignorais que les Canadiennes savaient faire ce genre de trucs avec leurs langues. » Dit-il avec assurance alors que Kennedy formait un ô avec sa bouche. Choqué, elle se leva précipitamment du lit, serrant toujours le drap contre elle. « On a… On a… ON A COUCHER ENSEMBLE ???? » William et Kennedy étaient amis depuis très longtemps et si le jeune Slayers était un coureur de jupon, il n’avait pourtant jamais encore touché Kennedy. « Tu ne t’en souviens pas ? Tu avais un peu bu mais…. » C’était donc ça ! Voilà pourquoi elle ne se souvenait de rien ! Elle était complètement saoule! Elle avait bu à cause de Luca. Du coup il c’était alors passé des choses entre eux qui ne se seraient jamais produit en temps normal… Alors que Kennedy avait l’impression que la terre était à deux doigts de s’écrouler, William éclata de rire et elle leva un sourcil, perplexe. « J’ai dormis sur le canapé. Il s’est rien passé. Tu devrais le savoir ! Si tu voyais ta tête ! » Et il rigola de plus belle. Furax Kennedy attrapa un coussin et le jeta à la figure de son futur ex meilleur ami « CRETIN !!!! » lui lança-t-elle avant de filer sous la douche, William lui continuer de rire….
Dernière édition par William Slayers le Dim 2 Nov - 19:46, édité 3 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Lun 20 Oct - 16:03
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Veuillez écrire ici l'histoire de votre personnage. 30 Lignes complètes minimum.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→
William est né le 29 Juillet 1984 à Manchester au Etats-Unis, le même jour que sa jumelle Willara et deux ans après son frère Sawyer. En effet Ariane Johnes Slayers, épouse de Thomas mis au monde des jumeaux. Mais la famille Slayers ne s’arrêta pas là et deux ans après naquit Nymphadora suivi un an plus tard par Mélusine. Quatre ans plus tard Orphée fût la dernière-née des Slayers. William grandit donc dans une grande famille, où il y avait plus de filles que de garçon. Enfant plutôt capricieux et égoïste, il avait tendance à se prendre pour un roi et n’avait de cesse de se disputer avec Willara sa jumelle. Il était loin d'être un enfant facile...
« NON ! J'AI DIT NON ! M'EN FICHE J'IRAI PAS ! »« Oh que si tu va y aller. Et avec mon pied au cul oui !»« Aya William il va avoir une fessé ! La honte ! »« William, si tu continue tes caprices nous allons partir sans toi, et tu va resté ici seul et abandonné de tous . Thomas reste calme, tu va froisser ton costume. Willara chérie « Aya » n'est pas un mot . Surveille ton langage s'il te plait. »William déglutit en regardant son père qui semblait des plus sérieux. Il savait qu'il en était capable. Thomas était un mari aimant, un père modèle et un homme avec un grand cœur que beaucoup respecté, mais une chose était certaine il ne fallait pas l'emmerder. Et là son petit garçon à peine âgé de 6 ans commencer sérieusement à les lui briser avec ses caprices à la con. Voyez vous Monsieur avait décidé de faire chier son monde en décidant de ne pas allé au musée avec toute la famille. Soit disant que l'art s'était beaucoup trop gnangnan et pas adapté pour les hommes . Bon Thomas n'était pas non plus enchanté à l'idée d'y aller, mais il faisait son devoir d'époux en suivant Ariane qui travailler dans cette galerie. Puis c'était aussi une excuse pour lui de montrer au gens sa petite famille dont il était fier, sa plus belle réussite comme il se plaisait à le dire. Mais le petit William semblait en avoir décidé autrement et cela faisait cinq minute qu'il chouiner, rouspeter, piétiner des pieds en hurlant à la mort qu'il n'irait pas. Pendant ce temps là, Sawyers veillaient d'un œil discret sur ses petites sœur qui se trouvait a côté de lui, attendant patiemment comme l'enfant sage qu'il était, que son frère arrête ses conneries.« Sawyer pourquoi Will il pleure ? »Sawyer s'accroupit regarda la petite fille à peine âgé quatre ans . Il lui adressa un sourire rassurant.« Il ne pleure pas vraiment. Il fait juste le vilain et papa le gronde . Mais ne t'inquiète pas pour ça. Ce n'est rien . »« Je devais peut être aller lui parler ... »« Non Mélusine ça servirait à rien. Will est presque autant buté que Willara. »« On va quand même pas rester ici à attendre ?« Non Nymphadora, j'suis sûr que dans deux minute il aura fini sa crise.»Et en effet, Sawyer avait raison ! Agacé et n'en pouvant plus Thomas s'était rapproché de son fils. Il attrapa le bras de William et d'un geste vifs lui menotta un poignet, faisait pareil avec le sien. Ça avait parfois du bon d'être flic. Bien sûr le petit garçon avait protesté, chouiné, braillé, hurlé autant qu'il le pouvait, criant qu'il souffrait le martyre et qu'il aurait une trace énorme tant il avait mal, mais ça n'avait pas empêcher Thomas de le trainer jusqu’à la voiture. En effet, le père et le fils a présent ainsi attaché, William aurait eut du mal à ne pas le suivre. Une fois dans le véhicule, le père de famille l'attacha à la portière et il s'installa au volant de la voiture tandis que le reste des Slayers entré à leurs tours dans le véhicule. Ceci étant fait, il se retourna vers son fils un sourire fier, arrogant et jubilatoire sur le visage.« William Attache ta ceinture » dit-il avec un large sourire pour en rajouter une couche. William avait au moins compris quelque chose : il n'était pas bon de contrarier Thomas William Slayers ! Son fils afficha un air bougon, dégouter, il boudait et ne voulait plus parler, mais il s'exécuta sans protester et il était calme. Tant mieux pensa Willara. Sawyer et Nymphadora quand à eux se lancèrent un regard complice amusé du comportement de leur frère, tandis qu' Orphée avait la tête appuyé contre son grand frère Will, prête à s'endormir. La journée au musée s'annonçait excellente pour tous. Enfin... presque tous.... !
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple
Le comportement du petit garçon changea le jour où il vola le journal de Willara et alla se cacher dans un arbre. Sawyer monta pour le gronder mais ayant le vertige il fit une chute…
« Williaaaaaaam rend moi çaaaaaaaaa » « Viens le chercher » Le petit garçon à peine âgé de huit ans adressa un regard provocateur à sa sœur du même âge, agitant devant la petite brunette un petit carnet qui semblait être un journal intime, avant de décamper en courant vers le jardin. Willara semblait furax et William riait au éclats. Se dirigeant vers le jardin, il coinça le carnet dans la poche arrière de son jean et grimpa à l’arbre le plus proche, un air espiègle sur le visage. Une fois en haut de l’arbuste, il se cramponna aux branches et afficha un air triomphant. C’était lui le roi. C’était lui le plus fort et qui dominer tout le monde et en vrai petit diable il afficha un sourire malicieux, tandis qu’au pied de l’arbre Willara bougeait des pieds d'agacement. Elle était capricieuse et avait horreur qu’on lui cherche des embrouille surtout quand la personne qui chercher à la mettre hors d’elle était son crétin de frère. Il pouvait pas mourir une fois pour toute celui-là !?! « Williaaaaaaaam Desceeeeend »« Plutôt crever » « Fait gaffe ça peut toujours s’arrangeait !»« Même pas peur ! Si tu veux ton journal viens le chercher. Trouillarde »Sur ce il lui tira la langue. Un vrai petit monstre. Ouvrant le petit carnet et plus diabolique que jamais, il commença a lire. « Charlie est un garçon merveilleux. Il a de beau cheveux blond comme l’or et je suis sûr qu’il sont tout doux . Dans ses yeux il y a comme des étoiles et quand il me regarde tout est merveilleux » Il l’avait dit de manière efféminé et en levant les yeux au ciel d’un air faussement admiratif, puis il ferma brutalement le journal et regarda sa sœur avec mépris « Beurk c’est dégoutant »Mais cette fois-ci s’en était vraiment trop, William était allait trop loin et sa jumelle était furax. Bien droite et fière, elle était décidé à ce venger. . « J’vais le dire à papa, ça t’apprendra à respecter les femmes » « T’es pas une femme t'es rien qu'une filleeeeuh !!! »Willara s'apprêta à aller répété ça à leur mère, mais au même moment, un garçon qui ressemblait comme deux goutte d’eau à William arriva. La jeune fille se tourna vers Sawyer et poussa un soupir de soulagement en se rendant compte que ce n’était que lui. « Ce n’est pas une bonne idée »Simple net et direct. Le petit garçon était loin de ressembler à William et malgré son jeune âge il imposait le respect et une certaine présence émaner de lui, une tranquillité hors pair et un mystère fascinant. Oui mais il est allé dans ma chambre et il a volé mon journal et puis après il a courut dans le jardin alors que je lui ai dit de me le rendre il est monté dans l’arbre il a lu un extrais à haute voix et…
La petite fille avait parlé d’une traite et sans s’arrêter emporter par la colère, mais voyant le regard apaisant de son frère sur elle, elle se tût, sauta dans ses bras et se mit à sangloté. William leva les yeux aux ciel. Quel bébé ! Sawyer consola doucement sa sœur avant de lever le regard vers son frère qui était toujours dans l’arbre.« Descend » Sa voix était déterminé et imposait malgré ses huit ans déjà le respect et tout les enfants Slayers savait qu’il ne fallait pas rigoler avec Sawyer et qu’en absence de leurs père s’était lui qui veillé sur les autres malgré ce que William pensait. Mais ce dernier était un véritable inconscient, et le véritable bout en train de la famille affichait toujours son air espiègle si agaçant. « Non » « Descend »« Non » répéta-t-il insolent en insistant bien sur le mots.Sawyer restait toujours calme tandis que Willara rageait a côté de lui et trépignait du pied. « Tu va le regretter » lui dit-il tout simplement. William se mit alors à rire. Très drôle. N’empêche que quelque seconde après il riait beaucoup moins . En effet Sawyer s’était diriger vers l’arbre. Loin d’être peureux et habitué à se qu’on le respecte, il avait rejoins William. Ce dernier soudainement face à Sawyer semblait beaucoup plus tendu et angoissé. Sawyer lui arracha le journal des mains sans qu’il ne proteste et donna un léger coup sur la tête de son frère avec, qui laissa échapper un léger « aie » « C’est à Willara » fit-il le plus calmement du monde. « Je sais . J’allais lui rendre » fit-il en levant fièrement le menton. Sawyer afficha un air légèrement blazé. Il s’apprêtait alors à redescendre quand il pris soudainement conscience de la hauteur à laquelle il se trouvait. L’arbre ne devait pas être plus haut que deux mètre mais ayant poser son regard vers le bas, la distance qui le séparé du sol lui sembla interminable. Son cœur s'accéléra et il eut les mains moites. De la peur ? Il n’aurait sût le dire, ça lui arrivait rarement. Quoique à présent ses mains tremblait et il voyait quelque peu flou. William regarda Sawyer fixer le sol. Il était blanc comme un linge. Il semblait légèrement malade, inquiet.« Sawyer ça va ? » fit-il sérieusement, son espièglerie ayant disparut. Pour seul réponse, Sawyer acquiesça de la tête avant d’entreprendre de descendre, mais son estomac faisait des nœud et son cœur battait à un rythme incroyable. Mais il était têtue et fier et ne renoncer jamais. Alors il continua de descendre doucement . Seulement à cause de la peur, et du fait qu’il avait sans contexte le vertige, il glissa sur une branche qui se rompu et tomba au sol, sur le dos. « Saaaaaaawyer »William s’était penché vers l’avant tout en restant dans l’arbre, pour apercevoir son frère qui était étendu par terre et qui venait juste de tomber sous ses yeux. Les yeux du petit William était écarquillé par l’horreur. Tout ça c’était de sa faute.
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A l'hôpital, Sawyer fût déclaré mort… Rongé par la peine, Thomas décida de se plonger dans le travail et finit par s'éloigner un peu des siens. Il devint plus dur, plus renfermé sur lui même jusqu'au jour où...
William se chamaillait avec Willara, refusant de prendre le thé avec elle sous prétexte que c’était un jeu de fille quand il aperçut sa mère dans la cuisine. Il la rejoignit pour chercher appuis auprès d’elle, alors qu’elle tenait dans ses mains une lettre et semblait triste. « Maman ? » Willara continua de le pincée avant d’observer leur mère à son tour et qu’elle leurs explique pourquoi elle avait l’air si triste. William l’écouta sans rien dire lui annoncer que leur père était mort et quand elle eut finit, il sortit dans le jardin pour attendre Thomas. Il ne pleurait pas et n’avait pas l’air triste. Sa mère avait mentit ou mal compris et il finirait par arrivait. Il le savait. Son père arriverait. Il le savait. Il arriverait. En entendant il s’était tranquillement assis sur les marches devant le manoir et lui qui était d’ordinaire si impatient et ne tenez jamais en place resta là plusieurs heure, silencieux. Le soleil commença à se coucher et bientôt la nuit pointa le bout de son nez, sans qu’on ne puisse apercevoir l’ombre de Thomas Slayers… Le ventre de William s’était même mis à gargouillait, mais il resta dehors à attendre. La porte d’entrée finit par s’ouvrit et le regard du petit garçon de huit ans tomba sur sa mère qui portait un plateau repas et lui adressa un sourire rassurant. Elle posa le plateau à côté de lui. « J’ai penser que tu pourrais avoir faim. » Il lui adressa un sourire, toucher par son geste avant de lui demander avec des larmes dans les yeux « Il est vraiment mort n’est-ce pas ? ». Il aurait voulut de tout son cœur qu’elle lui réponde « non il va arriver » bien qu’il aurait sut que c’était un mensonge. Mais il avait temps envie qu’elle lui mente. Tellement envie… Mais ce n’est pas ce qu’elle fit… « Oh mon poussin je … » A ces mots il sut que plus jamais il ne reverrait son père. Il avait mal et envie de pleurer, mais il se rappela alors la dernière fois qu’il l’avait vu. C’était la veille et Thomas l’avait baffé, lui répétant qu’un homme un vrai ne ressent rien. Un homme un vrai ne pleure pas. Sans doute parce que Thomas se refusait lui même de pleuré la mort de Sawyer... Se rappelant de cela, il ravala ses larmes…
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Culpabilisant de son comportement, pensant que tout ça c'était de sa faute, William mit un point d'honneur à protéger sa famille. Le moindre de ses faits et geste n'avait qu'un seul but : devenir un homme un vrai et surtout faire en sorte que son père soit fier de lui. Il devint même trop protecteur avec ses sœurs, les empêchant de lier quelconque lien avec la gente masculine.
« T''ES UN CRETIN !!! »« Aaaaaaah mais arrête de crier !« Pourquoi ça te fait du mal de voir que tu m'énerve ? » « Non . Bien sûr que non . Quelle question con » dit-il en grimaçant et en levant les yeux aux ciel tellement c'était évident . « Mais c'est agaçant . Et tu risque de t'abimer les cordes vocales. »« Rhaaaaa tu m'énerve .»La jeune Willara Slayers, dite Lara, poussa William d'un grand coup en mettant ses main à plat sur le haut du torse de son frère. Celui-ci bascula légèrement vers l'arrière sous le poids du coup sans tomber, avant d'éclater de rire. Voir sa très chère sœur aussi en pétard le faisait jubiler. Entre jumeaux ils n'arrêtaient pas de se chamailler et ils étaient rare qu'ils passent un journée sans se disputer. La raison d'aujourd'hui venait du fait que William avait raconté que la belle brune avait la syphilis .
Pourquoi faire courir une telle rumeur sur elle ? Tout simplement parce que c'était sa sœur ! Ce n'était pas seulement pour l'énerver comme elle pensait que c'était le cas, mais pour la protéger de ses pervers de garçons qui courraient dans les recoins de l'école. Il était hors de question que quelqu'un la touche ou même ne l'approche. Sa famille c'était de quelque chose de très important pour lui et c'était à peine si Willara avait l'droit d'adresser la parole a un garçon sans que son frère vienne illico lui coller son poing dans la gueule. William avait d'ailleurs démolie un certain nombre de garçon à cause de ça. Nymphadora et Mélusine, s'y étaient faite, mais Lara était beaucoup plus têtue et son tempérament l'obliger à tenir sans cesse tête à son frère. Elle n'allait tout de même le laisser faire !« Allez arrête de pester va. C'est pas la fin du monde. C'est rien.»« Tu dit a tout le monde que j'ai la Syphilis et tu trouve que c'est « rien » ??? Willara le fixait d'un regard noir, près à le fusiller sur place. Certes elle ne râler plus mais elle n'était pas calmer pour autant. La Syphilis !!!! Elle !!! Alors qu'elle était encore vierge, bien que son frère l'ignorait !!! Comment avait oser-t-il ?!?!?« Bin oui . Tu sais ça se soigne. Puis ça aurait pût être pire. J'aurais pût leurs dire que t'étais lesbienne » rajouta-t-il avec un large sourire en haussant les épaules.L'art et la manière de s'enfoncer façon William. Il l'avait dit d'un air décontracte tandis que sa sœur enrager silencieusement encore plus.« Et tu trouve ça drôle ?» lui dit-elle en mettant ses poing sur ses hanches avec un air sévère . Ainsi elle lui faisait penser à un maman entrain de disputer un gosse qui aurait fait une bêtise. En bref pas de quoi effrayait un chat. Il ne put s'empêcher d'étouffer un petit rire qui eut pour effet de faire plisser méchamment les yeux de Willara . A cet instant il était certain qu'elle l' imaginait secrètement entrain de le brûler ou quelque chose comme ça. Il sentait même les petits piquant. Comme si elle pouvait le brûler ou lui faire exploser sa tête rien qu'avec le regard . Ce rendant légèrement compte qu'il avait abusé, il rajouta alors.« Désolé » affirma-t-il avec un peu sourire qui montrait qu'il ne l'était pas tant que ça. Mais avoue que ça l'est.Pour toute réponse Willara s'approcha de lui, leva la jambe et d'un geste vifs lui écrasa lourdement le pied droit à l'aide du talons de sa botte. William poussa un cri avant de relever sa jambe pliait et de posait une main sur son genou et l'autre sur son pied, se tordant de douleur. Elle y était pas aller de main morte.« Ça, ça l'est encore plus !»Sur ce elle fit volte face et retourna vers le château furax, laissant son frère derrière elle.« Lara.... Lara...... Lara.... Willara tu va ou ? »« Coucher avec le premier abruti venu ! Si j'ai la Syphilis c'est que j'suis une fille facile !»En entendant celà, William commença légèrement à paniquer. Il savait que comme lui elle était capable de tout, et encore plus quand elle était en rogne.« Reviens ici. Willara.... Willara .... »La jeune fille continuer de marchait sans prêter attention a son frère qui ne pouvait pas la suivre pour l'instant. Elle semblait ne pas l'écouter le moins du monde .
Quand William eut l’âge d’aller au lycée, sa mère décida de l’envoyer à New York dans un internat afin qu’il se détache un peu des responsabilités qu’il avait prit vis-à-vis de sa famille. Elle souhaitant le voir se comporter comme n’importe quel garçon de son âge. Là bas tout devint très vite différent pour lui. Le petit garçon timide sorti de sa coquille quand il se rendit vite compte qu'il avait un charme sans pareil et attira la convoitise des demoiselles de l'école. L'une d'entre elle le qualifia même « d'irrisistible », mot que William garda en mémoire et affectionna tout particulièrement, ne se gênant pas pour le réutiliser, bien que celui-ci n'existe pas au contraire d'irrésistible. Il devint vite un garçon bien trop sûr de lui, prétentieux et arrogant, en faisant même parfois un petit peu trop. Toujours optimiste et souriant, il apprit à se servir de l'humour pour cacher ses sentiments et ce qu'il ressentait, adoptant la devise : un homme un vrai ne ressent rien. Au lycée il intégra l’équipe de Basket Ball et la pratique de ce sport lui permit d'évacuer la pression. Plutôt beau, on lui colla rapidement l'étiquette de « sportif sans cervelle » qui fait toujours fantasmer toutes les filles en trop plein d'hormones. Mais loin de rebuter William, cette étiquette lui donna envie de s’investir d’avantage dans son sport car il devint de plus en plus populaires. Il apprit la joie de faire partie d’une équipe et sut comment se dépasser pour donner de lui le meilleur. Il fit aussi la connaissance de Karly Mcgregor....
Karly était assise à une des tables de la cafétéria quand William se dirigea vers elle, d'un air sûr de lui. « Salut Femme de mes rêves. On n’a pas encore le plaisir de se connaitre et moi mais ça va changer. J'me présente William Alex Slayers. Et toi ? Aphrodite OU Narcisse ? »-« Un niais de plus. On est dans la même classe depuis quatre ans, imbécile. Mais pour toi, se sera Ma grande Déesse toute puissante ! »Quelques légers rires retentirent aux côtés de la jeune fille. Non, Karly n’avait pas fait ceci pour humilier son acolyte. Seulement entrer dans son jeu pour le remettre à sa place.« Ouh mais c’est qu'elle mordrait presque. 4 ans ? Et je n'ai pas remarqué quelqu’un d’aussi sexy que toi. Tu as raison je suis un idiot. Mais tu sais, personne n'est parfait. Rattrapons le temps perdu. Montre moi comment tu as la langue bien pendu » William se mordilla la lèvre supérieur et lui lance un regard pénétrant. « Oh. Généralement, les hommes n'aiment pas les filles trop... bavardes. Heureusement que j'ai devant moi un simple petit garçon. Dis-moi, Slayers... C'est moi où la blonde dans le coin qui espionne n'a pas l'air très... ravie ? » « T'es jalouse Miss ? » « Je n'ai aucune raison. Mais elle... la pauvre petite. On dirait un chien qu'on mène à l'abattoir. Je me demande bien qui la rendu dans cet état ... » « Tien j’me le demande aussi. Ah ces fille qui n’arrive jamais à trouver leur homme idéale quel dommage, mais pas pour toi fort heureusement. Tu as plus de chance. Il est face a toi .» Répondit-il dans un air théâtral et exagéré.Regardant de l'autre côté, Karly aperçut un grand blond.« Hum, oui. Peut-être bien. Mais trop studieux. Je préfère les bad boys. Ils sont plus... enfin voilà quoi .» « Pourquoi nier l'évidence ? Tu es folle de moi ! »-« Que... »La jeune fille se stoppa nette. S’avançant de plus en plus vers elle, le jeune garçon semblait n’avoir qu’une seule envie : l’embrasser. Légère grimace sur les lèvres de la jeune fille. N’ayant pour seule arme que le tranchant de ses paroles et le jus d'orange qu’elle tenait, Karly jeta cette dernière au visage de Slayers.« Que suis-je maladroite. Vraiment. Pauvre petit chéri... » Se penchant plus avant afin d’arriver à l’oreille de William, elle ajouta « Ne me prend pas pour l'une de tes groupies, Slayers. Bye ! »Partant fièrement se chercher un autre verre surement un peu plus fort, Karly s’éclipsa rapidement entre les élèvent présents à la soirée. La guerre entre eux était déclarée, bien que la jeune fille n’entende pas les derniers propos.« Je l’aurais un jour, je l’aurais. Mc Gregor sera collée à mes lèvres, j’en fais le serment ».
C’est lors de son année de terminale que la vie familiale de William fut grandement chamboulait par le retour de son père portait disparut depuis son enfance. Mais il ne revint pas seul... A ces côtés Sawyer, qui contrairement à ce que tout le monde pensait n'était pas mort. En réalité à la suite de sa chute de l'arbre, Sawyer avait perdu la mémoire et l'infirmière s'occupant de lui ayant perdu son fils il y a peu, décida de l'enlever et l'élever comme son propre enfant. Si Thomas n'avait pas donné signe de vie c'est parce qu'il était partit à la recherche de Sawyer. Mais William eut du mal à accepter ces deux retours. Il avait grandi sans eux et il n'était pas facile pour lui de supporter de nouveau l'autorité de son père. Il ne savait pas comment communiquer avec lui, lui faire comprendre à quel point il l'aimait et avait souffert de son absence. Ce fût pour cette raison que William s’enfonça d’avantage dans cette passion qu’il avait pour le Basket, préférant passer des soirées entières à dribler plutôt qu’à se confronter avec son père avec qui il ne cessait de se disputer. En même temps il le cherchait bien, cumulant les bêtises pour le provoquer car si Thomas prenait la peine de lui crier dessus ça voulait dire qu'il l'aimait. Tordu comme idée, mais typiquement Slayers. Quant à Sawyer, William avait quelque difficulté pour le comprendre, son frère s'étend un peu endurcit, mais petit à petit ils réapprirent à être complices.
A la fin du lycée, après avoir réussi ses examens hauts la main contrairement à ce que beaucoup de personnes pensaient William continua ses études et décida d’aller à la fac pour élargie ses perspectives d'avenir. Bon d'accord au début il n'en avait aucune envie et il cherchait dans son attitude à tout prix à contredire son père qui le voyait déjà passer ses journées à rien faire. Mais au final le jeune Slayers apprécia la fac qui était moins contraignante que le lycée. Son choix d’étude se porta sur le Sport, étant bien décidé à devenir un joueur de Basket professionnel. Il envoya plusieurs dossiers dans les plus grandes facs des Etats-Unis et fût plus que ravis d’être accepté à Columbia où il se prit une chambre étudiante sur le campus. Sawyer étudiait également là-bas et qu'elle ne fût pas la surprise de William quand il apprit qu'il partageait un baraquement avec... Karly McGregor ! Les deux anciens élèves qui ne pouvaient pas se saquer à l’école, l’une trouvant l’autre trop arrogant et prétentieux, et l’autre trouvant l’une trop coincée et garçon manqué, ils durent apprendre à coexisté puisque Sawyer devint le meilleur ami de Karly. Bien sûr ce fût la guerre au début, peinture bleue a la place du shampoing ou encore de la terre dans le lit de l’autre et autres gentillesses de ce genre, mais petit à petit ils apprirent à s’apprécier voir même plus ... Trouvant comme excuse qu’ils appréciaient tous les deux Sawyer, ils passèrent de plus en plus de temps ensemble, tombant finalement amoureux.
Seulement William et Karly étant autant buté l’un que l’autre et incapables de reconnaitre leurs sentiments, ils sefréquentèrent en secret, sans s'avouer que ce n'était pas qu'une simple aventure. Ils leurs fallut une bonne cuite pour avouer leurs sentiments, mais au matin Karly n’était plus là. Elle avait quitter Columbia pour intégré une école de police en Australie...
Après ça afin de prouver à son père qu’il n’est plus un enfant ( 23 ans ) , en Janvier 2007 William décida de chercher un job en plus de ses cours à la fac. Il finit par être embauché au Paradise en tant que serveur, puis Barman en apprenant sur le tas. Grace à son job il quitta le campus pour louer un appart dans New-York, en répondant à l’annonce d’un certain Tyler qui cherchait un colocataire. Tyler finit par quitter New-York et Sawyer, le frère de William emménagea alors à sa place.
En septembre 2007 le jeune Slayers est recruté par les Knicks. Il oublie donc sa réinscription pour Columbia pour vivre son rêve de devenir basketteur professionnel. Malheureusement quelque jours seulement après son 1er entrainement, il se blesse à la cheville lors d’un match de basket amical avec un pote à lui. Refusant de manquer un entrainement et de reposer sa cheville, il aggrave son cas et il finit par se faire une déchirure du ligament. Sa jambe est alors plâtrée pour 3 mois. Il est viré des Knicks et il apprend qu’il ne pourra plus jamais joué au basket de façon intensive… Il ne sera jamais pro… Niveau sentimentale ça ne va guère mieux puisque la fille dont il était amoureux, Aliséa, quitte la ville alors qu’il était venu lui dire qu’il était prêt à sortir avec elle. Assez déprimé par tous ses évènements, en Janvier 2008William se rapproche de la meilleure amie de cette dernière, Sonia, qui elle aussi vient de vivre une rupture. Ils s’embrassent mais William n’est pas prêt à se lancer dans une nouvelle relation et il la repousse.
Le 13 Mai 2008, William tombe par hasard sur Kiara Brennan, la seule petite amie qu'il ait eut au lycée et qui a rompu avec lui sans vraiment lui expliquer pourquoi. Ces retrouvailles sont plutôt chaotiques mais le jeune homme finit par lui pardonner… Les jours passent et le jeune Slayers est incapable de ce sortir Sonia de la tête. [i] Le 26 Mai 2008 il l’aperçoit au Paradise et après une dispute il décide de la suivre dehors pour lui avouer qu’il l’aime. Il n’en a pas le temps car il fait une crise cardiaque… Le lendemain à l’hôpital il annonce à Sonia son désir de sortir avec elle, la vie est trop courte et il l’aime… Pendant son hospitalisation il apprend qu’il a malformation cardiaque qui explique son état malgré son jeune âge. Comme c’est peut-être héréditaire, Kiara apprend à William lors de sa visite qu’il a un fils appeler Kenan, qu’elle a fait adopter. Suite à sa crise cardiaque Will décide de réaliser un de ses rêves. Il quitte le Paradise en Juin 2008 et ouvre un Night-Club, le " Woman Of My Dream " vite surnommé " le Dream ", le 1er Aout 2008. Il devient un patron d’entreprise et apprend à avoir des responsabilités. A partir d’ Août 2008, il sort quelque temps avec Sonia. Leur relation durera deux mois avant qu’il ait l’impression qu’ils s’étaient tous les deux consolé de leur rupture réciproque et de n’avoir qu’une profonde affection pour elle. Il prend alors la décision de faire une pause dans leur relation pour faire le point sur ses sentiments. En réponse Sonia part en Syrie pour un voyage humanitaire, pour une durée indéterminé...
Désormais célibataire, en Octobre 2008, William décide d’assumer son rôle de père et il invite Kiara et Kénan à vivre avec lui, malgré le fait qu’il n’ait pas de sentiment pour elle, juste de l’affection. Malheureusement leur trio ne dura pas longtemps. Kiara tomba amoureuse d’un homme appelait Javier et après en avoir parlé à William elle décida de partir vivre au Mexique, pays d’origine de son petit-ami et elle emmena Kénan avec elle.
Le 12 janvier 2009, Le Dream prit feu et c’est le rêve du jeune Slayers qui partit en fumé. William décida alors à son tour de quitté New-York. Il passa plusieurs mois dans une petite ville perdu dans l’Alabama où il commença à écrire. Son premier livre « j’ai laissé le marque page au chapitre toi » paraitra sous le pseudonyme de Tristan Kent et il fut un succès. Cette comédie romantique en séduit plus d’une, mais tout le monde ignora qu’il en était l’auteur. Officiellement il remplace un prof de sport dans un lycée pour pouvoir payer son loyer.
Son père qu’il n’a pas vu depuis longtemps fini par lui rendre visite et après une discussion avec lui, il décide de partir fin Août 2009en Australie pour intégrer la police, comme lui. Là-bas il tombe sur Karly Mcgregor, qu’il n’avait pas vu depuis qu’elle l’a quitté. Elle est flic et il est sous ses ordres. Encore blessé par son abandon, William la provoque et la traite d’emmerdeuse.
Le 2 Mars 2010, Une dispute éclate et le soir même Will regrette son comportement. Il vient la voir chez elle pour s’excuser mais ils sont attaqué en raison de l’affaire sur laquelle Karly bosse. William essaye de la protéger mais elle se prend une balle à sa place....
Le lendemain à L’hôpital, William lui fait ses excuses et lui propose un rendez-vous pour recommencer sur de bonnes bases. Elle accepte, se plaignant qu’il profite de son état pour obtenir ce qu’il veut, mais au fond elle est heureuse de sa demande. William lui montre alors qu’il a changé et mûri. Contre toute attente malgré quelque chamaillerie sans méchanceté, les deux anciens amants s’entendent et les rendez-vous s’enchainent.
Complice dans la vie privée comme dans la vie professionnelle, Karly et William deviennent vite un duo de flic chocs, jouant au mauvais/bon flic.
Le 3 Mars 2012 Après deux ans passer ensemble, William demande à Karly d’emménager avec lui sous le prétexte « ça sera plus pratique, ça limite les trajets voitures et protégera l’environnement ! » C’est en Septembre 2014qu’il la demanda en mariage. Elle se mit à rire, pensant que c’était une blague, avant de refuser. Le mariage ce n’était pas pour elle. Le couple se sépare à contrecœur… William quitte l'Australie pour retourner à New-York où il n'a pas mit les pieds depuis que le Dream a brûlé...
[/i]
Dernière édition par William Slayers le Sam 1 Nov - 20:02, édité 4 fois
Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Lun 20 Oct - 19:50
jensen bienvenue
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Mer 22 Oct - 12:05
Merci à tous pour cet accueil Par contre j'aurais aimé savoir, le forum a connu une fermeture /réouverture ? Parce que je connais NYCL depuis longtemps et il me semblait qu'il y avait beaucoup plus de membres avant et moins d'avatars libre. Notamment Jensen. Que s'est-il passer ?
Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Mer 22 Oct - 13:23
Oy bienvenue sur nycl (ou rebienvenue du coup?) Pour ce qui est du forum il a connu une petite période de fermeture en Juin pour se remettre un peu a neuf, mais effectivement le forum est moins peuplé qu'il y a quelques années (après plus de six ans de vie, c'est normal j'imagine? ) & puis Jensen c'est vrai qu'il a été pas mal convoité sur ce forum, le dernier membre en date est resté très longtemps avec et n'a quitté le forum qu'assez récemment bref voilà voilàà (et du coup tu viens de me rappeler que j'ai pas encore regardé l'épisode de cette nuit de spn )
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Mer 22 Oct - 13:41
D'accord, ceci explique donc celà. Merci de m'avoir éclairait sur ce point Tessza Tant mieux pour moi si le Jensen n'est plus là
Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Dim 26 Oct - 15:09
Bienvenue !
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Dim 26 Oct - 16:26
jensen bienvenue à toi
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Lun 27 Oct - 22:24
Merci à tous
J'aurais besoin d'un petit délais
Pandorà M. Mendez
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Sam 1 Nov - 7:13
Bienvenuuuue et je répond aussi à ta demande de délai. Actuellement, tu as encore une semaine pour faire ta fiche ! Mais elle sera en fiches en danger mais ça devrait le faire une semaine, nan ? Tu as presque fini à ce que je vois
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Sam 1 Nov - 10:21
Ah c'est 3 semaine pour faire la fiche ? S'il me reste la semaine qui arrive oui c'est amplement suffisant.
Merci
Melody L. Dashwood
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Dim 2 Nov - 18:00
Coucou mon cœur, Bon j'aimerais bien t'annoncer de bonnes nouvelles mais au lieu de ça, je t'annonce qu'il te reste jusqu'à samedi soir pour faire ta fichounette ma caille. Si t'y arrives, promis t'auras un gros bisous sur le fesse. Mais tu sais, elles ne dorent pas au soleil donc quittes le un peu pour ne pas trop te dorer la pilule. Je t'en supplie pour moi, pour nous et pour la paix dans le monde. C'est important. Bon pour te motiver, je te fais un bisou sur le nez enfin imagines que je t'en fais un *-* ! Bisous -surlenez- !
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Dim 2 Nov - 19:50
Hello Melody Sur le nez ? Tu es sûre ?
Spoiler:
J'viens de finir ma fiche
Melody L. Dashwood
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres Dim 2 Nov - 21:27
bah bah bah bah ou que t'as trouvé ça, toua OMG OMG ! Mais même pas vrai, c'est pas moi je suis enfin j'étais fidèle Je te prévalide donc lapinou. Attends le passage d'une admin -bisousurlenezetailleurs-siffle--
Oublies juste pas de mettre l'âge de ton personnage dans le profil Sinon ça va coincer
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Sujet: Re: Tel un phoenix il renait de ses cendres
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« NON ! J'AI DIT NON ! M'EN FICHE J'IRAI PAS ! »« Oh que si tu va y aller. Et avec mon pied au cul oui !»« Aya William il va avoir une fessé ! La honte ! »« William, si tu continue tes caprices nous allons partir sans toi, et tu va resté ici seul et abandonné de tous . Thomas reste calme, tu va froisser ton costume. Willara chérie « Aya » n'est pas un mot . Surveille ton langage s'il te plait. »William déglutit en regardant son père qui semblait des plus sérieux. Il savait qu'il en était capable. Thomas était un mari aimant, un père modèle et un homme avec un grand cœur que beaucoup respecté, mais une chose était certaine il ne fallait pas l'emmerder. Et là son petit garçon à peine âgé de 6 ans commencer sérieusement à les lui briser avec ses caprices à la con. Voyez vous Monsieur avait décidé de faire chier son monde en décidant de ne pas allé au musée avec toute la famille. Soit disant que l'art s'était beaucoup trop gnangnan et pas adapté pour les hommes . Bon Thomas n'était pas non plus enchanté à l'idée d'y aller, mais il faisait son devoir d'époux en suivant Ariane qui travailler dans cette galerie. Puis c'était aussi une excuse pour lui de montrer au gens sa petite famille dont il était fier, sa plus belle réussite comme il se plaisait à le dire. Mais le petit William semblait en avoir décidé autrement et cela faisait cinq minute qu'il chouiner, rouspeter, piétiner des pieds en hurlant à la mort qu'il n'irait pas. Pendant ce temps là, Sawyers veillaient d'un œil discret sur ses petites sœur qui se trouvait a côté de lui, attendant patiemment comme l'enfant sage qu'il était, que son frère arrête ses conneries.« Sawyer pourquoi Will il pleure ? »Sawyer s'accroupit regarda la petite fille à peine âgé quatre ans . Il lui adressa un sourire rassurant.« Il ne pleure pas vraiment. Il fait juste le vilain et papa le gronde . Mais ne t'inquiète pas pour ça. Ce n'est rien . »« Je devais peut être aller lui parler ... »« Non Mélusine ça servirait à rien. Will est presque autant buté que Willara. »« On va quand même pas rester ici à attendre ?« Non Nymphadora, j'suis sûr que dans deux minute il aura fini sa crise.»Et en effet, Sawyer avait raison ! Agacé et n'en pouvant plus Thomas s'était rapproché de son fils. Il attrapa le bras de William et d'un geste vifs lui menotta un poignet, faisait pareil avec le sien. Ça avait parfois du bon d'être flic. Bien sûr le petit garçon avait protesté, chouiné, braillé, hurlé autant qu'il le pouvait, criant qu'il souffrait le martyre et qu'il aurait une trace énorme tant il avait mal, mais ça n'avait pas empêcher Thomas de le trainer jusqu’à la voiture. En effet, le père et le fils a présent ainsi attaché, William aurait eut du mal à ne pas le suivre. Une fois dans le véhicule, le père de famille l'attacha à la portière et il s'installa au volant de la voiture tandis que le reste des Slayers entré à leurs tours dans le véhicule. Ceci étant fait, il se retourna vers son fils un sourire fier, arrogant et jubilatoire sur le visage.« William Attache ta ceinture » dit-il avec un large sourire pour en rajouter une couche. William avait au moins compris quelque chose : il n'était pas bon de contrarier Thomas William Slayers ! Son fils afficha un air bougon, dégouter, il boudait et ne voulait plus parler, mais il s'exécuta sans protester et il était calme. Tant mieux pensa Willara. Sawyer et Nymphadora quand à eux se lancèrent un regard complice amusé du comportement de leur frère, tandis qu' Orphée avait la tête appuyé contre son grand frère Will, prête à s'endormir. La journée au musée s'annonçait excellente pour tous. Enfin... presque tous.... !
« Williaaaaaaam rend moi çaaaaaaaaa » « Viens le chercher » Le petit garçon à peine âgé de huit ans adressa un regard provocateur à sa sœur du même âge, agitant devant la petite brunette un petit carnet qui semblait être un journal intime, avant de décamper en courant vers le jardin. Willara semblait furax et William riait au éclats. Se dirigeant vers le jardin, il coinça le carnet dans la poche arrière de son jean et grimpa à l’arbre le plus proche, un air espiègle sur le visage. Une fois en haut de l’arbuste, il se cramponna aux branches et afficha un air triomphant. C’était lui le roi. C’était lui le plus fort et qui dominer tout le monde et en vrai petit diable il afficha un sourire malicieux, tandis qu’au pied de l’arbre Willara bougeait des pieds d'agacement. Elle était capricieuse et avait horreur qu’on lui cherche des embrouille surtout quand la personne qui chercher à la mettre hors d’elle était son crétin de frère. Il pouvait pas mourir une fois pour toute celui-là !?! « Williaaaaaaaam Desceeeeend »« Plutôt crever » « Fait gaffe ça peut toujours s’arrangeait !»« Même pas peur ! Si tu veux ton journal viens le chercher. Trouillarde »Sur ce il lui tira la langue. Un vrai petit monstre. Ouvrant le petit carnet et plus diabolique que jamais, il commença a lire. « Charlie est un garçon merveilleux. Il a de beau cheveux blond comme l’or et je suis sûr qu’il sont tout doux . Dans ses yeux il y a comme des étoiles et quand il me regarde tout est merveilleux » Il l’avait dit de manière efféminé et en levant les yeux au ciel d’un air faussement admiratif, puis il ferma brutalement le journal et regarda sa sœur avec mépris « Beurk c’est dégoutant »Mais cette fois-ci s’en était vraiment trop, William était allait trop loin et sa jumelle était furax. Bien droite et fière, elle était décidé à ce venger. . « J’vais le dire à papa, ça t’apprendra à respecter les femmes » « T’es pas une femme t'es rien qu'une filleeeeuh !!! »Willara s'apprêta à aller répété ça à leur mère, mais au même moment, un garçon qui ressemblait comme deux goutte d’eau à William arriva. La jeune fille se tourna vers Sawyer et poussa un soupir de soulagement en se rendant compte que ce n’était que lui. « Ce n’est pas une bonne idée »Simple net et direct. Le petit garçon était loin de ressembler à William et malgré son jeune âge il imposait le respect et une certaine présence émaner de lui, une tranquillité hors pair et un mystère fascinant. Oui mais il est allé dans ma chambre et il a volé mon journal et puis après il a courut dans le jardin alors que je lui ai dit de me le rendre il est monté dans l’arbre il a lu un extrais à haute voix et… 
William se chamaillait avec Willara, refusant de prendre le thé avec elle sous prétexte que c’était un jeu de fille quand il aperçut sa mère dans la cuisine. Il la rejoignit pour chercher appuis auprès d’elle, alors qu’elle tenait dans ses mains une lettre et semblait triste. « Maman ? » Willara continua de le pincée avant d’observer leur mère à son tour et qu’elle leurs explique pourquoi elle avait l’air si triste. William l’écouta sans rien dire lui annoncer que leur père était mort et quand elle eut finit, il sortit dans le jardin pour attendre Thomas. Il ne pleurait pas et n’avait pas l’air triste. Sa mère avait mentit ou mal compris et il finirait par arrivait. Il le savait. Son père arriverait. Il le savait. Il arriverait. En entendant il s’était tranquillement assis sur les marches devant le manoir et lui qui était d’ordinaire si impatient et ne tenez jamais en place resta là plusieurs heure, silencieux. Le soleil commença à se coucher et bientôt la nuit pointa le bout de son nez, sans qu’on ne puisse apercevoir l’ombre de Thomas Slayers… Le ventre de William s’était même mis à gargouillait, mais il resta dehors à attendre. La porte d’entrée finit par s’ouvrit et le regard du petit garçon de huit ans tomba sur sa mère qui portait un plateau repas et lui adressa un sourire rassurant. Elle posa le plateau à côté de lui. « J’ai penser que tu pourrais avoir faim. » Il lui adressa un sourire, toucher par son geste avant de lui demander avec des larmes dans les yeux « Il est vraiment mort n’est-ce pas ? ». Il aurait voulut de tout son cœur qu’elle lui réponde « non il va arriver » bien qu’il aurait sut que c’était un mensonge. Mais il avait temps envie qu’elle lui mente. Tellement envie… Mais ce n’est pas ce qu’elle fit… « Oh mon poussin je … » A ces mots il sut que plus jamais il ne reverrait son père. Il avait mal et envie de pleurer, mais il se rappela alors la dernière fois qu’il l’avait vu. C’était la veille et Thomas l’avait baffé, lui répétant qu’un homme un vrai ne ressent rien. Un homme un vrai ne pleure pas. Sans doute parce que Thomas se refusait lui même de pleuré la mort de Sawyer... Se rappelant de cela, il ravala ses larmes…
Karly était assise à une des tables de la cafétéria quand William se dirigea vers elle, d'un air sûr de lui. « Salut Femme de mes rêves. On n’a pas encore le plaisir de se connaitre et moi mais ça va changer. J'me présente William Alex Slayers. Et toi ? Aphrodite OU Narcisse ? »-« Un niais de plus. On est dans la même classe depuis quatre ans, imbécile. Mais pour toi, se sera Ma grande Déesse toute puissante ! »Quelques légers rires retentirent aux côtés de la jeune fille. Non, Karly n’avait pas fait ceci pour humilier son acolyte. Seulement entrer dans son jeu pour le remettre à sa place.« Ouh mais c’est qu'elle mordrait presque. 4 ans ? Et je n'ai pas remarqué quelqu’un d’aussi sexy que toi. Tu as raison je suis un idiot. Mais tu sais, personne n'est parfait. Rattrapons le temps perdu. Montre moi comment tu as la langue bien pendu » William se mordilla la lèvre supérieur et lui lance un regard pénétrant. « Oh. Généralement, les hommes n'aiment pas les filles trop... bavardes. Heureusement que j'ai devant moi un simple petit garçon. Dis-moi, Slayers... C'est moi où la blonde dans le coin qui espionne n'a pas l'air très... ravie ? » « T'es jalouse Miss ? » « Je n'ai aucune raison. Mais elle... la pauvre petite. On dirait un chien qu'on mène à l'abattoir. Je me demande bien qui la rendu dans cet état ... » « Tien j’me le demande aussi. Ah ces fille qui n’arrive jamais à trouver leur homme idéale quel dommage, mais pas pour toi fort heureusement. Tu as plus de chance. Il est face a toi .» Répondit-il dans un air théâtral et exagéré.Regardant de l'autre côté, Karly aperçut un grand blond.« Hum, oui. Peut-être bien. Mais trop studieux. Je préfère les bad boys. Ils sont plus... enfin voilà quoi .» « Pourquoi nier l'évidence ? Tu es folle de moi ! »-« Que... »La jeune fille se stoppa nette. S’avançant de plus en plus vers elle, le jeune garçon semblait n’avoir qu’une seule envie : l’embrasser. Légère grimace sur les lèvres de la jeune fille. N’ayant pour seule arme que le tranchant de ses paroles et le jus d'orange qu’elle tenait, Karly jeta cette dernière au visage de Slayers.« Que suis-je maladroite. Vraiment. Pauvre petit chéri... » Se penchant plus avant afin d’arriver à l’oreille de William, elle ajouta « Ne me prend pas pour l'une de tes groupies, Slayers. Bye ! »Partant fièrement se chercher un autre verre surement un peu plus fort, Karly s’éclipsa rapidement entre les élèvent présents à la soirée. La guerre entre eux était déclarée, bien que la jeune fille n’entende pas les derniers propos.« Je l’aurais un jour, je l’aurais. Mc Gregor sera collée à mes lèvres, j’en fais le serment ». 
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Sur le nez ? Tu es sûre ? 
ou que t'as trouvé ça, toua 
je suis enfin j'étais fidèle