Âge : 2o ans. Date & Lieu de naissance : 3 avril à Los Angeles. Groupe : Sportifs. UFR : UFR 3. Étude : Écologie, Sciences de L'environnement. Prédéfini ou Inventé : Prédéfini.
Sweet about me :
« MORE ABOUT JOHN'S PERFECTION »
Physique & Style :
John aime les habits, on peut le dire je pense. Je ne dirais pas qu'il roule sur l'or, mais sa famille a les moyens aisés de lui acheté ce qu'il demande. En matière d'habits, bien sûr, car par rapport à ça, John n'a pas été un enfant gâté, loin de là. Bon, il a pas été malheureux, c'est pas ce que je veux dire, mais ses parents se sont bien débrouillés pour lui faire savoir que l'on a pas toujours ce que l'on souhaite dans la vie. Bref, je m'éloigne du sujet initial, là :3. Donc on peut dire que John est plutôt bien fringué, quand il y fait attention, ce qui n'est pas toujours le cas. Il n'accorde pas beaucoup d'importance à sa garde robe. John porte rarement des habits « normaux », des habits pour la ville. Vous le verrez toujours vêtu d'un T-shirt représentant une équipe de basket quelconque et d'un jogging, peu importe la couleur. Il sera toujours en tenue de sport, que ce soit dans la rue ou même à l'université. Cela ne l'empêche pas d'être très classe, ça veut pas dire qu'il s'habille mal même avec des affaires de sport. En revanche, lors de soirées ou même quand l'envie lui prend, il lui arrive de se vêtir comme les jeunes de son âge. Les autres paraissent surpris et il aime bien casser l'image du sportif inconditionné qu'on lui donne. John privilégiera toujours les habits colorés que des vêtements sombres, gris, noirs ou bleu marine. Un peu comme son tempérament, ses habits doivent être ... pétants x).
Passons maintenant à son physique à proprement parlé. John est de corpulence moyenne-plus, il est assez grand. Le basket, son sport favori qu'il pratique très régulièrement, l'aide à conserver cette allure d'athlète. John est donc musclé, mais ne s'en vantera pas très souvent, c'est pas le mec macho par excellence, si vous voyez ce que je veux dire. Un corps bien sculpté, donc. Pour ce qui est de son allure en général, il marche assez lentement, je dirais. Vous en avez sûrement rien à foutre, mais c'est quand même important à mentionner, selon moi. Il traîne pas des pieds, autre détail que je juge important, car je précise par la même occasion qu'il n'a pas un air désinvolte. Sa démarche n'est pas pataude non plus, il se déplace même avec agilité, ce qui lui vient sans doute de ses qualités de basketteur. Et enfin, pour conclure cette partie « allure générale », je préciserais que John a un tic, qu'il répète souvent ; il se passe la maindroite dans les cheveux. Notons qu'il fait cela également lorsqu'il est gêné ou embarassé dan une conversation.
Passons à son visage. Visage de forme carré, toujours illuminé d'un sourire discret posé sur le bout de ses lèvres, sourire qui lui créé de légères et charmantes fossettes. Sa bonne humeur toujours présente se retranscrit sur son visage et est souvent contagieuse. Ses yeux, maintenant. D'un bleu vert gris, ils retranscrivent sa malice et sa joie de vivre. Toujours étincelants, ils sont charmants et franchement beau à regarder par la diversité de leur couleur. Et enfin, évoquons en dernier lieu ses cheveux. Ah, ses cheveux bruns frisés auxquels il ne renoncerait pour rien au monde ! Oui, John y tient à ses cheveux mi-long, assez épais mais pas trop pour qu'il ne le gêne pas constamment. D'un noir intense, John les laisse libre et ne prend pas le soin de les coiffer. Parfois un coup de peigne quand il en a le temps et l'envie ou seulement la main dans sa chevelure suffiront à les mettre en place. Ce n'est pas un garçon qui va s'inquiéter de sa coiffure, si : D ?
Caractère :
Je pense que la première chose à évoquer à propos de John, et même si cela ne semble pas avoir à faire avec le caractère, c'est son esprit sportif. Le basket, c'est presque toute sa vie, il est presque naît un ballon entre les mains. C'est sa passion, sa hobbie et le basket occupe pas mal de son temps, que ce soit quand il joue, quand il discute avec ses amis à propos des prochains matches à jouer ou lorsqu'il regarde un match à la télévision ou dans un bar. Parfois, il en deviendra même presque chiant, à toujours parler de ça. Mais il suffit qu'on le lui dise une fois pour qu'il s'arrête. Alors bien entendu, il déteste perdre lors de ses matches, mais pas que. Lors de parties de cartes, de poker ou à tout autre jeu que ce soit, il déteste perdre, vraiment, il déteste ça. Un très mauvais joueur, en somme. Le basket ne lui a pas légué que des défauts, cependant. John a acquit un certain sens de l'esprit d'équipe et préfère être avec les autres que faire équipe seul. Que ce soit pour le sport ou pou l'école, John est déterminé et ambitieux, bien qu'il n'en montre rien. Pour le sport, il se donne à fond, et bien que le basket soit son grand amour depuis toujours, il n'envisage pas de faire carrière dans le sport. Il souhaite trouver un travail dans le domaine de l'environnement et veut vraiment y parvenir. Il travaille studieusement à l'université même s'il ne le dit pas et ne le laisse pas paraître, il sait ce qu'il veut faire et fera tout pour y parvenir.
John est quelqu'un de très souriant. Toujours la bonne humeur sur le visage, il affiche constamment un discret sourire en coin qui ne manque pas de faire craquer certaines filles. Sa bonne humeur est contagieuse et ni sa famille, ni ses amis, ni ses professeurs ne s'en sont plaints, bien au contraire. Son allure joviale met en confiance lorsqu'on s'adresse à lui et font oubliés à ses interlocuteurs l'appréhension de le déranger ou de l'enquiquiner. Cette mise en confiance et sa joie de vivre sont ses principales qualités. John est sociable et assez populaire, du fait qu'il a déjà bon nombre de copains grâce à l'équipe de basket et qu'il est connu pour être l'un des plus jeunes joueurs de basket de l'université. S'ajoute à ça ses compagnons de classe avec qui il sympathise facilement ainsi que les camarades qu'il connait depuis des années. Il connait donc pas mal de monde au sein de l'université, ce qui lui convient tout à fait. Son tempérament amical et extraverti détend les plus timides qui deviennent bien vite des amis. John n'aime pas les conflits et les tensions, aussi sera-t-il franc et honnête, venant même à être un peu blessant sur les bords, mais il crèvera l'abcès.
Il faut maintenant attaqué les défauts de John, la partie la moins gratifiante pour lui mais peut-être la plus intéressante pour le personnage en lui-même. John est quelqu'un de plaisantin qui aime rigoler et faire la fête. Il adore se moquer des autres - ce qu'il fait en leur présence, sinon c'est pas marrant : P - par le biais de railleries parfois cyniques. Même s'il ne s'en rend pas compte et même si ce n'est pas son intention, il lui arrive de blesser la personne qui se tient en face de lui. Il suffit de le connaître pour savoir qu'il a un bon fond et que ce n'est pas son intention de contrarier la cible de ses taquineries que lui juge amicales et affectives. Aussi sera-t-il parfois surpris de la réaction de certains qui auront pris la mouche. Son humour noir n'est en effet pas toujours du goût de chacun. John va même jusqu'à sortir ses blagues en plein cours, faisant rire une partie de l'assemblée sans que les autres ne sachent pourquoi. Lorsqu'il se fera prendre et prévenir, il deviendra parfois presque insolent envers ses enseignants, qui ne manqueront pas de le lui signaler par des travaux supplémentaires ou en faisant la remarque à ses parents. Ce n'est pas dans la nature de John d'être comme ça, d'où le sérieux étonnement de ses parents lorsque les professeurs font un compte-rendu de son comportement. En effet, John fait plus ça pour se faire remarquer que par réelle insolence. Il essaie de se donner un style, croyant qu'en restant soi-même peu de monde l'apprécie. Il s'est donc construit une petite image de lui, qu'il sort quand il en a envie. Avec ses amis ou sa famille, il tombe ce masque pour montrer celui qu'il est vraiment, mais sinon, il aura des tendances à l'insolence, oui. Mais derrière ce genre qu'il se donne, John est quelqu'un de très attachant et de très attentionné. Il ne le montre pas souvent mais John est vraiment quelqu'un qu'on apprécie beaucoup et qui sait se montrer doux et sensible quand il le faut. Ce n'est pas pour autant qu'il n'est pas viril, loin de là. Ce que je vais dire, personne ne s'en doute non plus, mais pourtant, c'est bien de John qu'il s'agit. John est modeste, ça on le sait, sincèrement, il n'aime pas attirer l'attention sur lui ou lorsqu'on vante ses mérites de basketteur et de bon étudiant. Il n'aime pas les compliments et à même tendance à se rabaisser. Il se croit inférieur aux autres, plus nul et plus faible qu'eux. Alors que ce n'est pas ça du tout, il est simplement différent, mais lui l'interprète différemment. C'est même pour ça que, à force de ne pas avoir tellement confiance en lui, John se sent souvent blessé. Il prend pour des reproches des réflexions qui n'en sont pas et prend sur lui sans rien dire, alors que ces paroles le blessent ou le touchent. Il a une tendance à être vraiment susceptible, il ne s'énerve pas ou n'est pas rancunier suite à quelques remarques ou vanneries qu'on lui lance, mais cela lui fera quelque chose.
Alors oui, il a pas l'air comme ça, le John on le prendrait pour quelqu'un de macho et de dur, mais pas du tout. Ne vous affolez pas et ne croyez pas non plus à 'extrême, il va pas non plus fondre en larmes comme une madeleine dès qu'on lui fera la moindre petite remarque. Ce n'est pas comme s'il n'avait pas de répondant ...
Signe(s) particulier(s) :
Noop'. Rien de spécial à dire, en effet. Bien sûr, John a des cicatrices, comme tout le monde, surtout en faisant du sport où les blessures sont plus fréquentes. Des cicatrices sur les genoux, les jambes et les bras, il en compte un certain nombre, sans pour autant que cela ne choque. Ensuite, pour ce qui est percing et tatouage, John n'a jamais été intéressé par ce style là et ne porte donc aucune traces de ces choses artificielles.
Orientation Sexuelle :
« J'ai toujours éprouvé une profonde admiration pour les bisexuels. Mais je me contenterais de la gente féminine pour parfaire mes ... aspirations x3 ? »
Citation favorite :
« Parmi les gens, certains sont des cailloux, d'autres des joyaux. Proverbe canadien. »
« BEHIND THE COMPUTER »
Prénom : Julie. Âge : 14 ans : D. Comment as-tu connu ce forum ? : Dans un des TopSite de Poudnoir. Ton avis (design, contexte, ...) : Design sublime *p*. Et je trouve ça génial de jouer des étudiants <3. Présence sur le forum : Normalement une fois par jour, mais ne nous enthousiasmons pas trop tôt. Je dirais trois fois par semaine pour l'instant. Autre(s) compte(s) : Eh non.
Exemple de RP :
Spoiler:
Elle aurait voulu que le temps s’arrête. Juste à cet instant précis, alors qu’il était là, collé tout contre elle. C’est si difficile d’écrire sur « papier » les sentiments qu’elle ressentait à l’instant présent. Je crois que c’est impossible de décrire un sentiment. C’est trop abstrait, trop surnaturel. Et puis, cela variait d’intensité ou d’importance selon les individus. Pour certains, la haine était un moteur, une chose dont on se servait pour avancer. Chez certaines personnes, dont certaines étaient peu fréquentables, cette haine était bénéfique, telle une drogue, tel un motif de se bouger. Les passés tous différents influaient également beaucoup sur les sentiments prédominants. Car, on a beau dire, ce sont toujours les mêmes sentiments qui nous animent, qui nous font vivre, qui nous poussent à faire des choix, ce sont ces mêmes sentiments qui engendrent le choix de principe, qui prédétermine chaque caractère. Ce sont eux qui nous désigneront comme bons ou mauvais. Bons ou mauvais … Existait-il la haine et la colère d’un côté, l’amour et l’amitié de l’autre ? Non, elle n’y croyait pas trop. La haine était synonyme de destruction, chez Petite Taïga. Beaucoup de choses étaient synonymes de destructions, chez elle. Elle aurait aimé être ce genre de personnes, ces personnes comme Petit Fauve, qui ne semblaient rien ressentir. Il paraissait si calme, son frère, il semblait si impénétrable et si invincible. Elle aurait voulu être comme lui, mais elle ne pouvait pas, elle ne pourrait jamais, car elle n’était pas comme ça. Elle n’avait pas été conçue génétiquement de la même façon, elle n’avait pas été modelée de la même sorte de son frère. Et pourtant, elle finissait par l’envier, lui qui semblait si … si absent. Il se fichait de tout, il écoutait tout ce qui se disait mais n’y apportait aucune importance, il ne donnait jamais son avis sur quoi que ce soit. Rien ne l’intéressait. Il l’exaspérait. Petit Fauve l’exaspérait, et pire que lui, son indifférence et son calme naturel l’agaçaient. Mais était-ce juste une façade qu’il affichait pour paraître plus fort ? Était-ce juste un leurre, une simulation de ce qu’il voulait être ? En fait, peut-être qu’il jouait un jeu, qu’il avait monté un immense mensonge de toute pièce. Peut-être avait-il tout inventé, peut-être qu’on le connaissait encore moins que ce qu’on ne le pensait. Et peut-être lui-même s’était-il perdu en route … Peut-être ne savait-il plus qui il était vraiment. Petit Fauve était un mystère irrésolu, et elle se demandait si elle avait envie de le résoudre, justement. A ce moment précis, Petite Taïga aurait aimé être un de ces pantins de bois, dépourvus de pensées, de sentiments, qui restaient là à tout observer sans bouger, toujours en souriant nigaudement. C’est une comparaison, bien sûr, elle ne connait pas les pantins de bois .__. . Elle voulait ne pas sentir sa peau brûler au contact de son frère, elle ne voulait pas que son cœur se serre en apercevant les gouttes humides qui tombaient lentement des yeux de son frère, pour s’écraser au sol, et disparaître dans la terre poussiéreuse. Elle aurait voulu pouvoir le consoler, mais si seulement elle savait de quel mal il souffrait, si seulement elle savait ce qui le rongeait. Il ignorait sans doute lui aussi, sinon il mettrait tout à contribution pour mettre fin à cet état qui le détruisait, ces pensées et cette attitude qui mettraient un jour fin à Petit Fauve, s’il n’y faisait pas attention. Petit Fauve était trop compliqué pour elle. Elle n’aspirait pas à connaître quelqu’un de compliqué car c’était … compliqué x3. Petit Fauve se perdait lui-même, il ne devait pas se comprendre lui-même, alors comment pourrait-elle, elle-même, pauvre petite chatonne insignifiante, comprendre ce qui n’allait pas. Enfin, si quelque chose n’allait pas. Mais Petite Taïga espérait presque que Petit Fauve n’allait pas bien. Car si son frère allait bien, c’est qu’il était vraiment un grand malade, psychopathe et sado-maso et alors là, elle ne préférait même pas savoir qui il était.
Petite Taïga se raidit. Petit Fauve était là, tout contre elle. Enfin, elle le sentait contre lui. En avait-elle rêvé ? Si oui, elle ne s’en souvenait pas. Elle l’aimait. Elle aimait Petit Fauve. D’un amour qu’on pouvait juger, à mon humble avis, un peu plus profond – voir beaucoup, même – qu’un simple amour fraternel. Là aussi, c’était compliqué. Il fallait que ça tombe sur son frère. Sur lui, qui l’énervait tant, mais qui l’attirait tout aussi étrangement. Ses oreilles se plaquèrent sur son crâne tandis qu’elle envisageait de reculer. Mais elle n’en fit rien. Elle ne pouvait pas, comme bloquée, comme si une force supérieure l’en empêchait. Comme si on lui disait : « Ne bouge pas, il a besoin de ça. » Alors non, elle ne bougea pas, elle le laissa faire, alors qu’il lui faisait une sorte de câlin, si on peut dire. Lentement, ses oreilles se redressèrent sur son crâne. Ses muscles, bandés et tendus à bloc, s’apaisèrent d’eux-mêmes, grâce à la douce et agréable chaleur de Petit Fauve. Elle n’était pas niaise et n’avait pas rêvé de cet instant depuis qu’elle était née. Non. S’il ne l’avait pas fait, cela ne l’aurait pas déranger, et peut-être même aurait-elle préférer qu’il n’en fasse rien. Car cela prouvait un engagement de sa part, elle ne l’avait forcé à rien et elle sentait qu’elle souffrirait davantage quand il la rejetterait, quand, involontairement, il la ferrait souffrir car il ne pouvait pas s’ouvrir davantage à quelqu’un. Il était maître d’elle, et cela en devenait presque affolant. Elle qui réfutait tout le temps qu’elle était libre et indépendante, voilà qu’elle se retrouvait prisonnière de lui. C’était comme s’il avait pillé son cœur, la laissant faible, fragile et démuni de tout bon sens. Elle aurait du s’écarter, partir pour ne pas s’attacher, pour l’éviter et ainsi limiter un peu les dégâts qu’il occasionnerait et qu’elle occasionnerait. Car elle ne se croyait pas parfaite, elle savait qu’elle commettrait des erreurs, à quel niveau que ce fût, et qu’il en subirait les conséquences, quelles qu’elles soient.
Ce moment soudain de tendresse, cette approche furtive qui lui parut presque fictive s’arrêta alors, et il reprit sa place. C’était peut-être mieux ainsi, même si elle n’y croyait pas trop. Assise sur l’herbe fraîche qui se courbait au gré du vent, elle le regarda de la même manière que la dernière fois. Il l’avait évité, cette fameuse question à laquelle elle accordait sans doute beaucoup trop d’importance. Une simple phrase de substitution, toujours aussi poétique que les autres fois. Ses yeux se firent durs, s’imprégnant d’un voile de colère et de frustration mêlées. On pouvait voir qu’elle appréhendait la réponse qu’il allait donner, mais elle s’en fichait à présent. Elle se leva, s’avançant d’un mètre, posant brutalement une de ses pattes avant dans le sol, en avant de tout son corps, comme pour le défier. Les oreilles collées sur son crâne, elle montra légèrement les crocs, montrant qu’elle ne plaisantait pas.
« Réponds à ma question, Petit Fauve. Pour une fois, n’essaie pas de l’éviter, cela ne marche pas avec moi. Préfèrerais-tu, oui ou non, que je meure ? »
Elle avait prononcé distinctement et lentement la dernière phrase, appuyant sur tous les mots.
Sa respiration était toujours aussi calme, elle ne s’était pas emballé à la soudaine proximité qui s’était installé entre elle et lui. Il était là, à une dizaine centimètres seulement de son museau. Et elle attendait sa réponse, ferme. S’il ne disait rien, s’il baissait les yeux, s’il évitait la question, elle partirait. S’il ne répondait pas, elle n’avait plus rien à faire ici.
Elle s’adoucit un minimum, si cela est possible, et lui parla ensuite d’un ton suppliant, qui fut presque surprenant et complètement paradoxal à son air colérique.
« Je t’en supplie, Petit Fauve. J’ai besoin de cette réponse. De ta réponse. »
C’était un murmure, un souffle plaintif. Elle avait vraiment besoin de cette réponse, même si elle la craignait dans un sens comme dans l’autre. Elle haïssait cette question, qui la hantait constamment, mais dont elle avait besoin de savoir la réponse pour avancer. Pour continuer, avec ou sans lui. Avec, de préférence. C’était une sorte d’ultimatum, une question à laquelle on ne pouvait pas se défiler. Mais Petite Taïga était têtue. Elle ne renoncerait pas. A moins qu’il la déçoive. A moins qu’il ne soit plus faible et plus frêle qu’elle ne le croyait. A cet instant, elle se rendit compte qu’elle ne le connaissait absolument pas. Et elle ne le connaîtrait jamais. C’était comme ça.
Elle demeurait ainsi, près de son frère, en silence et fébrile de cette réponse. Elle était comme pendue à ses lèvres, dans l’attente insoutenable qui la rongeait et qui l’exaspérait. C’était à lui de jouer, maintenant.
Code du règlement :
Spoiler:
OK by Toffee.
« THE BEAUTY HAVE A FACE. »
Dernière édition par John Parker le Mer 13 Jan - 1:05, édité 1 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 0:45
I. Les premiers temps d'une vie.
La grande maison des Parker était à présent toute animé depuis une paire d'années. Eleanor et William Parker avait déjà deux fils ; le premier, Christopher, âgé de trois ans, et John de un an son cadet. Les deux frères s'entendaient relativement bien, même à leur âge peu avancé. Une complicité indestructible était née entre eux et jamais quelque chose ne la briserait, c'était perceptible. Tout le monde portait beaucoup d'espoir en Christopher, le premier d'une fratrie qui s'avèrera nombreuse. Il était l'exemple, le modèle à suivre et celui sur qui tout les regards étaient posés. L'avocat d'affaires réputé etla mère au foyer qu'étaient leurs parents, eux, étaient fiers de leurs deux rejetons et envisageaient déjà de nombreux projets pour eux. Innocemment, Christopher et John grandissaient ensemble, jouant et se chamaillant ensemble. C'était des enfants relativement calmes et leurs parents n'avaient pas à s'en plaindre.
Ils jouaient, ce début d'après-midi, dans l'impeccable pelouse tondue et entretenue par d'innombrables jardiniers. Dans une heure à peu près, ce serait l'heure de la sieste. Christopher s'occupait de ses tracteurs et de sa ferme miniature tandis que John s'exerçait déjà avec un ballon de basket, chutant dans l'herbe, mais le petit Parker se relevait toujours en riant, poursuivant ce ballon orange qui rebondissait étrangement. Quand je vous disais qu'il était né avec un ballon de basket dans les mains :red:. Eleanor surveillait ses deux rejetons de sa chaise longue, baignée par le soleil. Elle portait de grandes lunettes noires qui lui cachait la moitié du visage et un chapeau blanc en paille qui la protégeait du soleil de l'été. Malgré les deux grossesses qu'elle venait d'enchaîner, elle était rayonnante et magnifique. La famille parfaite, aurait-on cru. Et ils l'étaient. Pour l'instant.
II. Il y a toujours un moment où ça se complique.
Christopher et John étaient plus proches que jamais, aux environs de leurs dixièmes années. Petits, ils se ressemblaient énormément, même si c'est beaucoup moins flagrant maintenant, et on les prenait souvent pour des jumeaux. Cela ne leur déplaisait pas, ils aimaient bien ce concept. L'école, ça roulait. Mais plus trop à la maison. William et Eléanor Parker se disputaient de plus en plus souvent, trop au goût de leurs bambins qui disparaissaient aussitôt lorsque l'orage éclatait ou alors les parents les congédiaient. C'est à partir de ce moment qu'il y eut un problème dans le couple Parker, et donc dans la petite famille toute entière. Christopher en qui, comme je l'ai déjà dit, ses parents et son entourage portaient beaucoup d'espoir, était durement élevé, privé de ce qu'il réclamait alors que ce n'était pas les moyens qui manquaient. Lorsque les deux garçons avaient faits une bêtise, il était toujours puni plus que son cadet, voir même entièrement puni alors que la bêtise ne provenait pas de lui. Leur mère prétextait « qu'il était le plus grand et qu'il devait montrer l'exemple ». Si vous même vous êtes l'aîné dans votre fratrie, vous saurez que c'est ce que rabâche toujours les papas et les mamans. Christopher, trop emprisonné pour s'affirmer, attirait l'attention de ses parents par d'autres moyens. A l'école, par exemple, il devenait violent et agressif, s'en prenait à ses petits camarades. Et le soir, quand ses parents apprenaient ça, il se faisait violemment corrigé. Puni sans arrêt, John ne voyait plus aussi souvent son frère aîné avec qui il partageait toute sa complicité. Exempté aux repas qui, selon les règles, devaient se dérouler en silence et des rares promenades qu'ils faisaient en famille, les deux frères n'étaient plus aussi proches. Et leur relation s'entamait gravement, Christopher devenait de plus en plus bizarre et devenait parfois violent même avec son petit frère. Puis Christopher commençait d'entrer à l'adolescence. A douze ans, sa période de rebelle commençait et n'était apparemment pas prête de se terminer. Il était exécrable et se fichait de tout. John, lui, était considéré comme le chouchou de ses parents, et il était constamment comparé à Christopher. John vivait vraiment mal sa séparation avec son frère qu'il jugeait comme une amputation. John essayait d'expliquer ce qu'il ressentait à ses parents, mais ni l'un ni l'autre ne l'écoutait, trop préoccupés l'un comme l'autre par leurs problèmes professionnels et conjugaux. Les disputes, d'ailleurs, c'était faites plus régulièrement que jamais, et il arrivait souvent que les garçons, en se levant pour se préparer avant d'aller à l'école, retrouvent leur père endormi sur le canapé. Tout se détruisait, et John, bien qu'il n'en montrait rien, était profondément touché.
III. La goutte d'eau qui fait déborder le vase.
Christopher et John ne se parlaient plus depuis une paire de mois déjà. A croire qu'ils n'étaient même plus de la même famille tellement l'indifférence les avait piégé. Ce mardi matin là, alors qu'ils avaient respectivement 12 et 11 ans, ils mangeaient leur petit déjeuner dans la cuisine ensoleillée, assis l'un face à l'autre, une lueur de défi dans le regard et une ambiance électrique régnait. Ils mangeaient en silence, se lorgnant mutuellement mais sans piper mot. C'était silencieux. La maison entière était silencieuse. Mais John comme Christopher savaient que cela ne durerait pas longtemps. Aussitôt qu'ils l'eurent pensé, une conversation bruyante et animé leur parvint. Leur père déboula dans la cuisine, rassembla son courrier qui traînait, embrassa ses deux enfants en leur disant de ne pas s'inquiéter, que tout allait s'arranger. Là, alors que son père était accroupi devant lui, John parla d'une voix douce et aigu comme le sont les voix d'enfants : « Tu disais aussi ça avant, Papa. »
John n'avait rien dit d'autre, car même lui ne semblait pas tout à fait saisir ce qui se passait. Même à 11 ans, il avait renoncé à suivre les histoires diverses et compliquées de ses parents. Christopher semblait avoir développé lui aussi la même indifférence. Eléanor déboula dans la cuisine, pleurant bruyamment et répétant sous forme de plainte le nom de son époux, suivi de la formule « Je suis désolée ». Inutile d'être bien sorcier pour comprendre que là, ça n'allait vraiment pas et que tout était de la faute de leur mère. Eléanor était pâle, le visage ravagé par les larmes. Du mascara, qu'elle n'avait que sur un œil, avait coulé sous forme d'un fleuve noir dévorant sa joue. Elle était donc en train de se maquiller quand l'orage avait éclaté. Elle avait noué ses cheveux en un chignon lâche d'où s'échappait de nombreuses mèches et elle était simplement vêtue d'un T-shirt blanc avec un bas de la même couleur camouflé par un peignoir rose saumon. William Parker disparut sans un mot par la porte qui donnait sur le garage. De là où ils étaient, les garçons voyaient le grand sac noir avec lequel leur géniteur disparaissait. Le cœur de John se serra tandis qu'il regardait d'un regard triste le seul être qu'il aimait encore un tant soit peu disparaître. John ne savait même pas si il le reverrait. Leur mère réapparut. John était tétanisé par le spectacle qu'il venait de voir, et sa mère qui se trouvait dans cet état le terrorisait encore plus. Christopher prit l'initiative, afin d'éviter une nouvelle catastrophe. Le jeune garçon soupira, avant de prendre son bol et celui de John pour les poser dans l'évier. Sans un regard pour sa mère, Christopher s'adressa à son cadet d'une voix que celui-ci jugea étrangement douce et protectrice.
« Viens, John. C'est l'heure d'aller à l'école. »
John ne bougeait pas, figé et horrifié par sa mère qui ne cessait de pleurer, avachie sur le plan de travail. Christopher, qui voyait son frère hésiter, le tira avec délicatesse afin que John se lève de sa chaise. Sans un mot, les deux frères prirent leurs cartables et se dirigèrent vers la porte par laquelle leur père s’était éclipsé. Ils ne dirent pas au revoir à leur mère, ce n’était pas la peine. Ils marchaient côte à côte. Ils allaient à l’école à pied car ils habitaient à proximité de l’établissement qui regroupait maternelle, primaire et collège. Christopher était en classe de sixième pour l’équivalent français, alors que John n’était qu’en cours moyen deuxième année. John tremblait légèrement, mais il essayait de le caché devant son frère. Voir son père partir de la sorte et voir leur mère dans cet état avaient complètement perturbé le gamin. Christopher dû le sentir, car avec une délicatesse que John aurait jugé inexistante suite au comportement de ce premier il prit la main de John, qu’il serra intensément. Christopher, envahi d’un profond sentiment de protection vis-à-vis de son cadet, était enfin prêt à prendre ses responsabilités. Il savait que plus rien ne serrait comme avant, il savait que son père ne reviendrait sûrement jamais, il savait que l’état d’Eleanor s’aggraverait. Il savait que leur situation familiale n’allait pas faire en s’arrangeant, et il essayait de tout faire pour protégé son jeune frère. Ils arrivèrent devant les portes de l’établissement, et John s’arrêta, bientôt accompagné de Chris qui le regardait d’un air surpris.
« Tu me protègeras, hein dis ? Tu me protègeras maintenant qu’il me reste plus que toi … »
John avait parlé simplement, mais en même temps inquiet que son frère décline l’offre, si s’en était une. Les larmes aux yeux, Christopher n’eut d’autre réflexe que de prendre son petit frère dans ses bras et de le serrer très fort. A cet instant, il se demandait comment leur complicité avait-elle pu être bafouée par son insolence et sa bêtise.
IV. Certaines personnes sont des cailloux, d’autres des joyaux …
La nouvelle était tombée à table, le soir. Une semaine après le départ de William Parker, Eleanor avait enfin décidé de se reprendre en main. Enfin, d’essayer tout du moins. Elle s’était remise au ménage et au repas, tâches qui lui incombaient, mais le véritable acteur dans cette maison, c’était Chris. Il se chargeait de préparer son déjeuner et celui de John, il l’aidait à se préparer pour l’école, il lui préparait ensuite son repas de midi et ils allaient tout les matins ensemble à l’école. Christopher se chargeait même de réparer les bêtises de John et de le gronder quand il fallait. Eleanor avait complètement délaissé ses deux rejetons. Depuis une semaine environ, de plus, elle vomissait souvent. Les enfants avaient associés ça au choc que lui avait causé le départ des leur père, qui était repassé deux fois au cours de la semaine pour rendre visite à ses fils. Et ce que Christopher soupçonnait, bien qu’il n’en ait rien dit ni à son père ni à son frère, était bel et bien confirmé.
« Les enfants, j’ai quelque chose à vous annoncer. »
D’un voix morne et tressaillant, la phrase n’annonçait en elle rien de bon. Le silence qui régnait d’habitude se réinstalla, et Eleanor prit à nouveau la parole.
« Dans neuf mois, il y aura un nouveau bébé dans la maison. »
Et là, Chris comme John auraient pu dire que le ciel leur tombait sur la tête. Tout s’expliquait, tout du moins pour Chris, qui semblait indifférent et impassible ; mais à l’intérieur bouillait en lui la colère, la colère contre sa mère qui avait trahi William et sa famille pour s’éclater pendant une aventure d’une nuit, la colère contre son père qui les avait abandonné lui et John alors qu’ils avaient besoin de lui plus que jamais et la colère contre le monde entier d’avoir à subir ça, la colère contre le monde entier que John ne comprenne pas ce qui se passait, la colère contre le monde entier qui anéantissait son monde de gamin de 12 ans et celui de son cadet, qui ne se rendait compte de rien. C’était la pire chose qui leur était arrivée, là, sur le moment, avec les faits qu’il pouvait interpréter. Et ça faisait un mal de chien aux deux gamins.
V. Lorsque l’espoir renaît.
William Parker était revenu à la maison trois mois après son départ. Le temps à sa femme de lui prouver sa paternité. Car oui, William était bel et bien le père de cet enfant. Mais personne n’oubliait les excuses formulées par Eleanor le jour du départ de son époux. Elle s’était trahi elle-même. Si William avait accepté de fermer les yeux, John et Chris, eux, avaient les nerfs à vif. En plus d’être euphorique et complètement nigaude à cause de sa grossesse, les deux garçons avaient complètement disparus aux yeux d’Eleanor. Elle ne pensait qu’à la petite fille à venir, car on le savait, c’était une fille, tandis que William, voyant le désespoir de ses fils pour recevoir l’amour de leur mère, jouait le rôle des deux parents. Les garçons qui haïssaient leur mère portaient en revanche une profonde affection et une profonde reconnaissance à l ‘égard de leur père. John et Chris avaient retrouvés leurs liens d’antan et s’entendaient mieux que jamais. A présent préadolescents tout les deux, les deux fils Parker faisaient comme si leur mère n’existaient pas. On leur parlait beaucoup de leur petite sœur, mais eux avaient complètement disparus du décor. A deux, ils surmontaient l’oubli, s’entraidant quand un perdait la face.
Et puis ce fut le jour J. Ils étaient dans la salle d’attente de l’hôpital, dans l’aile réservé aux mères. William était avec eux, et chaque garçon occupait un genou de leur paternel, un journal de Donald Duck coincé entre les genoux. Il commençait à se faire tard, dix heures passés sans doute, et la fatigue se faisait ressentir. Les enfants dormaient blottis contre leur père quand une jolie infirmière bien gentille et charmante s’approcha d’eux pour leur annoncé la naissance d’April. April, c’était le nom donné à leur petite sœur. Quelques jours auparavant, John et Chris s’étaient promis de tout mettre en œuvre pour éviter à la petite de subir le caractère merdique et l’éducation pourrie que pourrait lui donner sa mère. William serait là, mais cela ne suffirait pas. April était née, donc. En allant dans la salle où reposait une Eleanor souriante et au ventre rebondi, John et Chris prirent la petite dans leurs bras. Et là, tout bas dans un murmure, ils prononcèrent ensemble la phrase qui les lierait à jamais à April. « Nous promettons tout les deux, moi Christopher William Parker, et moi John Abraham Parker, te protéger pour l’éternité et t’aider tel que tu le mérites. »
Trois ans plus tard, Christopher quittait la maison pour aller en pension et John s’apprêtait à entrer au lycée. La petite April grandissait, protégée par ses deux grands frères et tenue aussi loin que possible d’Eleanor. Chris quitta la maison à ses dix-huit ans pour s’installer dans un appartement respectable de New-York. John entra un an plus tard l’université de Fordham, que son frère avait déjà intégré un an plutôt. Ils ont retrouvés leur complicité et sont plus proches que jamais tandis que John veille sur April , âgée désormais de cinq ans.
Dernière édition par John Parker le Ven 15 Jan - 20:54, édité 1 fois
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 0:51
DADAM Bienvenue ici ^^ Il te faudra un avatar 200*320 par contre (: Si tu veux que je t'en cherche y a aucun soucis
Et aussi j'avais un excellent lien avec le précédent
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 1:00
*-* Oooh Adam Brodyyy ♥♥♥
Welcoome !
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 1:06
Contente qu'il vous plaise xD.
Et June, qu'entends-tu par " j'avais un excellent lien avec le précédent " ? Le précédent quoi :0 ? Le précédent joueur de John ?
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 1:10
John Parker a écrit:
Contente qu'il vous plaise xD.
Et June, qu'entends-tu par " j'avais un excellent lien avec le précédent " ? Le précédent quoi :0 ? Le précédent joueur de John ?
Avec le précédent John, un lien en RP quoi
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 1:17
Okay =). Tu sais, sa peut toujours tenir si sa t'intéresse xD. Moi ça me gênes pas : D.
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 1:29
Bienvenue parmi nous . Adam avec un bon niveau en plus, quelle chance xD
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 1:34
Merci du compliment : D.
J'écris l'histoire demain x).
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 1:48
John Parker a écrit:
Okay =). Tu sais, sa peut toujours tenir si sa t'intéresse xD. Moi ça me gênes pas : D.
Okay bah je t'en parlerai une fois que tu seras validé ^^
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 15:13
ADAM BRODY . ♥
Bienv'nuue
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 15:23
Wah, le nombre de lignes déjà. o_o Bienvenue à toi. Je valide le code du règlement qui est correct, bonne continuation ! (:
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 18:07
Bienvenue
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 21:38
Bienvenue
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 21:44
Oh mon cousin enfin du moins avec l'ancien John...
Bienvenue && Bonne continuation
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 21:44
Bienvenue John
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 22:08
Adam ♥
Bienvenue ! (:
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 22:36
Merci de cet accueil, franchement ça fait super plaisir : 'D.
Je suis désolée, mais l'histoire attendra à demain si j'ai le temps de passer - trop de devoirs T_T - voir même à ce week-end.
Et promis les gens, tout ce qui voudront un lien avec John pourront en avoir un. Je créerais un sujet spécial links <3.
Merci encore : ).
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Sujet: Re: John Parker. Mer 13 Jan - 22:38
Moi, j'en voudrais un ! Bonne chance pour la fin de ta fiche. (:
Pour les devoirs, je comprend, je suis en troisième et je suis overbooker.
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Sujet: Re: John Parker. Ven 15 Jan - 20:55
Histoire postée, maintenant : D.
Et j'ai une demande à faire ; c'est pour savoir si je peux changer le nom de John. Justement le prénom, pour le nom je m'en fiche. J'aime bien John, mais je trouve ça un peu trop courrant, un peu trop commun. Et en plus, Parker n'ajoute rien à l'originalité xD.
Donc j'aimerais remplacer John par Joshua. Est-ce possible : 0 ?
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Sujet: Re: John Parker. Ven 15 Jan - 22:52
Non ce n'est malheureusement pas possible :$ Tous ce qui concerne les PV est intouchable désolée.
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Sujet: Re: John Parker. Ven 15 Jan - 23:19
Même pas le prénom D : ? C'est pas grand chose pourtant : (
M'enfin bon, si c'est comme ça, c'est comme ça : ).
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Sujet: Re: John Parker. Ven 15 Jan - 23:31
Oui même le prénom ^^ ça impliquerait d'autres changements & surtout si on l'accepte pour toi faudra l'accepter aux autres ^^
Validé quand même :red: N'oublie pas de voter pour NYCL dans les Top sites (a)
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Sujet: Re: John Parker.
John Parker.
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