Âge : 20 ans. Date & Lieu de naissance : Le 20 mai en Californie. Groupe : Les studieux. UFR : 1. Étude : Journalisme. Prédéfini ou Inventé : Prédéfini.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Pour ma part je me trouve très banale comme fille bien que j’adore mon nez et mes yeux mais ça ce n’est que mon avis personnel. Pour mes parents je suis une vraie déesse, il faut toujours que ces derniers exagèrent la beauté de leur enfant. Je mesure à peu près un mètre soixante-trois, peut-être un peu plus mais voilà un moment que je me suis mesurée et je pèse à peu près cinquante-cinq kilos ce qui me parait tout à fait convenable. Pour ce qui est de mes cheveux ils sont roux voir châtins et assez longs, le plus souvent lisses mais si l’envie me prend je peux les faire ondulés juste pour le plaisir de les avoir ainsi mais ça reste assez rare tout de même. Mes yeux sont d'un bleu océan ce qui plutôt rare, je les aime beaucoup puisque le plus souvent ils ont une belle touche dorée qui illumine mon regard comme pourrait vous le dire mon père, et lorsque je suis de mauvaise humeur la couleur de mes iris foncent, ce n’est pas de la magie c’est juste chimique mais long à expliquer. Je possède des lèvres fines et une dentition aujourd’hui parfaite, mais il m’aura fallu porter un appareil dentaire pendant trois ans pour obtenir ce magnifique résultat. Pour ce qui concerne mon style vestimentaire dire que je n’en possède pas serait plus correcte, je ne suis ni punk, ni gothique ni fashion, enfin si mais ça reste modéré. J’apprécie beaucoup les derniers vêtements la mode, et sachez qu’avec ma mère je n’ai d’autre choix que de m’intéresser à la mode actuelle. Cependant les vêtements que j’achète sont des vêtements que j’aime, ce qui parait logique mais ils ne sont pas forcément à la dernière tendance du jour, c’est juste que je les aime et que je mets ce que j’aime. Le plus souvent je porte des jeans et des converses, des vêtements que j’aime par-dessus tout, mais encore une fois ça dépend de mes humeurs et je mets de tout mais en faisant en sorte de ne pas ressembler à un sac à patate, que ça reste joli et enviable.
Caractère :
Mon caractère n’est pas bien compliqué, il n’est pas réellement difficile à cerner. Cependant il ne faut pas se fier aux apparences, je ne suis pas une petite peste, ni une petite fille fragile, certes comme pas mal de monde j’ai mes faiblesses mais pas au point d’être fragile. J’ai appris très jeune à encaissé tout ce qui me tombait dessus ce qui explique que lorsqu’on me chercher je ne dis rien, enfin il ne faut pas trop abuser de ça car comme tout le monde j’ai mes limites et il arrive forcément un jour où tout sort et là je peux me montrer très méchante. Je suis assez intelligente et rusée, je ne me vante pas mais ce n’est que la vérité, je comprend assez vite ce qu’on m’explique et selon mes études je suis assez obligée d’être douée dans ce que je fais et je fais toujours de mon mieux pour que mes notes soient les meilleures possibles. Quant à ma ruse, je suis du genre à souvent obtenir ce que je souhaite, je sais les détours qu’il faut prendre pour y parvenir sans que l’on se rende compte tout de suite de ce que je fais. Pour continuer sur mes qualités je suis une fille joyeuse et bien souvent souriante, la bonne humeur ça me connait tout simplement parce que je suis consciente du fait qu’une vie on en a qu’une et que par conséquent il faut en profiter, j’ai l’esprit très scientifique et pour moi après la mort il n’y a rien. Comme toutes les filles de mon âge j’adore m’amuser, sortir et donc faire la fête, j’aime remonter le moral des autres, je suis une bonne oreille à l’écoute des autres et une bonne épaule sur laquelle pleurer, aucune crainte à avoir je reste muette telle une tombe, enfin sauf s’il on me cherche. Car je peux me révéler ne pas être une enfant de cœur, je suis assez rancunière et lorsqu’on me cherche un peu trop, que l’on me fait de saletés ou lorsqu’on blesse l’un de mes proches je suis une vraie peste et je n’ai plus aucune pitié. Peu importe que l’on ai été ami ou non je m’énerve, je suis comme ça. J’oublie difficilement les choses qui font du mal et tant que je ne suis pas satisfaite de ma vengeance et bien je continue. Je suis parfois assez maladroite, même si être meneuse de claque demande une grande souplesse et être adroite, je peux facilement m’emmêler les pieds et tomber, je suis parfois miss catastrophe, capable de passer par un fenêtre après m’être mise en équilibre sur le dos d’une chaise pour changer un ampoule. Bien souvent ça fait rire et même moi j’en ris mais c’est assez fatiguant à la fin mais ça fait partie de mon caractère. Autrement je montre assez difficilement mes sentiments, enfin ceux qui sont fort comme l’amour par exemple, c’est une sorte de blocage dû au divorce de mes parents sans doute mais j’ai du mal à révéler ce genre de sentiment, comme je montre quasiment jamais lorsqu’on m’a blessé ou lorsque je vais mal, ça c’est ma fierté, je ravale toujours mes larmes, et ne les évacues qu’une fois seule. Mais autant vous rassurez tout de suite je suis adorable dans le fond, très folle, j’adore blaguer et rire, d’ailleurs pour ce qui est de mes blagues bien souvent elle ne font rires que moi et c’est-ce qu’il faut principalement savoir à mon propos.
Histoire :
La première fois que j’ouvris les yeux, ce fut ici, dans l’hôpital central de L.A, en Californie, le 20 mai 1989. J’étais entourée de mes deux parents ainsi que de mon grand frère, cette famille à la fois simple et aimante dont je ne pourrais jamais me passer. Etant donné que je suis la petite dernière de la famille, j’ai toujours été emprise d’une protection parfois pesante. Cependant, celle-ci pu créer des liens plus qu’importants dans mon cœur. Par exemple, c’est mon père qui chaque soir me racontait une histoire ou parfois deux, c’est lui qui m’as appris à me tenir debout, qui m’aidait a faire mes devoirs…, peu de pères accordent du temps pour des choses subtiles comme celles-ci, il faut dire qu’en temps que ministre, mon père n’a pas beaucoup de temps a lui. Il faut croire que j’ai des parents attentionnés qui ne peuvent me lâcher plus d’une minute. Par là je veux dire que ma mère est une vrai mère poule, le genre de mère qui stresse parce qu’elle a peur qu’une barre de chocolat ne suffise par pour le goûter de sa fille. Cependant, elle est vraiment cool, elle sait immédiatement si quelque chose ne va pas, même quand je fais tout pour le cacher. Pour moi, c’est une sorte de journal intime, je lui fais souvent par de mes doutes, de mes petits tracas, je suis sure d’avoir du réconfort auprès d’elle. Puis enfin, le dernier membre de la famille, mon frère. Bien que des fois je ne peux m’empêcher de l’embêter, bah oui, c’est normal, les petites sœurs c’est fait pour ça :p, il a toujours été là pour moi, on est très complice. Lui m’a appris à faire du vélo sans les petites roues, épreuve plutôt difficile étant donné que je n’ai jamais été très adroite, et moi, je suis sa confidente, il me raconte tous ses petits délires, ses petites histoires de cœur... Il est aussi, je pense, le plus protecteur de la famille envers moi. Il n’aime pas vraiment qu’un homme me touche, il croit encore que je suis sa petite sœur d’amour, cette petite fille innocente qu’il ne garde que pour lui. Cependant, cette petite famille s’est quelque peu brisée lors de mon adolescence, ce fameux moment où je me suis renfermée sur moi-même, n’adressant la parole a personne, muette comme une tombe. Tous les gens proches qui m’entouraient ne s’attendaient pas à une telle réaction et se sont de plus en plus éloignés de moi, sauf ma meilleure amie d’enfance et mon frère. Vous vous demandez sûrement pourquoi je ne site pas mes parents, et bien, tout simplement parce que c’est eux l’élément déclencheur. Un jour, sans que je ne sache pourquoi, mon père a hurlé sur ma mère puis est parti de la maison, faisant rugir le moteur de sa voiture qui laissa quelques échos dans la rue. Je ne l’ai plus jamais revu. Ce n’est qu’à mon entrée au lycée que je me suis peu a peu au cours des années ré ouverte à la vie et aux gens qui la partagent avec moi. J’allais à un maximum de fêtes, vivait la vie au jour le jour. J’avais retrouvée la pêche et ma joie de vivre. Afin de poursuivre mon plus grand rêve qui est celui de devenir journaliste, je décida d'aller à New York et d’y poursuivre mes études. Mon frère, un peu trop protecteur à mon goût, n’a pas trop aimé l’idée que je m’en aille aussi loin, mais avec un peu de temps j’ai réussis à le convaincre, après cela, il m’a juré qu’il essayerait de venir à son tour à New York pour ne pas trop perdre contact. D’autre part, même si mes parents sont d'origine modeste voir presque riche, ils ne peuvent pas subvenir à mes besoins à une si longue distance, du moins, pas assez pour que je puisse vivre seule. Avec une chance non dissimulée, je fis la connaissance de November Lewis, avec qui je sympathisa et m’installa dans un appartement spacieux.
Signe(s) particulier(s) :
Sandra n'as aucun signe particuliers.
Orientation Sexuelle :
Hétéro.
Citation favorite :
« L'espoir fait vivre »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Marine. Âge : 17 ans. Comment as-tu connu ce forum ? : Top sites. Ton avis (design, contexte, ...) : Magnifique. Présence sur le forum : 6/7. Autre(s) compte(s) : Non. Exemple de RP :
Spoiler:
C’est le 10 septembre 2000, dans l’hôpital central de la ville de Birmingham, en Angleterre, que j’ouvris les yeux pour la première fois. Seulement, je n’eue pas la chance de tous les enfants qui naissaient dans celle-ci. Moi, contrairement aux autres que leur famille câlinaient, identifiaient aux parents et aimait plus que tout, je fus lâchement abandonnée dès ma naissance. Ma « mère » n’a même pas voulue me prendre dans ses bras ni voulue voir à quoi je ressemblais. Pour elle, je n’étais rien d’autre qu’une erreur, un petit bébé qui avait entaché neufs mois de son existence. Elle ne m’a même pas donné de nom. Alors, comme tout enfant abandonné, je fus mise dans un orphelinat. Là bas, on me donna enfin un nom : Daphné Sprit. Vous vous demandez sûrement comment ils ont trouvés mon nom de famille ? Et bien, ils ont tout simplement pris un annuaire et tiré au sort un nom de famille. Ma vie a une base de mensonge. Je ne suis qu’une pure invention.
Toute cette mascarade dura jusqu’à ce que je grandisse et que l’on me révéla tout, lors de mes cinq ans. Enfin, on ne me l’a pas tout à fait révélé, j’ai surtout écoutée aux portes. Une femme se présentait pour devenir ma tutrice légale, l’orphelinat avait accepté et lui racontait à ce moment toute mon histoire. Ma première réaction fut de pleurer, je pleurais d’ailleurs tellement que j’avais l’impression que j’aurais pu me noyer dans mes larmes. Ma seconde réaction, me renfermer sur moi même. Lorsque j’entendis des pas approcher, je sécha mes larmes. Ma future tutrice légale avançait vers moi. Elle avait dans sa façon de marcher et son attitude quelque chose qui m’effrayais. Je ne voulais pas aller vivre avec elle. Et puis, si je réfléchissais bien, personne ne pourra me forcer à vivre avec elle, je n’avais qu’à être méchante et je remporterais la partie.
Femme – Bonjour toi, comment tu t’appelles ?
Et en plus elle se moquait de moi, comme si elle ne savait pas mon nom… Je l’ignorai tout simplement et continua de jouer avec mes poupées. Sans même la regarder, je savais qu’elle fulminait. J’en riais intérieurement. On m’annonça plus tard, presque en me criant dessus, qu’elle avait renoncée à ma garde. Je ne répondis rien, ignorant cette personne aussi, je déteste les gens qui se croient tout permis, comme si ma vie les concernait, comme s’ils allaient choisir qui me garderait sans mon avis. Plusieurs candidates voulant être ma future tutrice se présentèrent devant moi et à chaque fois, je faisais comme si elles n’étaient pas là. S’en était devenu automatique, j’ignorais toute personne s’adressant à moi. Si ils croyaient que je leur rendrais ma confiance, ils se mettaient le doit dans l’œil. Je préférais ne pas les entendre parler et vivre dans mon monde putôt que d’entendre des mensonges.
Puis, vint un jour où une dame à la voix douce vint me voir. Entendant sa voix, je me retourna pour lui faire face. Les traits fins de son visage me rassuraient. C’est comme si des ondes de gentillesse et de confiance m’envahissaient à chaque mot qu’elle prononçait. J’appris plus tard que c’était la directrice adjointe d’une école qui donnait une seconde chance à un grand nombre d’élèves en difficultés. En à peine une heure, elle réussit à me convaincre d’intégrer son école.
Code du règlement :
Spoiler:
OK by Loan
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Sandra Moore le Mer 28 Oct - 15:31, édité 5 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Sandra Moore (End) Mar 27 Oct - 16:26
Une nouvelle Sandra =) Bienvenue parmis nous && Bonne continuation. Je valide le code ^^