Sujet: ~ Meredith Tilda Defraway [TERMINEE] Dim 6 Déc - 18:13
« Meredith T. Defraway » Feat. Meryl Streep
Âge : 53 ans. Date & Lieu de naissance : 24 Novembre ~ New York. Groupe : Adultes. UFR : ~ Études : Meredith est passée des petits établissements sans prétentions jusqu'à un haut niveau de la plus grande université NewYorkaise, pour enfin terminer ses études dans le domaine de la gestion, du journalisme et des arts dans les grandes écoles du pays. D'un excellent niveau, les postes se sont succédés jusqu'à ce qu'elle atteigne la présidence d'un grand journal. Prédéfini ou Inventé : Inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
~ Physique & Style :
Plus de cinquante ans et une parfaite conservation, voilà ce que l'on pourrait tout d'abord dire de cette surprenante personne. En effet, Meredith est une femme aux traits durs mais bien tirés, naturellement, ce qui lui confère cette certaine intemporalité, figure mystique et mystérieuse que l'on croirait tout droit sortie d'un film. Un visage carré, anguleux, informe déjà du caractère de la grande femme, sous cette pâleur terrorisante et ces cheveux volontairement blancs toujours coiffés d'un plus grand soin, quoique toujours laissés détachés, à la portée du vent. Si l'on la regarde attentivement, l'on pourra remarquer ses yeux d'un vert profond, qu'elle cache parfois sous des lunettes de vue à l'occasion, et constemment sous des verres teintés lors de ses sorties en ville, loin de ses grands bureaux. Un nez tout aussi anguleux que ses pomettes, une petite bouche pouvant cependant s'aggrandir à volonté selon ses terribles expressions, et un menton aggressif finissent de cadrer ce visage aussi sévère que fascinant. Peut-être aurez-vous l'occasion d'assister aux pincements de lèvres de Madame, mais plus rares seront les sourires, surtout ceux qui vous seraient adressés. En effet, Meredith ne sourit que pour ses occasions particulières... Et celles-ci s'avèrent rapidement être de hautes occasions, celles-là même où elle ne fait qu'afficher un hypocrite étirement de bouche, pour ses visites mondaines le plus souvent, finissant de berner son entourage d'une main de maitre. Pour ce qui est du regard, sans doutes est-ce là la plus grande arme de la dame Defraway, ce dernier pouvant faire absolument toutes les expressions négatives du monde, avec comme mention spéciale le regard perçant, celui-là même qui vous met mal à l'aise au point de vous demander si elle ne lit pas dans vos pensées, terriblement aggressif en votre intimité d'esprit. De même que le sourire, les regard joyeux ou compatissants ne sont pas vraiment d'ordre pour cette femme austère et froide. Toute son allure font d'elle quelqu'un dont on ne préfère pas avoir les défaveurs, que ce soit au niveau de son terriblement droit maintien, ou bien son pas militaire et parfaitement décidé. Pas de place à l'hésitation, à la honte ou à la gêne. Chez Meredith, tout semble voulu et contrôlé, jusqu'à l'état parfait de son style bourgeois et riche en tous points. Evidemment, il n'est absolument pas question pour elle de porter des vêtements, chaussures ou marroquineries d'état médiocres ! Tout habit est de marque, chaque détail compte, jusqu'au foulard, aux lunettes de soleil ou au maquillage. La sobriété n'est plus d'odre chez elle depuis longtemps, et, lorsque l'on voit cette femme de la haute, l'on aurait bien peine à se dire qu'elle fut aux plus bas étages de la société, au début de sa vie. En quelques mots, nous pourrions la définir : Fascinante, terriblement charismatique, et effrayante à la fois. Jamais vous ne verrez passer Meredith sans que la foule ne s'écarte sur son chemin, tous regards braqués sur elle. Car il y a le statut, evidemment ; mais aussi la prestance. Très ; Très chic~ ♪
~ Caractère :
Il serait effectivement bien difficile de décrire la personne de Meredith sans en passer par son caractère absolument intenable. La grande femme, comme l'on l'a déjà vu par les traits de son physique qui en dit déjà bien long sur elle, est quelqu'un de froid, exigeant, hautain, aussi observatrice que fourbe, machiavellique et profiteuse. Oh, l'on ne peut nier que cette grande femme est d'une extrême intelligence, sachant à la fois gérer toute un réseau administratif, du plus petit comis d'établissement au plus grand journaliste... Mais au fond, travailler avec elle relève d'un parcours du combattant, et rares sont ceux qui ont pu tenir sans en être passés par une bonne dose de psychothérapie. Mauvaise et autoritaire, Meredith n'hésite pas à ignorer les personnes qu'elle n'aime pas, à renvoyer ceux qui ne font pas ce qu'elle désire. Au moindre faux pas, elle fait savoir son mécontentement. Perfectionniste, elle entrainera tout le monde dans son sillon, jusqu'à ce que les choses soient faites jusqu'au plus petit détail, quitte à tuer à la tâche ceux et celles qui sont sencés l'assister. Inssuportable, elle demandera tout et n'importe quoi, quitte à réduire à la maladie tous ceux et celles qui seraient sencés être ses employés. Pas de repos pour son esprit comme ceux des autres, cette femme que l'on jugerait infatiguable est sans arrêt sur le qui-vive, prête à tout pour arriver à ses fins. Ses armes demeurent cependant dans ses regards profonds et intenses, bien placés et absoluments sans détours. Cette grande femme aborde une confiance en elle et en son travail sans failles ni limites, et ne crains ni le détrônement ni les critiques, sachant pertinemment que le monde n'en serait pas capable. Oh, elle dût bien subir les aggressions des tabloîds, les jettées des paparazzis, mais tous furent bien lassés de s'en trouver à se cogner à une surface de marbre, la reine glaciale ne réagissant qu'en facades aussi mystérieuses qu'infranchissables. Pour beaucoup, Meredith est une fascination. Une perle représentative de la femme puissante d'aujourd'hui, quelqu'un qui a su faire son nom et qui n'hésite pas à le faire entendre pour continuer son chemin. Ses côtés sévères et son exigeance d'abord perçus comme terribles ont finalement étés classés comme une marque de qualité, et quiconque survivrait à cette femme-araignée pourrait, sans aucun doutes, passer par dessus n'importe quoi dans le monde du journalisme et de l'édition. Pour ce qui est d'avoir ses faveurs -Ce qui, jusqu'à ce jour, n'a jamais été connu- cela se rapprocherait du plus grand des miracles. Une figure impressionnante, sans faiblesses apparentes ni sans failles, voilà ce qui pourrait le mieux décrire la dame Defraway. Vous ne vous occupez pas d'elle ? Tant pis pour vous, vous ne lui manquerez pas. Vous faites un faux pas à ses côtés ? Elle ne manquera pas de vous faire comprendre, parfois sans un mot, que vous n'êtes pas à la hauteur, jouant plus sur votre psychologie que sur l'aggression directe. Vous lui vouez une marque quelconque d'admiration ? Elle vous blessera sans doutes en vous ignorant, ou jettant directement vos lettres, quitte même à pousser un profond soupir de consternation. Méchante ? On le dirait bien d'elle. Mais à l'en creuser, peut-être pourrait-on également la qualifier de malheureuse. Malheureuse, et surtout terriblement seule. Car si elle a le monde à ses pieds, ses constants refus ne font pas d'elle quelqu'un qui peut avoir des amis, des confidents, ou qui que ce soit du genre. Ne touchez pas à Meredit Defraway, vous vous en mordriez les doigts ~ Cette femme volontaire est comme le plus puissant des poisons.
~ Histoire :
Meredith Tilda Defraway, née Tilda Philson, est venue au monde un vingt-trois novembre, dans un petit quartier de NewYork sans prétentions. Depuis son plus jeune âge, elle fut élevée entre ses deux soeurs Bella (Isabella) et Bess (Elizabeth) Philson, ainsi que son frère ainé, Théodor Philson, dans ce qui se rapprochait être une misère et un monde d'interdits, de restrictions et de besoins non assouvris. En effet, ses parents n'avaient alors aucun moyens de désirer ces naissances, celles-ci n'aidant en rien dans la crise qui les touchait, les obligeant à quitter leur petite maison pauvre pour un appartement encore plus étroit et inconfortable, dans les plus petits quartiers de la big apple, tellement effrayante. Des quatres, Meredith fut la dernière, ainsi comprit-elle bien vite, en grandissant, qu'aussi aimée était-elle, sa présence en ce monde n'avait pas été une bénédiction, étant celle à cause de qui la famille Philson toute entière avait dû quitter la charmante maisonnée et atteint un seuil de pauvreté handicapant. Evidemment, la nouvelle ne fut pas aisée, et c'est depuis sa plus tendre enfance que son esprit fut enlisé dans des questions d'argent, de richesses. Pour elle, il fallait l'argent pour vivre, pour manger, et surtout pour être heureuse : Sans argent, ses parents et ses frères et soeurs étaient malheureux, donc, tout tournait autour de l'argent, la monnaie, celle-là même dont tout le monde manquait, autour d'elle. Ainsi, tiraillée entre la culpabilité d'être le poids de la famille et les questions de capitaux commençant à lui embourber l'esprit pourtant si jeune, Meredith se concentra sur la création, passant le plus clair de son temps à essayer de monter divers plans d'avenir, que ce soit dans le domaine de l'artistique, ou de l'écriture, ou quoi que ce soit du genre, peu lui importait encore. A peine eut-elle six ans qu'elle alla voir sa mère pour lui montrer ses débuts de journaux qu'elle montait et écrivait elle-même, sur des sujets aussi farfellus que son imaginaire pouvait lui laisser voir, de sa solitude et de la misère qui l'entourait. A huit, elle instaurait ses réseaux d'échanges à l'école, ses 'journaux' faits mains contre quelques sous ou quelques bonbons, tout au plus. Puis vint rapidement la fin de la primaire, où, malgré ses efforts pour continuer dans la création et ses envies de plus en plus prennantes de monter et de montrer davantage, elle fut ramenée à ce que sa famille nommait la "réalité". Confrontée à la pauvreté des alentours, elle vit sa soeur Bella mourir de maladie, qu'on ne put soigner par manques de moyens, et assista au long mais difficile rétablissement de Bess, qui avait, elle aussi, frôlé la mort d'une même raison. Le deuil entourant la famille déjà si blessée par la vie, Meredith -Qui, je le rappelle, se nommait toujours Tilda, n'ayant pas encore opté pour un nom d'emprunt- fut contrainte de se tourner vers les voeux de ses parents : arrêter ses petites productions personnelles pour s'orienter vers quelque chose de concret, de véritables études, comme celle des mathématiques par exemple, tandis qu'ils avaient demandé une bourse pour que leur fils ainé puisse suivre des cours afin de devenir médecin. La fin de primaire, le collège, passèrent dans cette optique dans les quartiers moindres de la grande ville de NewYork, pourtant si prometteuse. Une mère inconsciente des besoins réels de leurs enfants, laissa monsieur Philson en venir à l'alcool, son état se dégradant petit à petit, jusqu'à se défouller sur sa plus jeune fille dans ses moments de perte d'esprit, saoulé au mauvais vin et aux hauts degrés. Un jour, l'aggression tourna mal, et, au lieu de bleus et de coups sans grandes incidences, Meredith s'en sortit bien de justesse, amochée comme il s'en devait bien au niveau du dos, en bas de la colonne vertébrale, tout juste rescapée de la violence de son père, passant les portes de l'hôpital avec seulement quelques larges plaies... Qui laissèrent à jamais les cicatrices en son dos, signes de cette affreuse misère qui la touchait, elle, ainsi que ses parents. Etrangement, en cette période, elle n'en voulut jamais à son père. Ni même à sa mère, pas plus qu'à son frère et sa soeur. Cependant, l'on ne put nier que les études de mathématiques étaient bien loin. Sous les couvertures, munie de sa lampe de poche en dehors des regards, la petite avait prit habitude de se cultiver d'un niveau littéraire et artistique. Dans la mise en page, la typographie. La psychologie. L'art pictural, la poésie, les articles critiques ou romancés des journaux. Ainsi commença t-elle son long parcours vers les grandes écoles. Ce fut à l'âge de l'université que la jeune fille quitta le petit appartemment dans lequel elle avait toujours vécu, entassée avec sa famille. Son frère était devenu médecin depuis quelques temps et alors avait quitté le domaine, et sa soeur seulement avait décidé de rester auprès de leurs parents, afin notemment de s'occuper de son père miséreux en quête de cure pour arrêter l'alcool. Meredith partait enfin, avec, en elle, le secret de son abandon : de sa vie, elle n'aura jamais été à ses études de mathématiques, choisissant en secret celles de littérature, de journalisme, d'art, de communication. Ainsi feigna t-elle de s'y connaitre et trouva t-elle une place de choix à l'université. Aidée par un professeur qui croyait fermement en elle, ainsi que de l'association des étudiants lui permettant d'avoir les bourses afin de s'en sortir, Meredith gravit rapidement les échellons, se retrouvant au poste de directrice du journal de l'université, son nom commençant à être reconnu. Finalement, elle put intégrer les grandes écoles de NewYork, continuant dans sa lancée, en venant presque à oublier sa famille, enflammée dans sa quête de perfection et de renom... A en perdre son âme.
Les années passèrent. Au cours de son élévation, Meredith avait touché les plus hauts sommets du journalisme NewYorkais, montant en grade à grands pas. Ce fut à l'âge de trente-deux ans qu'elle changea son nom de Tilda Philson en Meredith Tilda Defraway, à l'aube de sa nouvelle et audacieuse entreprise de création d'un nouveau journal, touchant à la fois les Arts Textiles, les Arts Visuels et la Psychologie, un genre compliqué et totalement nouveau, destiné à l'ellite tout comme au plus petit, désireuse de faire partager la culture, celle qu'elle soutenait comme être la vraie, celle dont tout le monde pourrait bénéficier sans conditions, n'ayant jamais pu elle-même grandir en feuilletant ce genre d'ouvrage, en en rêvant pourtant. Le magazine DEFRAWAY#S conquit alors les Etats-Unis, puis l'Europe, de par son concept et la figure étonnante de cette femme jusqu'alors inconnue qui avait tout révélé, en une entreprise. De toutes formes, Meredith ne manqua pas de cacher à tous et à toutes son passé laborieux, ce qu'elle réussit parfaitement à faire, par changement radical, machinations et ordres d'interêts. Malheureusement, si elle s'attacha tout d'abord aux valeurs pures de son journal, elle y perdit bien vite son humanité, emportée par son renom, ses richesses, son nouveau pouvoir croissant chaque jour un peu plus, faisant d'elle une des figures les plus connues du pays. Froideur, autorité, méchanceté et tyrannie devinrent rapidement ses mots maitres, une rumeur disant même qu'il n'était pas plus difficile travail de journaliste que celui de travailler pour la fameuse dame Defraway, tant elle était terrible dans ses mots, ses regards, ses exigeances. Et jamais ne put-on les contredire : Meredith était déjà au sommet, sa misère tant dégoutée bien loin derrière elle. Aimée, adorée, détestée, elle est à présent figure majeure dans la communication NewYorkaise. Mariée -Mais prêtant toujours son propre nom d'emprunt à son mari, cela va de soi-, elle est également connue pour avoir fait trois fois la une des journaux de par ses divorces à répétition, les hommes aussi coriaces soient-ils désespérant bien vite de leur condition avec cette femme-araignée, la tyrannique Meredith. Sans enfants, elle les déteste et ne désire pas avoir un quelconque contact avec le genre humain d'une tranche d'âge inférieure à quinze ans tout au moins. Pour ce qui est de son statut social... Elle a à présent tout. Tout, et n'importe quoi. Le monde à ses pieds, les richesses des plus grandes marques, des plus grands hôtels et plus grands appartements...
Mais elle n'a plus ses sourires N'a aucun amis~ Peut-être seulement de courageux coéquipiers bien accrochés N'a plus de famille N'a plus d'humanité Terriblement elle~ Maléfique ; Finalement solitaire quoiqu'entourée du monde.
~ Signe(s) particulier(s) :
A part son immense fortune apparente, son constant port de gros manteaux et lunettes de soleil en exterieur ? Hmmmh... Nous dirons quelques tics de language, ainsi qu'un grand amour pour les bagues et bracelets, colliers clinquants, qu'elle met par demi-douzaine. Un luxe de la surenchère tout en restant dans le chic, voilà ce qu'elle prône, quitte à dépenser des milliers de dollars pour se satisfaire. Pourtant, elle se garde toujours bien de parler d'argent. L'on pourrait ajouter -Oh mais ce n'est qu'un détail- que Meredith a, dans le bas du dos, des cicatrices qu'elle n'a jamais voulu montrer à qui que ce soit, signes de son ancienne condition qui la dégoûte tant aujourd'hui et qui, pour elle, sont signes de sa faiblesse_. Mauvais souvenirs pour le moins, personne n'a jamais su cette particularité physique.
~ Orientation Sexuelle :
A la voir, l'on dirait "Aucun doutes, Meredith est belle et bien hétérosexuelle." ~ Peut-être aurait-on raison, mais les questions se posent tout de même. Bien qu'elle aie un mari, qui sait si la grande femme, si austère, n'a pas également vision sur les charmes féminins ? L'on ne pourrait le dire. Cependant, l'on l'aura toujours vue avec un homme.
Prénom : Zoé Pascale Betty. Âge : 17 ans :'D Comment as-tu connu ce forum ? : J'y suis déjà inscrite. ^^ Ton avis (design, contexte, ...) : ~ Présence sur le forum : Tous les jours, sauf exceptions. Autre(s) compte(s) : Dominura Romley. Exemple de RP :
Spoiler:
Evidemment, lorsqu'elle avait annoncé ses dernières pensées à Ludmila, la grande femme n'avait, une fois de plus, absolument pas pensé à mal. Au contraire ? Cela allait de soi. En cette journée, les émotions avaient été changeantes, et s'étaient enchainées, pour l'une comme pour l'autre, à une vitesse folle. Mais si Dominura avait comprit beaucoup de choses, il y en avait pourtant bien une qui lui avait bigrement bien échappée, malgré la régularité des faits : l'Illustratrice n'avait visiblement pas réalisé que ses propos, à chaque fois, étaient extrêmement déformés par la pensée de la belle, par l'emportement et la fièvre. Et si elle aurait dû, depuis le début, les dilluer à l'eau de source afin de rendre son vin moins amer, elle n'y avait absolument pas songé, la subtilité des déclarations à une malade n'étant pas son point fort dans les réactions sociales.
Ainsi, quelle ne fut pas sa surprise lorsque, au lieu de pouvoir trouver des solutions en accord avec la femme qu'elle aimait, cette dernière se mit à se refermer sur elle-même, la repoussant doucement mais fermement, avant de replier ses bras contre elle, sur son ventre, visiblement bien mal en point, comme à nouveau accablée par ses maux maladifs ainsi qu'à tournure... émotionnelle ? Ludmila, oh, Ludmila... Je comprends à l'instant, avec bien du retard, ce qui a pu te troubler dans mes propos ! Comment ais-je pu être si dure, dans mes paroles, alors que je t'avais tout d'abord assaillie d'euphorie et de joie à la perspective de ce voyage ? Mon dieu... Qu'ais-je fait ?
Tu pourrais bien t'en lasser. Te lasser de moi et de mes réactions, tout comme tu te lasses de ces journées sans moi, de ce pays que tu n'apprécies pas plus que je ne le fais moi-même.
Ces obligations ont étés difficiles pour nous deux. Et voilà que je t'ai brisé le rêve, en quelques propos, de venir avec moi pour ce séjour à Londres ? Oooh, dire que j'étais la première à me réjouir d'être accompagnée de toi durant ce voyage ! N'ais-je pas, encore une fois, tout gâché ? Mon dieu non. Cette fièvre, a gâché. Je n'ai pas mesuré l'ampleur que mes propos pourraient prendre sous le délire de la maladie, c'en est tout. Mais cela... est encore largement rattrappable. Tout comme je l'ai fait dans ton appartement.
Se levant alors à son tour, Dominura enjamba le rebord de la baignoire, alors que Ludmila l'avait fait bien avant elle, quittant ainsi la salle de bains. Au passage, arrivant à proximité des serviettes et vêtements, l'Illustratrice en attrappa une -la sienne-, et l'enroula autour de sa taille en vitesse avant que ses pas ne la mènent elle aussi à l'exterieur de la salle d'eau. Ludmila, Ludmila... Ne t'échappes donc pas ainsi.. Sais-tu comme je redoute à présent mener mes propos sur un tel sujet ? Je sais bien, qu'il t'a fait du mal, qu'il t'a blessée... Mais sur le coup j'avoue ne pas m'en être rendue compte. Stupide ? Je le suis peut-être un peu. Car il n'était alors pas question d'attention, je t'ai gardé toute cette attention dont il était necessaire. Allons, allons. Ne nous en confrontons pas, je n'ai plus qu'à te rejoindre et te faire comprendre, à nouveau, que je ne voulais absolument pas dire ce genre de choses comme tu les as comprises. Je ne veux pas me séparer de toi. Jamais. Mais comment le dire, si ce n'est par les moyens utilisés ? Je n'en suis pas bien douée, amour. M'en pardonneras-tu ? Peut-être lorsque la fatigue et toutes ces fievreuses émotions auront laissé la paix à ton corps et ton esprit.
Je sais, que tu es emportée par ton impulsion. Incompréhensible ? Pas tant que cela, finalement. C'était prévisible. Je n'ai juste pas su mettre des limites sur mes propos. Et si, au fond, je n'ai rien à me repprocher à ce sujet, c'aurait cependant pu être évité.
Alors je te suis, alors je te poursuis, persuadée qu'il faut au plus vite faire tomber les malentendus. Cela ne servirait à rien de se torturer pour de telles choses.
Et tu cites mon nom, je l'entends, au loin. Dominura ? Quoi, Dominura ?
Je n'ai pas encore comprit ton trouble qui te prends à l'instant, tandis que tu es encore nue, encore mouillée, là, déjà à l'autre bout du couloir, proche de ma chambre, prête à avancer encore quelque peu. Mais soudainement J'entends. Cet appel Mon nom, desespérément.
Et, ce fut en une fraction de secondes, alors que Dominura avait vue sur sa belle, que cette dernière s'effondra, là, sans prévenir, son corps s'étalant à terre, bras et genoux d'abord, comme une poupée de chiffon à nouveau dépourvue de vie, elle que l'on aurait doté d'une âme et de capacités d'automouvement. Le cri s'échappa des lèvres de l'Illustratrice, spontanément, sans prévenir, résonnant dans le couloir
"Ludmila !!"
Tandis qu'elle s'élançait vers elle, troublée mais également inquiète, ne doutant pas un instant de la valeur du bain, de la fièvre et des émotions dans le malaise soudain de sa conjointe. Elle le savait : Jamais elle n'aurait dû l'emmener si loin de chez elle de par sa maladie, pas plus qu'elle n'aurait dû lui parler ainsi de Londres. A présent à genoux sur le sol de son couloir, à la limite de sa propre chambre, la grande femme retourna sa belle attentivement, de telle sorte que cela ne la mette pas en une mauvaise ou douloureuse position, posant sa tête sur ses genoux, par dessus la serviette de bain, ne faisant pas vraiment attention au sang qui pourraient lui tâcher le tissus. Libérant l'air alentour tout en ne sachant que faire, la grande femme passa la main qui ne lui servait pas à maintenir la tête de Ludmila sur la joue de cette dernière.
Inquiétude. C'est certain.
"Ludmila... Ludmila, est-ce que tu m'entends ?! Ohhh, s'il te plait... Mon dieu... Ludmila !"
Mon dieu, Ludmila ! J'ai peur, reviens-à toi,
Et... Reviens-moi ?
Code du règlement :
Spoiler:
OKAY BY JUNE
« I'M SO BEAUTIFUL »
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ~ Meredith Tilda Defraway [TERMINEE] Dim 6 Déc - 18:24
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ~ Meredith Tilda Defraway [TERMINEE] Dim 6 Déc - 18:29
<3 *o* \o/
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ~ Meredith Tilda Defraway [TERMINEE] Dim 6 Déc - 18:44
Mouhaha merci beaucoup \o/ Il ne manquera plus que la validation (Si tout est Ok~) et let's rp !
Olàlà Noah~ ravie de voir que mon personnage te plait autant =D
Sujet: Re: ~ Meredith Tilda Defraway [TERMINEE] Dim 6 Déc - 19:04
Bienvenue! Et à bientôt dans un Rp peut-être!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ~ Meredith Tilda Defraway [TERMINEE] Dim 6 Déc - 19:39
*pareil que Noah* <3 *o* \o/ >-<
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ~ Meredith Tilda Defraway [TERMINEE] Dim 6 Déc - 19:52
Merci à vous, Gavin et Eva =D *Contente*
~Yaaayh Eva, ça me fait d'autant plus plaisir !! n___n Je suis contente que votre émotion, à Noah et toi, soit si importante :'D Mouahhaaah !!
Au plaisir de peut-être vous avoir en RP ! J'ouvrirai les demandes de lien dès que mon personnage sera validé, si ça vous interesse \o/ Huhuhu *Motivée*
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ~ Meredith Tilda Defraway [TERMINEE] Dim 6 Déc - 20:05
Tout est Okay Validée (:
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Sujet: Re: ~ Meredith Tilda Defraway [TERMINEE]
~ Meredith Tilda Defraway [TERMINEE]
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