you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé
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Empire State of Mind
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Sujet: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Mer 6 Jan - 22:59
« Dragomir Terentsi Strovan » logan lerman
Âge : dix neuf ans Date & Lieu de naissance : Le vingt et un décembre 1990 à Sibaï (Russie) Groupe : Les populaires UFR : UFR 6 Étude : Science politique Prédéfini ou Inventé : Inventé
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
C’était étrange comme je ressemblais à Zinaïda. Elle m’avait prêté la douceur de ses cheveux ébènes, la grâce de son visage angélique et la force de ses yeux gris. « Père » disait qu’il y avait pourtant quelque chose de dur dans nos regards qui semblaient fixer des horizons inconnus. Il y avait quelque chose de terrible dans nos lèvres plissées avec ironie. Il y avait quelque chose de frappant dans cette extrême beauté qui se dégageait du visage d'un gamin de dix neuf ans. Elle avait la peau plus tannée que moi, elle avait la peau d’une ouvrière et j’avais le teint d’un prince qui n’avait jamais vu le soleil. Je tenais ça de mon père, du vrai, enfin c’est ce qu’elle disait. Avec tout les hommes qui avaient un jour foulés le pas de sa porte, je doutais qu’elle sache elle-même qui il était vraiment. Mais je ne pouvais pas tout lui reprocher, elle m’avait appris beaucoup de choses. Notamment à choisir la coupe d’un habit, l’esthétique des tissus, l’harmonisation des couleurs. De toute façon ma garde robe ne se constituait que de bleu, de noir et de vert. Zinaïda avait omis de me transmettre le gêne de la futilité.
Caractère :
L’argent s’écoulait peut-être aussi sûrement de mes doigts que la misère épousait les vôtres mais je n’étais pas un lord. J’étais un miséreux dans le cœur et l’âme. « Père » m’avait pourtant enseigné l’art du paraitre mais je restais toujours le gamin aux poches trouées amoureux d’une bohémienne. Pourtant…Pourtant je valsais avec le protocole avec une aisance inouïe. J’étais né pour être un autre, pour atteindre les étoiles et me nicher au creux de la voute céleste. Zinaïda me trouvait capricieux et tout aussi insupportable que l’élite de la jeunesse dorée – dont à présent je faisais parti. La vérité c’était simplement que je lui ressemblais de plus en plus et que ce mimétisme l’effrayait. Nous étions un. Ma violence était la sienne. Elle disait souvent qu’un baiser avec le poing était mieux que rien du tout et j’appliquais ce principe avec assiduité. Mes passages à tabac, c’était sa faute. Si je frappais, si je défigurais les badauds, c’était à cause d’elle. Je me battais sans grâce, sans élégance, le dos courbé, les coups traitres, j’attaquais à la russe. La seule chose qu’on ne pouvait pas me reprocher c’était que je n’avais pas oublié dans quelle crasse j’avais grandis. Moi je l’aimais la saleté des rues et j’avais plus d’amour pour les ivrognes aux nez rougis que pour les yeux éteints des bourgeois. Et malgré tout les efforts de « Père », j’étais Dragomir Terentsi –plus cher que le monde entier- et je ne serais jamais vraiment Dray. Je n’étais pas qu’un sauvage, ne vous méprenez pas, je savais aimer, je savais adorer. Je faisais l’amour comme je faisais la guerre : avec passion et sans retenue. Je savais être doux quand le temps l’imposait, je savais séduire mes pucelles avec plus de chaleur que n’importe quel loup. Je devrais sans doute remercier ma douce maman, c’était à elle que je devais cet apprentissage cruel des rouages du cœur et c’était grâce à elle si chaque soir ma couche était pleine de nymphes prêtes à s’offrir sans pudeur aucune. Merci maman.
J’étais un amateur d’art. Je m’extasiais devant la beauté mais encore plus devant la laideur piquante des œuvres. J’écoutais Wagner plus que les Rolling Stones. J’aimais les vieilles choses, les débris à reconstruire. Et sans prétention aucune, je peux l’admettre j’étais foutrement doué de mes mains. Je savais façonner l’exquis, évincer l’horreur et créer le stupéfiant. L’argile et la roche étaient rapidement devenues mes armes favorites. Les mains dans la terre, le froid de la pierre, je me sentais comme à la maison.
Histoire :
«I feel the magic all around you It's bringing me to my knees Like a wannabe I've got to be chained to you I feel the magic building around you»
Zinaïda, comment pourrais-je commencer une histoire sans que ton nom n’effleure ma langue ? Tu étais le ventre, les hanches, les mains de tous les fantasmes des adolescents de Sibaï. Tu étais et tu restes la plus belle créature sur laquelle mes yeux se sont posés. Je te sacralise encore du haut des tours d’argent qui traversent le ciel, pourtant… Pourtant tu n’avais rien d’une sainte. Tu étais ma Marie Madeleine et j’avais arrêté de compter bien assez tôt toutes les mains qui étaient passés entres tes cuisses. Tu étais une fille de la rue, une sauvage, une amazone sans grâce dont la fureur électrisait les hommes. Tu avais un goût douteux, des dizaines de breloques sans valeur s’accrochaient à tes chevilles et à tes poignets mais tu les chérissais comme la prunelle de tes yeux. Plus fort que moi. Toujours plus fort que moi. Je n’étais qu’un fardeau qui avait creusé un peu plus les rides sur ton visage. J’étais mal élevé, je me plaisais à voler dans les marchés, à jouer les mendiants devant les écoles, les misérables orphelins sur les bords des trottoirs. Tout ça pour toi, je voulais que tu cries, que tu me frappes, que tu me voies. Mais tu t’en foutais bien de ce que je pouvais faire quand je ne te suivais pas comme un chien en mal d’amour. J’étais le seul qu’il t’était interdit de séduire alors je ne t’intéressais pas, pire je t’ennuyais. Je n’ai jamais cessé de t’aimer alors qu’il aurait été si facile de te haïr, mais crois moi je t’ai maudis toi et tout les hommes qui ont franchis le pas de ta chambre. Tu savais être sourde et aveugle quand à l’orée d’un bar ces bâtards sans cœur se vantaient de leurs exploits puis riaient de toi d’une manière qui me déchirait encore un peu plus le cœur, parce que moi je ne savais pas faire semblant aussi bien que toi.
Tu as toujours refusé que je t’appelle Maman du moins jusqu’à mes huit ans. Jusqu’à son arrivée à lui, celle de l’homme, de l’anglais. Tu me frappais même avec tes vieux magazines quand j’osais t’appeler Zinaïda par mégarde. Tu l’aimais, ce n’était pas comme avec les autres, lui c’était le bon, tu me l’avais dis. Quand il t’appelait, tu gloussais comme une gamine et tes joues arboraient une jolie teinte rosée, tu ne m’avais jamais paru aussi belle. Tu avais arrêté de jurer comme une catin et tes breloques avaient foutu le camp. Tu devenais respectable. L’homme voulait un fils plus qu’une femme, et toi tu voulais la grande vie plus que moi. C’était l’union parfaite.
Pendant une longue année, il avait entrepris de me transformer en parfait héritier. Il avait commencé par m’enlever mon nom : Dragomir devenait Dray. L’homme s’obligeait pendant des heures à m’apprendre la bienséance et l’hypocrisie bourgeoise qui semblait tellement de mise dans son monde. Les premiers mois, je passais mon temps à m’enfuir et il ne disait rien. Il se contentait de frotter ses doigts sur mes joues sales et il repartait les yeux mouillés. Comme si l’idée que je puisse ne pas revenir le touchait. C’est à ce moment là que l’homme est devenu papa, c’est à ce moment là que j’ai compris que je comptais plus pour un étranger que pour toi, douce maman.
A mes dix ans, j’arrivais à Londres. Tu adorais la ville, les sons bruyants des voitures et les galas où tu pouvais te pavaner. Mais on était loin de Sibaï, ici, les femmes te regardaient avec mépris et t’appelaient « la putain du lord ». Je te voyais rentrer tremblante, les joues rougies, les yeux mouillés mais tu ne disais rien. Tu te contenais de serrer entre tes bras tes vieilles robes de gourgandine et la douleur s’envolait. Je m’intégrais plus facilement que toi, ma gueule d’ange illuminait les festivités et faisait rougir les Ladys friandes de chair fraiche. Je devenais un redoutable séducteur et même toi ma douce je commençais à te troubler. J’avais l’âme torturé d’un artiste et rapidement l’écriture prit une place imminente dans notre vie. Le moindre de tes soupirs devenait sujet à une nouvelle page noircie, tu étais une muse envahissante. A seize ans, mon premier roman fut édité sous le joli nom de « La pute de Sibaï ». Ta colère éclaboussa le manoir tout entier le jour de la parution du livre. J’avais osé raconter ton histoire, tes maux et ça tu ne me le pardonnais pas. Mais, mon ange, tu ne faisais pas le poids face à la gloire. J’étais adulé par les journaux et des hordes de littéraires me suçaient jusqu'à l’os.
J’avais Londres à mes pieds et bien plus. J’étais entouré par la drogue et les corps faciles mais après quelques mois d’orgies incessantes le plaisir n’était plus là. J’aimais le sexe mais je préférais l’écrire que d’être coincé dans l’étroitesse d’une femme. Et puis tu étais toujours vicieusement accroché à mes pensées, tu me pourrissais mon désir, mais je t’aimais toujours.
« I tell my love to wreck it all Cut out all the ropes and let me fall My, my, my, my, my, my, my, my Right in the moment this order's tall »
Tu m’avais toujours dis que le bonheur n’était pas fait pour les gens comme nous, on souillait tout ce qui aurait pu être beau. Ainsi d’après toi, la terre de Sibaï entraverait toujours nos mains et elle nous laisserait comme des pantins malhabiles en société. La seule chose qui entravait mon destin c’était toi. Zinaïda, tu étais comme un Léviathan crevant d’envie, prête à piétiner tout mes rêves. Si tu étais malheureuse je devais l’être avec toi, après tout j’étais ton fils. C’est peut-être pour ça que tu ne comprendras jamais pourquoi je pars. Ne crie pas, tu as raison je ne pars pas, je te quitte. J’abandonne lâchement le sein nourricier, j’abandonne mon unique amour parce que je suis un salaud sans éducation qui a ruiné ta vie de femme. Ton monde s’écroule, le souffle te manque, je le sais tout ça. Je la connais cette douleur et ce savoir c’est à toi que je le dois. N’y vois aucune haine, aucune rancœur. Je t’aime encore. Si tu avais été une mère plus douce, si tu avais su soigner mes blessures et mon âme à la dérive, je t’aurais méprisé. Mais ça ne change rien, je m’en vais. Je ne partirai pas longtemps. Juste assez pour te manquer, juste assez pour que tu m’aimes.
« Mama, ooh Didn't mean to make you cry If I'm not back again this time tomorrow Carry on, carry on as if nothing really matters »
Tu m’accompagneras à la gare et quand tu auras le dos tourné, je laisserai échapper un dernier « je t’aime » que tu n’entendras jamais. Une dernière lâcheté. Je vivrai le rêve américain loin de la maison, j’écrirai jusqu’à ce que mes doigts traitres me lâchent et je penserai à toi un peu. Je te raconterai l’université, la nourriture sale. Je te raconterai ma réussite face à ta déchéance. Je te raconterai les filles de passage, les professeurs fous. Je te dirai combien ma vie est belle loin de toi pour te faire un peu mal. J’écrirai un nouveau livre qui ne parlera pas de ta vie de putain, il parlera d’une autre femme ; d’un autre monde. Mais tu me verras un jour à la télévision, tu verras les yeux vides, tu verras les épaules lourdes et la bouche qui tait ce que je n’ai jamais su te dire.
Signe(s) particulier(s) :
Dragomir a une cicatrice qui part de son oreille et descend jusqu'à la naissance de son cou. Il en a hérité après une dispute avec Zinaïda.
Orientation Sexuelle :
Sa sexualité est encore un peu floue.
Citation favorite :
« fuck off »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : . Âge : dix neuf ans Comment as-tu connu ce forum ? : sur PRD il me semble. Ton avis (design, contexte, ...) : Très agréable Présence sur le forum : 4/7 Autre(s) compte(s) : non Exemple de RP :
Spoiler:
Lazlo regardait distraitement par la fenêtre depuis le lit de Lux dont les ressorts lui broyaient les reins, la lumière du dehors était très faible, c’était un soir sans lune, elle se surprit à penser au manoir, il lui manquait. La nostalgie tambourinait une fois de plus à sa porte et elle lui ouvrait grand. Il y avait des jours meilleurs parfois mais ces temps-ci elle ressassait le passé comme s’il pouvait se remodeler rien que pour elle… du sur mesure… Elle allait se lever pour rejoindre son amie dans la salle de bain, lorsqu’un bruit à la fenêtre la fit sursauter. La brune se retourna et vit avec surprise le hibou grand duc de Lust qui la regardait visiblement fatigué, les plumes complètement retournées. Curieuse, elle ouvrit la fenêtre et aperçut un bout de parchemin soigneusement roulé et entouré d’un ruban noir aux pieds de l’oiseau. Il voltigeait dans le dortoir avec aisance comme si il le connaissait par cœur. Elle l’observait avec attention, elle avait envie de savoir quelle jeune fille naïve s’était laissé séduire par le loup. Le hibou, dans un dernier brassement d’ailes, se posa sur le lit de son amie. Lazlo sentit son cœur remonter dans sa gorge, des sueurs froides naître sur ses tempes. Il devait y avoir une erreur, ça ne pouvait pas lui être destiné, non pas à elle. De ses mains tremblantes, elle essaya d’attraper le parchemin mais le bec de l’animal s’enfonça profondément dans sa chair à plusieurs reprises. La lufkin glissa alors sa main dans le fond de sa poche et récupéra un écrin doré où se cachaient des pastilles à la cannelle. Elle en renversa la totalité sur le lit pour amadouer la bête avant de se saisir de la missive. Ce putain d’oiseau était aussi corrompu que son maitre. Lentement, précautionneusement, elle décacheta la missive et la lut. Ses mots la meurtrirent plus qu’elle ne l’aurait imaginé. On lui avait harponné le cœur et il remontait dangereusement jusqu’à ses lèvres. Lust et Lux.
Elle lui en voulait jusqu’au plus profond de son être. Elle avait pensé à le tuer, immédiatement, sans autre forme de procès, comme elle écrasait les insectes sous sa botte, dans un petit craquement. Elle avait pensé à débarrasser le monde de sa présence superflue avec un « Avada kedavra» bien senti, et elle s’était mise à bouillir, intérieurement. Lazlo avait senti les flots de haine monter en elle. Elle le détestait comme jamais elle n’avait détesté avant. Des flots de bile dans la bouche et la rage au ventre. C’était comme si la folie s’était emparé de son corps frêle pour en faire une machine de guerre. Lust pouvait avoir toutes les filles qu’il voulait. Elles étaient là devant sa chambre offertes ou au détour d’un couloir les cuisses ouvertes, la langue pendante. Mais non, il avait fallut qu’il porte son choix sur la seule personne qu’elle aimait sincèrement. Sa meilleure amie, son ange. Pourtant, elle pensait naïvement que c’était bien le seul homme qu’il ne la blesserait jamais. Même à Poudlard quand elle voulait toucher les sommets et tout dégager autour d’elle. Même Lux elle l’aurait dégagé à l'époque, malgré son obsession ou plutôt à cause d'elle. Pour qu'on la voie, elle l'aurait écrasé. Pour qu'on s'intéresse à elle, elle l’aurait blessé...Elle était comme une stupide adolescente incapable de faire les choses logiquement. Maladroite dans ses sentiments. Maladroite dans sa façon de faire. Même là, il était à ses côté, prêt à l’aider.
Lazlo relut sa lettre attentivement, à la lueur des bougies, puis la déchira consciencieusement en petits morceaux égaux, qui allèrent retrouver ceux qui jonchaient déjà le sol de son repaire sous les toits. Elle se leva et retourna à la fenêtre, pour la vingtième fois de la nuit. Le hibou était toujours là, immobile, attendant patiemment la réponse. Les premiers heures Lazlo avait cru qu’il se lasserait, qu’il partirait retrouver son légitime propriétaire, la privant ainsi de tout moyen de répondre. Mais non, malgré les heures, le vent violent, malgré le froid et peut-être la faim, le hibou était toujours là. Et il n’avait toujours pas de réponse. Le jour se levait. Le ciel obscur commençait à se marbrer de rose et elle entrapercevait l’agitation des arbres, au loin. Elle commençait à douter, peut-être qu’elle n’aurait pas du prendre ce qui n’était pas elle et pousser le vice jusqu’à répondre au parchemin… Car elle l’avait su des l’instant où elle avait vu le papier, elle avait su qu’elle allait lui répondre. Et Lazlo était terrifiée par l’idée. Terrifiée et – sans savoir pourquoi – excitée mais d’une étrange façon...
Elle marmonna un juron et récupéra les morceaux de son dernier parchemin. Elle les recolla d’un « reparo », et noua précautionneusement un ruban vert autour du papier. Elle entrouvrit la petite fenêtre, et, dans un grand courant d’air, accueillit le hibou sur son bras, qui la griffa jusqu’au sang.
« Retourne chez ton Maître, sale bête,siffla t-elle en accrochant le parchemin à la patte de l’animal.Et que je ne te revois pas».
Le hibou s’envola. Lazlo referma la fenêtre et alla jeter au feu les morceaux épars des lettres précédentes, qui s’enflammèrent en un instant. Le rendez-vous était fixé.
Sa montre avançait toujours avec la régularité qui lui était propre. La lufkin la détestait parce que le gouffre qu'il y avait entre ses rêves et la réalité se creusait au même rythme que les secondes qui passaient. La brume entourait l’étang comme pour le protéger, le cacher, elle sentait le vent froid lui glacer les os, comme si Merlin lui crachait au visage pour la punir de ses transgressions quotidiennes.
Il était là.
Sa silhouette découpée dans la nuit. Elle ne voyait pas son visage mais elle savait que c’était lui qui s’avançait comme si la brise le lui avait susurré à l’oreille. Ses tripes se vrillèrent, elles menacèrent de se répandre. Cette apparition était violente, elle claquait dans l’air comme un fouet sur ses reins et Lazlo réprimait l’envie d’enfoncer ses doigts plus loin dans sa chair.
« Lazlo ? »
Elle commença à frémir de cette glace qui doucement investissait son corps, elle courrait dans son sang qui se figeait sur son passage pour se répandre jusque sous ses ongles. Et la chaleur de sa glorieuse essence de vie se mêlait lentement à ce frauduleux nivôse.
« Tu devrais rentrer, tu vas tomber malade. »
Un sourire désabusé éclaira brièvement son visage. Il voulait qu’elle parte, que l’autre vienne.
« Elle ne viendra pas… Pas ce soir, ce soir c’est toi et moi. »
Elle aurait voulu dire « toi contre moi » mais les mots étaient restés bloquer dans sa gorge. Elle espérait qu’il avait en bien profité, de son amie, car il fallait qu’il paye cher cette erreur. Très cher.
« Comment as-tu osé ne serait-ce que l’approcher ? »
Elle sentait sa baguette lui brûlait la cuisse, mais elle était incapable de l’attraper alors ce fut ses poings qui tombèrent comme une avalanche sur le torse du Grymm. Elle y mettait toute sa colère, sa rancœur et sa détresse..
Code du règlement :
Spoiler:
OK by Toffee.
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Dray Strovan le Jeu 7 Jan - 3:19, édité 10 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Mer 6 Jan - 23:06
Bienvenue ^^
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Mer 6 Jan - 23:28
Bienvenue ! Ton histoire est magnifiquement bien écrite
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 0:26
Merci beaucoup (l)
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 0:33
Hello et bienvenue ~
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 0:38
dis donc, c'est super bien ce que t'écrit ! sans déconner, tu gères
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 0:55
Bienvenue à toi.
Han, le connais pas. *-* Mais l'est adorable. Je valide le code du règlement qui est correct, bonne continuation pour ta fiche !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 1:00
Je ne connais pas, mais quel joli avatar Bienvenue parmi nous && Bonne continuation!
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 2:02
Merci, c'est adorable. Je pense avoir terminé (a)
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 3:52
bienvenue j'adore ton vava <3 amuse toi bien
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 4:10
Oh. Ouaw.
Bon bah... Réserves-moi un lien, hein
Ha oui, et bienvenue (: !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 6:56
Welcome
J'veux un lien aussi
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 14:54
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Jeu 7 Jan - 15:06
Merci (a) Je vous réserve un lien
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé Ven 8 Jan - 9:52
Bienvenue ^^ Validé N'oublie pas de voter pour NYCL sur les top sites (:
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Sujet: Re: you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé
you might as well try to fuck me. STROVAN. terminé
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