âge →25 ans Né(e) à→ Pinedale Wyoming le → 18/12/1989 Métiers → Fleuriste Études → // Statut → Célibataire Orientation → Hétérosexuelle Groupe → Le violet de l'empire state bulding
Quelles sont tes caractéristiques ?
→ Je ne serais vous dire ce qui me différencie des autres, à vrai dire, j'ai moi même bien des difficultés à trouver quelque chose. Je suis nerveuse, toujours à me cacher derrière un sourire lorsque la situation m'échappe. Bien que plutôt jolie selon les dires de ma mère, je n'ai jamais été très sur de moi et cela se voit à ma manière de m'habiller. Je ne porte jamais de robe ou de jupe. Je suis une adepte des jeans et des chemises. Je porte toujours des converses à présent usées jusqu'à la semelle et mon visage est dépourvu du moindre maquillage. Mes cheveux sont un bordel incessant, longs, épais, atrocement bouclés je ne les attache que très rarement. Ils sont ma couverture, m'offre la sensation de devenir invisible aux yeux des autres. Je ne prends pas vraiment soin de mon apparence et ne cultive aucun style. Discrète et effacée, la seule petite originalité que je me suis permise et l'inscription d'un petit "S" tatoué sur le creux de mon omoplate. Lettre du prénom de mon ancien cheval qui fut, mon seul et unique véritable ami. Je lis beaucoup, ma lecture favorite est le "petit prince". C'est mon livre porte bonheur, une très vieille édition dont l'importance est sentimental : il appartenait à ma défunte mère. Oh, un petit détail mais qui doit sans doute avoir son importance, je n'ai jamais eu de relation avec un garçon. Quelle soit amicale ou amoureuse, les hommes sont, pour moi, un mystère qui m'effraie quelque peu, je ne suis absolument pas à l'aise avec eux. Il m'arrive souvent de rougir lorsque je ne maîtrise pas une situation. Système de défense qui me pourri l'existence tant je suis facile à décoder. J'adore la musique, je joue de la guitare depuis que je suis petite et je ne peux passer une journée sans gratter quelques cordes. J'ai une très jolie voix mais je ne chante jamais en public. Je n'ai jamais vécu dans une grande ville de ma vie. Jusqu'ici, je me déplaçais à cheval et ne possédais ni de portable et encore moins de pc. Je découvre la vie urbaine, entre extase et effroi. J'ai ouvert une petite boutique grâce à mes économies. Cela pas là mon métier rêvée néanmoins, je fais de très belles compositions florales et ma boutique fonctionne plutôt bien, j'en suis satisfaite.
Quel est le caractère de ton personnage ? you terrorized the Big Apple→ Timide, discrète, effacée. Je ne fais jamais de vague, essaye de ne pas trop me faire remarquer. Ayant toujours vécu en marge de la civilisation j'ai beaucoup de difficulté à construire des liens avec les autres. Je parle peu de ma vie, de mes problèmes ou de mes tourments tant j'ai souvent peur de déranger l'autre. Paradoxalement, je suis une très bonne commerciale et je gère ma petite boutique d'une main de maître. Je suis très organisée et rigoureuse dans mon travail mais également débrouillarde, capable de prendre de lourdes décisions. Je suis une éternelle rêveuse. Lorsque je ne travaille pas, j'explore New-York, m'émerveillant devant chaque chose, prenant plaisir à goûter aux saveurs d'une ville énorme, bouillante de vie mais également de dangers. Je sais particulièrement bien me défendre. Ayant grandit dans des contrées sauvages j'ai apprit à tirer au fusil et à manier un couteau à l'âge ou les enfants apprennent à lire et à écrire. J'ai toujours une petit couteau camouflé dans mon jean, sous ma chemise. Prévoyante mais pas agressive, je me mets très rarement en colère. Je préfère la parole aux poings et accorde une très grande attention à la communication. La violence appelle la violence et j'exècre ces émotions fortes, douloureuses, qui font bien plus de mal que de bien.
Musicienne dans l'âme, je joue énormément de guitare. La musique est mon exutoire, ma force et me permet notamment d'oublier ma solitude. Non pas que je sois associable simplement, je ne sais absolument pas aller vers les autres, je ne sais jamais quoi dire, je me trouve plate, indigne d'un quelconque intérêt. J'ai peur également, des autres mais, surtout, des hommes. Ma mère m'a toujours tenu à l'écart des hommes, me protégeant d'eux, protection qui devint vite étouffante lorsque mon corps offrit aux regards de nouvelles courbures. Je ne connais donc rien à l'amour ou à l'attirance. Je suis très méfiante à leur égard mais également intriguée. J'aimerais pouvoir connaître l'amour comme celui que je touche du bout des doigts dans mes livres, délicieux mystère. Je suis polie, douce, à l'écoute et bien trop gentille quand bien même j'essaye de tromper mon monde en montrant une assurance feinte. La vérité c'est que mon absence de confiance et de connaissance de cette vie urbaine font de moi une petite fille fragile, ignorante, aisément manipulable. Pourtant j'essaye de suivre les conseils de ma défunte mère mais, rien n'y fait. J'ai tendance à croire en l'humain quitte, parfois, à prendre le risque de me brûler les ailes. Et en même temps, moi qui n'ai jamais vraiment eu de cercle amical ou familiale comment diable voulez-vous que je sache m'y prendre ? Je me désole.
Je suis une enfant sage, trop sage. Jamais d'éclat, jamais de mot plus haut que l'autre ou de comportement déraisonnable. Je suis polie, trop sans doute et même la voix me semble insupportable tant elle est mélodieuse et mielleuse. J'ai la sensation d'être une enfant que l'on ne peut pas prendre au sérieux bien longtemps. Une enfant sauvage qui, malgré son éducation ne connait rien aux mœurs des personnes ayant toujours vécu en communauté. Je n'ai jamais fait d'études, j'ai apprit à lire et à écrire sur le tard néanmoins, je suis extrêmement curieuse et très ouverte d'esprit, j'apprends vite et j'adore perdre mon temps dans les bibliothèques à découvrir de nouveaux livres, magasines et autres trésors qui viendront parfaire mon éducation.
Digne de confiance, j'ai le coeur sur la main et je suis toujours prête à rendre un service ou à aider autrui. Je suis une amie fidèle et loyale et je serais vraiment prête à tout pour défendre ou porter secours à ceux que j'aime. Ils sont si peu que je dois en prendre soin, j'ai tellement peur que l'on m'abandonne.
Well... It's my story ! and as charming as sad as it is, plays ! it does not begin with once upon a time
Je ne sais par où commencer, comme bien souvent lorsqu'il s'agit de parler de moi. Les mots sont douloureux, coincés mais puisque vous me le demandez...
Je naquis à Pinedale dans le Wyoming ou, plus exactement, entre les montagnes du Wyoming dans une grande ferme que ma mère construisit de ses propres mains. Ma mère... Elle est le rouage de mon histoire, le point d'encrage, la raison de ma venue en ces terres si éloignées de ce que j'ai toujours connu. Ma mère... C'était une marginale, une incomprise qui n'a jamais souhaité vivre en ville. Ma mère est un mystère qui, selon ses dires, à toujours vécu dans le Wyoming. Sa ferme dans laquelle elle m'éleva fut construite de ses mains tout comme sa vaste exploitation agricole qu'elle tenait d'une main de fer. Elle élevait des moutons et dressait des chevaux, confectionnait ses propres vêtements et était connue pour ses produits d'exceptions et d'excellentes qualités. J'appris à monter à cheval avant même de savoir marcher et fut confrontée à une réalité bien différente de la vôtre. A 6 ans, j'aidais ma mère a cultiver nos terres, à tondre les moutons et vivais au rythme des saisons. Je ne connaissais la ville que lors des marchés auxquels nous participions afin de vendre nos produits dont la réputation n'était plus à faire. Je n'ai jamais été scolarisée et n'ai jamais eu la chance de grandir entourée d'enfants. Des mots et de la vie, je ne connais que ce que voulu me transmettre ma mère qui possédait un savoir étonnant dont je ne connue jamais les racines. J'appris à lire sur le tard et en secret. Ma mère, rude et sévère malgré tous l'amour qu'elle me portait ne souhaitait pas que je sache lire ou écrire. Elle disait que les mots étaient dangereux, bien souvent menteur et que pour survivre, la connaissance des plantes, des animaux et des bonnes transactions commerciales étaient suffisantes. La lecture je la dois à Anne. Jolie dame que ma mère accepta d'engager lorsque ses os commencèrent à s'user. Anne. Ancienne détenue, ancienne citadine venant de New-York ayant décidée de quitter la folie citadine pour reconstruire quelque chose de nouveau, de plus beau. Elle me raconta la ville, m'apprit que le monde extérieur était bien plus vaste, bien plus riche mais aussi bien plus dangereux que je n'aurais pu l'imaginer. J'appris à lire, à écrire, à compter et je tombais follement amoureuse des mots qui, soudainement, m'ouvraient les portes d'un monde fait de rêves et de connaissances.
Et puis, vint les temps sombres. Ma mère, cette montagne que tout le monde respectait pour sa droiture et son sens de l'honneur nous quitta un soir de décembre, peu de temps avant mon 21ème anniversaire. Cela faisait trois ans à présent qu'elle luttait contre une toux vorace qui lui arrachait tripes et énergie. Elle n'a jamais voulu se faire soigner autrement que par les plantes, refusa obstinément la venue d'un quelconque médecin et combattit son mal comme elle le put. Son mal. Un cancer. Il lui rongeait les poumons sans qu'elle n'accepte pour autant de cesser de le nourrir à grand coup de fumée. Elle est partie et, si sa disparition me fit un mal incroyablement je ne pus me permettre de la pleurer bien longtemps. Ma mère décédée me léguais ferme et responsabilité et, quand bien même Anna fut la pour me soutenir, reprendre son flambeau se révéla épuisant. Épuisant car je ne possédais plus la volonté d'avancer. Sa mort avait créée une porte, la possibilité pour moi de partir, de connaître autre chose que cette ferme. Je ne souhaitais pas mourir ici, je ne souhaitais pas connaître que les plaines et les montagnes du Wyoming quand bien même ce monde brute, sauvage et impitoyable me plaisait.
Ce fut Anne qui reprit mon exploitation il y a maintenant 1 an. Grâce à une collaboration avec deux autres hommes, ma terre, mes animaux, ma ferme et tout ce qui appartenait à mon identité fut rachetée. J'ai quitté Pinedale et rejoignis New-York. Cela fait à présent 6 mois que je suis ici. J'ai ouvert ma petite boutique de Fleurs et, quand bien même je suis heureuse de débuter autre chose j'ai bien du mal à ne pas me sentir coupable envers ma défunte mère. D'autant plus que je me sens affreusement seule et que l'adaptation à la vie New-yorkaise est bien difficile. Se faire raconter la vielle est une chose, la vivre en est une autre, je l'apprends aujourd'hui à mes dépends.
Ton prénom ou ton pseudo & ton âge → L.G/22 ans Comment es-tu arrivé(e) ici ? → En fouillant sur les tops-sites. Ce personnage est-il un double compte ? → Nop Présence sur le forum → Autant de fois que possible. Personnage inventé ou scénario ? → Inventé Crédit images → Pétulia pour les avatars, trumblr pour le gif.
Spoiler:
Mes poumons sifflent, hurlent, exprimant leur panique face à l’étau d’acier les perforant de part en part lorsque, dans un dernier souffle, j’aspire la dernière volute de fumée venant déposer leurs mains gantées de noires sur mes joyaux de vie. Mes paupières se ferment, couvre d’une pudeur monotone le bleu de mes pupilles dont les cristaux de glace fondent sous la chaleur étouffante des lumières venant redessiner les contours de mon corps malingre. Une main inconnue dépose sur mes lèvres un rouge sanglant, une deuxième dénoue ma longue chevelure blonde dont les ficelles sauvages encadrent mon visage douloureux, fatigué. Absence d’émotion, de saveur, de volonté, je me laisse faire comme la poupée de chiffon que j’ai toujours été. Les flashs crépitent, m’agressent de toutes part, crépitent faisant échos aux hurlements produit par le silence de mon esprit. Je me cambre lentement, étire une main vers un ciel imaginaire, m’étends avec paresse et pose sur le petit objectif un regard lascif, emprunt d’une passion feinte, d’un désir ardent inexistant entièrement créé pour plaire aux exigences du photographe. J’entrevois un sourire, des lèvres s’ouvrent, me dictent des ordres que je peine à entendre. J’offre la vision de mon buste maigre, couvre ma poitrine de mes longs doigts effilés mimant la pudeur d’une première fois livrée sans volonté. Le temps s’envole, les chiffres dansent, virevoltent, se cognent à mon esprit tourmenté qui, enfin, semble s’éveiller lorsque le photographe murmure ce simple mot : Fin. Un sourire. Il caresse mes lèvres, timide, les embrasse avant de les étirer lentement dans une étreinte paresseuse mais salvatrice. C’est fini, ça va bientôt finir, je crois. J’observe comme dans un rêve les hommes et les femmes s’agiter. Ils semblent si loin de mes questionnements, si proche d’une réalité terre à terre, déjà tournés vers l’heure suivante qu’un pincement d’envie m’irrite les sens. Le photographe me bouscule, m’astreint à m’animer enfin, à réagir en fonction de mes aspirations si bien que je demeure un instant complètement perdu. Que dois-je faire ? Ou dois-je aller ? Comment vais-je peupler cette atroce journée qui se répète à l’infinie ? Ai-je encore la force d’exister ? De trouver une raison de retourner fouler de mes pieds nus le bitume glaciale de New-York ? « Luba… Habille-toi, il faut partir, c’est fini. »
Fini… Le photographe pose une main sur mon épaule, il la sert lentement et, dans un délicat mouvement, me dirige vers les vestiaires. Il pose sur mon front un léger baiser puis, dans un dernier regard, disparait déjà prêt à commencer une nouvelle séance avec une nouvelle poupée dont les aspirations et les rêves dépassent sans doute, largement les miennes. Je soupir et, enfin, parvient à me délester de mes affaires de barbie. Je pose sur ma chaise mon ensemble de dentelles, hôte ces atroces chaussures rouges avant d’enfiler mon pull jaune et mon jean à l’usure alarmante. Mon reflet projète l’image d’une inconnue, suis-je vraiment cette petite fille aux traits oscillant entre enfance et adulte ? Suis-je vraiment ce corps atrocement maigre perdu dans des vêtements bien trop grand pour moi ? C’est à peine si l’on me voit, désirais-je vraiment être vue ? J’ai envie de quitter mon corps, de devenir fumée se perdant dans l’infini de l’air, perdre conscience ou devenir fourmis. Je veux avoir une place, faire partie de quelque chose, d’une logique unissant un tout mais… Je ne suis rien, rien qu’une pauvre enfant perdue prenant conscience de la maladie qui la ronge, de la folie qui la guette ouvrant le précipice de l’absence, de l’amer dépression. L’appel du vide… Ca va finir… Quand ça ? J’attends la fin.
Un klaxon retentit, furieux, des crissements de pneus. Un homme sort de sa voiture, il hurle, s’agite. Je reste immobile, observant la scène sans vraiment prendre conscience que c’est moi, l’objet de ces colères. Il s’approche, carrure d’acier contre fleur mourante. Je tremble, il me repousse si violemment que mes jambes oublient leur fonction, se dérobent sous mon poids plume. Il me rattrape, semble prendre conscience de mon air malade. Droguée ! Le voilà qui insulte, le suis-je ? Comment diable un petit corps sauvage pourrait accepter les folies d’une quelconque drogue ? Je le vois prendre son téléphone, la police ? Diable ? Pour quoi faire ? Lutter contre une enfant de rien perdue au milieu de la route ? D’ailleurs… Comment suis-je arrivée ici ? Des voitures s’arrêtent, des regards me piquent, ils suintent les représailles, ils veulent ma peau. Je ne suis qu’une chose qui dérange comme ce moustique qui vous empêche de trouver le sommeil. Mais… Ne voyez-vous pas ? J’attends la fin ou… Peut-être une main, une aide, un regard conscient, quelque chose, quelqu’un à qui me raccrocher. Il n’y a rien. Je m’échappe. Je cours et disparais dans la foule ne laissant de mon passage qu’une histoire qui viendra peupler les maisonnées lorsqu’ils rentreront chez eux ce soir
Dernière édition par Jane Sawers le Mar 6 Jan - 16:39, édité 7 fois
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Jungle urbaine Mar 6 Jan - 15:21
Bienvenue Mademoiselle ! Bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Jungle urbaine Mar 6 Jan - 15:27
Merci bien jolie dame ! <3
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
j'aime ton personnage je te pré-valide, un admin va passer pour t'ajouter à ton groupe !
(par contre fait gaffe dans ton profil t'as mis agnès et pas astrid pour l'avatar )
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Jungle urbaine Mer 7 Jan - 21:07
Merci beaucoup ! Heureuse que ma belle te plaise ! Et oui je viens de voir merci, je ne sais pas pourquoi je tiens absolument à l'appeler Agnes au lieu d'Astrid xD.
Sebastian E. Black
Empire State of Mind
a lion still has claws.
▌INSCRIT LE : 13/04/2013
▌MESSAGES : 3652
▌AGE DU PERSO : 44
▌ADRESSE : 2515 lexington avenue, #202, manhattan, avec le boyfriend.
ceci est le début d'une longue histoire bienvenue dans la famille.
Validée !
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Have Fun !
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Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Jungle urbaine Jeu 8 Jan - 12:52
Merci beaucoup !
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Sujet: Re: Jungle urbaine
Jungle urbaine
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