Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington
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Sujet: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 1:26
Fitzwilliam Ethan Darcy Wellesley FEAT. Michael Fassbender
âge →36 ans Né à→ Londres le → 22/12/1978 Métiers → Enseignant de philosophie Études → Eton College / Oxford University / RMA de Sandhurst / Ecole de guerre de Shrivenham Statut → Célibataire Orientation → Hétérosexuel Groupe → Workaholic
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Fitzwilliam Darcy Wellesley, un regard de braise, un sourire séducteur, creusant une légère fossette dans sa joue gauche. La trentaine visible et paisible, nonchalante et assurée, avec ce charisme tranquille, dégagé par ceux qui ont fait l'Histoire et n'ont plus rien à prouver - ce qui peut le desservir, parfois -.
C'est un grand brun relativement fin, avec une musculature discrète, qui avait été plus imposante lorsqu'il servait l'armée de Terre britannique, en qualité d'officier supérieur. A cette époque, il arborait un teint un peu basané, frappé par le soleil lors de ses nombreuses projections à l'extérieure avec sa section. Il avait maintenant retrouvé la délicatesse de sa peau aristocratique, libéré de ses obligations militaires. Cheveux courts ou mi-longs, qu'ils soient parfaitement ordonnés ou au contraire dans un semblant de bataille, Wellington ne se départait jamais de son expression mystérieuse et assurée, qui avait le don de captiver ses étudiantes et étudiants.
Britannique pure souche, et récemment immigré aux Etats-Unis, il a conservé son accent purement londonien, et n'hésite pas à en jouer. Tout à sa réflexion, parfois taciturne, il aime perdre son regard à l'horizon, teintant ses pupilles d'une lueur lointaine. Métrosexuel, il ne sort jamais sans un riche costume parfaitement taillé et arbore parfois une paire de lunettes.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Issu d'une longue lignée d'aristocrates britanniques directs, Wellesley est un intellectuel, empreint d'une culture aristocrate omniprésente, parfois un peu envahissante. S'il s'amuse à en jouer, il est en réalité au naturel assez réservé et humble, pour celui ou celle qui le connaît réellement. Véritable gentleman, il peut parfois être un peu lassant dans ses habitudes chevaleresques et romanesques, vertus qui se perdent de nos jours. Fidèle et loyal, il s'astreint à une discipline de fer, héritée de ses années de commandement et à son éducation austère et stricte.
Ses loisirs sont à la fois désuets et nobles, d'un ennui déconcertant. Séducteur sans vouloir l'être, il n'a jamais su s'engager avec une femme et s'en est toujours voulu d'être le boyfriend indécis. Peut-être que jusqu'ici, ce n'était pas le moment. Bourreau de travail acharné, il est un adepte de l'Imperatoria Brevitas, la prise de parole brève et suffisante, pour les compliments, les argumentations, ou les offensives verbales.
Projeté dans des opérations traumatisantes comme l'Ukraine, le Mali ou encore le Kosovo, Fitzwilliam se fait extrêmement discret sur ses expériences militaires. Il n'y a guère que ses médailles pour être les témoins de sa carrière passée. Aujourd'hui reconverti dans l'enseignement, il est un modèle de réflexion pour ses élèves et tient parfaitement son rôle. Ce qui n'éloigne cependant pas les fantômes de son passé, qu'il combat parfois dans un verre de scotch sec. Sa belle assurance n'est qu'une façade soigneusement entretenue, qui vole en éclat lors de ses accès de faiblesse. Entraîné à être le meilleur, l'homme infaillible et le roc indestructible, Fitzwilliam en a oublié ce qu'étaient les sentiments. Il ne lui semble plus guère n'être qu'une machine, une machine certes performante, mais dépourvue de tout sentiment autres que ses valeurs, son attachement à la loyauté et la fidélité.
C'est un très bon ami, parfois un peu vieux jeu, soutien indéfectible lorsque les barrières sont baissées. Celui qui gagne sa confiance a bien intérêt à la conserver, Fitzwilliam étant de ceux qui ne s'inclinent jamais et peuvent sacrifier beaucoup de choses pour leurs amis.
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Dixième duc de Wellington, descendant direct du vainqueur de Napoléon à Waterloo. Un homme honnit des français, devenu, par la gloire militaire, un grand homme politique britannique. Des années plus tard, ce serait un certain Winston Churchill et ses phrases lapidaires qui lui voleraient la vedette. Mais peu importe, la lignée Wellington étaient consacrées, et ce jusqu'à ce que l'on n'enseigne plus jamais l'Histoire à l'école.
Cela ne s'inventait pas. C'était à la fois un honneur et une malédiction. Une route dorée, certes, toute tracée, mais qui ne souffre pas l'impertinence ou l'improvisation. C'était peut-être l'une des plus grandes souffrances de Fitzwilliam Wellesley, aîné de la famille, fierté de ses parents. L'élite, comme à l'ancien temps, dans cette curieuse société encore attachée à l'ordre monarchique. Une enfance bridée, réglée comme du papier à musique, passée à monter à cheval et apprendre l'arithmétique. Une enfance dans les allées du domaine familiale, à se gaver de la beauté de la noblesse, à l'artifice de l'argent, et aux fastes des soirées mondaines que Proust n'aurait renié. Une adolescence rangée à passer ses GCSE's au prestigieux Eton College, à lier des amitiés féminines et masculines et apprendre la camaraderie, dans les rires étouffés de la bonne société. Il est fort possible qu'à l'âge de la majorité, l'héritier Wellington n'ait jamais compris ce qu'était la notion de pauvreté. Surprotégé par une mère attentive et étouffante, il suivait sa route, paisible et d'un ennui brillant.
Il connaît à l'université non moins prestigieuse d'Oxford, la joie bohème d'apprendre la philosophie, au même titre que se retrouver dans les bras d'une jeune femme, qui n'était pas, horreur suprême, fille de la noblesse. Ses parents lui laissent un délai, le temps pour lui de finir son premier cycle de philosophie, puis le recadrent sévèrement. Il serait le digne héritier Wellington, et poursuivrait des études brillantes à l'académie royale militaire. Il y fait ses classes, obtient ses grades, docile, d'officier subalternes à officier supérieur, passant commandant à un âge relativement jeune.
De la plume acérée et cynique, Fitzwilliam s'arme d'un fusil d'assaut. Dans son treillis, noble anonyme côtoyant jusqu'aux princes de la monarchie britannique, il parcourt le monde, visite l'Afghanistan, l'Irak, le Mali, l'Ukraine et le Kosovo, à la tête de son unité d'infanterie. La misère humaine s'abat alors soudainement sur lui. Au bord d'un vertige nauséeux existentiel que Sartre n'aurait pas renié, il se remet en question, se confronte pour la première fois à une réalité terrifiante et mettant à l'épreuve l'empathie bien pensante qui le constituait. Ere de doute et de rébellion, c'est à cette époque que Fitzwilliam s'éloigne de ses parents et de la culture de sa famille, pourtant forgée de l'acier militaire le plus pur. Fait membre de l'Empire Britannique à son retour d'Afghanistan, il est à peine mentalement présent à la cérémonie.
Quelque chose s'est brisé là-bas, sous le soleil de plomb et dans le désert brut. Quelque chose qu'il n'aurait pas voulu ramener. Sa dernière opération se déroula en Ukraine, où il décida de définitivement rendre les armes. A peine le pied posé sur le tarmac de l'aéroport, Fitzwilliam faisait sa valise et partait pour de nouveaux horizons. Besoin de se purger, de s'éponger les yeux, et s'apaiser. Il prit donc la direction de la première fac qui l'accepterait en tant qu'enseignant, de premier cycle, tandis qu'il achevait son doctorat.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Alex, 22 ans Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Google search Ce personnage est-il un double compte ? → Non Présence sur le forum → Quand il faudra Personnage inventé ou scénario ? → Inventé. Crédit images → Sandy.Claws. Czaart. A-Gie.
Mon exemple de RolePlay:
Les couloirs du ministère de l’intérieur étaient sans fin. Ses talons claquaient le long des corridors blancs, immaculés et aveuglants. On la saluait, respectueusement. Elle répondait d’un hochement de tête, bref, sans les regarder. On l’attendait ailleurs, et elle était presque en retard. Elle détestait être en retard. - Docteur… - Plus tard. Elle chassa le jeune homme comme on chasse une mouche, de méchante humeur. D’autant qu’elle était convoquée dans les plus hautes instances. Elle avait passé la nuit dans le bureau qu’elle avait intégré à sa demeure, n’avait pas dormi plus de deux heures, et était aussi froissée que sa jupe et son chemisier. Elle aimait presque autant être en retard que se présenter devant le général des armées Lucius Costa en étant fringuée comme un sac. Elle n’avait pas CETTE réputation. Elle tâcha de se défroisser rapidement en plissant sa robe de ses mains. Arrivée devant la dernière porte de l’aile du général, elle passa son badge et posa sa main sur le scanner. La paire de garde la dévisagea et hocha la tête en guise de salutations. Elle se présenta dans la salle d’attente et poussa un grand soupir. L’androïde de garde sortit de sa cache, incrustée dans le mur. - Bonjour, Docteur. Le Général sera disponible dans 5 minutes. Souhaitez-vous que je vous serve quelque chose pour patienter ? - Non, merci, Connor. Elle avait dû plisser les yeux pour trouver son identifiant, gravé près de sa tempe gauche. Il devenait de plus en plus difficile de pouvoir appeler correctement les androïdes. Elle s’approcha de lui et commença à l’inspecter, sa curiosité l’emportant sur la décence inhérente à son rang. Elle lui demanda de se retourner, et examina son épine spinale. Elle s’émerveilla. - Tu es un 5.0.1 ? - Oui, Docteur. - Merveilleux… C’était l’un des premiers modèles qu’elle voyait. Ils étaient enfin en phase de fabrication. Le grand public ne verrait ces robots que d’ici quelques années, mais ces modèles en avant-première avaient le don de lui rappeler l’époque bénie où elle croyait encore au Père Noël. Elle dû se faire violence pour ne pas sauter sur le robot et l’autopsier de A à Z pour en connaître le fonctionnement. Elle faisait partie de ces empiristes destructifs, qui avaient besoin de tout passer au crible pour saisir les processus de fabrication. Elle se contenta simplement d’effleurer la texture synthétique qui servait de peau à l’androïde. Souple, tiède. Elle étira le bras de l’androïde, en estima la résistance. Elle passa à l’examen de la colonne vertébrale. Le lien entre la partie robotique et l’esthétique humaine était presque invisible. Un réel tour de force. Elle siffla entre ses dents, admirative. Les premières générations montraient ostensiblement les parties robotiques – ce qui en avait arrangé plus d’un lorsqu’il fallait s’énerver sur les androïdes : il suffisait de glisser deux doigts autour de la colonne vertébrale pour l’arracher, provoquant ainsi la désactivation du robot. C’était la faiblesse programmée des robots. Une obsolescence déterminée par la patience des humains à reconnaître leurs faiblesses. Cette patience se traduisait souvent par cette frustration, cette haine qui couvait, puis le rejet et l’abandon à la violence. Que peut-on répondre d’autre à la supériorité intellectuelle ? Il ne restait plus que la barbarie, et la possibilité de détruire les robots était l’atout que les fabricants avaient bien voulu consentir pour signer des contrats juteux. Ca et le fait que les modèles étaient très rapidement obsolètes, un firmware neutralisait le précédent en quelques mois. On améliorait la structure, le squelette. Pour les rendre encore plus performants. L’idée d’en faire les égaux des humains avait été abandonnée depuis longtemps, bien que jamais avouée. Ils restaient des esclaves. Gentiment soumis. Programmés pour obéir, et ne jamais faire de mal à un humain. Les lois d’Asimov relevaient finalement de la logique. Ils étaient essentiellement destinés à un usage domestique et utilitaire. Tous les pays du monde avaient signé un accord : pas de guerre avec des robots. Les programmes militaires et les drones étaient largement utilisés depuis un moment. Mais la puissance et la quasi immortalité des robots les disqualifiaient. Il ne s’agissait que d’armes de dissuasion, et les gouvernements gardaient jalousement le secret de leurs programmes. Elle-même était dédiée au développement des programmes civils et militaires au sein du ministère. Brillante, elle avait étudié à Polytechnique et s’était dévouée corps et âme à la programmation. Elle n’avait connu rien d’autre, et niait farouchement toute utilité des relations humaines, quand il y avait le fascinant champ inexploré de la robotique. Elle n’avait aucun temps à accorder aux mortels. Elle allait commencer à explorer la complexité de la connexion entre la colonne et le cerveau de l’androïde, lorsque la porte siffla. Elle se reprit immédiatement, et remercia Connor d’un hochement de tête. Etait-ce un fantôme de sourire entendu qui avait traversé le visage parfait de l’androïde ? Décidemment, cette dernière version était surprenante. Elle se promit de revenir le voir pour lui poser des questions. Et éprouver par la même occasion les limites de ses propres programmes. Peut-être pouvait-elle-même demander la mutation de l’androïde dans son poste de travail ? Elle rejeta cette hypothèse, qui sous-entendrait une marque d’affection et un début d’interaction avec lui. Non, elle aurait son propre modèle, livré chez elle. Ce ne serait qu’une question de temps. - Docteur, je vous en prie. Elle pénétra dans le bureau imposant du Général des Armées Costa. Le physique de cet homme pouvait surprendre : il n’avait rien du quadragénaire empâté mais massif, avec la coupe en brosse, que l’on attendait. Ce supérieur hiérarchique était affublé d’une fine moustache et d’une physionomie délicate, presque fragile. La force de Costa ne résidait pas dans son physique et une voix tonitruante, mais en sa stratégie et son intellect. Une perle des armées. Elle devait bien avouer avoir un léger faible pour le Général, et cela l’agaçait. - Asseyez-vous. Il avait encore le nez pris dans ses multiples écrans. La jeune femme s’assit, replaçant une mèche rebelle derrière ses oreilles. - Comment allez-vous, Médecin-Chef ? - Bien, mon Général, je vous remercie. - Je suis navré de vous tirer de votre retraite de si bon matin, je sais que vous êtes surchargée. Mais une bien déplaisante nouvelle m’est parvenue cette nuit. - Je vous écoute, mon Général. - Il semblerait que certains de nos petits protégés se soient échappés dans la nuit. Elle pâlit. - Qui, mon Général ? - La section C entière. Mais nous avons eu de la chance. 3 ont été ramenés, 4… N’ont pas survécu. Le dernier cobaye est dans la nature, malheureusement. - Qui est-ce ? - Lisbeth D’Arcy. - Mais comment a-t-elle fait pour se soustraire aux caméras de surveillance ? - Elle est… Vous savez très bien comment les fichiers la considèrent. Elle se tassa sur son siège. - Qu’est-ce que cela implique ? Le Général se pencha au-dessus de son bureau et baissa la voix. - Vous allez devoir m’aider, Karina. Karina Hartmann écouta attentivement son général et hocha la tête. Elle sortit de la salle une demi-heure plus tard, une tablette contenant des documents confidentiels sous le bras, pensive. .
Dernière édition par Fitzwilliam Wellington le Mar 28 Oct - 17:18, édité 3 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 2:22
Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 3:12
welcome
Pandorà M. Mendez
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 7:10
Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue Du coup, j'en profitais aussi pour te pré-valider *-* mais en fait, y manque les images de la fiche, le gif et l'icon ! Tu peux les mettre :brille: ?
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 12:33
Welcome
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 13:02
Merci à toutes et à tous ! Un accueil chaleureux fait toujours plaisir !
Normalement, tout est modifié correctement concernant les images.
Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 13:25
Bienvenue chez nous
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 13:50
Merci mademoiselle !
Rory Lacroix
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 16:53
welcome beau fassbender
tient j'aurais peut-être une idée de lien pour le coup ^^
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 16:56
Alors c'est parti, je suis open !
Rory Lacroix
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 16:59
On verra ça quand tu seras validé mais étant duc + enseignant, il aurait pu être l'un des précepteurs de Rory !
Pandorà M. Mendez
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 17:02
Bahhhhh voila, voilou, je te pré-valide alors o/ Faudra attendre une admin pour officialiser la chose si tu leur fais un bisou sur les fesses ça devrait aller vite !
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 17:06
*reste pragmatique*
Un bisou... Sur la fesse ? *hausse un sourcil*
(Merci beaucoup \o/)
Pandorà M. Mendez
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 17:11
Bah pourquoi pas ? C'est tellement caliente
Ana M. Fitzherbert
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i'll be the best or nothing at all.
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mar 28 Oct - 17:31
Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington Mer 29 Oct - 15:16
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validé !
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Sujet: Re: Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington
Fitzwilliam Darcy Wellesley, 10e duc de Wellington
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