Quel est le caractère de ton personnage ?
   you terrorized the Big Apple→ D’un tempérament de feu, Kale a le sang chaud. Il faut dire, sa famille ne lui a jamais fait de cadeau, et c’est en grandissant qu’il c’est forgé cette carapace en titane. Son impulsivité est généralement son défaut majeur, bien que sa fierté masculine à la fâcheuse tendance à prendre le dessus. Il n’aime pas perdre, il veut avoir le dernier mot, il n’aime pas se faire écraser, il veut garder le contrôle. Il c’est déjà battu de nombreuse fois, ne le cachons pas, soit parce qu’on le poussait à bout, soit parce qu’il jugeait la situation intenable. Le comportement des autres est d’une importance dans ce type de moment, alors si son interlocuteur ne baisse pas le ton, il continuera de l’élever, allant même jusqu’à se moquer, et pousser lui-même la personne dans ses retranchées. Parmi ses défauts, Kale compte aussi sur sa jalousie ; en effet bien qu’il n’est eu, est a toujours d’ailleurs, une seule histoire sincère, il a toujours était assez possessif avec la personne qui lui appartient. Que sa relation soit durable, ou éphémère. Il râle assez souvent, mais c’est surtout pour donner son avis, et ne pas dissimuler le fond de ses pensées. Quand cela ne lui plait pas, vous le saurez tout de suite. Mais Kale n’a pas que des défauts, car derrière ce physique impressionnant, il sait aussi être agréable. Il est plein d’humour, et quand il peut rire et profiter d’une situation, il le fait. Cela fait d’ailleurs partie de son charme. Ce grand barbu est particulièrement loyal, témoignés de nombreuses fois par ses amis. Il est parfois simple à vivre, parfois compliqué. Mais son obstination fait de lui un homme plein d’assurance. Il sait ce qu’il veut, et comment l’obtenir. Son air indéchiffrable fait partie de ses mimiques favorites, puisque cela lui permet de se planquer derrière, et ainsi de se protéger de tout. Il ne supporte pas d’être délaissé, abandonné. En effet, cela serait sa seconde raison de rupture, après l’infidélité… Mais cet ours mal léché a du cœur, et après avoir assumé sa défaite masculine, il finit toujours par le prouver.
   

Well... It's my story !
   and as charming as sad as it is, plays !
   it does not begin with once upon a time

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Alors que la neige venait de déverser ses dernières larmes de givre, justifiant ainsi les célèbres giboulées de mars, un petit brun naissait, dans les environs de Boston. L’hôpital avait été bondé durant des semaines, accablé par les multiples accidents dû à la météo, néanmoins, le service maternité semblait avoir été épargné. Le petit Finn, suspendu au dessus du berceau par les gros bras de son paternel observait cette arrivée comme une curiosité. Il était le fils unique d’une famille richissime depuis trois années, et jugeait déjà ce bouleversement comme quelque chose de négatif. Kale allait de toute évidence prendre une place importante dans sa vie, ainsi que celle de ses parents, et à trois ans, il le comprenait déjà. L’enfance du petit brun fut assez délicate, à la fois chamboulée par la jalousie massive de son ainé, à la fois perturbé par les absences répétées de ses parents. Lorsque son frère eut enfin l’âge de le garder, l’enfer semblait être un paradis comparé à sa situation. Il pu parfois fuguer chez la voisine, parfois il se planquait même dans les gradins de la salle de sport de l’école, cherchant une excuse pour ne pas rentrer, et subir les conneries de son grand frère. C’est sans doute ainsi qu’il se trouva une passion, démarrant inévitablement par le basket. Son talent avait rapidement prit le dessus, le révélant à quelques meilleures écoles de la région. Ce fut leurs premiers déménagements. Une fois de plus, Finn était jaloux. Parce que son frère réussissait, parce que son frère devenait la fierté de la famille, pendant que lui se ramassait sur les bancs de l’école, allant jusqu’à sécher déjà au collège. A force de trainer, Finn avait finit par avoir de mauvaises fréquentations ; ce fut le début de la pension pour lui. Leurs parents semblaient acceptés toutes réussites, mais le moindre échec se révélait être un fardeau bien trop lourd à porter. Malgré le comportement de son ainé, Kale continuait de supporter son frère. C’est après avoir apprit que Finn avait fugué, que Kale décida de partir à sa recherche. Sur son vélo, à 8 ans, il avait entreprit de retrouver son frère, de nuit comme de jour. La disparition du petit avait d’ailleurs engendrée de sévères conséquences, signalée à la police, ainsi qu’aux divers centres municipaux des environs. C’est après trois jours que Kale retrouva Finn, lacéré sur tout le corps, après s’être battu contre des malfrats. Kale ne c’était pas laissé impressionner par les multiples plaies, bien au contraire, il avait trimballé son ainé jusqu’à l’hôpital, toujours en vélo, et malgré le poids de son ancien. « Je le dirais pas à maman ! ». Répétait-il, à bout de force. Son arrivée sur les lieux avait bien entendu alertée la famille, mais là déjà, quelque chose avait changé chez Finn, par rapport à son petit frère.
« Prêt ? ». Soufflait-il à demi-mot, face aux regards embués de son ainé. « On est pas obligé d’y aller.. ». Avait-il répondu à son cadet. « Si tu n’y vas pas pour dire adieu, vient au moins pour m’épauler ! ». Kale tentait de conserver son honneur sauf, mais au fond, il sentait déjà une marée de regret le méprendre et le bouleverser. Sa mère venait de perdre la vie, et le seul argument qui semblait pouvoir convaincre Finn, de se rendre à l’enterrement, c’était son amour pour Kale. La journée avait sonnée comme un renouveau. Parce que Finn refusait d’exposer une quelconque faiblesse, parce que Kale tentait de le rendre plus humain. Ce départ précipité avait métamorphosé le père, qui, après quelques mois sans un mot à ses fils, s’était contenté de privilégier sa carrière, et de cumuler les conquêtes. Pas vraiment l’exemple à montrer ; mais déjà les deux jeunes hommes ne comptaient plus sur lui. La relation des deux frangins avait évoluées au-delà des espérances de celui-ci, et sans doute qu’à l’heure où il se sentit abandonné par sa femme, il pensait que cela suffirait. Malheureusement, Finn continuait de dégénérer, même en ayant dorénavant ce qu’il pourrait réellement considérer comme une famille ; son frère. Ils avaient beau être comme les deux doigts de la main, c’était plus fort que lui.
Après avoir été attrapé par la justice, suite à des ventes illicites répétitives, et des violences rurales ; Finn écuma de quatre années de prisons. Evidemment, Kale était déçu, puisqu’il s’acharnait à être l’exemple, et que son frère ne le suivait pas. Il était la seule personne à qui il laissait autant de chance, et pourtant… C’est ainsi que Kale changea, lui aussi, se planquant derrière sa férocité masculine, et une sacrée couche de métal en guise de bouclier. Leur père se contentait de les cajoler financièrement, mais cela n’allait jamais au-delà. En réalité, il les craignait sentimentalement. Après une nouvelle réussite scolaire et sportive de Kale, qui l’éleva jusqu’à l’université de son choix, il fut temps pour son frère de sortir. Kale n’avait attendu que ça, durant toutes ces années, maladivement impatient. Malheureusement, la visite clandestine du père en prison n’avait fait qu’amoindrir les forces de l’ainé. Alors, lorsqu’il sortit : « Je peux pas ! ». Le prévenait-il, alors qu’un taxi avec une immatriculation particulière l’attendait. « Comment ça tu peux pas ? ». « Je peux pas rester, et… continuer à te descendre. Tu vaux mieux que ça. ». Kale sentit son cœur le lâcher, comprenant ainsi la gravité de ses propos ; il le laissait. « C’est Papa hein ? ». Evidemment… qui d’autre que celui-ci, pour forcer Finn à l’abandonner ? Mais alors qu’il insistait, lui demandant par quel moyen il l’avait poussé à partir, Finn décida de couper court à la discussion. Il se savait faible avec son petit frère, suffisamment pour craquer, céder. Mais son envie de le sauver, de le protéger dominait par-dessus tout, parce que derrière sa jalousie d’enfance, se cachait une envie massive de l’aimer, et qu’après avoir comprit qu’il en était capable, après avoir tout partagé et donné, il se devait de prendre la meilleure décision pour lui. Son père l’avait menacé de leur couper les vivres, de détruire toute la future carrière de Kale, qui était particulièrement prometteuse, s’il ne le laissait pas tranquille. Cela avait suffit.
Les années qui éloignaient dorénavant Kale à cette scène n’avait fait que l’endurcir. Il n’acceptait plus aucune crue sentimentale, il se contentait d’appeler son père, sans savoir, une fois par mois ; d’évoluer autant qu’il pouvait pour ne plus penser à lui. Ou qu’il soit, quoiqu’il fasse. Malheureusement, c’est ainsi qu’il s’était forgé, et plus aucun retour ne fut possible. Son père s’était remariée avec une femme déjà maman ; évidemment, il souhaitait conserver ce dernier lien familial, alors il acceptait parfois de leur rendre visite ; croisant d’ailleurs une petite blonde, temporairement nounou, qui fréquentait les mêmes bancs universitaires que lui. En général, ça cafouillait, au point qu’il s’agaçait mutuellement. Les échanges restaient brutaux, mais amusant, parce que distrayant. C’est à force de se croiser et se punir, qu’ils finirent par se rapprocher. Kale avait beau souhaité la détester de tout son cœur et de toute son âme, chaque fois qu’ils se voyaient, il se laissait cribler de balle, et s’affaiblissait. En réalité, elle lui plaisait, et ce jeu, bien que vicieux et navrant, l’excitait. Jusqu’alors, il n’avait cumulé que des relations éphémères, et pourtant, une forte envie de la posséder, la protéger le gagnait. Il voulait plus qu’une insulte, ou une gifle. Il voulait mieux surtout. Cette relation paraissait avoir peu d’avenir quand on l’observait de loin, mais en réalité, elle coïncidait parfaitement avec ce qu’ils attendaient, l’un de l’autre. A force de se battre, ils finirent par céder, s’abandonnant l’un à l’autre, pour le meilleur et surtout pour le pire. Mais les ailes des deux amants avaient déjà brûlées, alors rien ne pouvait être pire que de se fréquenter, nan ? Kale pensait pouvoir se sauver d’un passé douloureux, en se distrayant avec Capucine, mais la difficulté de cette entreprise régnait dans le fait qu’il s’y accrochait bien trop fort, et qu’elle l’avait si facilement cerner… Qu’elle su exactement où s’agripper pour le garder. Ce qu’il redoutait arriva…

   

Ton prénom ou ton pseudo & ton âge  → Lana 24.
   Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par un membre déjà inscrit.
   Ce personnage est-il un double compte ? → Non.
   Présence sur le forum → 4/7.
   Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
   Crédit images → Thild.

   

Mon exemple de RolePlay: