Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished]
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Empire State of Mind
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Sujet: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished] Ven 8 Jan - 22:14
« Kristian Ängström » Feat. Allan Hyde
Âge : 19 ans Date & Lieu de naissance : Götegorg, Suède Groupe : Studieux UFR : UFR 4 Étude : Mathématiques Prédéfini ou Inventé : Inventé
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
« L’habit ne fait pas le moine. » Démarche dégingandée, allure d’errant, il faut avouer que Kristian n’attire pas une foule de personnes à ses pieds. Tant mieux pour lui car les relations humaines ne sont pas sa tasse de thé. Son accoutrement peut être qualifié de « normal ». Il ne prend pas une attention particulière pour soigner son style vestimentaire. Il préfère de loin attraper le premier pull et jean qui lui tombent sous la main et d’enfiler ses vieille baskets grises. Il lui arrive, mais très rarement, d’enfiler une chemise qu’il néglige de boutonner jusqu’à son cou.
« L’apparence n’est rien ; c’est au fond du cœur qu’est la plaie. » La beauté extérieure, le jeune suédois en possède une partie mais on ne pourrait le qualifier d’ « aimant à filles ». Ses cheveux blonds foncés et courts n’ont rien d’extraordinaire et la couleur bleu roi de ses yeux est à peine perceptible. Tout le monde croit que ses prunelles sont marron car personne ne l’a jamais vraiment approché de très près. Son teint relativement pâle est caractéristique des habitants du nord. Kristian a une taille moyenne et un poids dans les normes. Toutefois, sa musculature développée serait un excellent atout pour faire converger tous les regards sur lui. Malheureusement, pas une parcelle de son corps n’est visible.
Caractère :
« Le caractère, c’est-à-dire la passion d’être soi, à tout prix. » Calme, le seul adjectif qui qualifie au mieux Kristian. La passivité, un mot qui lui sied à merveille. Le Suédois prend la vie telle qu’elle veut bien se présenter à lui. Il ne se met jamais en colère et il n’exprime pas souvent son opinion publiquement. Il pourrait se faire passer pour un timide maladif, ce qui serait du fourvoiement le plus total. Kristian économise simplement ses mots. Il observe, écoute et analyse intérieurement tout ce qui l’entour, y compris les conversations auxquelles il prend part ou pas. Le son de sa voix ne se fait pas entendre facilement mais une fois quelques mots échappés, il devient un véritable plaisir de l’entendre parler. Toutefois, il est difficile d’approcher le jeune homme car son être ne dégage aucun charisme. Il est simplement là, sans plus.
« La vrai caractère perce toujours dans les grandes circonstances. » Puis ce jour dramatique arriva. Quelque chose s’est alors réveillé en Kristian et son caractère commença à se glacer. Il ne faut surtout pas croire qu’il soit soudainement devenu bavard, bien au contraire. Il s’est enfoncé plus profondément dans le mutisme le plus total. Son regard exprime une infinie tristesse sans que personne ne comprenne pourquoi cet air est affiché sur son visage pâle. La colère le submergea une seule et unique fois, ce jour-là, et il commit la plus grosse erreur de sa vie. Kristian avait alors eu la sensation de se réveiller d’un long sommeil et pour la toute première fois de sa vie, il avait exprimé ce qu’il ressentait. Cela se produisit une seule fois mais son caractère restera à jamais changé. Plus froid, plus distant, plus perdu, seul à mourir…
« L’idéal de l’amitié, c’est de se sentir un et de rester deux. » Le jeune suédois n’a aucun ami. Il avait bien une amie, sa meilleure amie, sa sœur jumelle mais depuis sa perte, il n’arrive plus à se lier d’amitié pour qui que ce soit. Il craint de souffrir le martyr en vivant une nouvelle fois les évènements qui ont brisé sa vie. Il avait trouvé la perle rare et à présent, il ne croit plus en sa chance de retrouver un pareil présent.
« On a toujours les défauts de ses qualités, rarement les qualités de ses défauts. » Qualités : intelligent, analyste, discret, calme, doux, gentil, serviable, généreux. Défauts : renfermé, froid, asocial, passif, craintif.
Signe(s) particulier(s) :
Kristian possède plusieurs tatouages. Le premier se trouve sous son cou et il représente une sorte de collier à dents pointues. Un bracelet décore son bras droit et son bras gauche est orné de plusieurs rangées de zigzag. Finalement, sur son dos est tatoué une sorte de poisson allongé à bec d’oiseau.
Orientation Sexuelle :
Kristian est bisexuel.
Citation favorite :
« L’enfer, c’est cette vie quand nous ne l’aimons plus. Une vie sans amour est une vie abandonnée, bien plus abandonnée qu’un mort. »
Histoire :
Spoiler:
Kristian vit le jour dans une ville plus ou moins importante de Suède, Göteborg, située au bord de la mer du Nord. Sa mère, Solveig, mit au monde des jumeaux, Kristian, l’aîné et Emelie. Ce fut une véritable surprise pour les parents mais leur joie n’en fut pas moindre.
Les jumeaux grandirent ensemble dans la grande villa familiale. Ils fréquentèrent les mêmes écoles et les mêmes salles de classe. Kristian et Emelie étaient inséparables et tous deux avaient un cercle d’amis très restreint. Plus ils grandissaient et plus le lien qui les unissait se renforçait. Ils avaient tous deux de grands projets : devenir mathématiciens et découvrir de nouvelles théories et de nouvelles formules. Les enfants Ängström étaient les héros intellectuels de Göteborg.
« Kristian, j’ai peur. »
Un éclair zébra le ciel et Emelie se crispa au milieu de la chambre de son frère. Kristian se leva d’un bond et prit sa sœur dans ses bras pour la réconforter. Il savait qu’elle avait une peur bleue du tonnerre et des orages, même à dix-sept ans. Elle venait trouver son frère uniquement après avoir résisté longtemps à la tentation de se plaindre auprès de lui.
« Tu aurais pu venir plus tôt, tu sais. »
Emelie hocha la tête mais ne prononça pas une parole. Kristian l’entraîna dans son lit et il les recouvrit de son duvet. Depuis quelques temps, la jeune fille adoptait un comportement très étrange et il se demandait ce qui se passait. Il glissa sa main dans les longs cheveux blonds clairs de sa sœur, sachant que ce geste la réconfortait.
« Si tu avais un problème, tu me le dirais, n’est-ce pas ? »
Les grands yeux bleus d’Emelie se posèrent sur Kristian. Elle resta quelques secondes immobile puis approuva du chef. A moitié rassuré, le jeune suédois ferma les yeux et il se laissa bercer par les gouttes de pluie qui s’écrasaient violement contre les carreaux de sa fenêtre. Sa jumelle ne tarda pas à sombrer, elle aussi, dans un sommeil profond.
Quelques semaines plus tôt : « Emelie ! »
« Laisse-moi tranquille Erik ! J’en ai marre de tes avances, tu sais bien que je ne veux pas de toi. »
Enervé, le dénommé Erik attrapa le bras de sa collège de classe. Il la retourna violemment vers lui. Surprise, Emelie lâcha ses livres de mathématiques au sol.
« Tu me fais mal ! Lâche-moi ! »
Le jeune homme approcha son visage tout près de l’oreille de la fille et il susurra quelques paroles d’un ton mielleux et suave.
« Tu sais bien que j’obtiens tout ce que je veux. Tu as intérêt à me suivre, sinon, je te saigne comme un porc. »
Il avait discrètement sortit un couteau à cran d’arrêt de sa poche. La lame émit un « clic » lorsqu’elle sortit. Emelie se figea d’horreur et de peur. La pointe de la lame était appuyée contre son dos et elle n’eut d’autre choix que de suivre son agresseur. Il la conduisit dans la forêt qui menait à la plage. Une fois qu’ils furent invisibles aux yeux de toute présence humaine, Erik fit glisser la lame de son couteau sur la gorge de la jeune fille. Il la plaqua contre le tronc d’un sapin et déboutonna son chemisier sans ménagement.
« Au secours ! »
Un coup dans ses côtes la fit brutalement taire. Le souffle coupé, elle était pliée sous la douleur alors que son pire cauchemar se matérialisait devant elle.
« Un seul cri et je te tue, c’est compris ? »
Emelie était en larmes et avait fermé les yeux, prête à subir tous les sévices dont Erik serait capable de lui faire subir. Elle se rappela seulement la grande douleur qui avait déchiré son bas-ventre et le sang qui avait coulé sur ses cuisses. Elle ignorait combien de temps elle resta allongée près du sapin mais la nuit était tombée depuis longtemps lorsqu’elle se reprit. La demoiselle se releva et nettoya ses jambes à l’aide d’un mouchoir qui traînait dans la poche de son pantalon. Elle se rhabilla en vitesse car elle avait froid et elle prit ses jambes à son cou, craignant que son tortionnaire revienne. Ses livres se trouvaient toujours sur le chemin qu’elle empruntait tous les jours pour rentrer. La jeune fille les ramassa et courut jusque chez elle. Ses parents, inquiets, lui demandèrent où elle était passée et Kristian l’observait avec un air étrange. Emelie s’excusa et leur mentit en leur disant qu’elle avait travaillé à la bibliothèque pour un exposé. Elle promit de les avertir la prochaine fois qu’elle rentrerait plus tard. Elle alla se coucher après avoir adressé un sourire rassurant à son frère.
Le temps passa et le jour de la rentrée universitaire arriva bientôt. Kristian et Emelie furent immédiatement admis grâce à leurs excellentes notes. Le travail se corsait mais les jumeaux s’accrochaient à leurs cours de toutes leurs forces : leurs projets étaient toujours présents dans un coin de leur esprit et c’était ce qui les motivait. Malheureusement, Emelie subissait toujours les viols répétés d’Erik. Aux yeux de Kristian, elle était animée d’une joie de vivre qu’il ne lui connaissait pas. Le scepticisme grandissait en lui et il hésitait à lui demander pourquoi elle était si heureuse. Lorsqu’il osa aborder la question avec elle, Emelie éclata de rire et lui répondit qu’elle était simplement contente d’accomplir le début de leur rêve. Rassuré, Kristian lui affirma qu’il ressentait la même chose.
Trois mois plus tard : « Mince, j’ai oublié ma calculatrice scientifique dans la chambre d’Emelie. »
Kristian se leva, laissant tomber quelques feuilles gribouillées d’équations complexes. Il sortit de sa chambre et se rendit dans celle de sa sœur. Le spectacle qu’il vit en entrant le pétrifia.
« Emelie ! »
Sa sœur gisait sur son lit, les veines de ses avant-bras béantes, le sang souillant les draps de son lit et la moquette. Ses prunelles bleues étaient vitreuses et ses lèvres blanches. Kristian se rua sur son lit et la secoua. Il ne se rendait même pas compte que ses joues étaient sillonnées de larmes. Il posa son oreille contre la poitrine de sa jumelle et constata que son cœur ne battait plus. Certainement depuis quelques heures. Alors il hurla comme un fou la douleur qui l’étouffait. Il serrait le corps froid de sa sœur contre sa poitrine, tachant ses vêtements et son corps du sang de la défunte. Il finit par se coucher près d’elle et il sombra dans un sommeil empli d’horribles cauchemars. Ses parents les trouvèrent ainsi et ils appelèrent immédiatement les urgences.
« Kristian, Emelie ! »
Kristian fut le seul qui ouvrit les yeux. Ses larmes aussi étaient sorties du sommeil et elles se remirent à couler abondamment sur ses joues.
« Je… Je l’ai trouvée ainsi… Les veines ouvertes… Pourquoi ? »
Ses parents le prirent dans leurs bras et le tentèrent de le séparer du corps de sa sœur jumelle.
« Non ! Je veux rester près d’elle ! »
Après une crise qui dura plus d’une heure, les urgentistes évacuèrent enfin le corps de la défunte jeune adulte. Kristian resta prostré sur le lit, baignant dans le sang d’Emelie. Ses parents ne purent nettoyer les dégâts seulement après les obsèques, trois jours plus tard. Kristian avait accepté de quitter la chambre de la jeune fille uniquement pour lui rendre un dernier hommage et la voir une ultime fois. Son teint blafard était effrayant : il semblait lui aussi être mort. Il était certain qu’une partie de son âme était partie avec Emelie.
Quelques semaines plus tard : « Je trouverai pourquoi tu as agi ainsi, Emelie. Mais je t’en prie, donne-moi un indice ! »
Comme pour répondre à sa demande, un bruit mou se fit entendre près de la bibliothèque de la défunte étudiante. Il fronça les sourcils et alla ramasser le livre qui venait de tomber. Il s’agissait du journal intime d’Emelie. Il hésita longuement avant de se décider à l’ouvrir. Son cœur se serra en reconnaissant sa fine écriture soignée. Les larmes lui montèrent aux yeux mais il les retint vaillamment. Il feuilleta le livre jusqu’à arriver aux dates précédents son suicide. Il se plongea alors dans une lecture des plus horrible et surnaturelle. Il n’arrivait tout simplement pas à croire les mots qui défilaient devant lui.
Kristian comprit que sa sœur subissait des sévices sexuels à intervalles réguliers et ce, depuis des mois. Elle avait même inscrit le nom de son violeur. Le jeune homme le connaissait très bien puisqu’il avait été en classe avec eux pendant des années. Erik avait toujours montré un intérêt poussé pour Emelie mais jamais il n’aurait pensé qu’il lui ferait subir de pareilles horreurs ! Il ferma le journal intime d’un mouvement sec et sortit de la chambre à présent inoccupée.
Cinq heures plus tard : Kristian se posta devant la maison d’Erik, quatre bidons d’essence autour de lui et un briquet dans sa poche. Il avait patiemment attendu que les parents du violeur de sa sœur soient sortis pour enfin agir. Alors il s’empara du premier bidon et s’avança vers la villa. Il versa le contenu de l’essence autour de l’habitation et il répéta l’opération jusqu’à ce que les bidons soient vides. Puis il sortit le briquet de sa poche et l’alluma. Il leva les yeux au ciel un court instant avant de laisser tomber l’arme du futur crime en plein dans une flaque de liquide inflammable. Le feu apparut immédiatement et entoura rapidement la maison d’Erik. Kristian savait qu’il se rendrait compte trop tard de ce qui se passait car il entendait de la musique filtrait de sa fenêtre donnant sur sa chambre.
Le pyromane s’éloigna rapidement de l’incendie et alla se cacher derrière une haie située un peu plus loin. La maison se consumait lentement et bientôt, les flammes atteignirent l’étage supérieur. D’effroyables hurlements se firent entendre et bientôt, Erik apparut à la fenêtre de sa chambre. Le feu était derrière lui et le violeur n’osa pas sauter pour sauver sa vie. Lorsque les flammes l’atteignirent, il cria à s’en briser la gorge. Les voisins avaient déjà alerté les pompiers qui arrivèrent trop tard. Ils évacuèrent le corps d’Erik mais ce dernier était déjà carbonisé. Un étrange sourire se dessina sur les lèvres de Kristian. Il se débarrassa rapidement des bidons vides et il rentra chez lui comme s’il revenait de chez sa grand-mère.
« Tu es vengée, Emelie. »
Deux mois plus tard : « Es-tu sûr de ton choix ? »
Sven, le père de Kristian, observait son unique fils charger la voiture familiale.
« Oui, je veux partir. Je vais continuer mes études à New York. J’ai besoin de m’éloigner de cette ville. »
« Tu pourrais étudier à Stockholm. »
« Maman, je veux partir loin d’ici ! »
Comprenant ce que leur fils devait ressentir depuis la perte de sa sœur, ses parents gardèrent le silence et l’aidèrent à mettre ses valises dans le coffre de la voiture. Le trajet jusqu’à l’aéroport prit quelques heures mais Kristian put enfin enregistrer ses bagages.
« Tu vas nous manquer… »
« Vous aussi… Je vous aime… »
Le jeune homme étreignit ses parents, sentant les larmes lui monter aux yeux. Une fois de plus, il les retint et il se dégagea de leurs bras rassurants. Après un dernier signe de la main, il embarqua. Le vol dura plus de six heures mais finalement, son avion atterrit à l’aéroport de New York. Malgré la lourde perte qu’il avait subie, il était content d’être enfin arrivé dans cette mégapole où sa vie allait continuer. Et surtout, il allait rendre fière sa sœur en poursuivant ses études. Il réalisera leur rêve en son honneur.
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Secret^^ Âge : 20 ans Comment as-tu connu ce forum ? : Je suis un ancien membre^^. Ton avis (design, contexte, ...) : Superbe, comme toujours, bravo Kim ! Présence sur le forum : Normalement, tous les jours mais seulement en fin de journée. Autre(s) compte(s) : Aucun Exemple de RP :
Spoiler:
Le calme, annonciateur de mauvaises nouvelles. Kilian, chef du clan Leatha, avait appris à détecter, au fil des années, les silences inhabituels du désert. Le sable ne lui parlait plus, comme s’il s’était soudain désintéressé de l’homme au teint brûlé par le soleil ardent. Les rares cheveux grisonnants qui ornaient son crâne- précurseurs d’une calvitie inévitable- luisaient de sueur. Une minuscule goutte d’eau salée coula sur la peau lisse de sa tête avant de s’infiltrer sous sa tunique immaculée. Un imperceptible frisson anima le corps du quadragénaire. Ses narines se plissèrent et ses sourcils se froncèrent. Ses prunelles aussi perçantes que les yeux d’un faucon scrutaient l’horizon depuis un certain temps. Isolé de ses congénères, Kilian pouvait laisser libre cours à son inquiétude mais également à son sens aigu de l’imagination.
« Parle-moi, Désert ! »
Le calme changea son visage. Les manches ainsi que le bas de son long vêtement ondulèrent sous une brusque bourrasque. Au loin, la limite entre le ciel et le désert se brouilla et disparut peu à peu, cédant la place à des volutes beiges. Elles tourbillonnèrent lentement sur elles-mêmes avant de prendre de l’ampleur. Elles se rapprochaient à grande vitesse de l’oasis qui abritait les hommes, les femmes et les enfants leathiens. Un petit sourire anima le visage sérieux de l’homme. Toutefois, sa joie furtive mourut bien vite. Il tourna les talons et descendit de son poste de guet- une dune surplombant une bonne partie d’Evándrasir- pour courir rejoindre son peuple.
« Tout le monde sous les tentes, immédiatement ! Une tempête de sable arrive ! »
Les Leathiens avaient l’habitude de ce genre de manifestation capricieuse du désert. Malheureusement, ce n’était jamais une partie de plaisir d’affronter la « colère du sable ». Il voilait le ciel bleu pour le recouvrir de poussière et empêcher la lumière bienfaitrice du soleil de les illuminer. Le peuple d’Evándrasir détestait plus que tout être témoin de cette scène pour le moins apocalyptique. Alors ils se réfugiaient sous leur tente et y restaient jusqu’à la fin de ce petit caprice de la nature.
« Declan, Shane, vous m’avez entendu ? Vous voulez que le vent vous emporte et vous fasse tournoyer dans les airs jusqu’à ce que mort s’en suive ? »
Deux pairs d’yeux s’écarquillèrent instantanément. La menace eut l’effet escompté. Les bambins se précipitèrent sous la demeure du chef de clan. Kilian attendit que le dernier des Leathiens soit en sécurité pour rejoindre sa famille bien-aimée sous la sécurité de l’épais morceau de tissu maintenu au sol grâce à un sort très astucieux du Nomade.
« Tout le monde va bien ? »
Les petits garçons hochèrent la tête, blottis chacun d’un côté de leur mère. Caelan souriait, comme à son habitude. Elle réussit à dégager un de ses bras pour faire signe à son compagnon de les rejoindre tous les trois. Ou les quatre. Effectivement, la jeune femme âgée de trente-cinq ans attendait un heureux évènement pour tout bientôt. Elle ne sortait guère plus car la chaleur étouffante lui causait de dangereux vertiges. Son ventre arrondi était en permanence surveillé par les trois hommes de la famille. D’ailleurs, le regard de Kilian rencontra cette partie du corps de sa femme. Un nouveau sourire étira ses lèvres sèches et un peu craquelées et il accéda à la requête silencieuse de Caelan.
La tempête de sable durait depuis quelques heures quand Caelan se réveilla en sursaut, ses longs cheveux noirs collés à son visage brûlants. Ses yeux étaient écarquillés comme si elle voyait un fantôme foncer droit sur elle. Autour d’elle, tout le monde dormait à l’exception de Kilian qui était assis en taille près de l’entrée de la tente. De temps en temps, la toile frôlait son visage et son torse nu. Il s’était débarrassé de sa tunique pour ne portait qu’un pagne. Dehors, le vent hurlait comme s’il désirait faire comprendre aux habitants du désert qu’il était mécontent. Cependant, ce vacarme ne semblait pas affecter Declan et Shane qui dormaient profondément.
Code du règlement :
Spoiler:
Ok BY LO' <3
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Kristian Ängström le Sam 9 Jan - 1:16, édité 8 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished] Ven 8 Jan - 22:19
Bienvenue ^^ Tu étais qui avant (a) ? J'édite le code qui est bon =) et pour les images du sweet about me c'est 100*100 des icons donc, tu en trouveras sur LJ ou fanpop
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished] Ven 8 Jan - 22:32
Merciii!
J'ai enfin triomphé: j'ai réussi à mettre ces îcones! Ca se voit que ça fait un bout de temps que je ne suis plus venu sur un forum :banned: ...
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished] Sam 9 Jan - 1:09
enfin un matheux, depuis le temps que j'en attend un. Je ne serais plus seul en URF4. Bienvenue sur le fofo. Et au passage, j'adore l'histoire et ton personnage
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished] Sam 9 Jan - 1:14
Super! Comme ça, on sera deux matheux! J'avais peur de me retrouver seul dans cet UFR^^. Merci pour l'accueil en tout cas! Et je suis content que mon histoire t'ai plue :clin: .
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished] Sam 9 Jan - 1:17
ben moi j'me suis retrouvé seul pendant des semaines mais on pourra s'entraider. J'ai déjà une idée de lien, on en reparlera lorsque tu sera validé. Et j'adore ton vava même si je ne connais pas l'acteur
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished] Sam 9 Jan - 1:19
J'ai d éjà une proposition de lien ?! J'ai déjà hâte d'être validé^^. Enfin... J'ai toujours été impatient d'être validé :p!
Allan Hyde est un acteur danois. Il n'est pas très connu mais il a joué Godric dans la série True Blood^^.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished] Sam 9 Jan - 1:23
ben attend, j'attend depuis tellement de temps de trouver quelqu'un de mon URF et puis t'a un caractère totalement différent de celui d'Aiden. J'pense que tu le sera vite ta fiche à l'air très bien
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished] Sam 9 Jan - 16:55
C'est quoi cet arrivage de gars choux là ... je proteste =_=
Bienvenue quand même ! <3
Invité
Empire State of Mind
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Sujet: Re: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished] Sam 9 Jan - 17:21
Bienvenue parmi nous ! L'histoire n'était pas obligée d'être en spoiler ^^ Bref je valide le code et te valide par la même occasion ! Bon jeu & pense à voter pour NYCL sur les topsites
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Sujet: Re: Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished]
Sometimes, life is strange... [Kristian Ängström] [Finished]
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