Parfois le temps passe beaucoup plus lentement que ce que l'on ne le croit. Certes le temps n'est pas de grande importance lorsque la vie éternelle vous est offerte, cependant il arrive que défois on trouve vraiment le temps long et surtout trés ennuyant, comme aujourd'hui par exemple.


J'avais passée la matiné chez moi, afin de vaquer à différente occupation, toutes aussi inutiles les une que les autres; mais d'un coté je n'avais pas vraiment le choix, j'étais partie pendant un mois en France la cause, j'étais simplement allée voir d'autre vampire et approfondir mon français, même si celui ci ne me serait pas d'une grande utilité à Alborg, mais c'était pour mon simple plaisir, et aussi parce que j'avais décidais de m'accorder un peu de temps pour réfléchire et me remettre les idées en place chose qui n'avait pas forcément fonctionnée. Quoi qu'il en soit j'étais de retour, en j'en avais déjà marre, c'est dingue non ?

Une femme de ménage que j'avais embauchée, juste pour aujourd'hui tournée dans tous les sens, et cela commencer à m'énerver - d'un coté qu'es qui ne m'énervais pas depuis que j'étais rentrée. - Elle me regardait d'un air idiot, y avait-il du mal à éplucher des carottes ? Bon oui, elle partirait à la poubelle, mais c'était un passe temps comme un autre, et puis ça avait un gout à peu prés potable, c'était un peu plus dure que la chair humaine, beaucoup plus froid et vraiment équerrant lorsque l'on y repense. En ayant assez de cette mascarade je filais dehors, le facteur venez de passer, et je n'avais pas regardée l'intérieur de ma boite aux lettres depuis un mois maintenant. - En faite lorsqu'on y repense la France c'est merveilleux, on ne rentrait que le soir et la journée c'était chasse entre amis, de plus pas de loups-garous et encore moins de chasseurs de vampires, ou sinon on à vraiment eu de la chance. - Je sortais les lettres une par une gardant d'un coté celle qui était importante et jetant de l'autre celle qui n'avait pas vraiment d'importance.

Le ciel était dégagé pour une fois, et je suis restée là quelque minute à lézarder. J'allais passer mon aprés-midi à chasser, et je la terminerais en allant au campus pour récupérer quelques affaires, que j'avais abandonnée.

Je retournais à la maison, et congédiais la femme, elle était heureuse de partir et moi j'étais heureuse de la voir enfin partir. Comme je l'avais prévue, mon aprés midi ne fut que de chasse trois randonneurs, dans les montagnes. D'abord tous tués, puis ensuite tous vidés. Et pour finir le plus intérréssant le campus.

19h20: Plus un chat, peut être y aurait-il des internes mais ils seraient surement en étude, lorsque l'on apprend à vivre avec les humains on se rend compte trés vite que leurs jours qui sont comptés sont souvent tous les mêmes, enfin ils font comme ils veulent, moi je perd bien mon temps à éplucher des carottes que finalement je ne mangerais même pas. Une fois mes affaires récupérée, et n'ayant rien d'autre à faire chez moi, je me suis permis de monter sur le toit, un endroit que j'appréciais tout particulierement. J'avais pris gout à regarder tout ce qui m'entourrait, et surtout j'aimais par dessus tout regarder le soleil s'en aller.

En bref je laissais le temps filer entre mes doigts, comme le vent à travers mes cheveux, je respirais calment identifiant les parfums qui m'entourrais, trouvant une odeur qui n'avait rien à faire dans le paysage, mais qui n'était pas dérangeante au contraire, c'était une odeur que j'adorais et appréciais, j'en était jalouse car celle ci n'était pas mienne, cepedant elle appartenait à un vampire il n'y avait pas meilleurs fragance, même le sang humain ne m'attirais pas autant, enfin tout dépendait de l'humain.

Je tournais le dos au soleil, afin de regarder celui qui arrivait. Je le connaissais, oui c'était Cyrius, c'est pour cela que cette odeur m'avais quelque peu fascinée. Mais que faisait-il ici, à ce que je m'en rapelle Cyrius n'aimait pas les humains, il les trouvait inutile éxepté Lucy Beth - humaine pas douée - je ne put m'empécher de lacher un leger grognement à son souvenir, de la jalousie certainnement. Je le regardais avec cet air impréssionné qu'on tous les humains lorsqu'ils croisent un vampire pour la première fois de leur vie, certe je le respectais parce qu'il faisait partit d'une grande famille mais cette soudaine admiration, comme si l'on retrouvais quelque chose qui vous à terriblement manqué, tout cela me laissais sans mots oui j'étais heureuse de le revoir, plus peut être mais je ne le lui dirais pas, enfin si j'arrive à ne pas lui dire..