MamZelle Harris est arrivée !

Empire State of MindInvité

« Raph Harris » Valerie Poxleitner Âge : Ma vie a 20 ans. Date & Lieu de naissance : Je suis née le 14 février de l’année 1989 dans la majestueuse ville de New York. Groupe :Je fais parti de ces chères Pom-Pom girls. UFR : UFR 1. Étude : J’étudie cette belle mélodie que l’on appelle la musique. Prédéfini ou Inventé : Personnage inventé.	Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION » Physique & Style : Je suis mignonne. Il ne faut pas le nier. Ouais en y pensant bien, je suis plutôt jolie. Voir même, assez belle. J’ai de beaux cheveux bruns-chocolat qui sont assez long et qui sentent toujours très bon, des yeux bruns-marron dans lesquels plusieurs jolis garçons arrivent à se perdent. J’ai une petite taille, très fine qui fait de moi une personne d’apparence fragile et délicate et je ne suis pas très grande. Je dois mesurer environ la hauteur d’un nain et de deux sous-marins 12 pouces, soit, disons à peu près 5 pieds et 6 pouces… J’ai souvent les joues rougeâtres ; je suis née de même, ce n’est surement pas parce que je suis timide. Cadeau de maman et papa ! Mes lèvres rosées vont à merveille avec mon petit nez retroussé qui me fait souvent pensé à la sorcière bien aimé. J’ai mon propre style et il me va assez bien. Jaime l’originalité. Je porte des vêtements que l’on arrive à dénicher dans des friperies ou dans les magasins à bas prix où personne ne va de peur de se rendre ridicule. J’aime la différence, ne pas m’habiller comme tout le monde. Bien sûr, une robe de soirée, reste une robe de soirée, mais j’ajoute toujours ma petite touche artistique. J’aime me démarquer du lot, être la seule à avoir mon propre style. Un jeans troué, un t-shirt de mon groupe musical préféré et un bandeau à la hippie dans les cheveux. C’est comme ça que je me trouve belle. Ouais, je suis une belle femme ! Caractère : Je suis une femme forte. Je n’aime pas montrer mes faiblesses. Je suis très orgueilleuse. Je ne laisse rien ni personne tomber. Je suis une fonceuse, une rockeuse, une battante. Je suis très persévérante ; je termine toujours ce que je commence. Je suis une personne qui n’aime pas perdre ; perdre un ami, une chose, une compétition, une place, etc. J’aime me démarquer et montrer aux autres qui je suis. J’ai confiance en moi. Vraiment. J’ai un gros caractère et il peut être mauvais. Je n’ai pas peur de montrer mes dents. Je dis ce que je pense. J’envahi le monde autour de moi. Je profite de la vie au maximum. Je n’ai pas peur de beaucoup de chose. Je ne suis pas craintive, mais j’ai un gros et grand cœur. Je suis une personne très généreuse, aidante et amicale. J’ai des millions d’amis, mais je fais difficilement confiance à tout le monde. Mes amis les plus chers valent beaucoup pour moi. Ils sont mes protégés. J’ai l’air fragile, je le suis seulement devant les personnes que j’aime. Je n’aime pas qu’on abuse de ma confiance, c’est d’ailleurs pour cela qu’il me faut beaucoup de temps pour parler sérieusement à une personne. Je déconne pratiquement toujours. J’adore aller ‘’gosser’’ le monde, les déranger. Ma vie tourne autour de moi-même, mais j’adore l’ouverture d’esprit et j’en ai un très ouvert. L’aventure et la découverte font partis de mes principes de vie. Voir ailleurs et rêver sont mes deux devises. Aller au-delà des apparences et trouver quelque chose d’intéressant. J’adore rire et sourire. Ricaner et lancer des bonnes vieilles ‘’jokes’’. Faire des ‘’bines’’ à mes amis en faisant la fête, m’éclater et avoir du fun. J’suis belle. J’suis jeune. Pourquoi faire la sainte nitouche ?? Non, on se débarrasse des règles anti-jeunesse et on part loin, un joint à la porté de main ! Ha ha… Histoire : Je suis née un 14 février dans l’année 1989. Ouais, à la Saint-Valentin. Comme si ce n’était pas assez romantique comme ça ! Mais bon, je fut le cadeau que mes parents se sont fait pour cette occasion spéciale de la fête des amoureux. De plus, ce fut cette année là qu’ils fêtèrent leurs 8 ans de rencontre. Il faisait froid dehors (bon on s’entend que moi j’étais surement très bien emmitouflée dans une tonne de couvertures et dans mon premier manteau) et ma mère devait attendre que mon père revienne la chercher avec la voiture qu’ils avaient laissé chez nous (ouais parce que ce fut l’ambulance qui emporta ma mère à l’hôpital et mon père l’avait accompagné). Bref, mon père arriva encore sous tout ce bonheur qui l’avait parcouru lorsqu’il avait vu apparaître le bout de mon nez retroussé. La maison familiale était superbe. Mon père était un grand avocat travaillant dans les hautes tours à bureau en plein Manhattan. Il rapportait donc à la famille une petite richesse très appréciée. Ma mère, elle, elle enseignait à des jeunes en difficulté. Soit ils étaient en famille d’accueil, soit ils étaient rebelles ou très délinquants ou encore soient ils vivaient avec des personnes dérangés. Bref, mes parents étaient pour moi des sauveurs. Ils faisaient partis de la justice que j’appris à connaître étant très jeune. En effet, pendant mon enfance j’ai parcouru quelques garderies dans lesquelles je pratiquais moi aussi ce numéro de sauveteurs du monde. Les petites brutes ne me faisaient pas peur, tout comme aujourd’hui, et donc, je leur montrais facilement ma façon de penser. Ils s’en prenaient à mes camarades de classe, moi je réglais leurs comptes. Je n’étais pas une petite brute, non moi je ne frappais pas et j’avais bien appris de mes parents ; la violence n’était jamais une solution. De plus, la violence avait toujours été pour moi une de mes seules peurs. Je voyais parfois ma mère en conflit avec un papa qui frappait son enfant, ce papa étant pompé au maximum, frappant tout ce qui pouvait l’entourer (sauf ma mère bien sûr, il n’avait pas le droit). Bref, les petites brutes de la garderie ou encore, de l’école élémentaire, moi je leur parlais avec ‘’classe’’ et leur sortait des arguments convainquant pour qu’ils cessent leur manège. Outre la justice, mes parents m’influencèrent énormément dans le domaine de la musique. Ils jouaient dans un petit band du quartier avec des amis. J’ai donc apprise très jeune à manipuler des instruments musicaux tels que la guitare sèche et le clavier. La musique me transportait (et me transporte toujours) dans un monde bien. Un monde où tout le monde à le droit d’être heureux, les SDF, les prisonniers, les malades mentaux… Tout le monde ! J’avais rapidement associé la musique à un moyen de libération appelé dans mon langage, la danse. J’ai toujours pratiqué la danse. Beaucoup de sorte ; la danse classique, le ballet, le hip-hop, le reggae, le country… Tous les domaines, je les avais à la porté de main. Je faisais des compétitions à travers l’état, mais aussi parfois en Europe où je séjournais avec des camarades qui avaient la même passion que moi. L’adolescence se passa aussi bien. Je composais davantage, des morceaux de musique, mais aussi des mouvements de danse. Je faisais mon propre numéro et j’adorais ça. Je voyageais à travers tout ça et j’allais à l’école lorsque je le pouvais. Mes parents pouvaient me payer des cours privés de tous genres, ils en avaient les moyens. Je fus gâté, mais je n’agissais pas de la sorte. Non, pour moi, l’argent n’était qu’un moyen d’aider ma créativité à se développé plus rapidement. L’argent n’était pas la créativité. Je ne profitais pas du côté monétaire et j’étais très généreuse là-dessus. Je déposais toujours quelques billets dans les chapeaux des musiciens de rue, des sans-abris ou encore, je faisais du bénévolat dans les soupes populaires. J’aimais beaucoup venir en aide à ceux qui en avait de besoin. Je me fis quelques copains aussi pendant cette période de vie ; mais ce n’était jamais sérieux et je détestais. Les garçons s’accrochaient à moi soit pour mon argent ou encore pour mon apparence. Je n’étais pas un mannequin, loin de là, mais quelque chose chez moi les attiraient et je n’appréciais pas. Bref, l’adolescence s’envola tranquillement laissant place à la fille que j’étais devenu et que je suis maintenant. J’ai récemment demandé à mes parents si je pouvais m’éloigner du nid familial et avec leurs approbations, je me suis déniché une inscription pour quelques université. Celle de New-York m’accepta avec plaisir, une bourse d’étude en plus grâce à ces compétitions de danse que j’avais gagné. J’ai donc quitté mes parents pour aller m’installer dans un appartement sur le campus de l’université de New-York. Je m’éclate dans les partys étudiants, j’adore cette nouvelle vie qui est encore loin d’être terminé… Signe(s) particulier(s) : J’ai un énorme tatouage abstrait dans le dos. J’adore l’abstraction et le non-figuratif dans les arts. De plus, j’ai un piercing à la lèvre que j’affiche de temps en temps tout comme aux oreilles. Orientation Sexuelle : Je suis hétérosexuelle. Les filles, je sais que je suis mignonne et tout, mais abstenez-vous ! Citation favorite : « Faites l’amour et non la guerre, les condoms ça coûte moins cher que les bombes nucléaires !»
« BEHIND THE COMPUTER » Prénom : Moi, c’est Karine. Âge : J’ai 18 ans. Comment as-tu connu ce forum ? : Si je me souviens bien, sur le top obsession. Ton avis (design, contexte, ...) : Superbe ! Présence sur le forum : Régulièrement, un tour au moins à chaque jour. Autre(s) compte(s) : Nop, mais le compte de Frédérique Jones était à moi (mais bon elle n’est plus de ce monde…). Exemple de RP : Spoiler: Code du règlement : Spoiler:	« I'M SO BEAUTIFUL »