Sujet: Loan ♣ Pardonnez mes péchés Mar 28 Oct - 13:50
Loan Adelaide Higginson FEAT. DAKOTA JOHNSON
âge →24 ans Né(e) à→ New York le → 11/05/1990 Métiers → Libraire Statut → Célibataire Orientation → hétérosexuelle Groupe → ordinaries
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Le corps de Loan est vide de a moindre trace d’encre ou de trous. De toute manière, ses parents n’auraient jamais permis une chose pareille. De toute manière, elle n’y a, elle-même, jamais trouvé de réel intérêt non plus. Elle peut sembler un peu difficile sur les bords, sur bien des points, mais sur certaines choses, elle n’a tout simplement pas envie de se prendre la tête. C’est même préférable, de toute manière. Sur bien des points elle a tendance à aimer se la jouer vieux jeu, on ne peut tout de même pas le lui reprocher. Alors oui, elle n’est absolument pas du genre à utiliser son corps comme tableau. Pourtant, elle adore l’art, et elle a de très belles peintures dans son salon ♣ Elle ne porte que très peu de robes, même si elle en vient toujours à se trouver élégante et belle dedans. Elle est réellement incapable de savoir pourquoi, pourtant, puisqu’elle n’a absolument rien de quelqu’un de timide, ou presque. Elle se sent bien et bien qu’elle ne soit pas magnifique comme les mannequins qui portent ces vêtements, en général, elle s’y trouve jolie. Disons juste qu’elle aime être à l’aise dans ses vêtements, quitte à passer pour une parfaite idiote, sur de bien trop nombreux points. ♣ Ses tenues sont souvent le point de critiques de ses amies, qui prétendent qu’elle ne trouvera jamais un homme digne de ce nom en se baladant dans des tenues aussi nulles. Bon, certes, ce n’est pas ce qu’il y a de glamour, mais au moins, elle se sent bien là-dedans ♣ Ecoute beaucoup de Jazz, c’est la seule musique qui lui permet de réellement se détendre après une grosse journée de boulot, ou après avoir plongé le nez dans son passé. On ne peut pas vraiment dire que cela aide aussi. Au contraire, en plus de ça, cela n’aide absolument pas ♣ A commencé à se ronger les ongles à la mort de son père. Pourtant, sa disparition la poussait enfin à comprendre qu’elle était libre de faire ce qu’elle voulait, qu’il n’était plus là pour diriger sa vie. Ce n’était pas évident, mais ça comptait quand même pour elle et de son point de vu, c’était sans doute la seule chose qui soit en mesure de compter, d’ailleurs. ♣ Lorsqu’elle est toute seule, elle adore se mettre à danser, à faire n’importe quoi et à se secouer comme si ce qu’elle écoutait était du métal ou en tout cas, une musique qui remuait. Que la musique secoue ou non, d’ailleurs. Elle aime danser mais disons que ses mouvements ressemblent davantage à une bagarre qu’à une danse, du coup, elle épargne ce spectacle aux gens, cela semble bien plus simple ♣
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Que pourrait-on dire de plus d’une fille qui rêve du prince charmant ? Qui rêve de la Saint Valentin comme du jour le plus important de l’existence ou presque hein ? Bien sûr qu’elle sait que ça ne sert à rien d’attendre l’amour qui pourrait être le plus pur du monde, elle sait que ce que l’on voit dans les films n’existent pas à ce point, que ce n’est pas aussi rose et que souvent, ça fait bien plus de mal que de bien. Mais elle aimerait bêtement tomber amoureuse, un jour, elle aimerait se mettre à croire que ça pourrait lui arriver alors que ça ne semble pas arriver. Ca la gonfle, mais elle espère sincèrement réussir à faire en sorte que sa vie sera plus rose un jour. Non qu’elle court après l’homme de sa vie, elle sait que ça ne fonctionne pas comme ça, mais elle continue d’y croire parce qu’elle aimerait que ce soit aussi simple. La jeune femme lit vraiment beaucoup, dès qu’elle en a l’occasion, elle se pose quelque part et elle bouquine. Certes, elle n’a pas fait de très longues études, son père préférant qu’elle soit à la maison pour aider, pour donner un coup de main avec les enfants à problème… A sa manière, bien sûr, mais elle ne réalisait pas vraiment d’à quel point ce n’était pas bon. Elle aime s’évader dans un monde qui n’est pas le sien, ou elle peut devenir un instant une princesse et l’autre instant une guerrière vorace. Elle aime se détendre et prendre l’air et que cela soit vident ou non, elle aime s’amuser, se détendre avec ses amis dès qu’elle en a l’occasion. D’ailleurs, elle ne peut pas nier le fait que certains matins, au boulot, c’est peu évident, le verre de trop lui tape toujours sur la tête, au petit matin. Elle n’y peut rien, c’est comme ça, elle ne tient absolument pas l’alcool et ses amis adorent en profiter. En plus de ça, d’un naturel déluré et moqueur, elle a un rire contagieux et en général, elle finit toujours par faire rire la galerie. Du coup, quand on lui sort une blague peu drôle mais qu’elle est la seule à en rire… Tout le monde finit par rire. Et ce n’est pas plus mal. Disciplinée, beaucoup trop disciplinée… Son père avait beau lui demander tout et n’importe quoi, elle n’hésitait jamais à aller dans leurs sens. Aujourd’hui, elle regrette mais il aura fallu attendre que son père meure pour qu’elle soit capable de se rendre compte de son erreur. Cela aura pris du temps, en effet, beaucoup trop de temps. Et elle se sent tellement ridicule qu’elle sait qu’il n’y a rien à faire pour revenir en arrière. Les excuses ont un pouvoir, mais ils n’ont pas LE pouvoir, et ça, elle ne le sait que trop bien. Elle a fait du mal aux gens qui ont vécu chez elle, et ça l’insupporte d’y penser, elle ne supporte même pas l’idée. C’est pour dire…
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Traînant les pieds au cœur de mon salon, je tente de m’arrêter de faire les cent pas. Lorsque l’on fait le point sur sa propre existence, bien trop souvent, on en vient à réaliser que la vie que l’on a mené jusqu’à aujourd’hui est soit, ennuyante, soit suffisante, soit horrible et intolérable. Peu importe, dans le fond, ce que l’on a fait jusqu’à ce moment, où l’on se remet en question. C’est le moment où cela arrive, qui change tout. Aujourd’hui est mon moment. Je pèse le pour et le contre, et je ne tarde pas à réaliser que ma vie est pitoyable, étourdissante et insupportable. Mon passé me bouffe et continuera sans doute à le faire, tant que je resterais dans cette position, tant que je ne prendrais pas les dispositions suffisantes pour arranger les choses. Je refuse de m’arrêter là et de me laisser croire que la situation est bien ainsi. Elle ne l’est pas et sans doute ne l’est-elle jamais, de toute manière. Je n’ai pas envie d’avoir à y songer, je n’ai pas envie d’avoir à me dire, dans dix ans, que j’aurais pu guérir tout ça, que j’aurais pu tout arranger, alors que ce n’est pas le cas.
J’ai beaucoup de mal à songer à tout ça, à repenser à mon passé sans me souvenir des nombreuses blessures que j’ai pu causer. Et je me sens tellement minable que je sais qu’il n’y a pas grand-chose à faire pour que la situation s’arrange. Je suis née dans une famille d’accueil. Enfin.. Mes parents se sont tout simplement mis à accueillir de jeunes orphelins Au début, cela se passait bien et pourtant, mon père se mettait à devenir étrange. Pour une raison qui continue de m’échapper, il s’est mis à se montrer désagréable et cela a commencé avec un garçon, du nom de Tobias. Il avait quatre ans de plus que moi et je n’étais qu’une enfant. Pourtant, lorsqu’il s’est mis à tout faire pour me pousser à devenir méchante avec ce garçon, je n’ai pas résisté bien longtemps. Aujourd’hui, je ne saurais dire ce qui m’a réellement poussé à me comporter de cette manière. Et pourtant, je n’ai pas réussi à rester calme et innocente. C’est avec lui, que je me suis mise à devenir une personne insupportable et détestable. Je suis incapable de savoir ce qui m’a vraiment poussée à faire ce genre de chose. Pourquoi j’ai obéi à mon père, pourquoi est-ce que ma mère n’a rien dit, de son côté ? Je n’en sais rien et pourtant, je n’ai jamais vraiment cherché à arranger les choses. Et je m’en foutais. Mon père était fier de moi. Et à mes yeux, c’était réellement la seule chose qui comptait. Il me demandait de le frapper et même si je ne savais pas pourquoi je faisais ça, je le faisais. Il me disait qu’il n’avait pas été sage, et je ne réfléchissais pas vraiment, je le frappais avec ce qu’il me donnait pour lui cogner dessus. Et j’avais beau ne pas savoir pourquoi je faisais ça, ça continuait à me paraître normal. Il est bizarre de voir à quel point on peut suivre la route de nos parents, parce qu’on se persuade que c’est normal, on se persuade que ce que l’on fait est bien, puisque nos parents nous le font faire. C’est ainsi, nos routes se dirigent d’une certaine manière uniquement parce que c’est ainsi que cela doit être. Un enfant se doit d’écouter ses parents, voilà tout. Que cela semble évident, ou que cela soit étrange.
Je n’en ai jamais parlé à personne. La honte me liant les lèvres. En même temps, je ne pouvais pas non plus nier que cela me faisait du bien, de garder ce genre de chose pour moi. Après tout, je ne pouvais que douter de l’avis des gens, il était inconcevable que l’on puisse bien voir un tel comportement. Je ne pouvais m’en vanter, j’en avais bien plus honte que je n’aurais pu le dire, il m’était impossible d’en parler et pourtant, bien que me taire m’évitait le jugement des gens, je ne pouvais pas non plus nier que ça n’avait rien d’évident. Absolument rien, en plus. Et j’ai doucement grandit, n’ajoutant rien sur ce qu’il aurait pu m’arriver quand j’étais enfin. Je ne parlais même pas du fait que mes parents accueillaient des jeunes. Je ne disais rien et de toute façon, la relation que j’avais avec mes parents était légèrement tendue, depuis. Et quand je fus suffisamment en âge pour partir, je pris le large. Cela me sembla clairement plus simple, en plus de ça. Je n’étais pas capable à m’entendre avec eux, de toute manière. Je ne pouvais pas oublier et à la majorité, je me suis réellement rendue compte que tout ce que j’avais fait été mal. Non que cela m’ait empêché de le faire jusque-là, mais disons que j’habitais chez eux, je ne me voyais pas aller contre leurs règles… Je pus me trouver un simple petit emploi de libraire et ma nouvelle vie put vraiment commencer.
Je sentais encore un léger frein, pourtant, un lien qui me liait encore à mon père, mais ce lien ne tarda pas à finalement disparaître, heureusement, même si pour cela… Il fallut que j’attende de le savoir mort. Je ne sais même pas ce qu’est devenue ma mère aujourd’hui, je ne suis pas allée à l’enterrement. Mais je pus alors voir que le lien qui me lier à lui s’était rompu. Il ne risquait plus de débarquer pour me faire du mal. Et il était enfin temps, pour moi, de prendre mes responsabilités. Il fallait que je reprenne les choses là où elles avaient commencé. Il fallait que je retrouve Tobias…
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → Sara, avengedinchains, 24 Comment es-tu arrivé(e) ici ? → en zonant un peu. Ce personnage est-il un double compte ? → pas du tout. Présence sur le forum → 3/7 en moyenne. Personnage inventé ou scénario ? → scénario de Tobias. Crédit images → Shiya pour l'avatar, et le gif faisait parti d'un gif hunt sur tumblr, donc je ne sais pas qui l'a fait .
Mon exemple de RolePlay, un rp fait pour un autre forum:
Etre le patron d’un bar ne facilitait pas ma relation avec les autres parents, dans la classe de Clara. Non qu’il soit réellement dans mes habitudes de me faire des amis au sein des parents d’élèves, mais je ne pouvais malgré tout pas nier le fait que cela n’avait rien de simple. C’était même un poil compliqué et énervant sur les bords. En tout cas, disons que du principe que j’étais propriétaire d’un truc bourré d’alcool, les autres estimaient que je n’étais pas digne de confiance. Mais, à côté de ça, je préférais être le père concerné par cette suspicion. Je n’aurais pas voulu que ma fille soit amie avec quelqu’un dont les parents possédaient un bar. Ça pouvait sembler stupide, mais j’avais, depuis longtemps, réalisé que je ne pouvais plus faire confiance aux gens. Ma fille était sans doute la personne la plus importante à mes yeux, et de ce fait, il était hors de question que je sois responsable de quelque chose d’autre que de son bien-être. Je faisais tout ce que je pouvais pour que les choses se passent au mieux pour elle. Ce n’était pas toujours une très grande réussite, mais j’estimais ne pas m’en être trop mal sorti, à la longue. Peut-être que ce n’était pas l’avis de tout le monde mais ça, je ne m’en souciais pas vraiment.
Lorsqu’elle était en cours, il me fallait alors trouver un second sens à ma vie, ce qui se trouvait être dans mon bar, du coup. Je ne demandais pas une activité de fou, mais il fallait malgré tout que je sois apte à faire deux choses qui soient assez différentes l’une de l’autre. Etre un père, et être un propriétaire, c’était deux choses différentes et en même temps, ça ne l’était pas tant que ça non plus. En effet, il fallait malgré tout que je sois apte à m’occuper de certaines choses et, pour le coup, même si ma fille devait passer avant, elle n’était pas non plus celle dont je devais le plus m’occuper. Mais il était, en tout cas, parfaitement évident que c’était à moi de faire en sorte que les choses se passent au mieux possible et si, par moment, cela n’avait rien de simple, il allait surtout falloir que je me calme deux secondes et que je me taise. C’était préférable. Enfin... bref, pour le reste, il n’était pas forcément de gérer une fille adolescente quand on est un mec. Au contraire, en plus et elle ne rendait pas les choses faciles, puisqu’elle était exactement comme moi à son âge. Et ça n’avait absolument rien d’aisé, puisque j’avais été un gros con, et que je ne voulais pas qu’elle en arrive à ce point. Mais... Disons qu’elle était peste sur les bords.
Passant un main dans les cheveux, je me dis d’un coup qu’il allait sans doute falloir que je me décide enfin à parler garçon et sexe avec elle, cette conversation ne me plaisait pas du tout mais il était évident que j’avais déjà bien trop attendu. J’espérais juste qu’elle n’avait pas fait de bêtises et que la conversation n’allait pas trop être flippante. Malheureusement, les choses étaient élevées, je n’avais pas envie de parler de ça avec ma fille, c’était trop malsain.
Je venais juste de mettre les pieds dans le café lorsque l’odeur de la caféine m’arracha un sourire, il était, en tout cas, parfaitement impossible pour moi d’affronter une journée entière sans plusieurs cafés. Peut-être que l’on pouvait me qualifier de parfaitement accro mais je ne m’en formalisais pas vraiment. Ce n’était pas comme s’il s’agissait de drogue, je n’étais pas un junky. Bref, je venais de commander ma tasse quand mon regard se posa sur une femme, dans un coin de la salle. Son visage me rappelait quelqu’un, sans que je ne sois réellement apte à mettre un nom sur son visage, sur qui elle pouvait bien être. Cela me dépassait légèrement, bien que je sois apte à tenter de comprendre ce bordel. Elle. La mère de Clara. Je n’en étais pas certaine, les années étaient passées, mais elle avait toujours le même visage. Doux, tendre.. Elle était belle et je ne comprenais réellement pas pourquoi elle était là. Non que je veuille vraiment le comprendre ou que je veuille totalement faire un pas vers elle mais je ne pouvais pas nier que je voulais comprendre ce bordel. Du coup, sans que je ne puisse réellement me retenir, une fois qu’on m’eut servi mon café, je m’avançais lourdement vers elle et me plantait en face.
« On se connaît n’est-ce pas ? »
Pourtant, je n'étais pas certain de vouloir la connaître.
Dernière édition par Loan A. Higginson le Ven 31 Oct - 0:21, édité 7 fois
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Sujet: Re: Loan ♣ Pardonnez mes péchés Mar 28 Oct - 14:42
Welcome
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Loan ♣ Pardonnez mes péchés Sam 1 Nov - 0:28
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
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Sujet: Re: Loan ♣ Pardonnez mes péchés
Loan ♣ Pardonnez mes péchés
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