Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée.
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Empire State of Mind
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Sujet: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 19:33
« Elizabeth Berenford » Feat. Jessica Stam
Âge : 19 ans. Date & Lieu de naissance : 12 avril 1990 à Edimbourg Groupe : Bien qu'elle aurait pu faire partie des rebels, son côté intellecutel l'emporte. Studieux donc. UFR : 1 Étude : Arts : Musique et philosophie. Prédéfini ou Inventé : Inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Attirante ? Vous avez dit, attirante ? Oui, ça, c'est le moins que l'on puisse dire. Elizabeth a toujours sû, et ce depuis sa plus tendre enfance, attirer les regards. Le hic, c'est qu'elle s'en contrefiche royalement. Perchée du haut de ses 1m75, la jeune femme a également hérité de la silhouette d'une véritable mannequin. Fine et élancée, habitant le corps d'une créature aux allures délicates et aux courbes raffinées, Eliza attire l'attention d'un naturel parfait, suscitant la jalousie de la gente féminine, mais davantage la fascination des hommes. Sous une tignasse quelque peu indomptée aux reflets d'un blond mielleux, se dessine un joli visage de poupée. Teint étonnament blafard, visage fantômatique, pommettes roses, grands yeux en amandes, tout semble comme sculpté dans l'irréel. Ses prunelles possèdent une couleur telle qu'Eliza s'en sert souvent pour hypnotiser ses interlocuteurs. D'un gris profond, qui lui donne un regard ravageur et déroutant. Des yeux surplombés par des cils recourbés, un nez droit, des lèvres dessinées en forme de coeur, visage de poupée. Tout aurait pû s'arrêter là, mais non. Elizabeth est incontestablement LA fasionvictime de la mode. Elle a un flair incroyable pour ce qui est dénêcher des perles rares en vêtements. Elle sait différencier au toucher toutes sortes de textures, non vraiment, toutes. Le coton, la soie, le satin, la dentelle, le cashemire, la mousseline, le cuir, la laine...C'est qu'en tant que gosse de riche, elle a très tôt été habitué a faire la différence entre "l'excellent" et "le médiocre". Cependant, elle ne se vêtit jamais vulgairement. Ce serait une honte à sa famille, à ses origines. Ah non ! Les jupes trops courtes, décolletés jusqu'au nombil, maquillage superposé et voyant, très peu pour elle. Non, Elizabeth est bien trop propre sur sa personne pour gâcher ce que Dame Nature lui a offert. Elle ne porte que des habits couteux, de marque si possible, et tellement, tellement chic. Diesel, Naf Naf, Etam, Kookaï, D&G, Free Soul... Elizabeth, c'est l'icône parfaite de la femme avec un grand "F".
Caractère :
Elle aurait pû être belle. Juste belle et c'est tout. De ces femmes qui, bien coiffée, bien vêtue, bien foutue tout court, ne se consacre à rien d'autre qu'à leur image et leur reflet. Mais, heureusement ou malheureusement pour d'autres, ce n'est pas le cas. C'est sous une chevelure blonde et soyeuse qu'elle possède un QI on peut plus exceptionnel. D'une intelligence sans faille, elle s'en sert comme une véritable arme de séduction, plus encore que son regard perçant. Non, battre des paupières, ce n'est pas son job. Elizabeth a durant son ennuyeuse enfance réussit à développer la faculté supprunante d'anticiper les moindres gestes humains. Elle cerne les gens comme un rien. Pour elle, ce n'est qu'un jeux d\'enfant. Elle les classe. C'est ainsi. Comme de vulgaires objets, des êtres sans valeur. Elle les classe, inlassablement. Elle se méfie sans cesse de la race humaine, ce qui entretient probablement son côté agressif et hautain. Elle se base sur leurs sourires, leurs gestes, leurs démarches, leurs paroles. Un jeux d'enfant, j'vous dis. Celle-là, trop superficielle ! Celui-ci, vraiment trop con ! Et celui là bas, un menteur professionnel. Eliza reste et demeure d'apparence une jeune femme hautaine, consciente de sa beauté grandiose, et de sa jugeote hors-pair. C'est peut-être d'ailleurs ce qui la rend souvent narcissique. Electrique au premier coup d'oeil, elle sait met mettre mal à l'aise, embêter, énerver, exaspérer les gens. Et ça, elle s'en amuse comme une gamine avec un nouveau jouet. Arrogante, insolente, méprisante, cynique sur les bords, elle remballe les gens avec facilité et mépris. Méchante ? Non. Juste trahie. Elle dépasse bien souvent les limites, et ne craint qu'une seule et unique chose. LA personne qui serait susceptible de lui imposer les limites. Celui à qui elle obéirait non pas par obligation ou soumission, mais parce qu'elle le désirait sincèrement...
Pourtant, il suffirait de briser cette carapace de femme fatale pour découvrir dans ce corps de divinité une toute petite femme, fragile et tendu comme un fil invisible suspendu dans le néans. Elle se sait sensible, et justement, le truc, c'est que dans ce monde, la sensiblité n'a plus sa place. Révolu le temps où elle chialait comme une enfant aux yeux de tous. Cette senbilité refoulée, elle la cache à présent au plus profond de son être, désireuse de l'oublier et d'en faire abstraction. Seules les personnes qu'elle juge digne de confiance on déjà pû l'apercevoir les larmes aux yeux, petite femme sensible jouer du violon, ou même l'entrevoir avec un sourire sincère sur le visage. Elizabeth, elle est sincère. Honnête. Elle ne sait pas mentir. C'est juste qu'elle sourit toujours de travers. Sourires ironiques, narquois, hautaint, fier, elle reste néanmoins beaucoup plus éblouissante avec un sourire franc perché aux lèvres. Gentille et le coeur sur la main sous une attitude rebelle et désinvolte, elle aime rendre fous les gens qui la cotoyent. En fait, Elizabeth, c'est un amour de femme volée, attachante pour un rien. Suffit d'la comprendre et l'accepter à sa juste valeur...
Histoire :
Commençons par le commencement. Elizabeth est née le 12 avril 1990, à Edimbourg précisemment, capitale de l'Ecosse. Conçue par une mère totalement écervellée qui venait tout juste d'avoir la vingtaine avancée, c'est à se demander encore aujourd'hui comment Eliza a pu hériter une telle intelligence avec une mère pareille. Un père dont la trentaine rendait séduisant, du frique débordant des poches, y avait plus qu'lui pour sauver la situation. Sa mère, malgré son ignorance flagrante et son jeune âge, était issue d'une grande famille d'aristocrates. Faut dire qu'elle est son père s'était plutôt bien trouvé. A eux deux, ils se payèrent tout le luxe nécessaire. Et pourtant, Eliza n'a jamais compris pourquoi son père, homme séduisant, d'une déduction et grande intelligence avait pu trouver en sa mère, jeunette délurée, l'amour de sa vie. La petite Eliza restait bien trop souvent seule une fois son père parti en voyage d'affaire, et sa mère qui sortait sans cesse, ne pensant qu'à s'amuser. D'ailleurs, elle est toujours resté grand enfant. Alors elle s'amusait comme elle le pouvait dans leur immense maison vide à Glasgow.
Eliza n'a jamais manqué de rien. Non, vraiment, gamine, elle avait tout pour être heureuse. Une chambre immense rien que pour elle, des peluches, poupées, habits à en jeter par les fenêtres. Elle était gâtée à l'extrême. Elle recevait souvent des amies d'école. De ces filles modestes qui l'idôlatraient totalement. Et elle, elle ne voyait absolument pas ce que sa vie avait de si exceptionnelle. Un père trop absent, et une mère qui n'avait de passion que pour l'habiller dans toutes sortes de fanfreluches grotesques.
Et la petite Eliza devient la jeune fille. C'est au collège qu'elle prit soudainement conscience de sa beauté envieuse. Elle a subit bien des colères et des jalousies chez les autres filles qui la cotoyaient. C'était pas sa faute non plus, si elle était belle comme ça, si ? Et riche alors ? Elle avait jamais rien demandé. Simplement, lorsqu'elle arriva au lycée, elle s'en amusa. De se pouvoir de séduction immense qu'elle avait auprès des hommes. De l'attraction qu'elle créait lorsqu'elle se déplacait d'une salle de classe à une autre. "Belle". C'était le nom complètement stupide par lequel l'appelait ses amis proches et les garçons qu'elle fréquentait. Elle ne rentrait plus le soir, dormait chez des copines du bahut. Marre de cette foutue baraque toujours vide, qui sent encore la rose fanée, parfum futil de sa mère. Et l'on entend encore à ce jour les cordes du violon se tendrent et émettraient de sourdes notes de musique dans la chambre de son père. Un homme riche et égocentrique qui joue du violon...Paradoxal n'est-ce pas ? Sauf pour ses parents. Ils lui cachent quelque chose, mais elle ne le sait pas encore.
Et puis c'est alors que cet homme entre dans sa vie. Celui qui prend vraiment de la place importante dans son coeur, pour ne pas dire toute. Un gars du lycée. Elizabeth à 16 ans. Il en a 17. Alors ils prennent le temps de s'aimer, de se comprendre, de s'écouter. Lui, charmer par son sourire figé de poupée veille avant l'âge, et elle, charmer par ce regard envoûtant et destabilisant. Ca avait commencé par un échange de conversation tout à fait naïf, de ces amourettes de gosses qui commencent par un petit rien : Lui : - Je peux être très drôle si tu le désires, ou songeur, intelligent, superstitieux, courageux... Et je sais faire des claquettes ! Je peux faire ce que tu veux. T'as qu'à me dire ce que tu veux que je sois pour toi. Elle : - Tu es stupide. Lui : - Ouais je peux l'être aussi.
Et alors la petite Eliza, le coeur battant s'est éprise de cet imbécile aux yeux doux et rassurants, le seul et l'unique qui l'apprécia pour son allure fluette et non son corps désirable. Le seul qui s'attacha à son humour décalé et non à sa petite bouche écorchée. Le seul qui aimait l'embrasser pour le goût sucré de ses lèvres, et non pour aller s'exclamer deux minutes ensuite "Ouah, j'ai embrassé la Belle !". Le seul qui appréciait l'odeur de tabac qu'elle laissait sur son foulard, et non l'odeur du nouveau parfum à la mode. Le seul qui frissonnait en l'entendant rire. Le seul qui aurait pu lui décrocher la Lune du bout des doigts. Celui qui appréciait sentir le contact de ses petits seins contre son torse, comme pour en prendre soin. Pas pervert, non, pas vicieux, pas frimeur, pas malhonnête...juste amoureux. Deux ans d'amour adolescent empli de rêves insouciants. Ce fut la période où Elizabeth avait des étoiles au fond des yeux, où on l'entendait fredonner des chansons à chaque coin de rue, où elle laissait s'agiter derrière elle les pans de sa robe à carreaux sans une once de timidité. Et puis, un an passe, puis un second.
Et sous une averse diluvienne du mois juin, alors qu'il venait la chercher pour l'emmener voir le dernier film à l'affiche, il lui débita un flot de paroles. Paroles en vrac. Paroles dures. Paroles mortelles. Il devait partir. Il lui disait adieu. Il lui avait menti sur son identité. Il ne vivait pas chez une famille bienveillante, mais dans une caravane. Ado sans papier. Urgence immédiate de quitter le pays, de ficher le camp. "Emmène-moi avec toi", lui avait-elle dit. "Ta place n'est pas à mes côtés" lui avait-il répondu. Et c'est avec un dernier baiser négligé qu'il la laissa pantoise sous la pluie chaude de ce mois de juin. Il n'avait même pas prit la peine de la serrer contre lui, ni de lui essuyer les larmes salées qui avaient perlé le long de ses joues. Il était égoïste, égocentrique, menteur, comme les autres. Il n'avait jamais été celui qu'elle pensait. Abruti. Salaud. Tu l'as même pas emmenée avec toi. Imbécile. Il lui avait menti. Depuis le début.
Et le soir même, alors qu'elle rentrée dépitée chez elle, ses parents durent lui avouer une effrayante vérité. Elle n'était pas fille unique. Elle avait un grand frère. Un grand frère laisser aux soins d'une famille d'acceuil parce que sa mère l'a mise au monde bien trop jeune. Salope. Qu'elle aille au diable. Et après des cris, des larmes, des disputes, elle prit le strict nécessaire dans sa valise, vida les économies de ses parents, et partit voler de ses propres ailes ici, à N-Y City. Coeur en miette, brisé, dégouté.
Elizabeth, raconté par cet homme. « Elle était belle quand elle souriait. Elle était belle tout le temps. Elle était belle même quand elle riait et qu'on voyait ses dents. Elle était belle quand elle rougissait. Elle était belle en toutes circonstances. Elle était belle même quand elle faisait une blague pourrie en plein dans un silence. Elle était belle quand elle se trompait. Belle quand elle s'entêtait. Elle était belle je m'en rends compte même quand elle avait l'air bête. Elle était belle en colère. Belle sans te mentir. Elle était belle quand elle buvait. Belle quand elle était bourrée. Elle était belle quand elle marchait pas droit et qu'elle savait plus parler. Elle était belle quand elle dormait. Belle quand elle ronflait. Elle était belle mal réveillée, belle et je te jure. Elle était belle quand elle me reprochait de pas être honnête avec elle et elle était belle même quand elle se trouvait moche...»
Signe(s) particulier(s) :
Joue du violon, abuse quelques fois de la clope, ne mange que les smarties bleus, adore courir pieds nus, aime faire des bulles dans sa grenadine avec une paille...
Orientation Sexuelle :
Hétérosexuelle. Aime les hommes, bien qu'elle n'a plus de réelle confiance en eux.
Citation favorite :
« Il y aura toujours quelque part Un vide qui s'emplit pas en moi. J'passerai mon temps à m'dire "Tu vois, ça aurait pu être toi" »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Coco Âge : 16 ans. Comment as-tu connu ce forum ? : J'y étais déjà inscrite sous un autre membre. Alors, hum...elle était brune, jolie mais fantômatique, amoureuse et un peu torturée, et savait même être belle en pleurant. Qui suis-je ? Ton avis (design, contexte, ...) : Toujours aussi attirant. Design alléchant j'dois dire, avec cette couleur chocolat. Hum...contexte intéressant avec une super ambiance en plus, vraiment, j'adore ! Présence sur le forum : 6/7 je pense. Sauf peut-être lorsque les cours sont trop importants. Présente souvent lors des vacances x) Autre(s) compte(s) : No Exemple de RP :
Spoiler:
Ondulant de façon attractive, C. n'écoutait plus, ne voyait plus. Seul ce sentiment de ne plus se sentir complètement seule s'insinuait petit à petit dans son esprit. Au fond, elle savait que ce qu'elle faisait était mal, et ne lui ressemblait aucunement. Simplement, il arrive un moment où le déséspoir est si grand que l'on est prêt à faire vraiment tout et n'importe quoi pour combler cette sorte de solitude intérieure qui fait barrage à l'épanouissement. Et alors qu'elle ondulait ainsi, elle ne sentait même plus les mains de ces hommes répugnants glisser sur l'étoffe de son vêtement. Elle se voyait partir, dériver vers un univers dans lequel elle n'avait pas sa place. Dans un univers encore plus sombre que dans celui où elle régnait déjà. Et cette petite voix revint alors chuchoter dans son esprit étourdi par l'alcool. C'est mal, C. Très mal. Au final, t'auras rien gagné. Un mal de crâne épouvantable, peut-être que tu te retrouveras même penchée dans les sur les chiottes à dégeuler tes tripes. C'est pas heureux, hein...? Mais, dis-moi C., c'est quoi le bonheur...?
"C'est quoi le bonheur...?" Cette phrase résonna en écho dans sa tête. Le bonheur, merde alors, c'était loin ça. Si loin qu'elle ne s'en rappelait même plus. Ni son souvenir exacte, ni son goût, ni son odeur...Plus rien. Le néant. Elle avait beau rire en ce moment, ce n'était pas le rire qui rendait pleinement heureux. Pas du tout. C'est plutôt celui ironique, celui qui se moque ouvertement de la propre personne qu'on est. Un regard différent des autres se posa sur sa silhouette, alors que la petite, yeux fermés et sourcils fronçés sentait le danger se rapprocher à petits pas. Une agitation, des exclamations, des rires gras, des coups..Elle rouvrit enfin les paupières. Là, juste en face d'elle, l'air un peu sonné, se tenait A. Une des seules personnes que C. ne tenait absolument pas à croiser en ce moment. Le rouge lui monta instantanément aux joues, alors qu'elle feignait de ne pas l'avoir remarqué. Décontenancée, elle cessa ses mouvements aguicheurs l'espace d'un instant, et elle aperçut du coin de l'oeil une baguarre éclatée entre son meilleur ami et quelques uns de ces hommes qui n'avaient d'yeux que pour son corps et son déanchement. Elle voulut en profiter pour se glisser dans la foule et partir le plus vite possible, ne pas avoir à lui donne des explications pour son comportement idiot. Tout. Sauf ça. Pas maintenant. Qui c'est, il ne la regarderait peut-être plus de la même façon. Malheureusement, la dose d'alcool qu'elle venait d'ingurgiter ne lui permit pas de progresser à sa guise parmi la foule déchaînée. La musique revint de plus fouet, bourdonnant dans ses oreilles, et alors qu'elle se fit bousculer ici et là, elle sentit justement une main lui attraper sévèrement le bras. Ce contact. Elle frissonna. Pas ce même contact de ces hommes qui l'avait précédemment touché, pas de ceux qui vous frôlent, vous touchent pour la simple envie de vous toucher. Un contact quelque peu protecteur, celui qui s'impose pour votre bien, près à vous stopper lorsque vous dépassez les limites. Pourtant, elle voulut protester, n'en eut pas l'occasion.
Déjà, A. quittait le dancefloor et l'entrainaît vers un coin plus tranquille où la musique se faisait déjà moins opressante. Le face à face fut particulièrement éprouvant pour la petite, trop occupée à fuir son regard. Car le problème avec C. était toujours le même : elle n'affrontait pas les problèmes, elle les fuyait. ll lui demanda si tout allait bien. D'une voix un peu trop dure cependant. Elle n'avait pas vraiment l'habitude de l'entendre s'exprimer ainsi. En y réfléchissant bien, c'était plutôt elle qui imposait des limites à A. Lui, toujours à faire le guignol, à l'amuser de quelconque façon. Et elle, toujours là à l'épauler dans les moments difficiles, le conseillant lorsqu'il le fallait. Les rôles étaient échangés pour une fois. Il endossait là le rôle du plus grand, bien qu'il est la vingtaine. D'un geste embarassé, comme prise en flagrant en délit, elle plissa d'abord nerveusement sa robe comme si elle venait de tomber dans la poussière, baissant la tête. Elle ne lui répondit pas tout de suite. Puis après de longues minutes durant lesquelles elle ne cessait d'éviter soigneusement son regard, les joues rougies, elle inspira profondément, tenta alors de calmer la nausée qui tambourinait dans sa tête.
- Ca va...Très bien, figure-toi, souffla-t-elle seulement, même si elle savait bien à l'avance qu'il ne serait pas dupe de ses mensonges.
Son regard croisa alors son propre reflet, celui que lui renvoyait la vitre sur leur côté gauche. Non, vraiment là, elle avait dépassé les bornes. Elle était vulgaire. Merde, elle avait jamais été comme ça. Et ne le serait jamais d\'ailleurs. D'un bref mouvement de la main, elle tenta d'effacer le maquillage qui était présent sur ses paupières, agravant davantage le problème. Elle se retrouva alors avec une trace noircie sur la joue. Et merde, tant pis. Non pas qu'elle soit laide, mais plutôt ridicule.
- Belle nuit hein ? soupira-t-elle, évitant toujours de croiser le regard du jeune homme. Sinon, toi, ça va ? Les cours, les filles, les gosses tout ça...
Là, elle faisait pas la fière non. D'autant plus que l'alcool n'arrangeait rien à ses propos.
Code du règlement :
Spoiler:
OK by Toffee.
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Elizabeth Berenford le Mer 25 Nov - 20:59, édité 4 fois
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 19:40
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 19:47
BIENVENUE ici
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 19:47
Bienvenue parmi nous !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 19:58
Bienvenue parmis nous
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 20:00
Merci à vous toutes !
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 20:05
Terminé ?
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 20:06
Oui, j'crois bien
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 20:16
Bienvenue, ou re-bienvenue, enfin... Ton code est bon, j'édite.
Et pour ta fiche, je bouffe de ta façon d'écrire. J'adore. o_o Enfin, à mes yeux c'est tout parfait, un admin pourra te valider.
En plus, Jessica quoi.
*Et comme j'ai posté en même temps, les codes de la fiche on tout foiré, Dieu que j'suis pas douée. xD Mais j'arrange ça pour me faire pardonner, j'ai trop honte de moi là.*
Dernière édition par Christofer J. Green le Mer 25 Nov - 20:21, édité 1 fois
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 20:18
Et c'est moi (a) Validée
N'oublie pas de voter pour NYCL sur les tops sites ^^
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée. Mer 25 Nov - 20:54
Christopher > Han, merci pour le compliment Pour les codes, c'est pas bien grave, j'vais pas t'en vouloir pour ça voyons ^^
June > Raah, la chance, validée par June Merchiii !
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Sujet: Re: Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée.
Elizabeth Berenford | La belle au bois dormant écossaise | Terminée.
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