Âge : 19 ans. Date & Lieu de naissance : 3 Décembre à Édimbourg. Groupe : REBELS. UFR : UFR 1. Étude : Arts du Spectacle - Cinéma et Théâtre. Prédéfini ou Inventé : Inventé.
Sweet about me :
« MORE ABOUT MY PERFECTION »
Physique & Style :
Sa silhouette est mince et présente une apparence frêle qu'un coup de vent pourrait balayer sans peine. Pourtant son corps en réponse à sa passion pour le sport n'est pas dépourvu de muscle, ni de force et encore moins de formes. Pas très grande, de taille moyenne se plaît elle à dire ce qui ne l'a pas empêchée d'être mannequin. Une poitrine qui sans être vulgaire et énorme suffit bien à faire tourner les têtes. Un chose dont elle est fière : Chanel n'a jamais eu recourt à la chirurgie esthétique pour retoucher son corps. Elle est comme elle est, naturelle et se sent très bien dans sa peau sans rien avoir à changer.
De longs cheveux noir au naturel et un paire de prunelles assorties, d'un noir tirant sur le chocolat dans lesquelles on rêverai de s'abîmer, un corps contre lequel on rêve de se damner. Chanel Prince à tout pour plaire, elle est belle et ne s'en cache pas, en use et en abuse en toute impudence. Guère pudique, la belle aime s'habiller sexy et se mettre en valeur, mariant chic et choc, dans le but encore une fois d'aimanter les regards ce qu'elle réussit sans peine. Souvent en jogging, parfois habillée à la garçonne, parfois féminine et distinguée, parfois garce. Elle garde de son expérience dans le mannequinat un style et un goût vestimentaire très fashion et une passion pour le shopping. Au quotidien elle affectionne les couleurs flashy, réservant le noir aux soirées.
Caractère :
Nina Prince, 23 ans. (l'aînée)
« Chanel est une enfant gâtée, et capricieuse. Tout comme on peut s'y attendre au vu de l'environnement dans lequel elle a été élevée, elle Natalia et moi nous n'avons jamais pu manquer de quoi que se soit. C'est bien simple, on nous cédait touts nos moindres caprices. »
Natalia Prince, 18 ans. (la cadette) Certainement la seule personne qui peut se vanter de la connaître vraiment.
« Chanel ? Oh, je l'adore ! Avec elle au moins on peut s'amuser, pas comme cette pimbêche de Nina. Enfin, parfois elle est un peu bizarre dans ses réactions, et méfiante avec ceux qu'elle ne connaît pas ce qui complique relativement nos sorties en boîte. Disons qu'avec les hommes elle a la gifle facile... Mais d'un autre côté c'est une séductrice, elle a ce truc qui les envoute et les attire tout en restant distante. Elle aime garder le contrôle. Et elle dit à qui veut bien l'entendre qu'elle n'a jamais été amoureuse, de ce fait et par ses exploits avec les mecs, elle s'est faite une sacrée réputation de cœur de pierre dans les environs. Mais moi je sais que c'est faux, je suis la seule personne à qui elle en ait parlé... Ce con lui a fait ce qu'elle reproduit maintenant sur ses victimes. Et elle est très rancunière. »
Amy Prince, sa mère. Un regard maternel est toujours édifiant.
« Chanel c'est le mélange de la sévérité de Nina et de la candeur de Natalia. C'est fou ce que ces trois petites se complètent à merveille ! [...] C'est sûrement sur moi que retombe la responsabilité des facettes de son caractère les plus déplaisants, je l'ai trop gâtée je le sais bien. Mais, ses défauts font aussi son charme ! Elle est adorable n'est-ce pas ? »
# # # # #
Chanel Prince ne semble obéir à première vue à aucune des damnées lois de la logique en vigueur dans ce bas monde. Si on essaye un tant soit peu de la connaître, on s'aperçoit vite que la jeune femme aime l'argent et le pouvoir qu'il confère, le luxe et l'insouciance mais d'un autre côté il apparaît que étrangement, elle a développé une fibre généreuse et écolo' qui se révolte contre les privilèges offerts aux riches, sans que ceux-ci fassent le moindre effort autre celui de faire résonner leur compte en banque rempli à ras bord. A moins qu'il ne s'agisse d'un pur esprit de contradiction, sur cela les avis sont très partagés.
Chanel a un côté assez garçon manqué, elle affectionne au plus au point le sport qui lui confère d'ailleurs sa silhouette fine et enjôleuse, parfaite pour séduire et elle ne s'en prive guère. Sans jamais s'attacher elle n'a de cesse de glisser entre les hommes, baiser volés et passions éphémères sont les seuls traces qu'elle laisse de son passage. Ce petit jeu dit elle lui « change les idées ». Mais quand ça ne tourne pas rond, son réflexe favori se trouve sans concurrence dans les complexes sportifs.
Elle refuse, rejette et dénigre toute forme d'autorité, à commencer par celle qu'aime tout particulièrement exercer la gente masculine. Elle a depuis un certain moment compris que l'Amour et la dépendance qui en découle est une sorte d'autorité et depuis s'emploie activement à bannir ce sentiment de son quotidien.
Dans ses études élève douée, mais élève insolente passant plus de temps en colle qu'à étudier ce qui lui valu rapidement l'étiquette définitive de rebelle, prouesses scolaires plus tempérament de feu oblige. Chanel a toujours été populaire, et malgré qu'elle criait haut et fort avoir besoin d'indépendance, elle aime tout ces regards, ces compliments, ces sourires engageants, être au centre de l'attention lui plaît bien plus qu'elle ne se l'avoue. C'est pour elle un besoin aussi fort et vital qu'elle le nie.
Enfant gâtée, sale gosse et gosse de riche Chanel n'a pas un caractère facile. A le sarcasme et le caprice facile, quand elle veut quelque chose elle entend bien l'avoir, sous n'importe quelles conditions. Blessante pour se protéger quand elle se sent en danger c'est comme un réflexe, un instinct que de blesser, faire mal autant moralement que physiquement. Chanel est fragile, contre les apparences. Elle est faible mais trop fière pour l'admettre elle ne se laissera jamais, jamais aller en public. Les larmes, c'est un signe de faiblesse.
Elle est très rancunière et ne supporte pas être ignorée ou rejetée. Fort heureusement cela ne lui est arrivée qu'une seule fois, cependant ce fut la fois de trop. Depuis elle hais autant qu'elle regrette et chérie ce souvenir dont elle n'a pu jusqu'à maintenant se débarrasser. Cet homme si elle le revoyait, la jeune femme n'a pas la moindre idée de ce qu'elle ferait. Sans doute un poing dans la figure puis un baiser...
Histoire :
-Chapitre I-
Banalités et Généralités ;
Chanel Audrey Prince naquit un froid jour de Décembre, en Écosse. Deuxième enfant de Amy et Dylan Prince, jeune couple fortuné mariés depuis cinq ans, leur union ayant déjà vue naître la fille aînée des Prince, Nina alors âgée de tout juste quatre ans. A peine un an plus tard après la naissance de Chanel arriva la petite dernière, Natalia Prince. Chanel eue donc une enfance plus que douillette, et heureuse, grandissant au milieu de ses deux soeurs et de parents on ne peux plus gentils et affectueux dans le domaine familial faisant office de mini château moderne dans la joyeuse campagne Écossaise, non loin de sa capitale Édimbourg.
-Chapitre II-
Premier Amour ;
"Ce soir, il faisait vraiment très froid. Pourtant j'étais venue, renonçant au confort de ma couette pour la chaude promesse éphémère de ton corps. Régulièrement, un petit nuage vaporeux se dessinait devant ma bouche. Repliée sur moi même, les bras croisés sur ma maigre poitrine je piétinais avec application l'herbe gelée, tournant en rond, dans une pauvre tentative de réchauffer mes orteils, transis malgré ma double épaisseur de chaussettes et mes bottes fourrées. Il faut dire aussi qu'il y avait déjà un bon moment que j'étais dans ce parc, à t'attendre. Chose qui ne me ressemblais pas, j'étais arrivée en avance. A présent je maudissais mon inédite et idiote ponctualité, déversant un flot de jurons dans l'air glacial. Levant les yeux, triste et assassine je dardais un regard mauvais sur les décorations scintillantes du magasin en face. Ce bon vieux père noël clignotant semblait se moquer de la pauvre petite chose romantique et naïve que je présentais. Mes lèvres gercées se tendirent en une grimace douloureuse, et je reprenais de plus belle mon errance circulaire.
Un quart d'heure plus tard, d'après ma montre. Mes pauvres jambes m'avaient déposée sur un banc proche, où je poursuivais ma rumination amoureuse, de plus en plus lugubre. Vingt minutes que TU aurait dû être là. Sournoisement, quelque chose de froid et d'humide investit le col de mon blouson, me faisant sursauter. Toute entière à m'apitoyer sur mon triste sort je n'avais pas réalisé qu'il neigeait, et pourtant, de gros flocons voltigeaient bel et bien dans l'obscurité tranquille. Cela me révolta. Comment cette chose que j'aimais tant ce permettait elle encore d'exister alors que mon moral était si bas ?! C'était, ni plus ni moins, une trahison. La deuxième de la soirée, la première te revenait bien évidemment mon cher amour. Incapable de rester immobile, je me relevais brusquement, me mordant férocement la lèvre inférieure afin de retenir mon cri, où mes sanglots. L'envie de pleurer se faisait de plus en plus forte, cependant je ne voulais pas lâcher prise. Je voulais te haïr. Pourtant ce sentiment ne trouvait pas sa place au milieu de la multitude d'émotion qui m'envahissait. Alors, malgré les larmes qui inéluctablement finiraient par brouiller ma vue, je te maudissais, toi, la neige, ce père noël débile sur la devanture de ce magasin non moins débile, l'hiver, noël, et moi. La neige surtout je crois que à partir de ce moment je ne l'ai plus du tout vue de la même façon. Avant elle symbolisait notre rencontre, notre amour, du moins je le croyais. Elle a aussi symbolisée notre rupture, à force égale pendant un temps, jusqu'à ce que ce sentiment prenne le pas sur l'autre.
Après ça je me rappelle que durant de longues semaines, je n'ai pas pas pu contempler la danse hypnotique des flocons sans éclater en sanglots."
« Damon qu'il s'appelait. Avec démon, la différence est mince, j'aurais dû me méfier.
Un bar venait d'ouvrir près du Lycée. Moi et Natalia – ma petite Natalia... - et la bande, on y avait élu domicile. On aimait bien son atmosphère feutrée et douillette, et comme il se situait à à peine deux rue du bahut, la clientèle se composait quasi uniquement de Lycéens. Pas de vieux rabat-joie pour plomber l'ambiance, parfait ! On avait vite sympathisé avec les patrons, un couple de vingt ans. Là, dans notre refuge on coulait des moments heureux après les cours, au chaud à regarder la neige tomber par les grandes baies vitrées. On était en Novembre et l'anniversaire de mes 16 ans approchait. C'était une période où j'étais heureuse, au milieu de mes amis. Mais il est venu et alors, tout a changé. »
« Vous avez du feu ? »
Chanel sursauta à demi, soudainement extorquée de sa bulle. Fou ce que le spectacle de la neige tourbillonnante au dehors, - alors que vous êtes on ne peux plus confortablement lovée sur un sofa la tête contre un torse chaud – peut avoir d'hypnotique. Reprenant doucement conscience de ce qui l'entourait l'adolescente quittant à regret son cocon et les bras masculin qui s'était refermés sur elle se redressa, posant son regard comme aimanté sur la silhouette du grand mec blond au sourire d'ange qui venait de faire irruption au milieu du petit groupe. La question s'adressait à la ronde mais pour une raison quelconque les yeux lagons de l'inconnu ne dévoraient qu'elle. Elle qui se surprit sous l'assaut de ce regard à sourire, subjuguée. Déjà. Dénichant promptement un briquet de dessous les méandres moelleux des coussins, Chanel se leva et avec une démarche déjà charmeuse alla elle même allumer la clope du beau blond. De derrière son comptoir Betty, patronne de l'établissement jeta aux jeunes gens un regard grondeur auquel ses fossettes enfantines ôtaient toute crédibilité. Comprenant le message, Chanel adressa un signe de la main rassurant à la femme et prenant entre ses doigts un autre clope pour son usage personnel cette fois tandis que quelques mots d'apparence anodines sur un ton neutre franchissaient ses lèvres.
« Ils n'aiment pas qu'on fume ici, tu m'accompagne dehors ? »
Sans attendre, sûre de la réponse elle attrapa son manteau et sortit, après un dernier regard complice à Natalia qui l'observait d'un air entendu.
•••••••
Damon à partir de ce jour s'intégra à la petite bande. Il venait d'un autre lycée d'Edimbourg et allait sur ses 18 ans, n'ayant aucune passion pour les études l'avenir se dessinait pour lui dans un brouillard flou. Il traînait derrière lui un voile de nonchalance et d'insouciance déroutant et l'étiquette de bad boy sexy qui fait tant tomber les filles. Mais dans le paysage pourtant, aucune rivale. Le mot était passé, Damon était à Chanel Prince et cela n'était certainement pas négociable.
De son côté la jolie brune flottait sur un nuage, après un mois à se tourner autour, jouer au chat et à la souris ne les contentèrent plus l'un comme l'autre et officiellement, Damon et Chanel formèrent un couple. Ils étaient beaux touts les deux, amoureux on disait, leurs gestes et leurs pas semblaient s'harmoniser comme ayant été fait pour aller ensembles. Tout deux faisaient plus d'un jaloux, et on les admiraient. Pour Chanel se fut un an magnifique. Un premier amour c'est magnifique, mais tellement dangereux...
•••••••
Des ronds de fumée se dispersèrent en un soupir dans le vent froid. Chanel leva les yeux vers Damon en un sourire candide et écrasant la cigarette de son talon colla son corps contre le sien, ses mains froides caressant les joues mangés par une barbe mal rasée.
« Damon, tu m'aime ? »
« Bien sûr. »
Heureuse, à cent lieues d'imaginer et encore moins d'envisager une rupture prochaine la jolie brune laissa passivement son mec jouer avec sa bouche et sa langue avant de répondre passionnément à son baiser.
•••••••
*Damon est parti.*
Cette certitude tournait en boucle dans mon crâne, vide de sens. Impossible, il ne pouvait pas m'avoir abandonnée comme ça, sans un mot, sans une explication ! Et pourtant...
••• Epilogue •••
Après le lapin qu'il lui avait posé au parc, Chanel était furieuse. Elle l'avait cherché partout bien décidée à lui passer un savon, sans succès. Au bout de quelques jours elle dut se rendre à l'évidence, il était parti, il avait disparu, comme ça pouf ! Aucune explication. L'idée qui lui soit arrivée quelque chose lui éfleura à peine l'esprit avant qu'elle la repousse de toutes ses forces. *Impossible...* A partir de ce jour elle s'appliqua à maudire son souvenir et à éradiquer minutieusement la moindre preuve matérielle de l'existence passée de son amour envolé.
-Chapitre III-
NY et les études ;
Après son dix huitième anniversaire Chanel, apercevant une éclaircie dans sa déprime suite à la trahison de Damon décide de tout plaquer – ses amis, sa famille et son job de mannequin qui commençait à lui tailler une jolie célébrité en Écosse – pour mettre les voiles direction : New York. Pourquoi là bas plutôt qu'ailleurs ? Bonne question. La jeune femme prit le premier endroit qui lui passa par la tête, New York où habitait la soeur d'Amy Prince, Audrey de laquelle elle tenait son deuxième prénom. Et la voilà qui débarque chez tata, ses valises plus un beau petit paquet de fric sous les bras. Elle se plut tout de suite dans la grande ville, une semaine après elle prenait une maison sur le District of Beaches, scellant ainsi son nouveau départ, sa nouvelle vie de New Yorkaise.
Chanel avait dix-huit ans, et deux ans de mannequinat derrière elle. A son arrivée elle aurait pu reprendre la même direction mais elle souhaitait que sa nouvelle vie soit en tout points différentes à l'ancienne. De plus une petite idée lui trottait dans la tête depuis un bout de temps, depuis en fait qu'elle avait commencer à jouer les mannequins. Petite déjà elle adorait jouer la comédie, à dix ans elle se destinait à une carrière de comédienne. Adolescente, au collège elle était inscrite au club théâtre et alors sa passion s'était affirmé : brûler les planches elle adorait ça ! Tout naturellement, le sourire au lèvres elle prit le chemin de l'université, UFR 1, section Arts du Spectacle - Cinéma et Théâtre.
Signe(s) particulier(s) :
Une salamandre tatouée sur la nuque.
Orientation Sexuelle :
Chanel pense et se dit être hétéro.
Citation favorite :
« Don't cry baby. Say fuck you and smile. » « La violence ne résoudra rien, les larmes non plus. Cependant je crois plus en la première. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Lola. Âge : 15. Comment as-tu connu ce forum ? : Ahaaaa ! En fait je m'étais déjà inscrite dans le passé avant de voir mon compte supprimé, pour cause d'absence. Mais là j'avais envie d'un nouveau forum rpg, d'un nouveau décor d'un nouveau perso, du neuf quoi ! Et j'ai pensé à NY. Alors me revoilààààààà ! ^.^ Ton avis (design, contexte, ...) : Heeeeey le design est trop BEAU ! <3<3<3 Présence sur le forum : Tout dépend, mais je serais généralement je pense assez active. Autre(s) compte(s) : Nop' Exemple de RP :
Spoiler:
Une pure petite pile électrique. Voilà ce que j'étais. Aujourd'hui. Demain... Qui sait ? J'étais si instable. J'en avais conscience au moins, c'était un premier pas vers la guérison me proclamait on bien souvent. Et si la malade ne veut pas guérir ?!
Dans ces moments là, mon insuportabilité coutumière et génétique dépassait sans effort le seuil du tolérable. Je n'avais même pas besoin de me forcer, oui mon cher, je suis absolument naturelle ! Naturellement soulante. Je ne le faisais pas exprès, pourtant... Mais dans ces moments là personne ne pouvait me suivre. Dans ce vaste monde qu'est Poudlard, peu d'êtres en avaient la capacité physique et mentale. Et ces damnées exceptions, par le Diable, je n'avait encore pas eu l'immense honneur, et plaisir, de les rencontrer. Dans le jeu qu'est la vie, tout est une question de plaisir. Ceux qui ne l'ont pas compris sont des imbéciles.
Je suis malade. Si tu le veux... Ils peuvent bien dire ce qu'ils veulent. Peut-être ont ils raison après tout... Comment savoir ? Je suis illogique. Ce mot me fait sourire, il me colle à la peau. Pour moi, il se traduit par inordinaire, exceptionnelle. Mon mode de pensée, mon esprit et ma personnalité, tout ce qui fait de ma moi ce que je suis, ont depuis longtemps quittés les sentiers battus et les affres du commun. Et alors ? Est-ce si grave ? Ça les dérange. Je m'en fiche, je continuerait. A être illogique. C'est tellement plus drôle !
J'éclatais de rire devant la mine déconfite de mes amies. Rigoler est bon pour la santé, on ne vous l'a jamais dis ? Alors je ne vais pas m'en priver. Je me calmais, la dardant d'un regard affectueux. Il est vrai que cette fille m'impressionnait. Un bon quart d'heure que j'avais lancé mon petit numéro, babillant, le sourire ingénu aux lèvres, les prunelles scintillantes. Intarissablement bavarde, de surcroit incapable de rester en place. En cette fin d'après midi nous, c'est à dire une petite bande exclusivement féminine de cinquième année avions trouver refuge dans le parc, profitant des quelques rayons de soleil, si rare en ces temps qui daignaient miraculeusement honorer notre triste et grise monotonie. Assise en désordre sur un des bancs, la conversation suivait son cours. Enfin, assise, ça allait bien cinq minutes. Je ne cessais de me lever, papillonnant autour de mes camarades, apostrophant ceux qui passaient près de nous, résolument infoutue de rester à ma place. Quand au cours de la conversation, sous mon influence il avait bien vite pris un tour des plus loufoque. Rapidement une première vague trop prude et conventionnelle s'était éclipsée, peut-être vaguement effarouchées. Seules demeuraient une petite poignée de filles en mal de divertissement se réfugiant auprès de mon innocent dévergondage étaient demeurées, et c'était celles là qui me dévisageais, se demandant avec force d'étonnement comment je tenais cette forme et ce rythme effréné. Question d'entraînement voyons !
J'observais du coin de l'œil leurs visages fatigués, sous le poids notamment de la montagne de devoir dont nous avait gracieusement chargée. Pauvre petites choses... Mes pensées à moi étaient à des années lumières du travail scolaire.
En ma compagnie, on ne pouvait pas s'ennuyer. Cependant moi je le pouvais. Les tristes donzelles que je côtoyais n'offraient pas beaucoup d'inspiration à ma douce folie, et leurs réparties étaient à la hauteur de leurs cernes équivoques. Fades et fatiguées. Qu'a cela ne tienne...
Sans plus de cérémonie je les plantais là, lorgnant déjà une proie, hm, beaucoup plus savoureuse. Gary Fullman... Le Serdaigle de septième année était sagement installé sur un banc voisin, plongé dans un livre. Un peu trop sagement à mon goût. Malicieuse, je me dirigeais silencieusement vers le jeune homme pour me laisser nonchalamment choir à ses côtés, avec un demi sourire avenant en guise de bonjour je passais mes jambes par dessus les siennes et un bras derrière son dos. J'enchaînais, lui plaquant un bisou sur chaque joue.
- WILLY - Intéressante lecture ?
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OKAY BY JUNE
« I'M SO BEAUTIFUL »
Dernière édition par Chanel A. Prince le Sam 9 Jan - 18:40, édité 15 fois
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Sujet: Re: [100%] Chanel, Audrey <3 Jeu 7 Jan - 22:04
Bienvenue !
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Sujet: Re: [100%] Chanel, Audrey <3 Jeu 7 Jan - 22:45
Mikii ! ^.^
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Sujet: Re: [100%] Chanel, Audrey <3 Ven 8 Jan - 9:41
Bienvenue ^^ Tu étais qui avant ? Et aussi pas besoin d'écrire d'une autre couleur pour ta fiche J'édite le code qui est bon (:
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Sujet: Re: [100%] Chanel, Audrey <3 Ven 8 Jan - 22:30
Bienvenue !
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Sujet: Re: [100%] Chanel, Audrey <3 Ven 8 Jan - 23:56
Mercii à vous deux =) Qui j'étais avant ? Aaha, mystère ! Et... c'est que je kiffe cette couleur
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Sujet: Re: [100%] Chanel, Audrey <3 Sam 9 Jan - 18:42
Double post, désolé ! J'ai terminé ma fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: [100%] Chanel, Audrey <3 Dim 10 Jan - 11:34
Chanel A. Prince a écrit:
Mercii à vous deux =) Qui j'étais avant ? Aaha, mystère ! Et... c'est que je kiffe cette couleur
Mes yeux non Validée (: N'oublie pas de voter pour NYCL sur les top sites.
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Sujet: Re: [100%] Chanel, Audrey <3
[100%] Chanel, Audrey <3
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