Un grand-père tenait par la main un jeune garçon qui ne dépassait pas les trois pommes. Ils marchèrent dans un parc, le gamin de sept ans tenait la main de son papi et de l’autre savourait son cornet à la fraise que lui avait offert le vieil homme. Ce dernier souriait car son petit-fils n’avait pas d’habileté pour manger ce délice pour les papilles. Leurs pas ne cessaient d’avancer au fur et à mesure qu’ils marchèrent, rien ne semblait déranger la plénitude que formait ce duo. Le temps ne pouvait qu’être agréable en cette nouvelle journée qui comblait la saison du printemps. Gaël ne pensait pas à demain car il savait bien que lui faisait peur plus que tout. Le garçonnet ne se souciait de rien et c’est ce qui était merveilleux. L’insouciance d’un enfant, personne n’y avait échappé pendant cette étape de la vie. Les deux personnes d’âge différentes, l’un enfantin l’autre rempli de sagesse, s’assirent sur un banc de bois qui était du moins inconfortable mais respectable pour une heure de temps. Il prit le petit garçon sous les bras et le déposa sur ses genoux tel un Père Noël qui demande ce que l’enfant veut le plus au monde comme cadeau. Ses yeux se posèrent sur ceux du jeune garçon. D’un sourire chaleureux, le cinquantenaire lui ébouriffa les cheveux. Le petit brun fit une grimace de mécontentement car il venait de passer chez le coiffeur cependant il ne dit pas un mot juste un grondement comme un chat. Avec de grands yeux pétillant de curiosité, l’enfant demanda.



Gaël-«Il était…oups excuse-moi je me suis trompé aller je recommence. Le début n’est que la fin d’une autre histoire qui vient à peine de se terminer. Une journée sans soleil, sans lune ni même sans étoiles et les nuages couvraient le ciel remplissant la ville d’une noirceur. Une légère brumes’était installée, les habitants avaient l’impression que quelque chose allait se produire. En effet, un personnage allait faire son entrée, pas n’importe lequel, un prince pour une famille mais un être comme tout le monde aux yeux des autres. Une jeune femme allait donner naissance à un merveilleux petit bébé. Les deux parents ne savaient pas encore le sexe de leur enfant car ils voulaient que ça soit une surprise. Et cette surprise allait bientôt arriver. D’un pas enjoué, les gens de cette grande famille se laissaient porter par une surdose d’émotion qui prenait le contrôle de leur hâte. Pourtant plusieurs naissances s’étaient effectuées pendant la dernière année, le côté des Bordelau était moins bousculé par des petites bombes atomiques que pour les Vetràio. La raison était-elle évidente pour les deux familles, la jeune italienne qui souffrait de martyre dans la chambre principale avait fait plusieurs fausses couches avant qu’un bébé ne veuille bien voir un monde différent que le noir complet effacer à la sortie du placenta ou que les yeux n’enregistrent tout simplement pas cette aventure de neuf mois. Le jeune père tenait fermement la main de sa compagne qui poussait des cries de souffrance mais qui pourtant au fond d’elle en était heureuse. Plusieurs heures s’écoulèrent avant l’enfant donne signe de vie. Un sourire, deux sourires, trois sourires pour finir plus d’une dizaine de personnes souriaient. Un cri venait de se faire entendre dans la maison. Tous se précipitèrent dans la porte pour essayer de voir. Le père s’était situé devant ces spectateurs et avait sourit tout en présentât son jeune fils qui se prénommait Gaël-Eli. Des cries de jouissances et des mains d’applaudissement fit place. La jeune mère se tenait en retraite essayant de souffler un peu après ce grand effort. Suite à plusieurs félicitations, l’italienne demande à voir son fils. Des larmes se mirent à couler après avoir vu son visage qui cherchait quelqu’un des yeux. Un tout petit être se trouvait entre ses mains et en bonne santé. Par la suite le médecin qui se trouvait sur place pour l’accouchement maison. Ce dernier fît quelques tests pour voir si tous étaient parfait et si l’enfant n’avait pas une maladie quelconque. Un soupire de soulagement pris les deux familles quand ils surent que le nouveau né n’avait aucun problème. Isabella se demande si son fils allait avoir un avenir potentiellement heureux ou tout simplement un avenir comme la majorité des gens qui vient sur terre. Elle se dit qu’il allait l’apprendre lorsqu’il aura comprit le sens de la vie.»



Gaël-« La chance avait enfin tourner en leur faveur. Le petit Gaël se portait à merveille même après quelques mois de vie dans le monde. Ses parents étaient aux anges sans compter toute la famille au complet. Le bambin agissait comme tous les bébés qui entreprennent la voix de la petite enfance. Des pleures, des mots incompréhensibles, des crises, les rots enfin bref tous ce qui accompagnait le mode d’emploi d’un enfant de bas âge. Les deus jeunes parents ne savaient pas à certains moments quoi faire pour se sauver d’un pleur qui n’allait peut-être jamais se finir. Pourtant avec les temps, ils apprirent à voir dans le petit jeu de leur fils et finirent par apprendre le manuel d’instruction. Ils éduquèrent Gaël d’une manière lente mais qui eu le même résultat que les autres enfants. Le jeune enfant apprit à marcher et à parler. Cependant après ce dernier stade, il utilisait bien des mots humains mais continuait quand même à discuter dans un langage incompréhensible. Isabella et Nick laissèrent leur fils ainsi et ne s’interposèrent aucunement contre son choix de ne pas parler normalement. Eli déjà à ses trois ans ressemblait beaucoup plus à son père qui était Américain qu’à sa mère qui est était italienne. Cependant il n’eu pas la joie de vivre en Italie car son père avait besoin de retourner à Washington parce que son patron avait besoin de lui. Les Bordelau s’était installé à Padoue, enfin pour la majorité mais ils étaient tous d’origines américaines. La jeune femme accepta de déménager aux Etats-Unis pour le plaisir de son mari. La jeune famille quitta l’Italie quand Gaël venait à peine d’avoir ses six ans. Il quitta ses amis qu’il s’était fait au cours de sa vie italienne et dit au revoir à sa famille.»

«L’avion. Un très bel oiseaux blanc qui pouvait être très dangereux parfois quand la situation de vol venait à se mal passer. Cependant, ce n’était pas le cas pour cette avion du moins pour ces quelques heures de voyagement. Le jeune garçon voulait voir par le hublot, voir comment le monde était fait d’en haut et savoir comment les anges voyaient la terre à partir de leurs nuages. Gaël croyait rêver, bien sûr il n’était qu’un enfant mais à cet âge, les rêves se cessaient jamais de grandir. Pourtant même avec cette émerveillement il dormi plus de la majorité du voyage. Il souriait comme si il savait déjà à l’avance ce qu’il l’attendait sur ce continent. Les heures passèrent, Eli ne fût réveiller qu’une demie heure avant l’atterrissage. Quand il finit par mettre les pieds sur terre, un sentiment de peur le prit. Il se cachait comme un animal apeuré derrière les jambes de son père. Jamais, Gaël n’avait vu autant de gens à la même place comme une fourmilière géante. Sa mère l’avait pris dans ses bras et lui avait murmurer à l’oreille de ne pas s’inquiéter. Mais comment pouvait-il faire autrement? Se dire qu’un jour il deviendrait comme ces grandes personnes qui se servent de grands oiseaux blancs pour aller dans une nouvelle ville. Le petit bonhomme ne comprenant pas où il était, la seule chose qu’il savait s’est qu’il n’était pas en Italie. Les gens avaient une drôle de façon de prononcer les mots comme si eux aussi venait d’apprendre la langue humaine. S’en était trop pour son petit cœur. Le bambin se mit à pleurer à chaude larme cachant son visage dans le coup de sa mère. Cette dernière essaya de le réconforter du mieux qu’elle le pouvait mais il était un peu trop tard, elle venait de se rendre compte que son fils avait compris qu’il ne reverra pas son pays d’enfance.»

«La nuit était tombé. Gaël venait de se mettre au lit pour le monde des rêves. Pourtant, il ne voyait pas comment s’en dormir. Il était terrifié même après plusieurs semaines qu’il était arrivé à Washington. Eli essayait bien de dormir sans faire de cauchemar mais il n’y arriva pas. Le jeune garçon finissait la majorité du temps dans le lit de ses parents à dormir entre eux. Ces derniers essayaient de lui faire comprendre qu’il n’allait rien arriver et qu’ils n’auraient pas à changer à nouveau de vie. L’enfant avait du mal à les croire. Malgré ce désagrément, il vivait bien ce changement, il s’était fait amis avec les enfants du voisinage et était souvent partit aux fêtes d’enfants. Tout allait pour le mieux. Le petit prince finit par se calmer. Maintenant il voyait bien qu’il n’avait pas s’inquiéter. Son père Nick travaillait souvent mais pas à en perdre la tête. Ce n’était un mordu de boulot et il s’occupait très bien de sa famille. Pour le cas de Isabella, cette dernière ne travaillait pas, elle préférait rester à la maison et occuper le travail de mère. Et elle le remplissait très bien, toujours là pour s’occuper de son fils et à voir si il ne manquait de rien. La famille n’était pas riche comparé aux autres familles qui habitaient dans le quartier voisin. Ils n’avaient pas une grande maison, n’avaient pas des vêtements qui coûtaient les yeux de la tête et n’avaient pas les objets électroniques de derniers cris mais ils étaient heureux.»

« Les printemps passèrent et le petit prince se transforma en grand prince. Gaël avait atteint l’âge de raison. L’adolescence… Plus exactement les seize ans. Il avait adopté un style de vie non urbaine et fêtarde comme les autres jeunes de son âge. Non plutôt il passait son temps dans sa chambre à lire des bouquins ou à passer son temps libre chez des amis et il restait tranquille. Gaël savait bien qu’il n’y avait qu’une vie mais il n’était pas du genre à en vouloir en profiter au maximum. Le jeune adolescent passait haut la main toutes ses matières à l’école même si il était dans une école douée. Ses parents étaient fiers de lui mais ne voyait pas comment leur fils pouvait être aussi heureux toujours le nez dans des bouqins de psychologies. Ils avaient beaux vouloir le faire sortir, ce dernier ne voulait rien savoir. Après d’innombrables tentatives rien ne fonctionna. L’étudiant vivait comme si son plan de sa vie était déjà fait à l’avance et il se devait le suivre. Un quotidien qui ne finissait pu jusqu’au jour où…»



Gaël-« Kacie, une jeune femme magnifique. Rien ne pouvait l’égaler en beauté. Elle venait d’arriver dans la classe de Gaël et tout comme lui lorsqu’il était petit, avait déménager. Elle descendait de l’Australie. Ses beaux yeux gris, ses longs cheveux bouclés d’un blond presque blanc et son sourire énigmatique avait eu pour effet que le jeune homme avait littéralement tombé de sa chaise. Un sentiment de bien être l’avait envahi et il ne désirait que lui parler. L’adolescent n’avait jamais ressenti le besoin de tomber en amour ou d’avoir une petite amie dans sa vie mais là, cette fille avait changé sa perception de voir le monde. Au tout début, le jeune homme se sentait gêner car il ne savait pas comment l’aborder mais il finit après plusieurs semaines, d’aller lui parler. Cela à été la meilleure décision de sa vie car par après, il ne pouvait plus vivre sans elle. Il était devenu dépendant, non pas en devenir fou mais juste de la voir lui faisait un grand bien. Les deus jeunes gens avaient commencés par être seulement amis, mais cela ne resta pas ainsi bien longtemps car ils s’avouèrent leur attirance mutuelle. Leur amitié se transforma en une histoire d’amour. Eli sortait un peu plus pour faire plaisir à sa belle qui elle aimait plus faire la fête que le jeune homme. Le temps passait et ils s’aimaient de plus en plus. Les années passèrent et Gaël était entrée en école de psychologie et sa douce à l’école d’art. Le jeune couple avait décider quand ils ont eu vingt ans de d’habiter ensemble. Ils ne quittèrent pas Washington car les deux jeunes gens voulaient restés proches. Puis à un moment, Gaël avait ressenti le besoin de montrer à Kacie sa ville natale donc pendant les vacances, ils partirent tous les deux à Padoue. Son dernier vol remontait à quatorze ans. Comme la dernière fois le jeune homme partit pour le monde des rêves.»

« La majorité des deux familles du jeune garçon se trouvaient à l’aéroport pour les attendre. Quand Gaël les revus, les larmes lui montèrent aux yeux et il s’était jeté dans leurs bras tout en les saluant en italien. Il avait bien beau avoir vécu une bonne partie de sa vie en Amérique, il n’avait quand même pas perdu sa langue maternelle. Quand les retrouvailles se sont terminées Eli s’est empressé de présenter Kacie à tout le monde. Comme prévu dans la tête du jeune homme, les membres de sa famille l’acceptèrent immédiatement. Ils dormirent dans la maison où habitait l’étudiant enfant. Pendant ce long séjour qui allait durer trois semaines, il se passa plusieurs choses. Un des moments qui allait changer leur vie s’était passé une nuit où les étoiles s’étaient données rendez-vous dans le ciel. Une grande fête était donnée dans Padoue. Tous les habitants ainsi que les touristes étaient invités. Le jeune couple avait décidé avec un grand plaisir d’y assister. Le cœur d’Eli battait plus vite qu’à l’habitude car allait faire un grand pas. Toute sa famille était au courant sauf l’élue de son cœur. Lors d’une danse classique d’Italie, le jeune homme s’était mit à genoux devant toute la foule qui était présente. Avec une grande respiration, il se lança dans un long discours qui paraissait pour lui interminable mais qui après seulement quelques minutes se termina. Tout en bégayant, il sortit une petite boîte rouge et l’ouvra. Dans cet étui contenait une bague en argent où prônait un petit diamant qui brillait aux lueurs des nombreuses lumières. Il finit par faire sa demande. Kacie était paraissait grandement surprise et s’était le cas. Elle avait lâché un cri quand elle avait vue Gaël se mettre à genoux devant elle. La jeune femme n n’y croyait pas. Seulement, s’était bien vrai. D’un large sourire, elle lui répondit un grand oui. Les gens présent applaudirent en grand nombre avec beaucoup d’enthousiaste. Cette réponse venait de faire l’italien, l’homme le plus chanceux de la terre. Mais cette nuit là, un autre bonheur allait s’ajouter car les deux fiancés avaient conçus un petit être qui allait faire son entré un peu plus tard dans leur vie.»

« 9 mois passèrent. Le ventre de Kacie avait énormément grossi ce qui était tout à fait normal. Retournons quelques mois avant. Quand le jeune couple revenu à Washington, ils retournèrent à leur nid douillet et le jour qui suive leur arrivé, ils annoncèrent leur fiançailles à leur famille. Les parents étaient très heureux quoi qu’un peu surpris à cet âge. Mais ils n’étaient pas au bout de leur surprise. Quelques semaines après cette annonce, Kacie était arrivé à la maison avec un air songeur. Elle était allée chez le gynécologue sans en parler à Gaël. Depuis quelques jours elle était prise avec des hauts de cœur, se sentait fatigué et des aliments qu’elle aimait avait disparu de ses goûts alimentaires. La jeune femme savait bien ce que ces symptômes voulaient dire mais elle voulait en être certaine. Après ses tests, le gynécologue en question lui avait annoncé qu’elle était bel et bien enceinte. Kacie ne parue pas surprise mais un air de joyeuseté apparue dans son visage. L’artiste remercia l’homme et partit. Gaël venait à peine d’arriver à l’appartement. Il découvrit sa fiancée couché sur le canapé et ses deux mains de tenaient sur son ventre avec le chandail légèrement relevé, juste assez pour voir sa peau. Eli remarqua d’un coup que sa compagne avait légèrement grossi à cette partie du corps non en graisse mais plutôt en forme. Pourtant le fait qu’elle porte un enfant ne lui traversa pas l’esprit. L’étudiant avait donc déposé son sac sur le sol et s’était avancé lentement sans faire de bruit. Il s’était mit à genoux sur le sol et avait délicatement mit sa tête sur le ventre de sa belle. Cette dernière s’était réveillée et avait commencé à passer ses doigts entre ceux de Gaël. Puis avec un sourire elle lui avait demandé si il la croirait si elle lui disait que dans ce ventre se trouvait leur enfant. D’un regard surpris, le jeune homme avait relevé la tête et chercha une réponse dans les yeux de Kacie. Il n’eu pas à chercher bien loin pour comprendre qu’elle était enceinte. Le futur psychologue finit par réagir et la première chose qu’il fait, était d’embrasser Kacie d’un baiser d’amoureux et de lui dire qu’il était heureux. Il parsemait sa bedaine de baiser ce qui faisait rire sa compagne.»



Gaël-« Une soirée où la neige tombait en grande quantité, Kacie criait dans la chambre d’hôpital. La journée tant attendue depuis plus de 36 semaines était enfin arrivée. Gaël paniquait énormément même qu’il étais certains qu’il allait perdre connaissance d’une minute à l’autre. Cependant, le jeune homme voulait supporter sa fiancée qui allait bientôt devenir madame Bordelau et qui allait devenir mère d’ici quelques heures. La jeune femme passait son temps à crier qu’elle allait mourir tellement que ça lui faisait mal. Mais, l’artiste savait qu’elle allait mettre au monde une petite fille et qu’il fallais qu’elle fasse un effort. Une heure passa deux heures, trois, quatre, cinq et Gaël arrêta de compter après ça. Après un certains nombres d’heures qui dépassaient cinq, Eli crut rêver quand il entendit un cri. Le jeune homme avait ouvert grand les yeux. Ce petit être que tenait le médecin était son enfant, sa petite fille, l’être qui allait être là pendant de nombreuses années dans sa vie. Il n’en croyait pas ses yeux. Cette petite princesse agitait les bras dans les aires tout en pleurant. L’homme qui était légèrement couvert de sang donna le bébé à Kacie. Cette dernière était en pleure. Le bébé dans ses bras entouré d’une couverture toute chaude pleurait encore. Le nouveau papa ne s’était jamais imaginé qu’à vingt et un ans, il aurait eu le rôle de père. Ce dernier s’était approché du nouveau ne et lui avait pris une main et l’avait embrassé sur le front avant de saluer leur bébé. Les nouveaux parents avaient décidé d’appeler leur petite fille Lilianne…»

« Lilianne avait bien grandi simplement après trois mois depuis sa naissance. Les nuits passées à donner le biberon à la belle enfant, lui changer les couches et tout simplement ne pas dormir commençait déjà à faire effet sur l’état de sommeil de Gaël. Il ne voulait pas que sa femme s’en occupe car depuis un mois elle n’allait pas bien en faites depuis leur mariage. En effet les deux mois d’avant, Kacie et Eli avaient décidés de se marier. Ils avaient déjà planifié de se marier pendant la grossesse de la demoiselle. Qui invité, ne pas invité, où s’asssiraient les invités, la date du mariage, la place où se déroulerait l’évènement, en plus des études des deux tourtereaux. Tout ceci avait tellement monté à la tête du jeune père, qu’il se demandait bien comment sa compagne faisait pour ne pas exploser. Mais il n’osa pas lui demander. Pour retourner au mariage, tout s’était déroulé au printemps, les fleurs commençaient à s’ouvrir, la petite Lilianne regardait les adultes avec un regard interrogateur se demandant ce qu’il se passait. La belle enfant se trouvait dans les bras de son grand-père du côté maternel car les parents devaient se préparés pour s’unirent. N’entrons pas dans les détails car cela pourrait prendre un peu de temps surtout que la mariée avait pris beaucoup d’heures pour se préparer.»

«Le grand silence habituel, comme dans les films. Tous les gens présent dans cette salle s’étaient assis et leur regard était tourné vers les grandes portes de l’église. Un ange venait d’entrer dans la maison de Dieu. Gaël croyait alors rêver mais sa belle princesse Lilianne vint le sortir de ses pensées. Le jeune homme l’avait regardé avec un large sourire. Il était entrain de réfléchir, il avait atteint ses vingt –deux ans, il était père d’une merveilleuse petite fille et allait unir sa vie à la femme la plus magique qui soit et allait dans moins de quatre ans finir ses études en psychologie. À ce moment précis, l’étudiant avait remercié la vie de lui avoir faites des aussi beaux cadeaux. Son regard s’était maintenant retourné vers Kacie. Cette dernière avançait lentement et avait le regard pétillant de plaisir. Le cœur du futur marié palpitait tellement vite qu’il croyait que son cœur allait subitement arrêter. Pourtant se ne fût pas le cas, une sensation de bombe apaisante fît en sorte qu’il se calme quand la l’artiste s’était présenté à ses côtés. Le prêtre parlait mais le jeune homme n’écoutait rien. Gaël ne regardait que Kacie. Cette dernière n’était pas du genre à laisser ses émotions prendre le dessus seulement cette fois, les larmes lui montèrent aux yeux quand elle avait prononcé le fameux « Je le veux.». Eli lui l’avait dit lentement pour être sûr qu’il soit bien réveillé. Quand l’homme habillé de noir annonça qu’ils étaient maintenant mari et femme, les deux mariés s’embrassèrent. À partir de cette journée là le cœur de Gaël appartenait à sa femme pour la vie, mais il savait très bien que ça s’était déjà fait bien avant cette journée mémorable.»



Gaël-« André Birabeau a déjà écrit Le suicide n'est qu'une sortie de secours. Malheureusement pour Gaël, Kacie avait voulu prendre cette sortie de secours. Les mois passés à l’hôpital à attendre des tests médicaux, entendre de mauvaises nouvelles et à regarder sa femme clouée dans un lit. C’est ce qui s’est passé. La jeune femme venait à peine d’atteindre ses vingt-trois ans et elle avait apprit qu’elle était atteinte d’une leucémie. Pourtant ces maladies fréquentes, ce manque d’appétit, la voir rester couchée au lit pendant des jours voir même des semaines auraient du faire voir à Gaël que se n’était pas normal. Il le savait mais sa femme ne voulait pas à aller à l’hôpital disant que s’était une grosse grippe et que tout cela allait passer. Elle lui avait même dit qu’elle avait été voir un médecin et que ce dernier lui avait prescrit des antibiotiques et il lui avait demandé beaucoup de repos. Seulement, cette « grippe» persistait. Alors ne voulant pu attendre, il avait emmené Kacie à l’hôpital pour lui faire passer des tests. Et c’était à ce moment-là que le médecin en charge de ces tests leur apprit la mauvaise nouvelle. Sur le coup, Eli ne savait pas quoi dire, une seule question ne lui venait en tête, pourquoi? Mais aucune réponse ne lui vint à la tête. Il y avait le traitement qu’elle pouvait faire. Kacie décida de le faire pour Lilianne qui venait d’atteindre ses deux ans. Les mois passèrent le traitement ne faisait pas effet et l’état de la jeune femme ne s’était pas améliorer. À la fin, Kacie n’en n’était plus capable de ce traitement de ces tests qui annonçaient que de mauvaises nouvelles et de voir son mari et sa fille venir la voir en lui disant de se rétablir vite. Elle se savait condamner, donc, la malade demanda à Gaël de l’emmener dans son pays natal pour voir sa famille. Ce dernier s’exécuta mais était loin de se douter ce qu’elle allait faire…»

«Une journée qui semblait être merveilleuse. Gaël se sentait bien en Australie car sa femme avait recommencé à reprendre goût à la vie enfin s’est ce qu’il croyait. Le jeune italien s’était habitué à voir autant d’eau. La famille à Kacie avait une très belle maison sur le bord de la mer. C’était cette dernière qui allait prendre la vie de la jeune femme. L’étudiant avait emmené prendre une glace à Lilianne à la grande demande de la mère car cette dernière avait besoin de repos et désirait parler seule à seule avec sa grand-mère. Eli n’était pas sûr que se fût une bonne idée car sa femme malgré ses sourires qui faisaient croire qu’elle allait bien n’était qu’un mensonge car en faites s’était tout le contraire. Mais désirant faire plaisir à sa femme, Gaël emmena Lilianne prendre une glace. La petite ressemblait de plus en plus à sa Kacie. Il avait l’impression que s’était elle mais en plus petite. Le temps passait, le jeune père avait emmené sa fille au parc pour jouer avec elle, l’avait emmener par la suite nourrir les pigeons et la petite était émerveillée quand elle voyait ces derniers s’envolés. Le jeune homme était tellement content de voir ses petits yeux bleus observés les choses au tour d’eux et posait des questions sur tout. Seulement, ce bonheur minime pendant cet instant ne dura pas longtemps. En revenant à la maison, il voyait des gens en arrière des grands rubans jaunes, des voitures de police, une ambulance alors il commença à paniquer pensant à Kacie. Gaël déposa la prit Lilianne dans ses bras et courut vers un policer qui se chargeait de dire aux personnes de rester derrière les rubans de sécurité. Après lui avoir expliqué qui il était, le policier en question l’emmena voir l’inspecteur qui se trouvait sur les lieux. Ce dernier demanda au jeune homme de s’assoire car ce qu’il allait lui apprendre n’était pas facile à dire. Le policer ne le regarda pas dans les yeux tout de suite, il cherchait ses mots. Gaël eu un pressentiment que ce qui allait lui dire allait transformer sa vie. Et se fût le cas. L’homme qui se trouvait devant lui dit en une seule phrase que Kacie s’était suicidé en se jetant dans la mer. Eli ne sut pas comment réagir alors il laissa Lilianne seule et partit à courir vers l’intérieure Son premier réflexe fût d’aller sur la plage, comme de faites, il voyait des personnes pêchées le corps de sa femme hors de l’eau. Le jeune homme commença à pleurer et partit à courir vers le corps. Il se lança sur la dépouille, prenant Kacie dans ses bras et lui tenir le visage entre ses deux mais lui demandant pourquoi elle avait fait ça. L’étudiant lui tapotait le visage lui demandant de revenir. Puis, une policière le prit par l’épaule lui disant qu’elle avait bien quitté le monde des vivants pour celui des morts. Gaël secoua la tête violemment tout en rangeant contre la jeune femme. Pourquoi s’était-elle enlever la vie dans cette mer? Gaël ne savait pas mais avait besoin de trouver une réponse…»

« Pas un jour passait sans que Gaël ne pense à Kacie. Après la mort de cette dernière, le jeune homme n’avait pas mentionner tout de suite à sa fille ce qu’il s e passait. Alors quand elle lui demande ce qu’il s’était passé avec un grand regard inquiet, il lui avait tout simplement dit que maman devait retourner à l’hôpital. Lilianne parût très triste et le père savait très bien que la petite ne reverrait jamais sa mère. Il essayait de rester fort pour la petite, mais en n’était incapable. Le simple fait de savoir que Kacie ne serait jamais plus avec eux le rendait malheureux. Quelques jours après le suicide, des funérailles furent exécutés mais juste quelques jours avant, Eli avait annoncé que sa mère ne reviendrait pas et qu’elle avait rejoint un monde où elle ne serait plus malade. Au tout début, l’enfant ne semblait pas comprendre, il faut aussi dire qu’à son âge, il était dur de réellement expliquer quel était vraiment à une enfant qui venait d’avoir ses deux ans. L’enterrement fût pour le moins pénible, Gaël se tenait proche de la tombe de Kacie et tenait Lilianne dans ses bras. Tous les proches de la défunte se tenait là à regarder ce cercueil contenant un corps vide de vie. Cette journée là Washington était sombre et les nuages se tenaient en grand groupe comme si ils attendaient un signe pour se mettre à pleurer. Eli ne put s’empêcher de se remettre à pleurer. Ce n’était pas comme dans un film ou l’homme reste la tête droite et ne dit rien et renferme ses émotions, le jeune homme n’était pas capable de supporter cette grosse boule de chagrin qui se trouvait au fond de lui. Il voulait tellement que ça ne soit qu’un énorme cauchemar et que le lendemain il se réveille et que sa femme dorme à poings fermés. Seulement, tous les évènements passés ne reviendront pas, ils se sont enfuis vaincu par ce qui restait de hier…»

«Des jours, des semaines même des mois. Gaël ne supportait pas cette solitude. Le papa passait son temps à s’occuper de sa fille qui elle s’ennuyait terriblement de sa maman mais qui avançait quand même dans la vie. Pour le jeune homme s’était complètement le contraire. Oui, il avait continué ses études car ces dernières étaient sur le point de se terminer donc pas question de lâcher quand la fin arrive. Pourtant, ses études l’aidaient parfois à oublier la tristesse mais cela ne durait jamais bien longtemps. Eli avait le besoin urgent de s’occuper au maximum car sinon il savait bien qu’il tomberait en dépression et il ne voulait surtout que Lilianne avait besoin de lui. Kacie, elle qui lui avait emmené tant de bonheur dans sa vie, elle qui l’avait fait réaliser que nous avons juste une seule vie pourtant, cette dernière l’avait quitté d’elle même. Gaël avait enfin trouvé la réponse de son suicide, la jeune femme se savait condamner à mourir quand même, alors à la place de rester couché dans son lit à attendre ce jour, elle décida de se l’enlever. L’étudiant ne comprenait tout simplement pas comprendre. C’est vrai il n’était pas à la place de sa femme mais pourquoi agir aussi égoïstement? C’est ce que le jeune s’était posé au tout début. N’avait-elle pas pensé à lui et à sa fille? Eli lui en avait beaucoup voulu cependant, même si il étudiait la psychologie humaine, il refusait de comprendre. Il étudiait pour aider les gens avec eux-mêmes mais il ne savait pas comment faire pour s’aidé lui-même…»

«Un an. Rien de moins, rien de plus. 365 jours que Kacie n’était plus là. 52 semaines de tristesse répétitive. Gaël n’en pouvait plus. Il venait de finir ses études et pouvait maintenant exercer le métier de psychologue, sa fille avait maintenant trois ans et lui vingt-quatre ans. Son seul désir était de quitter Washington et d’aller ailleurs. Voulant refaire sa vie mais sans oublier Kacie. Pouvant respirer à nouveau comme avant. Avec l’aide de ses parents ainsi que sa belle-famille, Eli décida de s’établir à New York. Un bel avenir pour son travail et pour Lilianne qui allait connaître la vie d’une grande ville qui à chaque jour était achalandée de milliers de personnes. S’entourer de gens, oui, il en sentait l’utilité. Un nouveau départ comme pourrait le dire plusieurs personnes qui vécurent la mort d’un proche. Le papa avait emmené la majorité des choses de la défunte. Après la mort de cette dernière, le jeune psychologue avait refusé de donner les choses de la jeune femme. Les deux familles étaient d’accord mais se disaient qu’un jour il devra sans débarrasser pour enfin vivre sans tous les regrets qui l’assaillaient. La petite était contente de vivre ailleurs car elle avait confiée à son père qu’elle avait envie de voir un nouveau monde. Le jeune homme était content de voir que ça ne dérangeait pas sa fille. Chaque fois qu’il regardait Lilianne, il voyait Kacie. S’était automatique, sa fille avait beau faire des grimaces ou dire parfois des choses incompréhensible mais l’image de son bel amour lui revenait toujours en tête….»

« Certaines choses avaient tournée en faveur de Gaël. Il avait été embauché comme psychologue en premier dans un bureau exprès. C’était sa chance de pouvoir enfin mettre sa tête ailleurs seulement il en était plus ou moins incapable. Le jeune homme avait donné une restriction, il ne voulait pas pour l’instant avoir des patients avec des envies suicidaire car pour lui s’était trop tôt. Le père et la fille avaient emménagés dans un appart assez vaste non loin d’une université. Lilianne allait à la garderie pendant que son père travaillait. Au tout début se fût difficile pour Gaël de laisser sa fille aussi longtemps mais savait qu’il pouvait faire confiance aux personnes qui y travaillaient. Le psy prenait son travail au sérieux malgré le fait que parfois pendants les séances il partait dans ses pensées. Parfois le client sans rendait compte et le sortait de sa bulle ou ce dernier continuait de parler sans s’en rendre compte. Pendant plusieurs mois se fût ainsi. Le père réussissait bien seul, se débrouillait bien et essayait de faire de son mieux pour rendre Lilianne heureuse. Cette dernière l’était malgré quelques fois où elle se mettait à pleurer à chaudes larmes réclament les bras de sa mère. Cela rendait Gaël vraiment triste car il ne pouvait pas lui donner cet amour maternel. Après le départ de Kacie, le jeune homme avait gardé plusieurs habitudes, comme dormir du même côté, préparer la double dose de café, mettre deux assiettes à la table car Lilianne voulait encore mangé dans sa chaise haute et des détails qui se passaient souvent quand que la jeune femme était encore vivante. »

«Le temps. Il pouvait aller lentement ou vite, toujours selon lui ou comment les gens le perçoivent. Pour Gaël, il allait à une vitesse folle. Le jeune ne le voyait pas passer. C’est de cette façon qu’il se rendit compte que sa vie n’allait dans aucun sens mais et qu’il restait sur place. Il ne faisait rien que le même quotidien, voir les mêmes personnes, toujours se lever à la même heure, faire les mêmes choses sans rouspéter bref vivre la même chose chaque jour. Alors un matin, il décida qu’i allait changé de quotidien. Le père alla porter sa fille à la garderie, revint à la maison, s’habilla de façon joyeuse pour aller remettre sa démission où il travaillait. Il quitta l’immeuble respirant un coup d’air et décida de voir une autre tranche de personne que ceux qui sont rendu quand la quarantaine et qu’ils parlent en majorité du temps de leurs problèmes banquier. Eli ne savait même pas quoi répondre la majorité du temps car il n’était pas rendu à cet âge. Oui la psychologie et les psychologues sont sensés savoir plus que la moitié des choses et aider les gens à comprendre le pourquoi du comment mais il avait besoin de voir des gens plus jeunes et il savait au fond de lui que ça serait une meilleure idée. Donc d’un pas décider, Gaël avait été faire une demande d’emploi pour devenir un psychologue de l’université Fordham. Pour le jeune homme s’était un bon choix car s’était du nouveau et il en n’avait besoin pour refaire une nouvelle fois un morceau de vie qui allait s’embrancher à plusieurs autres. C’est ainsi que débutât ses vingt-cinq ans. Un nouveau travail dans un endroit où il se sentait bien. Eli pouvait enfin se considérer comme à nouveau heureux. Sa fille était aussi joyeuse car elle s’étais faites plusieurs amis et parlait beaucoup et pour le jeune homme s’était un signe qu’elle se sentait bien. Même si parfois pendant le soupée ça devenait silencieux car s’était Kacie qui mettait de la vie. En quelque sorte, elle vivait encore parmi eux mais d’une façon fantomatique. L’italien vivait mieux même si parfois le passé venait le rattraper mais comme chaque fois, il fallait passer en travers. Un nouveau du nouveau départ. Le psy ne savait pas seulement s’y la défunte aurait été d’accord qu’ils se refassent une nouvelle vie et ça pouvait l’inquiété quelques fois mais qui pouvait tout savoir ? Eli n’était pas ce qui…»



Le grand-père et le petit garçon partirent vers le centre ou l’homme habitait depuis quelques temps. En effet, Gaël avait des problèmes de santé et il avait découvert comme sa femme qu’il était atteint d’une leucémie. Mais, il avait décidé de ne pas se faire soigner pour la seule raison qu’il décida qu’il était temps pour lui de rejoindre le paradis. Lilianne était d’accord avec son choix et l’accepta. Les mois passèrent, la maladie le détériora et il finit par aller à l’hôpital car le centre ne pouvait pas l’aider rendu à ce stade. C’est ainsi qu’un jour d’hiver où la neige tombait légèrement sur New York, Gaël était couché sur son lit et regardait le plafond en revoyant toutes les étapes une à une de sa vie. Il avait eu plusieurs beaux moments et de moins beaux mais la vie était ainsi et personne ne pouvait contredire. L’homme était content de sa vie car elle avait été bien remplie et était heureux de voir sa fille qui à son tour avait formé une belle famille. Son seul regret était que Kacie n’est pas pu rester plus longtemps avec eux. Avec les années il avait compris pourquoi elle avait quitté la terre. À cet instant même il le savait. Le grand-père n’avait pas besoin de psychologie pour comprendre. Puis après plusieurs heures, la pièce où il était couché était toute blanche. Gaël esquiva un sourire car son voyage sur la terre était maintenant achevé et il allait commencer une nouvelle histoire dans un monde qui ne nommait le paradis…

wahouu ça c'est de la présentation
bienvenueeee

bienvenue ^^

Merci à vous deux!!

Bienvenuue

Bienvenue

Merci beaucoup à vous trois!!!

Oliver Sykes!

Edit: BMTH!

Christofer J. Green a écrit:

Gaël E. Bordelau a écrit:

Merci beaucoup à vous trois!!!

Oliver Sykes!

Edit: BMTH!


T'as d'la chance que ton Gaël soit hétéro et que Toffee soit fidèle à sa Gaby parce que sinon... (a)

OUAIS ET TOI AUSSI T'AS D'LA CHANCE !

*arhem*

Bienvenue !

Parce que sinon ?? N'ah je m'en doute! x)
Zut! Ah pi non j'aime trop Oli! *saute dessus*

Hayley Williams toujours aussi belle! La chanson Until Tomorrow est tellement joliee

Et Thank'sssssssss!!!

Hayley Williams est tellement belle quand elle est en colère, tu veux tester en t'approchant un peu trop près de mon Oli, pour voir ?

Bienvenue parmi nous et bonne continuation ! Tom <3

Je suis sûr qu'elle est aussi belle en colère mais préfère pas tester.Les yeux doux sont un piège ...

Et Merci à toi Loan !

Edit: I Have A Question ! :07:

Merci beaucoup!

han *_* je veux venir dans ton bureau Mr le psychologue *o* (quoi, comment ça hétéro ? c'est un détail ~)

bienvenue !

Ha ha ha! Merci à toi!!!
Et j'avais penser à mettre Gaël homosexuel mais j'ai abandonné l'idée à cause de l'histoire. ^^'

Je suis désolé du double post mais j'aimerais avertir que je ne pourrais pas terminer ma fiche pour mercredi car j'ai un important examen que je dois passer donc j'aimerais me concentrer la dessus donc voilà. (:

Pas de soucis merci d'avoir prévenu et bonne m***e !

Loan- Merci sincèrement!

Et Merci aussi à toi Stella! (:

Je tiens à dire que ma présentation est terminée!

Edit: Encore une fois Sorry du double post. ^^'

Bienvenue ^^